Logan Hélios Lundgren

❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞

about games and relative.

➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ?

Récemment, mon neveu fut moissonné, mais je préférerais vous parler de quelque chose de moins douloureux; mes parents biologiques. Je n'étais qu'un bébé quand ils ont été envoyés dans l'arène, mais de ce que dis ma mère - la véritable à mon cœur - ils l'avaient amplement mérité. J'ai longtemps essayé de savoir ce qui s'était passé, mais c'était toujours ces mêmes mots qui sortaient de sa bouche. Mais grâce à ma sœur, je peux vous dire que mon père biologique fut moissonné (ou il s'est porté volontaire... Je ne m'en souviens pas vraiment et je m'en fiche un peu) et sa dulcinée s'est alors portée volontaire, ne supportant pas l'idée de perdre son tendre amour. *soupir* L'amour peut parfois vous rendre vraiment stupide... Mais au point d'en oublier votre propre enfant, il faut sacrement être atteint.

➺ APPRÉCIES-TU LE VISIONNAGE DES JEUX ?

On pourrait croire que je serais bouleversé à l'idée d'avoir perdu mes parents biologiques à cause des jeux, mais pas du tout. Ils sont les seuls responsables de leur mort. Ils m'ont délibérément abandonné, je n'ai aucun regret à avoir. Je ne les ai jamais connu et je me porte très bien sans eux. Mais pour en revenir au vif du sujet, les jeux sont comme une drogue pour moi. Je ne peux m'empêcher de me délecter de ce spectacle, et ce depuis ma tendre enfance. J'aime voir comment ils essaient de se sortir de là vivant, pour au final tous s'entre-tuer. Certains sont vraiment très intéressant, d'autre moins. Comme je vous l'ai dis, mon neveu fut choisit et fut vraiment fascinant. Il s'en est très bien tiré, jusqu'à... *soupir* J'ai encore du mal à digérer cette édition des jeux... Mais je suis très fier de lui.

➺ QUE PENSES-TU DES VAINQUEURS DES JEUX ?

On ne peut pas dire que je les porte dans mon cœur *rire* Comme je vous l'ai dit, je les méprises. Pas tous. Enfin, plus maintenant. Mais lorsque j'étais encore enfant, ils étaient les personnes que je détestais le plus au monde. A mes yeux ils étaient imbus de leur personne, capricieux, hautain et se croyaient tout permis. Et j'en passe. Mais ma vision des choses est différente à présent. En fait, depuis que j'ai rencontré ma femme. La deuxième fois plus précisément. Elle m'a apprit à voir ces personnes autrement. Certains ne cherchent pas à mal et essaient de retrouver une paix intérieur. Mais d'autres sont bel et bien comme je les vois depuis toujours. Ce qui est sûr, c'est que tous ont cet air malheureux et à plaindre. Ils peuvent rapidement devenir déprimant. C'est d'ailleurs pour cela que je les évites le plus possible.

➺ COMMENT TE SENS-TU QUAND LE TEMPS DE LA MOISSON ARRIVE ?

Comme un enfant à la période de noël. Ce moment je l'attends chaque année avec impatience. Mon travail me permet d'être aux premières loges, de voir les tributs avant leur entrée dans l'arène et de discuter avec leurs mentors et citoyens du capitole autour d'une bonne bière de l'issue des jeux (il faut bien trouver des bons côtés à une affectation pareil, n'est-ce pas ?). Et je suis bien content lorsque le vainqueur n'est pas du un, car faire le tour de Panem pour protéger ses petites fesses est assez ennuyant, vous pouvez me croire.

➺ CROIS-TU AU BONHEUR ?

Evidemment ! Il existe et est toujours présent. Il suffit de trouver ce qui nous emplie de joie et de s'accrocher à ce petit quelque chose qui peut devenir notre rayon de soleil. Par exemple, pour moi, il s'agit de ma femme, ma fille, mon travail et ma famille. Et ma fille en particulier. A chacun de ses sourires, elle me rappel l'amour fou que je voue à sa mère. Mais il est vrai que parfois la vie décide de nous compliquer la vie, de nous barrer la route, mais si nous ne nous battez pas, nous ne sommes que des moins que rien. Le bonheur se mérite. Il ne dépend que de nous de le chercher ou de le rejeter, tout simplement.

