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Sujet: I'm a slave to karma spinning on a wheel ▬ Ydris O. Candria Dim 22 Avr - 21:56
Ydris Orwell Candria
❝ I'm a slave to karma spinning on a wheel I'm a king reborn ❞
Alors comme ça on n’a pas encore été présentés ? Je t’en prie je suis un gentleman, prend un siège, je ne suis pas pressé. Je suis même plutôt patient je dirais. Que veux-tu, quand on est un fin observateur comme moi il faut savoir prendre son temps. Je ne suis pas aussi impulsif que les autres pacificateurs, ni aussi stupide que certains. Oh bien sûr je ne suis pas un enfant de cœur, loin de là. Je suis même un vrai salaud. Un salaud avec toute la panoplie : l’affection pour la manipulation, les pulsions sadiques, l’orgueil, la folie. J’en oublie sûrement mais cela ne change rien pour toi à quelques défauts près. Oh je viens de repenser à une petite anecdote du temps où j’administrais encore le district deux. Il y avait ce type tu vois, lors de mes années de labeur à la carrière nous étions plutôt amis… ça t’ennuie si je fume ? Non ? Donc nous étions amis soit disant et le jour où j’ai coincé sa femme pour rébellion tu sais ce qu’il a osé me dire ? Que ce n’était pas moi, que ça ne pouvait pas être moi, que j’étais un homme généreux et aimant pour qui la famille était la chose la plus importante. Il a même osé babiller que j’étais l’homme le plus gentil et honnête qu’il avait jamais connu. Il ne comprenait pas pourquoi j’étais aussi froid et dépourvu de sentiments. Putain qu’il m’a fait rire ce con avec sa blague. Pour le coup j’ai épargné sa femme en lui laissant au moins quelques doigts intacts pour qu’elle puisse lui faire encore le petit plaisir du dimanche. J’ai honoré sa blague, j’ai été généreux tu vois ? Y’a quelques années j’avais une femme moi aussi. La plus belle du district deux. Faut dire qu’avec le travail physique que je me tapais j’faisais partit des beaux gosses du quartier. Et je suis toujours aussi bien conservé pour mes 42 ans. Con que j’ai dû la tuer, j’aime les belles femmes tu sais. Je ne comprends pas ce qu’ont les autres pacificateurs à agiter aussi vite leurs armes à feu sous le nez des gens. Quel manque de classe vraiment. Vois-tu j’ai une petite préférence pour les armes blanches. Je suis même parfois très créatif. En général on sait que je suis passé par là, j’aime bien laisser ma marque. Qu’en est-il ? Tu vois je prends ma cigarette comme ceci… voilà, je laisse reposer au creux de la jonction cou/mâchoire pour que ça fasse fondre suffisamment l’épiderme. Shh, ne cries pas voyons, ça ne fera pas cicatriser plus vite. A vrai dire tu risques de garder cette marque toute ta vie. Pourquoi je fais ce job, pourquoi j’ai accepté d’être un vulgaire chien du capitole sans fierté et sans humanité ?
Il y a quelqu’un que je dois protéger.
Malheureusement mes histoires ne te concernant pas, je crois que je vais en finir là avec les présentations. C'est plutôt à toi maintenant de parler, dommage pour toi j'ai été muté au huitième district suite à ma demande. J’espère que tu ne tiens pas trop à ton visage.
about games and relative.
➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ?
Sanglante. Comment pourrait-elle être autrement ? Plus je la vois et plus je la désire. Mais je ne peux m'abandonner aux bras de mon amante de l'au-delà car j'ai bien trop à accomplir. Je dois protéger ce qu'il me reste jusqu'au bout. Le plus grand rôle de mon existence, celui d'un père.
➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ?
Mon espérance de vie s'est depuis longtemps remplacée par celle d'Enora. Laisser son corps pourrir six pieds sous terre au nom de sa chair et de son sang, c'est digne d'une œuvre dramatique mais pourtant ici rien n'est fiction. Cette réalité aurait pu faire de moi un idéaliste rebelle. Elle m'a surtout rendu aigri.
➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE ?
Ma détermination. A vrai dire je n'ai que ça pour m'empêcher de faillir. C'est un combat de tous les instants, ce besoin de fuir un labyrinthe sans issues. Sa présence m'aide à tenir, ma résolution à lui mener la vie dure, chaque pas même infime vers une plus grande force. Chaque avancée qu'elle fait sur son chemin m'entraine comme une ombre dans son sillage. Son combat est le mien.
