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fermeture du forum le forum ferme ses portes après six ans d'existence. merci pour tout, on vous aime. |
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Auteur | Message |
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| Sujet: you'll rise again (EROL) Dim 21 Fév - 12:16 | |
| erol murthaug stappleton❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞ D'abord un peu, puis tout d'un coup. Voilà comment il s'est débarrassé de cette vie, celle d'avant, il l'a fait sans scrupule et ne gardant comme souvenirs que les longues nuits d'insomnie. Pourtant ça avait bien commencé, un tableau aux traits de pinceau fin couvrait les mures de sa chambre, sa gage dorée. On y voyait ses parents, beaux, riches, tout ce que le monde poursuit en quête de bonheur. D'abord un peu, il a appris à ne plus avoir peur de son prénom. Erol, ça sonne bien, ça roule sous la langue et entre les dents. C'est pas de sa faute, tout ça, mais les voix ne se taisent vraiment jamais, même quand on en pense y avoir mis fin. Stappleton, un nom en lettres de fer rouillées qui pend au dessus d'une échoppe. La bijouterie Stappleton. Ses parents y avaient vécus la gloire, la fortune, la reconnaissance. Au Capitole on s'arrache ce qu'il y a de plus cher, de plus beau, pour ne pas paraître fade. D'abord un peu, il se dit qu'à trente-et-un ans il faut savoir faire la différence entre l'être et le paraître. Il ne sait plus trop lequel des deux rôles il joue, la voix de la raison ou la voix de l'innocence. Cette dernière est fébrile, cachée, mais pourtant bien présente. D'abord un peu, il essaye de trouver le réconfort auprès de sa femme, la voix de la raison voudrait qu'il revienne vers elle et qu'il ne la quitte plus, mais l'autre voix lui répète qu'il y a tellement de choses à faire dehors. Erol. Qui est-il vraiment si ce n'est que des restes. Des restes que l'on aurait donnés aux chiens et dont il ne reste plus rien. Des restes sans reste. Il était un tout, autrefois, il était entier. Sans lui les jeux ne rimaient à rien, ils étaient sans amusement. Ingénieux, Erol, il a rendu les batailles plus intéressantes, les environnements plus hostile, parce que c'était ce qu'il savait faire de mieux. Et puis tout d'un coup. Il a réalisé, il a vu. Le regard désemparé des jeunes tributs se tournant vers le ciel avant que ne sonne la cloche. Désemparé, il a compris. Ce n'est pas lui et pourtant c'est lui quand même, qui tue ces jeunes là. Erol n'a plus voulu. D'un coup ils l'ont jeté, et même sa femme n'arrivait plus à le regarder. Il a tout gâché Erol, de s'être fait pousser une conscience. C'est la voix de l'innocence qui l'a forcé et personne ne l'a retenu quand il est tombé. Chamboulé entre ses deux petites voix qui le pousse sans cesse à faire tout et son contraire, Erol est tombé à genoux devant une vie qu'il ne voulait plus mais qui définissait son monde entier. Hériter d'un mal-être dont les gens ne savent rien, celui d'être borgne au pays des aveugles. Trop petit et trop fébrile pour casser des gueules et ramper au sommet de la chaîne alimentaire, des yeux trop fatigués pour espérer faire sourire sa femme à nouveau. De long mois se sont écoulés avant que l'on ne voit Erol sourire à nouveau, mais même ce sourire il n'était pas comme avant. Il était brisé, dénué de tout sens. Ce sourire il était fou, il l'est toujours. L'homme à trouvé un nouvelle lumière, un phare dans la tempête et il s'y est jeté a corps perdu ralliant ses idées à celle d'un homme. Erol se retrouve dans le nouveau présiden Deverell, comme si ils étaient liés. Ce sourire fou à laissé place à une folie toute autre, celle de faire gagner les idées du politicien, partout. Il faut que tout le monde le suive, parce que c'est lui la voix de la raison. Deverell à gagné, mais depuis cette victoire Erol est devenu paranoïaque. Tout d'un coup, il a complètement changé, pour le monde, mais surtout pour lui. Dans ses grands yeux bleus on ne lit plus que cette folie, cette idée que tout ceux qui se rallient pas lui ne sont pas dignes d'être. D'abord un peu, puis tout d'un coup. about games and relative.
