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 IV,1. Les Adieux

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Caesar Flickerman
MAITRE DU JEU
Caesar Flickerman
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△ à Panem depuis le : 20/04/2011
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MessageSujet: IV,1. Les Adieux   IV,1. Les Adieux Icon_minitimeSam 31 Mai - 14:09


Les 78th Hunger Games
“Adieux ”


(c) mockingjaystaff
La Moisson vient tout juste de prendre fin dans tous les districts. Après avoir acclamé ou pleuré le tirage au sort des jeunes tributs, ces derniers sont gardés dans l'hôtel de justice pour recevoir les dernières visites de leurs proches. Ceux-ci viendront pour quelques petites minutes, soutenir une soeur, un fils, un cousin, une amie... Prendre dans ses bras l'être aimé que l'on ne reverra peut-être jamais, le revoir une dernière fois avant qu'il parte pour l'arène subir une fatale destinée.

les adieux
Le temps des adieux commencent sur le forum. Pour ceux qui ne sauraient pas comment cela se passe, voici une petite description pour vous mettre dans l'ambiance. Chaque tribut est enfermé dans une salle. Il y attend ses proches, qui viennent chacun leur tour (par exemple la famille - parents, frère/soeur -, puis les amis - qui peuvent venir séparément) et qui ne peuvent rester que cinq minutes. Quand tous les proches sont passés, il est temps de partir pour la gare et prendre le train pour le Capitole.

Ce sujet est mis à votre disposition pour poster 'seul' si vous n'avez pas d'autres membres avec qui rp. Sinon, vous êtes libres de créer vos sujets avec d'autres membres, merci d'indiquer tout de même dans le titre 'IV,1" pour que nous puissions différencier les rps 'simples' à ceux des adieux. Il vous sera aussi demandé de faire des rps courts, sachant que les visites ne durent que cinq minutes.



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http://mockingjay.forumgratuit.fr
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IV,1. Les Adieux Vide
MessageSujet: Re: IV,1. Les Adieux   IV,1. Les Adieux Icon_minitimeDim 1 Juin - 10:56

    C’est comme si j’étais entraîné dans un ouragan. Je n’ai pas le temps de réagir, mon corps est traîné par-ci par-là, comme une poupée de chiffon. Je suis vide de toute énergie ou motivation. On doit presque me pousser pour que je mette un pied devant l’autre. Finalement, on me laisse tranquille. On me laisse tomber dans une salle, je m’avachie sur un fauteuil. Et j’attends. Je regarde le plafond. Je cherche mes mots. Comment formuler mes adieux. Après tout, ces mots-là resteront gravés à vie dans l’esprit de ma mère. Je veux qu’elle garde un ultime souvenir de moi, qui soit aussi positif que possible. C’était difficile, dans cette situation.


    Finalement la porte s’ouvre, et la silhouette de ma mère se dessine dans l’embrasure. Je ne trouve rien à lui dire. Mais ce n’est pas grave. Elle traverse la petite pièce, je me lève. Elle se jette dans mes bras, pour me serrer contre elle. J’ai l’impression d’être un petit enfant. D’avoir huit ans. D’avoir fait un cauchemar, et ma mère me serre contre elle pour me rassurer. Sauf qu’elle me dit aussi au revoir. Non… Adieu. Je sens presque son cœur battre contre moi. Je m’imprègne de son odeur. Son parfum fruité. Sa chaleur m’envahit, j’ai presque l’impression d’être finalement serein. Cette étreinte est trop courte. Déjà, on lui intime de me lâcher, et de repartir. Notre temps est terminé. Quand elle s’éloigne, elle me lance un ‘Je t’aime’, du bout des lèvres, et je lui rends. Son absence me brise, et aussitôt, mon cœur me fait mal. J’ai envie de crier, de pleurer, de sauter sur ces foutus pacificateurs qui éloignent ma mère de moi.


    J’aurais préféré être né dans une grande famille. Mon absence aurait blessé, mais pas détruit. Ma mère ne survivra pas à mon absence. C’est évident. Je vais mourir, et ma mère allait devoir s’en remettre seule. Je me prends la tête entre les mains, et je pleure enfin. Pour la première fois depuis que l’enfer m’est tombé dessus.

    On m’interrompt une nouvelle fois. Je me lève, pensant qu’ils viennent me chercher. Mais non. Mon père est là. Face à moi. Il me fixe. J’ai envie de me jeter sur lui et le frapper, mais je me retiens. Il n’a pas le droit d’être là.

    « Levi… », Commence-t-il. Je lève la main sévèrement en face de lui, le coupant dans son élan. Puisqu’il est là, autant que sa présence soit utile. Je le fixe droit dans les yeux, les poings serrés.

    « Arthur. Ce que je vais te dire vont être les dernières paroles que je t’adresserais. Alors écoute bien, et tais toi. », Annonçai-je d’un ton sec. Un peu surpris, il hocha la tête. Mon père est la seule personne avec qui j’ose prendre ce ton presque hargneux. « Je vais mourir. Tu le sais, je le sais, et surtout : Maman le sait. Elle va avoir du mal à y survivre. Si elle retombe dans la dépression - tu sais, celle d’après ton départ ? -, elle n’y survivra pas. Alors tu vas la surveiller, de loin. Au moindre signe de faiblesse, tu lâches tout, toute ta petite vie actuelle, et tu vas t’occuper d’elle. Tu ne l’abandonneras plus jamais. Sinon je te jure, je reviendrais d’entre les morts juste pour te botter les fesses une bonne fois pour toute. »

    Je termine ma tirade presque essoufflé. Mon père me fixe, surpris. Notre temps est bientôt terminé, il n’a plus rien à ajouter. Un pacificateur ouvre la porte… Et mon père se rapproche de moi d’un pas, et me glisse dans la main un objet circulaire, avant de partir définitivement. Je regarde dans ma paume. Une bague ? Non. Je fais tourner le bijou entre mes doigts… Une alliance. L’alliance de mon père, où est gravé le prénom de ma mère et la date de leur union. Je devrais peut-être la jeter, me débarrasser de cet ultime cadeau de mon père, mais je n’en fais rien. A la place, je la glisse sur mon doigt, et j’attends la suite, séchant mes larmes d'un geste rapide.
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Invité



IV,1. Les Adieux Vide
MessageSujet: Re: IV,1. Les Adieux   IV,1. Les Adieux Icon_minitimeLun 2 Juin - 1:22

J'étais seule dans cette pièce de l’hôtel de justice, terriblement seule, j'attendais que les gens viennent me voir, mes parents, ma grand mère et peu être d'autre personne, je ne savais trop comment réagir à tout cela, moi la gamine du cinq, aujourd'hui devenue l'emblème de mon district pour le meilleur et pour le pire enfin surtout pour le pire au vue des événements à venir pour moi, une arène 23 autres jeunes, et une chance peu importante de gagner, maintenant que j'étais seule j'avais séché mes larmes, je ne pleurais plus, plus besoin de passer pour faible j'étais déterminé et je ne lacherais plus rien. Je serais à l'écoute de mes mentors, et là pour Levi, il devait être assez effrayé, lui le petit chouchou de sa mère, il devait être surtout perdu, il n'était pas du genre très casse cou... Je ne me voyais pas rentrer sans lui, seule revenir et devoir recroiser le regard de sa mère... Alors que j'étais dans mes pensées, deux coups frappèrent à la porte, je me retournais lorsque la porte s'ouvrit et mes parents étaient la encore les yeux plein de larme, ils se précipitèrent vers moi pour me prendre dans leur bras, venant de mon père, tout cela me semblait très logique mais venant de ma mère, c'était beaucoup plus inhabituel... Mon père fut le premier à dire un mot

"Ma chérie" dit il d'une voix étranglé par le chagrin, " Pourquoi toi, pourquoi ils t'envoient là bas, pourquoi, ils veulent que tu meurs" cette fois il pleurait réellement " Que vais-je devenir sans toi"

A ces mots, ma mère se mit elle aussi à pleurer à chaude larme "Ma petite puce, tu vas revenir hein, tu vas rentrer à la maison, tu vas..." elle n'arrivait plus à parler, sa voix était perdue dans la tristesse..