➺ COIN A ANNONCÉ LORS DES DERNIERS JEUX PAR MESSAGE PIRATE QUE LE TREIZE EXISTAIT TOUJOURS. TU ESSAIES DE TE JOINDRE À EUX OU AU CONTRAIRE, TU FAIS TOUT POUR STOPPER CETTE RÉVOLTE ?
Poser une question pareille à un pacificateur serait comme demander à un aveugle si le coucher de soleil est beau. Vous connaissez déjà la réponse avant d'avoir posé la question. Je ne ferais pas les même erreurs que ma femme. Je ne me rebellerais pas tant que je serais un père avant d'être un homme contraint. Pour résumer, je me contrefou du district treize.
JE VIENS D'UN MILIEU jugé favorisé mais croyez moi celui qui a osé dire que c'était l'éclate au deuxième district mérite de crever, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITUREn'était pas vraiment un problème. Mais depuis que nous sommes habitants du huitième district moi et ma fille connaissons la faim. DU COUP, SON NOM A six chances d'être tiré au sort. J'EXERCE LE MÉTIER DE pacificateur ET POUR TOUT VOUS DIRE, je me hais. JE SUIS DANS LE 8ième DISTRICT. AYANT 42 ans JE ne peux plus participer aux jeux depuis bien longtemps. MAIS j'appréhende la sélection de ma fille depuis des années. A tel point que je l'entraine durement depuis ses 5 ans. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER AU DESESPOIR SI SA FILLE VENAIT A MOURIR LORS DES JEUX.
tell us your story.
« Si mon histoire commençait par l’éternelle mention « Il était une fois » j’aurais pu espérer que s’en suive une belle fin.
Mais elle ne s’introduit pas ainsi, à vrai dire ce n’est même pas moi le protagoniste principal de ce récit.
L’héroïne, c’est toi Enora.
Ce monde dans lequel nous vivons ne tourne pas rond. L’harmonie est un luxe rare, une chimère que même le plus chanceux des hommes à peu d’espoir d’apercevoir. Pourtant elle était là, douce et chaleureuse sous mes doigts. Ce petit univers rebondi construit avec tout notre amour qui répondait à l’appel de ma main par de lointaines tapes sourdes. L’écho de la vie. A cet instant je croyais que la mort ne ferait jamais partit de nos existences. J’ai émis la pensée idiote que tous les trois nous aurions droit à un happy end. A vingt-six ans j’étais encore si jeune, mais surtout trop con.
Mais celui qui a dit que le quotidien dans le district deux était favorisé l’est encore plus. Après ta naissance je suis retourné travailler dans les carrières. Crois-moi ce travail n’avait rien d’aisé, je payais le prix de notre survie et d’un peu de stabilité dans la sueur et la poussière comme beaucoup de mes amis. Mon père lui-même aurait eu un destin identique si les jeux ne l’avaient pas tué. Mais quelle fin était la plus enviable au final ? Mourir aux Hunger Games ou écrasé sous des rocs ? Ce jour-là nous n’avons pas fêté ton anniversaire. Ce soir-là Papa n’est pas rentré à la maison.
Je me suis vite remis de cet accident, autant psychologiquement que physiquement. Mais pour ta mère ce fut plus difficile. Le traumatisme était ancré en elle et ses cauchemars réveillaient toute la maison. Parfois elle m’éveillait en pleine nuit, agrippée avec force à mon corps. D’autre fois je l’ai surprise te regardant dormir en pleurant en silence. Elle savait. Nous savions tous. A Panem voir son enfant grandir ne réjouit aucun parent.
Mais irrémédiablement tu grandissais et les doutes de ma femme s’amplifiaient. J’aurais voulu être là à chaque instant pour veiller sur vous deux, peut-être même aurais-je pu empêcher tous ces drames. Mais avec un travail et des responsabilités comme les miennes c’était impossible. Les jeux de cette année furent particulièrement cruels. Les deux enfants de notre district périrent atrocement et ce fut la chose de trop pour elle. Tout changea, la lueur mélancolique de son regard s’éteignit et elle alluma la flamme interdite. Celle de la révolte.