➺ COMMENT VOIS-TU TA MORT ? C'est fou de se poser ce genre de question alors que la vie à toujours été douce pour Erol. Jamais il ne s'est vu penser à la mort, même quand toute sa vie est partie en fumée. Il ne reste que des braises, de sa vie d'avant. Beaucoup aurait exploser, au yeux de tous, et ce seraient empréssés de quitter la ville, de ne plus se dévoiler aux yeux des autres habitants. Parce que quand on perd au Capitole, on perd tout. Erol ne pense pas à la mort, parce que ça le térrorise. A lieu d'exploser aux yeux de tous quand sa vie n'était plus que braises, il à décidé d'imploser. Tout garder à l'intérieur et ne jamais rien montrer aux autres. Comme un vaisseau voguant sans gouvernail en plein milieu d'une mer déchâinée. Peut-être qu'elle sera aussi comme ça, la mort d'Erol. Il sera jeter en pature aux autres habitants qui le dénigreront parce qu'il n'a pas fait sa part pou entrer dans un moule formé depuis des décennies.
➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ? Les gens trouvent ça beau, de mourir pour son pays. Les pacificateurs, les habitants de la capitale qui les portent au plus haut, les anciens et nouveaux dirigeants. Ils pensent tous que mourir pour Panem vaut la peine de vivre rapidement. Mais ça n'est pas beau de mourir pour son pays, on fini en martyr, un nom accroché sur une plaque où seront déposés des gerbes de fleurs. Erol ne mourra pas pour son pays, mais il le ferait pour Deverell. C'est fou, on s'attend à ce que - entre les deux - il choissise sa femme plutôt qu'un homme qui ne le connait même pas. Oui, il aurait aussi pu mourir pour elle, avant. Avant qu'elle ne le regarde avec regret et pitié, avant qu'elle ne comprenne que l'homme qu'elle avait épousé n'avait plus rien à faire avec le Erol d'aujourd'hui.
➺ APPRÉCIES-TU LE VISIONNAGE DES JEUX ? Toutes les années où il a participé à la mise en place des jeux jamais il n'a ressenti autre chose que de la tristesse. C'était facile, au début, de s'éloigner émotionnellement des gamins dans l'arènes. Erol n'y pensait pas, ça lui permettait de dormir la nuit. Et puis, le jour de sa prise de conscience, il s'est rendu compte que tous les gamins dans les arènes, tous auraient pu être lui si il était né sous une autre étoile, une autre vie. Alors il a tout arrêté, d'abord un peu, puis tout d'un coup. Prise de conscience, fin de l'innoncence. Alors maintenant qu'il à tout envoyer valser au loin Erol se rend compte qu'il n'a jamais apprécié le visionnage des jeux. Ils les enduraient, pour ne pas devoir montrer les failles dans sa carapace. Tout à imploser, comme ça, sur un claquement de doigts.
➺ QUE PENSES-TU DES VAINQUEURS DES JEUX ? Erol a vu sortir tellement de corps déchirés, calcinés, frigorifiés, livides et ne portant plus que la peau sur les os. Tellement que ça le hante la nuit, quand la sueur s'empare de son front et que tous ses songes ne sont tournés que vers ces gens qui sortent des arènes à moitié mort, mais qu'on applaudit quand même. Applaudir des enfants, courronés des tueurs en séries. Certaines deviennent fous, et c'est encore eux qu'Erol comprend le plus dans tout ça. D'autres sortent et deviennent des monstres, pas des fous non, mais des gens qui ont tellement aimé tuer qu'ils ne seront plus jamais les mêmes.
➺ AS-TU PRIS PART AUX DERNIERS ÉVÉNEMENTS, QUE CE SOIT POUR OU CONTRE LE CAPITOLE ? Dans la capitale on ne pense qu'il n'y a que la capitale qui compte, qu'il faut défendre corps et âme - et de toutes les manières possibles - sa ville et sa patrie contre les opposants. Erol ne prend par à rien, parce qu'il ne veut plus s'engager dans quelque chose qui pourrai lui faire du mal. Mais quand le nouveau président à pri son poste Erol à compris qu'il pourrai faire la différence dans Panem, que c'était peut-être lui, la réponse à toutes les questions. Alors l'homme croit dur comme fer que de Deverell pourra changer les choses, qu'il l'a déjà fait. Erol ne veut plus voir mourir les gamins, ni les vieux, les pauvres ou les riches, car dans l'utopie qui habite son cerveau il pense que le monde mérite la paix.