JE VIENS D'UN MILIEU modeste, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE était de quantité suffisante. DU COUP, MON NOM AVAIT vingt-huit CHANCES D'ÊTRE TIRE AU SORT. J'EXERCE LE MÉTIER DE pacificateur ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'adore ça. JE SUIS originaire du district quatre mais vie dans le 1ER DISTRICT. AYANT 37 ans JE ne peux plus PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET j'attends la prochaine moisson avec impatience. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.

reality is here.

Salutation les patates Ici Thundy
J'ai toujours pas 19 ans, j'ai quitter Aix pour Metz, mais le plus important, c'est que je suis toujours là (vous pouvez pleurer).

FEATURING tom hiddleston © COPYRIGHT bonnequestion.tumblr

tell us your story.

BETWEEN THE LINES OF FEAR AND BLAME

Nombreux sont ceux qui ignorent la véritable histoire de la famille Lundgren. Tous ont un jour connu ou fait face à un membre de cette famille étrange, parfois terrifiante. Ils vous diront de vous méfier, se basant sur des idées reçus ou à une mauvaise expérience, mais au fond, ils ne connaissent que les grandes lignes. Même les membres de cette famille ignorent tout de leurs origines, à commencer par Logan. D'autres préfèrent oublier, comme Sophrosyne, sa sœur aînée. Et d'autres encore préfèrent disparaître, comme l'a fait leur père. Felix était son nom. Il gagna la seizième édition des jeux de la faim alors qu'il n'avait que quinze ans. Et on ne connaît rien de plus de sa vie. Son passé semble inexistant, et tout ce qu'on garde en mémoire est sa médiocrité et son silence éternel. Les habitants du district quatre le croyait d'ailleurs muet. Et tous se demandait comment un gamin aussi incompétent pouvait avoir survécu. Il était maladroit, ne savait pas se battre et ne comprenait pas toujours ce qu'on lui disait. Sa femme le décrivait comme un fainéant. Ce qui était véridique. Depuis sa victoire, il passait son temps à regarder la télé, manger et dormir dans son fauteuil. Il ne sortait qu'une fois par an, en tant que mentor, mais là encore, il était très mauvais, étant tout aussi fainéant. Rose – Rosalyn de son véritable prénom – était le parfait contraire de son mari ; énergique, sarcastique, parfois autoritaire, mais une très bonne mère. On ignore comment ils se sont rencontrés ou mariés, mais lorsque Felix s'installa dans le village des vainqueurs, Rose était déjà à ses côtés. Beaucoup l'admirait, la respectait, la redoutait. Un pacificateur comme on les aime.

Naquit neuf ans plus tard leur première enfant ; Sanja. Suivit de leur deuxième, Sophrosyne, dix ans plus tard. Durant toute cette période, la petite famille vivait paisiblement. Jusqu'à l'année suivante, où un beau matin le « tendre » époux disparu, où seul une lettre se trouvait à sa place habituelle. Était-ce lui qui l'avait écrit ? Oui. Qu'avait-il dit ? On l'ignore. « Je suis sûr que ce lâche s'est enfui dans le district treize. Qu'il soit arrivé vivant ou qu'il soit mort en chemin, je m'en fiche. Les trouillards dans son genre ne méritent aucune attention. » expliquera Rose à tout ceux qui lui poseront la question. On lui demanda alors de quitter le village des vainqueurs, n'ayant plus le droit de séjourner en ces lieux. Elle trouva refuge dans une maisonnette proche de l'océan, anciennement à ses parents où elle put élever paisiblement ses filles, jusqu'aux seize ans de l'aînée.