Je ne m’en suis aperçu qu’au bout d’un certain temps. Exténué je suis rentré et elle m’attendait. Il fallait que nous parlions. Horrifié je l’ai écouté m’expliquer ses idées révolutionnaires, ses envies de fuite, envoyer en l’air cette misérable vie. Comment pouvait-elle nous faire ça ? Risquer de mettre en danger la paix si frêle que nous avions construite ? Te mettre encore plus en danger que tu ne le serais déjà avec les jeux ? Je ne l’ai pas comprise et elle a refusé de m’écouter. Nos cris se sont répercutés dans la rue et seuls tes pleurs apaisèrent un peu la tension. Mais tout dialogue à ce sujet fut rompu. J’avais tort de croire qu’elle renoncerait, que j’avais réussis à calmer les germes de la révolte. Car les racines avaient déjà poussées trop profondément en elle.
C’est un de mes collègues à la carrière qui est venu m’en parler en premier. Savoir si j’étais au courant que ma femme psalmodiait contre le capitole et tout le système. J’ai faillis en lâcher la tâche que j’étais en train d’accomplir. Je lui ai demandé si beaucoup étaient au courant et il m’a dit qu’il n’y avait que lui et sa femme. C’était déjà beaucoup trop.
Tous étaient attroupés sur la place. Serrés par la curiosité et l’urgence, encerclant ce que j’essayais d’atteindre à en perdre haleine. Tous silencieux ils écoutaient les pacificateurs parler, dénoncer les traitres au régime du capitole. Les noms que je redoutais, ce que j’avais cherché à éviter toute ma vie. Ce cauchemar auquel je m’interdisais de penser. Le sang dans mes veines s’est figé, ma tension a stoppé toute pulsation. A l’entente de mon nom la foule s’est écartée, me laissant la vision de ma femme et de ma fille prostrées au centre de l’attention. Lorsqu’elle m’a vu ta mère s’est redressée et a tendu ses bras vers moi. Cette scène était interminable. Les murmures indignés ou peinés de l’assistance, les accusations sans fin. Et tes pleurs apeurés qui fendaient le silence. Elle avait tout détruit, elle allait tous nous tuer avant l’heure. Elle prenait sa rébellion pour une force en oubliant combien dans ce monde qui ne tournait pas rond elle devenait un poison.
Je me suis baissé et j’ai attrapé une grosse pierre. Une de celles que l’on trouvait en abondance dans le district deux, une de celle qui m’avait permis de construire cette illusion d’harmonie pendant toute ces années. Je l’ai serrée de toutes mes forces et je l’ai écrasée contre son visage. Le temps s’est arrêté. Plus aucun son n’est parvenu à mes oreilles hormis le gargouillis sanglant. Elle est tombée à terre et je lui ai asséné d’autres coups. J’ai détruit de mes mains le visage de la femme que j’aimais, la mère de mon enfant. Un silence de mort s’est définitivement abattu sur la scène, il n’y avait que toi Enora qui résistait encore au mutisme. J’ai relevé la tête et j’ai vu dans ton regard inondé que plus jamais je ne serais un père pour toi, que plus jamais je ne pourrais te prendre dans mes bras toi la seule chose que la vie ne m’avait pas encore arrachée.
Ils m’ont emmené dans une cellule. Ils ne devaient pas trop savoir quoi faire de moi après ce qu’il s’était passé. J’ai passé de longues heures à souhaiter ma propre mort. A tenter d’arracher la chair de ces bras qui l’avaient serrée d’amour puis assassinée de sang-froid. L’odeur de son sang sur mes vêtements me rendait fou, le souvenir de tes pleurs en perpétuel écho dans mon esprit. Nous étions de simples gens, de simples gens qui n’aspiraient qu’à l’amour, qu’à être ensembles. Mais cet amour nous avait mis en danger, il avait construit puis détruit nos vies. Je m’étais fourvoyé en pensant que l’espoir et l’affection nous sauverait. En ayant la prétention de penser que l’affliction nous épargnerait. Après ces longues heures à répandre mon propre sang je me suis calmé. J’ai retrouvé mes esprits, recouvré mes inquiétudes de ne savoir ce qu’on avait fait de toi. Je ne pouvais pas abandonner. Je devais continuer, te forger, t’endurcir pour que tu ne commettes pas nos erreurs. Même si pour cela je devais renier tout sentiment, me faire paradoxe et tout transformer en violence, devenir le monstre que tous croyaient maintenant que j’étais. Je devais te protéger du monde extérieur, éloigner le moindre soupçon en devenant un jouet docile, une arme pour réprimer les miens. J’ai crié pour qu’on s’intéresse à moi, j’ai fait tellement de raffut qu’on a daigné se pencher sur mon cas. Et je leur ai vendu mon âme.
