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 MOÏRA&JULIET En temps de guerre, tous les coups sont permis

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MessageSujet: MOÏRA&JULIET En temps de guerre, tous les coups sont permis   MOÏRA&JULIET En temps de guerre, tous les coups sont permis Icon_minitimeVen 6 Juil - 0:24


moïra & juliet
    en temps de guerre, tous les coups sont permis

Juliet était sortie du District Treize pour se rendre au Trois. Après l’attaque chimique du Capitole sur le District rebelle, elle avait ruminé sa vengeance dans son coin, ne se confiant qu’à Donovan, tout en aidant les autorités à faire face à cette crise. Sa haine pour le Capitole n’avait fait que grandir durant cette épreuve où toute sortie au grand air était impossible à cause d’un risque élevé de contamination, et en ayant vu certaine personne contracter des symptômes abominables à cause de ce gaz toxique que leurs ennemis leur avait lancé, Juliet avait une nouvelle preuve de l’abominable dictature qui était fondée sur des menaces et la peur sur les habitants de Panem. La brunette rebelle avait elle aussi été touchée par cette contamination, mais son corps et son système immunitaire étant très développé par les conditions de survie qu’elle avait adopté pour vivre au Treize, cette attaque n’avait fait que réveiller sa dernière blessure en date, et une hémorragie interne avait commencé à envahir son corps. Heureusement, les médecins ont été très actifs et ils lui ont une nouvelle fois sauvé la vie. Pendant plusieurs jours elle avait souffert le martyr en silence, gardant un masque de confiance comme elle le faisait si souvent. Cependant, voir les derniers adolescents arrivés des District se tordre de douleur, et mourir pour la plupart sous les mains des médecins avait révolté Juliet. Ils étaient capable de tout, même de sacrifier une vingtaine d’enfants chaque année pour des jeux barbares pour assouvir leur puissance, leur soit disant puissance. Mais sans la peur qu’ils diffusaient sur leurs écrans partout dans le pays, et leurs pacificateurs à la noix, ils n’étaient rien. Et ces snobs du Capitole n’étaient absolument pas capables de tenir une arme, Snow le savait parfaitement. Il donnait tous les pouvoirs à ces Pacificateurs pour faire peur, c’était le maître mot. Après tout, d’après ce que lui avait raconté son père, des centaines d’années plus tôt, les plus grands criminels se servaient aussi de ce moyen pour que les gens soient de leur côté et leur soit soumis. L’un d’entre eux aurait très bien pu être un ancêtre de Snow, puisqu’il avait exterminé des millions de personnes dans des camps, tout ça à cause de leurs croyances religieuses ou de leurs origines. La peur est le meilleur moyen de soumettre tout un peuple à sa volonté. Et tant qu’ils auront ce moyen, ils pourront tout faire.

Juliet n’avait pas eu peur. Après s’être protégée du gaz avec un masque, elle était sortie du Treize afin d’aller dans le plus de Districts possible pour éparpiller l’information auprès des rebelles infiltrés un peu partout. Ils étaient une petite dizaine à avoir été choisie, mais Juliet s’est portée volontaire, malgré la douleur encore lancinante au niveau de l’emplacement de sa rate, qui n’était plus qu’un espace vide à présent, depuis l’attaque du Pacificateur dans le District Onze il y a plusieurs mois de ça. Elle se rendit compte du temps qui s’était écoulé depuis cette dernière sortie qui avait presque failli lui coûter la vie lorsqu’elle voyait les nouveaux tributs sélectionnés pour les Hunger Games de cette année-là. Elle ne s’attardait néanmoins pas trop de temps sur leur terrible sort, bientôt, tout ceci ne sera plus qu’un mauvais souvenir. Elle devait surtout se rendre au District Trois, afin de prévenir l’une des habitantes avec qui elle avait des liens assez particuliers, puisque Juliet l’entrainait peu à peu dans la rébellion grâce à sa capacité à pirater certains serveurs des Pacificateurs sans se faire repérer. C’était, pour le moment, son meilleur atout hors du District. Elle était maligne, cette petite. Elle était bien la sœur de Kieran. Il avait été un ami proche des jeunes Costigan lorsqu’ils étaient encore au Trois, avant de disparaitre mystérieusement, assassinés par leur père devenu fou par la douleur de voir un jour l’un de ses enfants sélectionné pour les Hunger Games. Un alibi très appréciable et pratique, bien qu’il hantait la jeune femme depuis maintenant treize longues années.

C’est donc en serrant les dents à cause de la souffrance que lui causaient les kilomètres parcourus que Juliet pénétra dans son district natal. Elle resta bien cachée sous sa capuche et sous ses cheveux tout aussi rebelles qu’elle, afin que son visage ne soit vu par aucun habitant ou Pacificateur. Elle connaissait l’emplacement de chaque caméra grâce à des sources rebelles dans le District, notamment celles de Moïra pour la plupart, donc elle les évitait autant que possible tout en dissimulant son visage. Au bout d’une dizaine de minutes à tourner en rond comme un félin cherchant à se rapprocher de sa proie le plus discrètement possible, elle finit par apercevoir la demeure des Whitaker. Elle passa par derrière, se faufilant dans les fourrés présents à l’arrière de la maison, et siffla trois fois de suite, avec une mélodie bien particulière. Un code que Juliet et la jeune Whitaker avaient mis au point dès leur première rencontre, pour éviter les mauvaises surprises pour l’une comme pour l’autre. La brunette attendit quelques secondes, épiant les alentours pour vérifier qu’ils étaient bien déserts, avant que la fenêtre de la chambre de Moïra ne s’ouvre, et cette dernière passa la tête dans l’encadrement en lui faisant signe de monter. Ni une ni deux, la jeune rebelle escalada le mur en prenant appuie dans les trous qu’elle avait elle-même creusé pour éviter de passer par les portes principales, et elle arriva bientôt dans la pièce. Moïra referma la fenêtre derrière elle, puis les rideaux pour éviter que des habitants ne remarquent Juliet. Cette dernière ne put s’empêcher de lâcher un grognement, suivit de très près par un juron, tout en se massant l’endroit de sa cicatrice encore toute fraiche. Les médecins craignaient que son escapade ne cause des dommages et qu’elle ouvre à nouveau la plaie, et ils lui avaient clairement dit que cette fois, il serait bien difficile de rattraper le moindre faux pas de sa part. Juliet n’avait pas parlé de ça à son frère, craignant qu’il ne prenne sa place dans cette mission. Elle voulait qu’il reste en « sécurité » au Treize. Même si le mot sécurité était bien trop fort pour ce qu’ils vivaient réellement. Ils étaient pourchassés telle de la vermine qu’il fallait éliminer par tous les moyens, alors ils n’étaient en sécurité nulle part. Mais au moins, elle savait son frère dans les profondeurs de la terre, alors il risquait moins de dangers qu’elle à l’extérieur, bien qu’elle savait qu’il pourrait très facilement se tirer d’une situation difficile. Mais elle préférait être prudente, et agir dans le but de protéger son frère.

Juliet retira sa veste usée par les années d’utilisation intensives, et massa une dernière fois sa cicatrice endolorie avant de se tourner vers Moïra. Elle était en nage, et ne désirait qu’une seule chose : s’assoir et se reposer après avoir traversé le pays pour prévenir les rebelles du Trois. Mais son petit confort personnel devra attendra. Elle dégagea son visage des quelques mèches qui lui bouchaient la vue, avant de reprendre une respiration difficile, hachée par l’effort physique qu’elle avait due fournir pour venir jusque-là. « Ces enfoirés nous ont balancé une bombe chimique. On était enfermé comme des rats. » Voilà, c’était un peu sa manière pour lui dire bonjour. Mais elle était tellement en colère contre le Capitole qu’un message plus doux et jovial n’aurait pas fait l’affaire dans le cas présent. Et puis ainsi, elle mettait Moïra au courant des dernières nouvelles rebelles. Juliet savait de toute manière que la petite avait l’habitude de son langage un peu sec et froid parfois. C’était ainsi, de se forger une carapace pour survivre au Treize. Le bruit d’un écran géant attira bientôt son attention, et elle vit le sceau du Capitole sur l’écran, annonçant ainsi l’une des nombreuses rediffusions de la Moisson dans chaque District. Cette fois, elle avait l’occasion d’examiner le visage décomposé des heureux chanceux tirés au sort. Bien sûr qu’il y avait des gamins de douze ans à peine, ça se voyait par leur corpulence et leur mine effrayé. Après un léger moment de silence, Juliet reprit la parole, cette fois d’une manière plus douce et plus empreinte par la compassion. « Ça fait combien de temps que les Jeux ont repris ? »
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MessageSujet: Re: MOÏRA&JULIET En temps de guerre, tous les coups sont permis   MOÏRA&JULIET En temps de guerre, tous les coups sont permis Icon_minitimeMer 25 Juil - 22:34

juliet & moïra
en temps de guerre, tous les coups sont permis

La Moisson est passée. Les tributs ont été choisis. Le capitole peut enfin se divertir, tandis que les parents des tributs choisis s'inquiétaient pour leurs enfants. Oui, les festivités pouvaient commencer au Capitole. Les paris en tout genre pouvaient débuter. Quel tribut allait avoir la tenue la plus ridicule lors de la parade, qui aurait la tenue la plus magnifique lors des interviews ? Oui, les gens du Capitole s'amusaient à faire des paris sur ce genre de choses. Sans doute qu'ils oubliaient que les adolescents sur qui ils pariaient allaient mourir. Apparemment non, puisque d'après mon frère il y a d'autres paris juste avant que les jeux commencent. Qui allaient mourir en premier lors du bain de sang, quels sont les tributs qui s'allieraient, est-ce qu'un des carrières allaient mourir durant le bain de sang. A croire que ça les amuse vraiment de voir les enfants des habitants du district mourir. Est-ce qu'il s'amuserait toujours autant, si c'était leurs enfants qui étaient envoyés dans l'arène. Je ne le pense pas. Quoi que pour le Capitole, peut-être qu'ils seraient fièrent que leurs enfants y participent, c'est un peu ce qui se passe avec le district des carrières après tout. D'après ce que j'ai entendu dire, après les jeux les arènes sont des sortes de musées qu'on peut visiter. Il y aurait même des reconstitutions de certaines éditions des jeux. C'est un véritable jeu pour eux.

Cela faisait quelques temps déjà que la moisson avait eu lieu. Et pour la première fois depuis de nombreuses années, je n'étais plus éligible au jeu. Je n'aurais pas à m'inquiéter d'entendre mon nom lors de cet évènement. Je n'aurais même plus à m'inquiéter d'entendre le nom d'une personne de ma famille être prononcé, puisque j'étais la petite dernière de la famille. Ma famille a eu de la chance, enfin si on peut appeler ça de la chance. Sur trois enfants, deux ont eu la chance de ne pas participer à ces jeux barbares et l'autre a été choisi, mais est ressortie vainqueur. De ma chambre je pouvais voir l’hôtel de ville, là où s’était déroulée la Moisson. Il n’y avait plus l’estrade, mais il restait les écrans géants. Comme ça le Capitole pouvait s’assurer qu’on ne rate aucun moment des jeux. Qu’on voyait bien nos amis, nos frères ou nos sœurs se battre, tuer ou être tué. Plusieurs fois dans la journée, on pouvait entendre la musique du Capitole pour nous faire un résumé de ce qui s’est passé. Les alliances, la position de chaque tribut, les morts qu’il y avait. On ne pouvait pas y échapper. J’étais assise sur le rebord près de ma fenêtre, qui était ouverte pour chercher un peu de fraicheur. Depuis la moisson, il faisait chaud dans le district, c’était insupportable. Enfin je préfère avoir chaud, que froid, donc je ne me plains pas trop. Mais avoir un petit courant d’air bien frais de temps en temps ce n’était pas mal. Et c’était ce que je recherchais en ce moment.

Durant quelques secondes, je fermais les yeux. Et durant ces quelques secondes, j’entendis une mélodie qui m’était familière. En fait, c’était plutôt des sifflements. Oui, quelque un était en train de siffler. Et je connaissais ces trois notes. C’était le signal qu’on avait créé avec Juliet. Le plus discrètement possible je regardais si dans les rues aux alentours étaient désertes. Il n’y avait personne, tout le monde devait être soit sur la grande place en attendant la prochaine intervention du Capitole pour les Hunger Games ou au lac en train de se baigner. Je lui faisais donc signe pour qu’elle puisse monter. En attendant que Juliet monte jusqu’à ma chambre, je verrouillais la porte de ma chambre. Je savais que mon père était absent, mais ma mère pouvait revenir à tout moment. Et je ne suis pas sûre que voir sa famille parler avec une rebelle lui fasse énormément plaisir. Une fois que Juliet était dans ma chambre, je fermais le plus rapidement la fenêtre ainsi que les rideaux. Il ne manquerait que quelque nous voit et non dénonce. Bon d’accord, fermer sa fenêtre et les rideaux en pleine journée ça peut paraitre suspect, mais je pouvais prétexter que c’était pour éviter que la chaleur entre dans ma chambre . Pendant que Juliet s'installait, je regardais si personne ne surveillait la maison. On ne sait jamais après tout. « Ces enfoirés nous ont balancé une bombe chimique. On était enfermé comme des rats. » Une bombe chimique ? Le treize avait été attaqué ? Je croyais que c'était un lieu sûr pour les rebelles. Que tout le treize se trouvait dans des souterrains que le Capitole ne connaissait pas. « Qui vous a attaqué ? Les pacificateurs ? Je croyais que personne ne savait où se trouvait les entrées du Treize sauf les rebelles. » Bien évidemment que c'était les pacificateurs qui avaient attaqué le Treize, ce ne sont pas les habitants du Capitole qui allait combattre. Mais quels pacificateurs les avaient attaqués. Puis une musique se faisait entendre. La musique du Capitole. Il était encore trop tôt pour avoir le résumé de la journée. Peut-être aurons-nous le droit à une rediffusion de la Moisson, ou alors de la parade. « Ça fait combien de temps que les Jeux ont repris ? » « C'est la deuxième journée des jeux. » Le bain de sang avait eu lieu hier. Les jeux avaient bien commencé, enfin bien commencé, le tribut du district un, oui un carrière, était tombé de sa plate forme, une autre par une mutation et de mémoire quatre autres tributs ont été tués.
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