➺ CROIS-TU AU BONHEUR ? Ses mains sur sa peau, effleurant ses bras du bout des doigts, lui promettant - au creu de l'oreille - que tout se passera bien pour lui. C'était elle, son monde, son bonheur. Peut-être qu'elle l'est toujours, mais c'est compliqué de discerner l'amour dans les yeux de quelqu'un qui ne vous regarde plus. C'était ça, le bonheur, quand ils se sont mariés. Erol n'a jamais été aussi heureux que le jour de leur mariage, mais maintenant il ne voit plus que de la tristesse dans ses yeux quand elle le regarde. Alors le bonheur c'est relatif, ça dépend des gens et de ce qu'ils ont dans la tête. Erol ne ressent plus rien, sauf de la peine, alors son bonheur c'est peut-être envolé avec les derniers morceaux de lui.
reality is here.
Toujours Amélie, toujours vingt-trois ans, toujours là.
FEATURING rami malek© COPYRIGHT mrrobot.tumblr
Dernière édition par Erol M. Stappleton le Lun 4 Avr - 9:24, édité 3 fois |
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| Sujet: Re: you'll rise again (EROL) Dim 21 Fév - 12:16 | |
| tell us your story. PROPOSITION 1:
Mais la mémoire non n'est pas neuve, et ma violence n'est pas nouvelle. Ces écorchures au fond de moi, on le goût d'enterrement parfois
Cette folie à t-elle un nom ? Quand il penche la tête vers la droite et que ses yeux ne suivent pas le mouvement. A l'aube, quand il sort pieds nu, écorchés sur le sol, afin de fuir des ombres qui ne sont pas là. Cette folie, porte t-elle le même nom maintenant ?
Les yeux fixés sur l'écran de contrôle avec, pour seule compagnie, le tintement des machines. Sur le moniteur les images défilent, les caméras cherchent un spectacle, quelque chose à donner aux téléspectateurs. Parce qu'il n'aime pas dormir, parce que c'est un oiseau de nuit, c'est lui qui se tient seul dans la salle. Tap, tap, tap. Ses longs doigts fin et cagneux cognent contre la table, dans un rythme binaire qu'il répète tous les jours quand tout le monde s'en va.
Cette folie doit avoir un nom. Elle ne peut être là, et pas là en même temps. Dans sa tête, deux petites voix qui se disputent tout le temps. Le bien sur une épaule, le mal sur l'autre. Mauvais cliché, peinture délavée.
La caméra trouve quelque chose à se mettre sous la dent. Affolée, laissée pour morte dans un champ qui sent le brûlé et la putréfaction. Tap, tap, ta... Pas de troisième tapotement contre la surface de la table. La café chaud qu'il à encore dans la bouche, qu'il avale à la vas-vite, lui pique la gorge. Pourtant ça n'est pas la première qu'il voit, ça ne sera jamais la dernière. Des petites, des grands, des minces et des costauds. Quand la mort nous prend elle ne montre aucune compassion, il le sait, elle s'en fout. Alors pourquoi ? Pourquoi le bien sur l'épaule le force à détourner le regard tandis que le mal se frotte les mains, réjouis du spectacle qui s'annonce ?
"Mais qu'est-ce qu'elle fout là putain ?". Erol sursaute, du café tombe sur son sa jambe. Personne n'est jamais là quand il est de garde. Parce qu'il n'a rien à dire, il n'est pas la meilleure compagnie au monde et les gens qu'il connait ne sont pas des amis, juste des ombres avec des visages. "Oh le circuit, qu'est-ce que cette gosse fait dans le champ ?". Le circuit. Erol c'est le circuit. Ayant fait le plus d'études, ayant une manière de réfléchir plus censée que les autres. Le circuit, depuis cinq ans déjà. "Elle à été repoussée par l'écran de fumée. Blessé au bras - il dessine une croix fictive là où la jeune fille est blessé - et au mollet (même mouvement). " Erol à toujours besoin de faire des gestes pour décrire ses mots. Comme ça, parce qu'il n'est pas sûr que les gens comprennent ce qu'il dit. Ils comprennent, tout le temps, mais la petite voix de l'innocence lui répète tout le temps que c'est nécessaire, alors il le fait. "Je m'en fiche bien de savoir comment elle à été blessée, sors là du champ avec le nouveau truc là....ton piège".
Elle à un nom. Conscience. C'est comme ça qu'on nomme les choses qu'on fait et dont on connait toutes les conséquences. Être bon, se sentir mauvais. Quand elle est apparue elle n'avait pas de nom, c'est peut-être ça qui lui à fait le plus peur.
La porte est lourde. Elle à toujours été lourde mais le temps n'a pas aidé les choses, et encore moins le poids qui pèse maintenant sur les épaules fragiles de l'homme. Son doigt sur la détente, comme celle d'un fusil chargé d'où s'émane une puissance que tout le monde décrit mais que personne ne ressent, il a refusé s'appuyer. Cette prise de conscience arrive trop tard, il aurai du s'en rendre compte en foulant le sol de la salle de contrôle. Comment appelle t-on des gens comme ça ? La voix de l'innocence lui donne un nom, un juste, l'autre voix le condamne comme un traître. La patrie ne mérite pas quelqu'un comme lui, mais elle le mérite en même temps. Il est le bourreau et le libérateur. Trop d'enfants sont morts, trop de gens ont fermés les yeux en pensant faire la bonne chose. C'est lui et pas lui, qui tue tous ces gens en fermant les yeux.
La porte est trop lourde maintenant, parce qu'il porte le poids du monde sur ses épaules. Elle s'affaire dans la cuisine, frotte une éponge contre des plats qui brillent déjà. Ces reflets verveux lui rappellent une vie déjà perdue, celle d'un enfant courant les couloirs à l'arrière du magasin de ses parents. Papa et maman, ils s'en retourneraient dans leur tombe de savoir qu'Erol n'est plus le même, que la culpabilité le ronge de plus en plus.
Ses cheveux blonds, son regard pâle et ce sourire qu'elle affiche quand il passe la porte. Innocence se rappel encore du jour de leur mariage, où le soleil rendait ses boucles plus claires, encadrant son visage dans une orle dorée. L'autre voix, celle qui le pousse à rester qui il est, elle se rappel que son regard à changé le moment où Erol lui à appris la nouvelle. Elle à épousée un homme ambitieux, prometteur et plein de bonté, et il ne lui reste qu'une coquille vide de sens qui comprend maintenant que les jeux de la faim tue des innocents.
Comment en arriver là alors que l'on avait tout ? Que font les gens normaux quand la tristesse est le seul sentiment qui reste ? Trouvent-ils une raison de se battre plus fort ?
Les os dans le vent. Plus rien que des restes dans le blizzard. Le canapé, trop dur, lui tord le dos et le bassin. Où va t-on vivre lorsque l'on ne peux plus être chez soi ? L'ancien bâtiment, d'où pendent encore les lettres de fer sur le devanture - menaçant de tomber sous le premier passant - sent encore la fumée. Celle du grand incendie qui a ravagé un quartier de la ville il y a sept ans, balayant avec lui des dizaines de vies, dont celles des parents Stappleton et de la bijouterie. Les fenêtres, barricadés par de grands morceaux de carton, menacent de céder sous la pression du vent.
C'est là qu'on va quand on à plus rien, plus rien du tout que des restes de la vie. Une vieille télévision tient encore debout, vestige d'une vie de luxe où tout ce qu'on avait n'était pas encore assez. Erol, capuchonné dans un sweat trop grand, regarde avec des yeux vides et fatigués, les discours des prochains rois du cirque de Panem.
Fuir sa vie parce qu'on ne veut plus la vivre, parce que - soudainement - on prend conscience qu'ici n'est pas mieux que dans les rues des districts, ne veut pas dire que l'on fuit ce qui se passe encore autours. Fatigué mais attentif, Erol regarde les candidats défiler les uns derrières les autres. D'abord un peu, puis tout d'un coup, les mots d'un homme réveille une bête qui somnolait en lui. Une bête assoiffée de justice, de vengeance et d'un esprit manichéen qui ne distingue plus le bien du mal mais qui pense que le bien ne vit pas sans le mal, et vice-versa. Ce monstre s'éveil en lui aux mots d'un seul homme, de ses idées et de son envie de changer.
Au fond de la remise d'un magasin parti en flamme Erol comprend qu'il n'est pas le seul dans ce monde à avoir conscience des choses.
Cette folie à un nom, elle porte le drapeau d'une vie passée dans le mensonge et le dénie. Elle porte les couleurs d'une âme abîmée qui n'en peut plus de fermer les yeux.
Erol.