Une fois l'étreinte terminée, je les regardais, mes yeux étaient secs, j'étais émue, mais je voulais les rassurer et surtout j'avais des directives à leur donner afin de tenir même si je ne revenais pas ainsi nous formions un cercle en nous tenant la main lorsque je pris la parole

"Bon j'ai beaucoup de chose à vous dire et très peu de temps, ne vous inquiété pas pour moi, je ferais tout pour revenir, mais si je me retrouve à devoir tuer Levi, je ne pourrais mi résoudre, si il rentre et moi non, ne lui en voulez pas, soyez des gens bon pour lui et sa mère, soyez vous même cet événement ne dois pas changer votre bonne humeur que j'aime tant.." Je marquais un pause, j'avais éclaircie le premier point, j'allais en venir au suivant je pris une profonde inspiration " Papa, maman, ne fermez jamais la boutique, tans que vous y travaillerez, vous serrez prêt de moi, j'adore cet endroit et nous y avons passer des moments magiques, alors continuer à y travailler, papa tu a mes affaires à l'atelier, elles te rappelleront nos moments complice.. Maman, lorsque tu n'auras pas le cœur à l'ouvrage, tu repenseras à moi, très mauvaise pour compter la caisse et un petit sourire nostalgique se dessinera sur tes lèvres.." Je me devais de les rassurer un minimum car les prochaines semaines allaient être difficiles pour eux peu être plus que pour moi.. " Si ni Levi ni moi ne rentrons, occupez vous de sa mère, elle n'aura plus personne, soutenez la, aidé la, en notre honneur, comme nous nous serions occupé les uns des autres considérée la comme votre nouvelle famille."

J'avais réussi à tout dire, la porte s'ouvrit et deux hommes firent sortir mes parents nous eûmes juste le temps d'un dernier baisé avant qu'il ne repartent le cœur lourd, la porte à peine fermée, j'entendais ma mère éclatée en larme, mais au moins je savais qu'ils avaient entendu mes requêtes et feraient tout pour les appliquer.. Alors que je me perdais de nouveau dans mes pensées, ma grand mère rentra dans la salle sans même frapper, elle toisait les pacificateurs de son regard bleu ciel.. Se dirigeant vers moi, elle me prit elle aussi dans ses bras, mais elle n’avait pas la même attitude que mes parents, elle était beaucoup plus calme et plus claire dans ses idées que eux, elle fut la première à parler

« Ellyn, tu reviens dans quelques semaines, profite bien du Capitole et de ses luxes, fait leur cracher le plus d’argent possible, ils veulent te punir, rend leur la pareil » elle m’adressait un léger sourire « Tu as compris n’est ce pas ? »
Je souriais à mon tour, ma grand-mère savait dédramatisée une situation, et j’aimais ça chez elle ainsi je lui répondis « Oui mamie, ne t’inquiète pas, je vais endetter le Capitole pour cent ans »

Alors que j’ m’apprêtais à reprendre la parole, ma grand-mère reprit sur un ton plus grave mais toujours sans larme « Tu sais Ellyn, dans notre famille, tu n’es pas la première à participer aux jeux, mon grand frère fut tribut, il y a plus de soixante ans, et même si il n’était pas revenu, sa performance, pour un membre du district cinq avait été des plus honorable alors prouve au Capitole qu’il ferait mieux de moissonner d’autres personnes que les Fox car nous ne baissons jamais les bras et nous savons nous défendre » Sa voix était des plus audible, elle me faisait passer le message claire qu’elle croyait en moi et en mes chances de gagner ces jeux.

« Mais grand-mère, tu sais, mon co-tribut est un ami à moi, je ne pourrais me résoudre à lui faire du mal.. » Ma voix était un peu plus faible à prononçant ces mots.. « Je.. »

Elle me coupait la parole « Que tu rentres ou pas reste toi-même, ne change pas, si tu meurs pour protéger un ami, alors nous serons encore plus fière de toi, nous saurons que tu étais quelqu’un de bien et tout Panem le saura, mais si tu te retrouve à tuer quelqu’un qui t’a aidé ou tendu la main alors, tu passeras pour une lâche et ça je ne l’accepterais pas.. Tuer oui mais pas tes amis. »

Sur ces mots elle me déposa un baisé sur le front et partie, je n’attendant plus aucune visite, ma petite famille était venue, j’allais donc patienter ici avant de prendre le train en direction de Panem, j’allais partir sur les routes de l’arène sous peu, le cœur rempli d’espoir et de peur faisant une pause au Capitole pour les entraînements et les présentations j’allais donner des interviews, mon coté souriant et plutôt bonne oratrice me seraient utiles à ce moment là. Dans le train j’aurais aussi le temps de discuter avec mes mentors et surtout, j’allais passer du temps avec Levi et nous pourrions voir pour imaginer un plan de survie ensemble dans cette arène car je ne pourrais avoir plus confiance en quelqu’un qu’en Levi durant les jeux…
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