« Tu te fou de moi ? Dis moi seulement que c'est une blague ! » hurla Rose à sa fille aînée. « Comment peux-tu être aussi stupide ? A croire que tu ne réfléchis qu'avec tes pieds. » « Mais je l'aime ! » affirma l'aînée. « Ce n'est pas une excuses. As-tu pensée à la moisson ? Tu es encore éligible, en es-tu consciente ? Que tu ais peu de chance de participer aux jeux ne veux pas dire que tu es tirée d'affaire. Veux-tu réellement courir le risque de donner naissance à un potentiel orphelin ? » Rose en voulait à sa fille, mais elle ne pouvait pas la laisser dans cette situation. Elle lui promit alors de faire tout ce qui était en son possible pour la protéger, en espérant de tout cœur que Sanja – ou son amant dont elle avait oubliée le nom et dont elle se fichait éperdument  – ne soit pas moissonnée durant les années à venir. Le garçon était serein, étant sa dernière année d'éligibilité, mais Sanja en avait encore pour deux ans de plus. Le jour de la moisson, Rose se glissa comme habituellement au milieu des mères inquiètes, gardant un œil sur sa fille la plus âgée, tenant dans ses bras le petit Logan, né quelques mois plus tôt, pendant que la plus jeune de ses filles tirait sur sa robe, apeurée. Débuta alors le discours habituel accompagné de son petit film sur les origines des jeux. On annonça la tribut fille, une inconnue. Et il en fut de même pour le garçon. Mais évidemment, c'était bien trop beau pour rester ainsi. « Je me porte volontaire ! » dit une voix masculine. Rose fronça les sourcils et chercha du regard l'individu. Cette voix lui était familière, et pour cause ; c'était le fameux amant de sa fille. Elle voulait croire à une blague. Cet idiot ne pouvait pas se jeter dans la gueule du loup délibérément, abandonner ses proches, son enfant, alors qu'il était tiré d'affaire. Non, ce ne pouvait être possible. « Je me porte volontaire également ! » dit cette fois-ci une jeune fille. Et cette voix-ci, Rose la connaissait très bien. En tournant la tête en sa direction, elle put observée, impuissante, sa fille s'avancer vers l'estrade et prendre la place de celle désignée. Elle était prisonnière d'un cauchemar, ce ne pouvait être que cela. Pourtant, tout prouvait que ceci était bel et bien réel. Elle ne pouvait croire sa fille aussi égoïste, puérile, mais avant tout aussi stupide.

La colère pouvait se ressentir à sa simple présence à vos côtés. Les habitants avaient l'habitude de la redoutée, mais en ce triste jour, mieux valait ne pas être sur son chemin. A son arrivée dans la mairie, elle donna le bébé à sa jeune fille de six ans, suivant sagement sa mère sans dire un mot. Sanja se tourna face à elle à son entrée dans la pièce. Elle pleurait et espérait sûrement du réconfort. Rose, sourcils foncé, s'approcha d'elle et claqua son visage de toutes des forces – et elle était loin d'être une femme fébrile. « Non, ne dis rien. Je t'interdis de pleurer ou de te lamentée. Cette fois-ci je ne peux rien pour toi. Et même si c'était le cas, je ne ferrais rien. » La jeune fille baissa la tête, n'osant pas regarder sa mère dans les yeux. « Je ne pouvais pas supporter l'idée de vivre sans lui... » souffla-t-elle. Rose échappa un rire nerveux. « Ta stupidité me donne envie de vomir. » Elle marqua un arrêt en demandant à Sophrosyne de sortir et de l'attendre dehors. « Je vais être brève, je n'ai pas envie de perdre encore plus mon temps avec toi. Tu vas m'écouter sans jamais m’interrompre. Quand j'aurai terminée, tu ne diras rien et il n'y aura aucun adieu. Et quand je quitterai cette pièce, tu ne seras plus rien à mes yeux. Tu seras morte, oubliée, mais surtout effacée. Et si par miracle tu sors de ce merdier – car je doute que tu en reviennes, incapable que tu es – je t'interdis de me revenir. Ou d'essayer d'approcher Logan. Ce n'est pas ton fils. Et je ne suis pas ta mère. Je ferrais tout pour qu'on oublie ce qui nous liait. Si on te pose des questions sur ta famille, tu ne parleras en aucun cas de nous. Tu vas aussi arrêter de pleurer, sauve le peu de dignité qu'il te reste bon sang ! » Elle lui donne un mouchoir et lui laissa le temps de se moucher. « J'espère que ta mort sera lente et douloureuse. Si ton assassin est en plus de ça ton tendre amour, ce serait parfait. C'est tout ce que tu mérites en sacrifiant ta vie pour les mauvaises personnes. Et ainsi tu comprendras peut-être ton erreur. Adieu Sanja. » Et elle quitta la pièce.