La suite tu l’expérimente depuis toutes ces années Enora, je n’ai pas besoin de te la narrer. De moi tu ne connais que le salaud qui chaque jour t’exténue, te brutalise à la tâche dans le seul but de faire de toi une gagnante. Je suis ce bourreau vêtu de blanc, celui que tu hais. Chaque geste cruel a remplacé notre relation père et fille, chaque acte de violence est devenu le seul langage que je sais parler. Le sadisme est le nouvel amour.
Aucun acte ne pourra laver le sang qui s’accumule sur mes mains. Je suis l’esclave d’un karma immonde auquel je me suis sacrifié pour toi. Jamais de pardon, jamais de rédemption. Tu es ce que j’ai de plus cher, la seule chose qu’il me reste. Survit, gamine. »
Le crépitement du feu me tire de mes pensées. J’avais finis de me relire depuis plusieurs minutes déjà mais mon regard était irrémédiablement bloqué sur le mot « survit ». La nuit bien avancée n’était plus suffisante pour cacher ma mélancolie, le froid du matin bientôt la tirerait de son sommeil. La terre devenait humide, même le tronc sur lequel j’étais adossé commençait à sentir la rosée. Il serait bientôt l’heure de partir pour ce dernier voyage et de laisser notre bivouac de fortune, nos souvenirs, la vie passée au deuxième district derrière nous. Je replie la lettre soigneusement, me tournant vers elle. Son souffle paisible atteste de son sommeil profond, recroquevillée près du feu ses doigts sont crispés sur son unique couverture. Un sourire tendre passe sur mon visage et j’ose une main vers le sien, caressant à peine ses mèches rousses. D’un geste précautionneux je retire ma veste de mes épaules pour l’étendre sur son corps. La lettre toujours à la main j’hésite quelques instants à la glisser dans ses affaires avant de me raviser et de la jeter au feu. Ce n’est pas le moment de faiblir.
Jamais.
Je dépose un baiser sur son front, un murmure d’amour à peine audible avant de m’éloigner de nouveau d’elle.
Les flammes rongent mes mots, se régalent de la vérité. Un nouveau craquement et le bruit de mon zippo lui font ouvrir les yeux. Lentement elle se redresse encore éprise de sommeil.
« T’as cru qu’on avait le temps de faire la grasse matinée gamine ? Dépêche-toi de te bouger le cul et d’aller faire tes pompes, on lève le camp d’ici quinze minutes. »
Ma phrase est suivie d’une claque derrière sa nuque alors que je tire violemment ses couvertures pour reprendre ma veste.
« J’en ai rien à foutre que tu crèves de fatigue en chemin, on doit être au district huit d’ici trois jours pour que je prenne mes fonctions. Tu sais combien je n’ai aucuns scrupules à laisser les faibles derrière. »
Ce faisant je me lève pour lui donner un bref coup de pied et rassembler mes affaires.
Non, ton histoire ne commence pas par « Il était une fois » Enora. Mais il ne tient qu’à toi d’arracher ton happy end.
reality is here.
Saviez-vous que le cerveau contient 100 milliards de neurones ? Qu'en Thaïlande il est illégal de sortir de chez soi sans sous-vêtements ? Que le record du monde de lancer de téléphone portable est détenu par l'anglais Chris Hughff avec un lancer de 95,83 m ? Non ? Dans tous les cas cela vous sera certainement plus utile comme savoir que celui sur ma petite personne. Le mien de cerveau se contente d'un couple de neurones sauvages qui se font un malin plaisir de me donner l'envie d'écrire. J'ai bientôt l'âge légal d'être incarcéré par la police dans tous les pays et faire de la prison pour non port de sous-vêtements. Si je prend mon téléphone portable et que je le lance, il se casse. Sinon moi c'est Harley. Si je suis venu sur ce forum c'est parce qu'il est fabulous. Je n'ai pas lu les livres, manque de temps du à mon entrainement au lancer de portables. Sur ce, le premier qui gnut-gnut ma fille, je le bute sur quatre générations. A bon entendeur bande de larves !
Dernière édition par Ydris O. Candria le Jeu 26 Avr - 21:05, édité 27 fois
Invité
Sujet: Re: I'm a slave to karma spinning on a wheel ▬ Ydris O. Candria Dim 22 Avr - 22:55
Kyaaaaaa ! C'moi la première ! Bienvenue sur MJ ! Bonne chance pour la fin de ta fiche, mais je 'ai aucun soucis, excellent avatar, excellent district...
Invité
Sujet: Re: I'm a slave to karma spinning on a wheel ▬ Ydris O. Candria Dim 22 Avr - 23:10
Ydris O. Candria a écrit:
Sur ce, le premier qui gnut-gnut ma fille, je le butte sur quatre génération.
Et si c'est moi qui gnutgnut les gens on fait quoi papa ?
Spoiler:
Après cette montagne de smiley, je t'offre de ma part le coup de fouet traditionnelle de bienvenue :
Tu as aimé ?En plus de ta propre fille, la classe . En tout cas bonne chance pour ta fiche et encore une fois merci d'avoir pris mon scénario . EDIT : j'allais oublier le principale, bienvenue .
Dernière édition par Enora L. Candria le Sam 28 Avr - 10:27, édité 1 fois
Invité
Sujet: Re: I'm a slave to karma spinning on a wheel ▬ Ydris O. Candria Dim 22 Avr - 23:18
Bienvenue parmi nous Ô grand maître Rob Downey bon courage pour ta fiche et à très vite !! ^^
Adonis Nightsprings
△ correspondances : 2406 △ points : 12 △ multicomptes : Robin D. Bates / F. J. Kennedy △ à Panem depuis le : 01/04/2012△ humeur : Blasé. △ âge du personnage : 35 ans △ occupation : [i]Chef[/i] Pacificateur du D08
Sujet: Re: I'm a slave to karma spinning on a wheel ▬ Ydris O. Candria Dim 22 Avr - 23:31
Robert Doudou Jr *ç* ! Les Avengers mercredi *en peut plus*
Ahem.
Bienvenue =DDD !
Invité
Sujet: Re: I'm a slave to karma spinning on a wheel ▬ Ydris O. Candria Lun 23 Avr - 1:04
Robert
Bienvenue
Invité
Sujet: Re: I'm a slave to karma spinning on a wheel ▬ Ydris O. Candria Lun 23 Avr - 1:15
Bienvenue m'sieur
Thybalt M. Homens
△ correspondances : 8988 △ points : 29 △ multicomptes : raven, gwendal, eurydice (denahi) △ à Panem depuis le : 22/12/2011△ humeur : désabusé △ âge du personnage : trente quatre ans △ occupation : médecin de campagne ~ bras droit du chef des rebelles
Sujet: Re: I'm a slave to karma spinning on a wheel ▬ Ydris O. Candria Lun 23 Avr - 11:22
bienvenue
bon courage pour ta fiche
Invité
Sujet: Re: I'm a slave to karma spinning on a wheel ▬ Ydris O. Candria Lun 23 Avr - 18:03
Merci à tous de votre accueil ! Je devrais avoir finit ma fiche ce soir.
Ce qu'on fait si c'est toi qui gnut-gnut les gens Enora ? Tu ne voudrais pas savoir crois-moi fille 8D
Invité
Sujet: Re: I'm a slave to karma spinning on a wheel ▬ Ydris O. Candria Lun 23 Avr - 18:05
[DC d'Enora] Roh c'est pas juste
Invité
Sujet: Re: I'm a slave to karma spinning on a wheel ▬ Ydris O. Candria Mar 24 Avr - 0:00
Et voilà, papa ours a finit sa fiche Enjoy mes petits désolé des pavés 8D
Invité
Sujet: Re: I'm a slave to karma spinning on a wheel ▬ Ydris O. Candria Mar 24 Avr - 0:05
Ydris O. Candria a écrit:
L’héroïne, c’est toi Enora.
j'aime trop ce passage papa Pour ta fiche tu peux la signaler terminé dans cette partie ici.
Miléna E. Andréis-Wheeler
△ correspondances : 5888 △ points : 1 △ multicomptes : (l. c. meery) △ à Panem depuis le : 04/09/2011△ humeur : cruellement arrachée à sa famille △ âge du personnage : vingt sept ans pour toujours
can you save me? statut: On ne touche qu'avec les yeux, coeur et corps pris par un homme jaloux. relationships:
Sujet: Re: I'm a slave to karma spinning on a wheel ▬ Ydris O. Candria Mar 24 Avr - 8:11
Robert D. Jr
Bienvenue parmi nous
Invité
Sujet: Re: I'm a slave to karma spinning on a wheel ▬ Ydris O. Candria Mar 24 Avr - 18:58
Je t'ai pas souhaité la bienvenue !!
On sera potes rouges ! entre vieux poilus faut se soutenir ! Bisouuuuuu !!!
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Sujet: Re: I'm a slave to karma spinning on a wheel ▬ Ydris O. Candria
I'm a slave to karma spinning on a wheel ▬ Ydris O. Candria