Dernière édition par Erol M. Stappleton le Lun 4 Avr - 15:13, édité 2 fois |
| | | Avalon R. Sweenage △ correspondances : 13212 △ points : 2 △ multicomptes : dely, ridley, dahlia △ à Panem depuis le : 23/04/2011 △ humeur : mélancolique △ âge du personnage : vingt-deux ans △ occupation : garde d'enfants
| Sujet: Re: you'll rise again (EROL) Dim 21 Fév - 14:02 | |
| Anh omg Rami Malek et le perso J'ai hâte d'en savoir plus Je vais te réserver l'avatar pour une semaine Oh et reBienvenue, j'allais oublier |
| | | Adonis Nightsprings △ correspondances : 2406 △ points : 12 △ multicomptes : Robin D. Bates / F. J. Kennedy △ à Panem depuis le : 01/04/2012 △ humeur : Blasé. △ âge du personnage : 35 ans △ occupation : [i]Chef[/i] Pacificateur du D08
| Sujet: Re: you'll rise again (EROL) Dim 21 Fév - 14:47 | |
| Me gusta. C'est pas comme si on savait déjà que tu vas nous pondre un super perso de la mort qui tue ♥ rebienvenue =D ! ♥ |
| | | Alexiane R. Hawthorne △ correspondances : 11154 △ points : 75 △ multicomptes : hunter, pepper-swann (leevy, ivory) △ à Panem depuis le : 08/05/2011 △ humeur : indifférente △ âge du personnage : vingt-deux ans △ occupation : mentor
| Sujet: Re: you'll rise again (EROL) Dim 21 Fév - 14:49 | |
| HAAAAN RAMIIIIIIIII (Re)bienvenue parmi nous et bonne chance pour cette fiche |
| | | Julian K.Kennedy-Fawkes △ correspondances : 268 △ points : 0 △ multicomptes : Reed, Charlie & Gold △ à Panem depuis le : 30/03/2014 △ humeur : Anéanti. △ âge du personnage : 31 ans. △ occupation : Chef rebelle du District 7, incarnation de la Rébellion dans tout Panem.
| Sujet: Re: you'll rise again (EROL) Dim 21 Fév - 16:00 | |
| Rebienvenue Le mec dans Until Dawn (ce jeu causera ma perte) |
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| Sujet: Re: you'll rise again (EROL) Dim 21 Fév - 16:58 | |
| Merci merci. Vous êtes des laiderons mais vous êtes bien bons. |
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| Sujet: Re: you'll rise again (EROL) Dim 21 Fév - 19:53 | |
| Bienvenue à toi ! |
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| Sujet: Re: you'll rise again (EROL) Dim 21 Fév - 23:47 | |
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| | | Thybalt M. Homens △ correspondances : 8988 △ points : 29 △ multicomptes : raven, gwendal, eurydice (denahi) △ à Panem depuis le : 22/12/2011 △ humeur : désabusé △ âge du personnage : trente quatre ans △ occupation : médecin de campagne ~ bras droit du chef des rebelles
| Sujet: Re: you'll rise again (EROL) Lun 22 Fév - 14:49 | |
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| | | Bloom Rajaël △ correspondances : 699 △ points : 35 △ multicomptes : Siwan △ à Panem depuis le : 27/07/2015 △ humeur : Perdu △ âge du personnage : 24 insomnies △ occupation : Styliste du district 7
| Sujet: Re: you'll rise again (EROL) Mar 23 Fév - 18:32 | |
| Oh mon dieu ce personnage Il nous faudra un lien ! Bon courage pour le reste de ta fiche !!! |
| | | Erin Leventhorpe △ correspondances : 1251 △ points : 52 △ multicomptes : avery j. hawthorne △ à Panem depuis le : 30/12/2015 △ humeur : perplexe △ âge du personnage : vingt-six ans △ occupation : apprentie charpentier - a abandonné sa formation de Pacificatrice au bout de presque deux ans.
| Sujet: Re: you'll rise again (EROL) Ven 26 Fév - 1:06 | |
| Rami I like it hardddd !! Hate de lire le reste de ta fiche en tout cas ! Je suis déjà en admiration devant la complexité de ton perso Rebienvenue comme on dit |
| | | Maxwell MacCormack △ correspondances : 3366 △ points : 51 △ multicomptes : aucun. △ à Panem depuis le : 19/08/2015 △ humeur : terrifié. △ âge du personnage : 18 ans. △ occupation : agriculteur.
| Sujet: Re: you'll rise again (EROL) Ven 26 Fév - 12:15 | |
| Rebienvenue ici |
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| Sujet: Re: you'll rise again (EROL) Ven 26 Fév - 22:25 | |
| BIENVENUUUUUUUE Excellent choix d'avatar (a) |
| | | Avalon R. Sweenage △ correspondances : 13212 △ points : 2 △ multicomptes : dely, ridley, dahlia △ à Panem depuis le : 23/04/2011 △ humeur : mélancolique △ âge du personnage : vingt-deux ans △ occupation : garde d'enfants
| Sujet: Re: you'll rise again (EROL) Mar 8 Mar - 16:36 | |
| Je viens prendre des nouvelles |
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| Sujet: Re: you'll rise again (EROL) | |
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