Rose ne revint jamais sur sa décision. C'était une femme de parole. Même après la mort de sa fille - qui ne fut pas aussi douloureuse qu'elle l'espérait alors que le meurtrier était bien celui qu'elle pensait – elle continua d'affirmer qu'elle avait toujours eut une fille et un fils. Lors des jeux, Sanja affirma qu'il y avait une erreur dans son nom de famille, prenant ainsi le nom de jeune fille de sa mère qui était inconnu aux yeux du peuple, respectant la décision de celle-ci et prétendre n'avoir aucun lien direct avec elle. Rose ne se rendit pas à l'enterrement de sa fille, et n'ira qu'une seule fois sur sa tombe, pour Logan.  




SOME THINGS WE DON'T TALK ABOUT

Logan découvrit la vérité un peu plus tard dans son enfance, par le biais de sa « soeur ». Car cette dernière mit bien longtemps a digérer la mort de son aînée, ne comprenant pas le manque de compassion de leur mère. Et c'est grâce à une aide mutuelle que frère et sœur feront face et surpasseront cette dur réalité.

Logan était alors âgé de huit ans. Sa sœur devenue agressive d'année en année allait entrer dans sa troisième année d'éligibilité aux jeux. Et comme chaque année, elle ne supportait pas l'enthousiasme de son cadet – qu'elle avait d'ailleurs du mal à tolérer ou aimer. « Seras-tu aussi heureux en me voyant morte parmi tous les autres ? » demanda-t-elle au garçon pour entamée leur querelle annuelle. « Tu es si pessimiste... Et puis rien ne dis que tu ais la chance de participer à ces jeux. Jusqu'à aujourd'hui, tu es revenue à la maison après chaque moisson. » répondit-il, sourire au lèvre. « Une chance ? Mais tu es conscient que tout ceci est réel ? – Évidemment ! ». Et durant plusieurs heures chacun donna son point de vu sur les jeux, comme toujours, jusqu'à ce que Sophrosyne abandonne et laisse son frère un peu trop têtu regarder les rediffusions des jeux précédents. Mais cette fois-ci, ce fut différent. Logan changea les règles et posa une question non habituelle, poussant la jeune fille en colère à la révélation. « Pourquoi tu me fais ça chaque année ? Tu sais très bien que je ne changerais pas. – Tu devrais pourtant abrutit ! – Dis moi seulement pourquoi alors. – Tu ne t'ai jamais demandé pourquoi maman était aussi étrange lorsque la moisson arrivait ? Qu'elle devenait encore plus désagréable que d'habitude ? Et papa hein ? Tu sais qu'il a disparu avant ta naissance, et ça ne te perturbe pas plus que ça ? Tu es un garçon très intelligent pour ton âge, et tu vas me dire que tu ne te doutes de rien ? » Logan resta silencieux, fixant avec effroi sa grande sœur qu'il n'avait jamais vu aussi dévastée. Au fond, il n'avait jamais réfléchi à tout cela, mais à cet instant, il avait peur d'entendre ce qu'il pensait comprendre. « Tes parents sont morts aux jeux peu après ta naissance et tu n'es rien d'autre que mon neveu. Ou plus exactement un misérable gosse qui ne respect même pas la mémoire de ses géniteurs ! ». Et elle partit sur ces mots. Ce fut la première fois qu'elle eut le dernier mot. Et ce fut la première fois que Logan pleura réellement depuis sa naissance.

« Quel était son nom ? » Cela faisait plusieurs jours que le garçon était resté silencieux. Il était entré dans la chambre de sa sœur sans prévenir, attendant une réponse. Elle le regarda, surprise, n'ayant pas l'habitude de le voir ainsi. Malgré cette haine enfouie, elle était très proche de lui et regrettait déjà ses paroles. Mais elle avait surtout peur de la réaction de leur mère si elle apprenait ceci. « Écoute, pour l'autre jour je... – Je veux son nom. – Logan... – J'ai cherché partout, et je ne vois rien à propos de ta sœur, alors donne moi son nom ! » Elle fini par cédé et le lui divulgua. Et tout ce qu'il trouva fut l'édition à laquelle elle avait participé avec son amant. Il resta des mois entiers sans revenir sur ce sujet, observant chaque soir la photo de ses parents biologiques, pensif, essayant de comprendre pourquoi ils semblaient aussi inexistant. Et Sophrosyne ne comprenait pas ce silence soudain. Elle garda un œil sur lui, le soupçonnant de faire quelque chose qu'il pourrait regretter. Mais il laissait simplement passer le temps des jeux pour oser en parler à leur mère. Elle était bien trop irritable à cette période. Elle se doutait pourtant de quelque chose. Voir son fils aussi silencieux, surtout devant les jeux, n'annonçait rien de bon. Et le regard inquiet de l'aînée ne faisait que confirmer ses doutes. Quelques semaines après la fin des jeux, Logan alla voir Rose alors qu'elle se trouvait seule dans la cuisine. « Que caches-tu ? » demanda-t-elle d'un ton acerbe. Le garçon ne dit rien et posa sur la table la photo des intéressés face à elle. « Qui sont ces gens ? – Ne me mens pas ! – Je n'ai rien à te dire sur eux. Et tu ne devrais pas te soucier de ça. ». Elle ne dit rien de plus à leur sujet, retournant à sa petite routine sans aucun remord. Et Logan lui demanda chaque jour des explications. Mais il resta toujours sans réponse. Il opta alors pour le silence, en affichant un peu partout dans la maison des photos d'eux, là où sa dite-mère avait l'habitude de porter le regard. Aucun changement pour autant. Sophrosyne suivait toujours d'aussi prêt son frère. Elle voulait elle aussi la vérité, elle savait que quelque chose restait non-dit.

« Maman ! » Elle courra dans toute la maison, affolée. « Maman ! » répétait-elle jusqu'à la trouver buvant un café dans la cuisine. « On est dimanche ma cherie, tu n'as pas loupée les cours » dit-elle en souriant légèrement, sa tasse de café au bord des lèvres. « Non ! C'est Logan, il a disparu ! – Qu'est ce que tu racontes ? – Il n'est pas dans sa chambre, ni dans le salon. Il est nul part je te dis ! – Calme-toi. Il es sûrement dehors. Il reviendras bien. » Mais il ne revint pas. Le lendemain matin, Sophrosyne revint au près de sa mère. « Je refuse d'aller à l'école. – Ne t'en fais pas, je vais aller le chercher. – Tu ne sais même pas où il est. Pourquoi tu refuses de lui parler de ça ? Maintenant on l'a peut-être perdu pour toujours ! – Je sais où il est, calme-toi. – Je viens avoir toi alors. » Si ce n'était pas évident pour la jeune fille, Rose comprenait le stratagème de son fils. Elle se reconnaissait même dans sa façon d'agir. Elles se dirigèrent alors au cimetière où elles le retrouvèrent face à une tombe. Mais pas n'importe laquelle. Sophrosyne commença à s'énerver contre lui, en lui exprimant sa peur et lui demandant de ne pas recommencer, mais notre pacificateur lui coupa la parole. « J'imagine que tu refuseras de rentrer si je ne te dis rien ? » Il ne répondit pas. « Très bien. ». Ainsi, elle lui expliqua toute la vérité sur ce qu'il désirait tant savoir. « Bien, maintenant tu es libre de choisir les idéaux de qui tu veux, mais je ne veux pas de ces choses là chez moi. » dit-elle en désignant du regard la tombe des défunts tributs de la vint-cinquième édition avant de tourner les talons. Sophrosyne resta statique, déçu de ce qu'elle venait d'apprendre, bien que compréhensive. Logan quant à lui ne fut en aucun cas hésitant. Il regarda une dernière fois la tombe de ces personnes avant de rejoindre la seule pouvant prétendre être sa mère, suivit de son aînée.

« Logan, je peux te parler ? » demanda son aînée en entrant dans sa chambre. Celui-ci accepta d'un mouvement de tête. « Je voulais m'excuser pour mon comportement durant toute ces années. Je ne savais rien de tout ça et...  – Non, je comprends. Il s'agit de ta sœur après tout. – Quel sœur ? » Il la regarda, dubitatif, fronçant les sourcils. « J'ai beau réfléchir, chercher au plus profond de mes souvenirs, et tout ce que je vois, c'est un petit frère. Le plus adorable que l'ont puisse avoir, bien qu'il ait un goût prononcé pour les jeux. » dit-il en le serrant dans ses bras. Tous deux se mirent à rire, chahutant sur le lit de celui-ci, sous le regard attentif de leur mère.

Et plus jamais Sophrosyne reprocha à Logan son amour prononcé pour les jeux, allant jusqu'à les  regarder à ses côtés. Et avec le temps, tous deux oublièrent l’existence de Sanja, ainsi que l'exactitude de leur histoire.




YOU'RE THE QUEEN OF EVERYTHING
AS FAR AS THE EYE CAN SEE

Les années passèrent et il était enfin temps pour Logan de participer aux jeux. C'était la première, mais aussi la dernière année où frère et sœur allait être moissonnés ensemble. Et malgré son amour des jeux, Logan espérait de tout son être ne pas participer cette année. Ni que sa sœur soit tirée au sort. Et par chance, aucun des deux ne fut appelé. Sophrosyne fêta le soir même la fin de son éligibilité. Le lendemain, Logan se présenta au centre des carrières en compagnie de ses amis. Mais contrairement à eux, il ne prétendait pas se porter volontaire. Selon lui, si on était désigné, personne d'autre ne devait se présenter à sa place. Il refusait de sauver qui que ce soit d'une potentielle mort pré-désignée. Tout comme il avait aussi en horreur la plus part de ces vainqueurs tous aussi arrogeant les uns que les autres. Il préférait les ignorés plutôt que de s'abaisser à ce qu'ils attendent tous ; que l'ont parle d'eux.

Chaque matin, Logan se levait tôt pour s'entraîner au centre, ou pour un simple footing, avant de rentrer pour aider sa sœur qui travaillait à l'époque au centre avant d'ouvrir sa propre boutique de refonte et fabrication d'objet en tout genre. Le jeune garçon s'occupait de lui trouver le matériel nécessaire ou le livrer aux bonnes personnes. Il allait ensuite en cours, ou au centre jusqu'en fin d'après-midi où il retournait aider sa sœur, ou partait se balader dans le district. Il passait beaucoup de temps à la falaise avec ses amis ou sa dulcinée du moment et parfois seule. C'était son endroit favori. La vue était magnifique et le vent dans ses cheveux le laissait rêver de multiples aventures. Et lorsque l'été arrivait, ses amis et lui se donnaient rendez-vous chez l'un ou l'autre pour profiter tous ensemble des jeux (si évidement, aucun n'était élu ou volontaire). La cinquante-septième édition fut la plus détestable à ses yeux, au point de rester encré dans sa mémoire. L'un de ses amis se porta volontaire pour sauver le petit frère d'une membre de leur bande – bien que Logan savait que ce n'était qu'un prétexte pour participer aux jeux. C'était avec excitation que tout le monde suivit les jeux, dans l'espoir de voir leur ami vainqueur. Mais une petite en avait décidée autrement. Anastasia était son nom. Elle n'avait que quatorze ans et pourtant, elle décima la moitié de l'arène. Au début, la petite bande du jeun brun fut impressionnée, puis déçue de ne voir aucune altercation véritable, celles sanglantes, celles qu'ils aimaient et attendaient. Enfin, ils finirent agacés, au point que certain refusent de visionner la suite des événements. Et pour cause, cette gamine avait tuer l'un des leurs. Cela semblait si facile pour elle que cela en devenait ennuyant. Et Logan qui avait vu l'intégralité des jeux en compagnie de la jeune fille au petit frère sauvé – accessoirement sa petite-amie de l'époque – vous confirmera que ces jeux étaient les plus ennuyant qu'il avait vu. Pourtant, l'arène était des plus intéressante, et il doit avouer que cette gamine avait agit intelligemment, mais comme ses amis, ce qu'il aimait, c'était la baston, le sang, ces jeunes qui s'entre-tuent. Et rien. