| Sujet: Sergei L. Weiser (100%) Mer 29 Fév - 21:06 | |
| Sergei Lion Weiser❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞ ID DISTRICT #9
NOM : WEISER Prénom(s) : Sergei, Lion Né(e) le : 15.02.2277
PACIFICATEUR (vainqueur des 56th Hunger Games) N° D'IDENTIFICATION : 0775 881 | Sexe : H
Taille : 1.90 Corpulence moyenne. Cheveux : bruns Yeux : bruns |
Vous n'aurez pas besoin d'en connaître d'avantage, d'ailleurs vous en savez déjà beaucoup trop. Il aurait probablement été impossible de lui faire cracher ces informations de lui même; vous savez, Sergei n'est pas très bavard, ni très expansif. Si vous lui demandez de raconter sa vie il vous enverra probablement bouler. Si vous lui demandez pourquoi son air bougon ne le lâche jamais il vous dira de regarder ailleurs. C'est comme ça; si vous cherchez un copain de causette, vous êtes mal tombé, voilà tout.
about games and relative.
➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ? J'ai un mal fou à me voir mourir de vieillesse… comme tout le monde je pense. Donc je mourrais probablement tué par l'alcool ou par un de ces salopards de rebelles. Quand on a fait les Hunger Game, la mort parait soudainement moins dramatique. Cela dit, venant d'un district de chasseur, la mort ne m'était pas étrangère et ce depuis mon plus jeune âge. Le seul truc qui pourrait m'emmerder avec la mort, ce serait qu'un foutu paradis existe et que je sois obligé d'y revoir mon idiote de soeur et mes abrutis de parents pour l'éternité. Le reste, rien à cirer.
➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ? Pour rien ni personne. Peut-être qu'avant j'aurais eu un nom à vous dire, peut-être que je me serais sacrifié pour cette personne, mais aujourd'hui je vis avant tout pour moi même. Ce qu'il y a de bien quand on a personne pour qui mourir, c'est qu'on est le seul maitre de sa vie. Aux Hunger Games c'était pareil, je n'avais promis à personne de revenir vivant, sans aucune dette ni aucune promesse en l'air j'étais libre de mourir ou non. Aucune lutte, aucun sacrifice ne rend la mort moins douloureuse qu'elle ne l'est.
➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE ? Le district 9 à cela de bien qu'il prépare mieux que n'importe quel autre à se battre et à survivre. La chasse n'a de différence avec le meurtre que sa cible. Aux Hunger Games, je pouvais prétendre chasser les autres au même titre que les gibiers que nous traquions depuis notre enfance. Ainsi, les armes ne jet n'ont aucun secret pour moi, mais également l'anatomie et le camouflage. Le longues années d'entrainements au District neuf auront probablement contribué à ma victoire aux jeux, que dis-je… certainement.
➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ? Ma sœur a décidé de se porter volontaire le jour où j'ai été tiré au sort. Pas pour me sauver la vie, loin de là, mais parce que la compétition dans laquelle nos deux parents nous avait poussé depuis notre plus jeune âge devait bien se terminer quelque part. Ils avaient toujours rêvé de participer aux Hunger Game et d'en récolter la gloire d'une victoire, c'était à nous de réaliser ce souhait. Honneêtement, je me fichais qu'elle vive ou qu'elle meurt, elle n'avait pas plus d'importance pour moi que n'importe quel autre tributs de l'arène. Elle y est morte, tuée après quelques jours dans l'arène par un piège grotesque. Il faut croire qu'elle n'était pas très futée...
➺ APPRÉCIES-TU LE VISIONNAGE DES JEUX ? Sans plus. Lorsqu'on regarde les jeux à travers un écran, on n'a jamais vraiment conscience de ce l'atrocité qui s'en dégage. Tout semble irréel. Les véritables Hunger Games se déroulent dans l'arène uniquement, et tant qu'on a pas vécut les jeux ou subit la perte d'un proche là bas, on ne réalise pas que les genre meurent "pour de vrai". Les quelques années où j'eus les jeunes tributs à ma charge me reste en travers de la gorge. Voyez-vous, il est plus facile de voir un inconnu mourir qu'une personne qu'on a fréquenté un moment. Voir tous ces gamins mourir n'avait rien d'agréable, avouons-le.
➺ COIN A ANNONCÉ LORS DES DERNIERS JEUX PAR MESSAGE PIRATE QUE LE TREIZE EXISTAIT TOUJOURS. TU ESSAIES DE TE JOINDRE À EUX OU AU CONTRAIRE, TU FAIS TOUT POUR STOPPER CETTE RÉVOLTE ? Le district 13 vit depuis 75 ans en laissant les autres crever sans bouger le petite doigt, et aujourd'hui ils se la jouent justiciers bienfaiteurs…? n'oubliez pas les véritables responsables de tout ça… C'est de leur faute si les Hunger Games ont commencé, ce sont eux qui avaient mené la première grande révolte. Et à croire qu'on apprend jamais de ses erreurs, ils recommencent aujourd'hui... Pathétique. Je ne rejoindrais jamais les rangs de ces traitres. Et si avant j'aurais pu être assez cléments avec eux, je n'ai à présent aucun regret à les exterminer. Comme on dit : œil pour œil dent pour dent.
JE VIENS D'UN MILIEU favorisé, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE est abondante. MAIS MON NOM A quand même été tiré au sort il y a longtemps de ça. J'EXERCE LE MÉTIER DE pacificateur ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'aime ça. JE TRAVAILLE À PRÉSENT DANS LE 9ÈME DISTRICT. AYANT 34 ans J' ai déjà PARTICIPÉ AUX 56ème HUNGER GAMES ET je les ai remportés. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT PARTICIPER ACTIVEMENT À LA TORTURE DE CES ABRUTIS DE REBELLES.
tell us your story. "Sergei Lion Weiser"
La voix criarde de l'hôtesse des Hunger Game résonnait sur la grande place du district 9 alors qu'elle récitait le tant attendu discours cérémonial des jeux de la faim. Tout le monde était sagement rassemblé autour des marches de la mairie, les yeux braqués sur la grande femme longiligne à la peau bleutée. Elle relevait ses yeux jaunes du petit morceau de papier qu'elle tenait dans ses mains, cherchant son nouveau tribut du regard. Un jeune homme d'à peine 15 ans fendit la foule pour grimper les marches en pierre et s'arrêter à ses côtés. Ses longs cheveux noirs en bataille encadraient un visage fin dont l'air flegmatique était en curieux désaccord avec la situation. Dans la foule, certains le regardaient comme le messie, d'autre comme un agneau envoyé chez les loups. Mais Sergei n'avait vraiment rien d'un agneau.
La jeune fille à ses côtés n'était pas une gagnante, elle allait sans doute mourir dès les premières minutes de jeux. Elle ne représentait pas vraiment une menace... Ses petites bouclettes blondes n'étaient pas très impressionnantes, pas plus que sa carrure fluette de jeune adolescente et son air effondré. En plus elle pleurait. Mais une main se leva parmi la foule, une grande brune pris la parole, provoquant le brouhaha. "Je suis volontaire !" trancha t-elle. La blondinette était sauvée. Et Sergei lâcha un léger rire. "Je suis même pas étonné…"
Une semaine plus tard; le garçon à qui Caesar Flickerman tendait son micro n'avait rien à voir avec celui qu'ils avaient découvert sur la grande place du district 9. Ses cheveux coupés courts faisaient ressortir ses yeux noirs allumés d'une étincelle de raillerie, un mince sourire en coin, lui et son air sardonique avaient tout d'un volontaire... Le présentateur d'apparence jeune et excentrique pris la parole. A quelques mètres sur une estrade, le public guettait le moindre geste et se délectait de la moindre parole. Tout allait se faire ici : les sponsor, les "cadeaux", la victoire...
"Vous savez Caesar.... je peux vous appeler Caesar ? nos parents devaient être les seuls du district 9 à avoir envie de participer aux jeux. Sauf qu'ils n'ont jamais eu la "chance" d'être tirés, ni les couilles de se porter volontaires et aujourd'hui ils sont trop vieux... deux vieux frustrés." d'un sourire goguenard, il se tourna vers sa sœur assise quelques sièges plus loin "j'imagine que si on en est là c'est pour une bonne raison, pas vrai sœurette ?" La foule rit un peu, probablement amusée de voir une querelle de famille s’immiscer dans les jeux de la faim. Caesar rit, continuant son interview qui, avouons-le, était assez bien tournée. "Et bien le capitole souhaite une bonne chance à notre jeune impertinent !" puis il fit mine de jouer du coude à une personne imaginaire, adressant un clin d’œil appuyé au public "surtout ces dames, n'est-ce pas ?"
"C'est moi qui vais gagner, loser ! J'en ai ras le bol que les parents n'aient d'yeux que pour toi. Cette fois c'est moi qui vais briller." Sergei leva les yeux au ciel, plantant d'un geste vif la hache qu'il tenait en main en plein dans la cible à quelques mètres. Il aurait voulu lui dire que, leur "amour" et leur "respect", leur deux parents pouvaient bien se les carrer où il pense. Mais ils se contenta d'hausser les épaules. Après tout, les jeux trancheraient.
6 jours plus tard, notre agneau quitta l'arène des 56ème Hunger Games, un sourire en coin de lèvres.
La vie de vainqueur était aisée, bien plus simple que celle qu'il avait vécut jusque là : une maison confortable, de la nourriture en veux-tu en voilà, sans parler des femmes. La mort de sa sœur, l'absence de ses parents (qu'il avait volontairement mis de côté); tout ça ne sembla pas l'affecter. D'une manière général, rien ne semblait vraiment préoccuper notre jeune homme, chose facile à comprendre lorsqu'on a survécut aux jeux. Rien de tout ça ne lui semblait vraiment réel. Les années passèrent et ce train de vie trop rangé devint peu à peu ennuyeux. Les jeux, les tributs, l'abondance, les femmes, plus rien ne le tentait. C'est à ce moment là que Mara entra dans sa vie.
"C'est pas parce que t'es un vainqueur que je vais te baiser les pieds" dit-elle le sourire aux lèvres. Sa chevelure rousse n'avait rien à envier aux flammes que lançaient ses yeux verts plantés sur lui. Il avait suffit d'une seconde pour qu'il lui trouve bien plus d'intérêt que tous ceux qu'il avait fréquenté jusqu'alors.
Mara était une apprenti Pacificateur, les justiciers de l'ordre du capitole, leurs chiens de garde si on veut. Sergei aimait bien passer du temps avec elle, elle partageait le même regard que lui sur le monde : acerbe et ironique. Les semaines puis les mois passèrent et leurs entrevues se faisaient de moins en moins distantes. Un jour, elle sonna chez lui dans la nuit, s'appuya contre l'encadrement de la porte, et pris l'air qu'elle arborait à chaque fois qu'ils devaient parler, ou plutôt à chaque fois qu'elle lui demandait quelque chose. "Tu sais pourquoi je suis là…"
Par "tu sais pourquoi je suis là", elle voulait dire "rejoins les pacificateurs", au grand damne de Sergei qui, lui, avait saisit un tout autre message. Mais il devait se faire à l'idée que leur "amour" était unilatéral et stérile. L'idée de la suivre chez les pacificateurs lui semblait à cet instant grotesque; pourtant il finit par passer le pas quelques semaines plus tard. A ses 27 ans, Sergei intégrait les rangs des pacificateurs. C'est là qu'il fit la rencontre de Phoenix et de Finnick.
Les quatre jeunes pacificateurs passaient le plus clair de leurs temps ensembles, souvent réunis dans leurs missions ou dans leurs moment libres. Chez Finnick et en Phoenix, Sergei avait trouvé deux amis et rivaux de poids, alors que sa relation avec Mara tendait peu à peu à des étreintes passionnées, mais officieuses. Car jamais cette dernière ne voulut qu'ils s'impliquent d'avantage ensemble. Leur amitié dura près de 3 ans.
Quand Mara frappa à sa porte un matin, Sergei remarqua le regard troublé qu'elle tentait tant bien que mal de cacher, mais son attitudes, ses gestes, tout en elle trahissait sa peur. "Sergei il faut que je te parle. Je…". Il ne sut jamais ce qu'elle voulait dire, car un homme en uniforme vint les rejoindre. Le matin même, Finnick elle et Phoenix étaient envoyés en mission, seulement tous les trois.
"Je me revois, là, tout juste sortit de l'académie, dans mon petit uniforme blanc immaculé, pensant pouvoir changer le monde. Quelle connerie…". D'un rire presque semblable à un grognement, Sergei avala d'une traite son troisième verre de liqueur, le reposant sur la table d'un geste vif. "Mais à 20 ans, un flingue dans le revers de sa veste, accompagné d'une jolie rousse on pense pouvoir se transformer en super héro prêt à sauver l'humanité. Pire, on a peur de rien, et on se pense invincibles. Alors, en bon justicier de la loi, je pensais, que même les plus vils pouvaient être excusés. La vérité, c'est que ces gens là ne méritent pas de vivre."
"Sergei…", Finnick et Phoenix venaient de passer la porte des vestiaire. Il les regarda tour à tour l'air étonné, alors qu'il enfilait son uniforme. Ce n'était pas vraiment dans les habitudes des deux pacificateurs que de faire des entrées aussi dramatiques. "Ben alors il se passe quoi ? c'est quoi ces gueules ?" le sourire moqueur qu'il arborait sur ses lèvres s'effaça bien vite "où est Mara". "Sergei… On a rien pu faire…"
Mara était morte, tuée par des rebelles.
Il n’y a pas de doute, en l’espace d’un quart de seconde, Sergei avait changé. Pas seulement parce que son habituel sourire benêt, et l’ardeur qu'il mettait à draguer toutes filles dans son champ de vision s’étaient soudainement transformé en un mec maussade, agressif et implacable, mais aussi parce que soudainement il se mis à détester tout ce qui l’entourait. Il n’était plus qu’un grand type de 30 ans, brun, cheveux courts, rien d'autre. L’idée que s’aurait pu être lui et pas elle ne le lâchait pas, et l’empêchait de fermer l’œil. S'il avait participé à cette mission, rien de tout ça se serait arrivé. Ses nuits devinrent alors longues, aussi longues que ses journées passées à se morfondre dans son appartement devenu subitement sombre et sale.
On aura eu beau lui conseiller des psychologues, psychanalystes, psychiatres, hypnotiseurs, n’importe quel charlatan, jamais il ne mis un seul pied chez eux. C’est le temps, qui finit par guérir ses plaies, à force de volonté, il avait réussis à s’extirper de chez lui, à aller voir ailleurs, à ressortir et peut-être même à trouver les gens plus si cons que ça. Après 4 mois, il réintégrait son ancien poste de pacificateur dans un climat de guerre de plus en plus ouverte. Le casier de Mara Woods était à présent vide. Mais peu de gens ne faisait très attention à la "jeunette qui avait pas fait long feu", comme parfois le soulignait maladroitement certain qui terminaient bien vite leur phrase, écrasé sous le regard assassin de Sergei.
4 années étaient passées depuis.
"Je vais jouer franco avec toi. Si tu veux la vérité, je m’en cogne de ce que tu sais. Mais je vais te torturer rien qu’un peu. Pour la rigolade…"
reality is here.
Bonjour ! je suis déjà sur le forum depuis quelques temps alors si vous voulez voir ce que j'avais mis la première fois dans ma fiche, allez lire celle de Dorian. Voilà !
FEATURING HUGH JACKMAN © COPYRIGHT britsterzstupidtumblr
Dernière édition par Sergei L. Weiser le Ven 6 Avr - 16:32, édité 30 fois |
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Thybalt M. Homens △ correspondances : 8988 △ points : 29 △ multicomptes : raven, gwendal, eurydice (denahi) △ à Panem depuis le : 22/12/2011 △ humeur : désabusé △ âge du personnage : trente quatre ans △ occupation : médecin de campagne ~ bras droit du chef des rebelles
| Sujet: Re: Sergei L. Weiser (100%) Mer 29 Fév - 21:24 | |
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Alexiane R. Hawthorne △ correspondances : 11154 △ points : 75 △ multicomptes : hunter, pepper-swann (leevy, ivory) △ à Panem depuis le : 08/05/2011 △ humeur : indifférente △ âge du personnage : vingt-deux ans △ occupation : mentor
| Sujet: Re: Sergei L. Weiser (100%) Mer 29 Fév - 22:10 | |
| Rebienvenue parmi nous Bonne chance pour ta fiche! Hugh est un très bon choix, j'ai hâte de savoir ce que tu vas faire comme personnage Je te l'ai réservé pour la semaine |
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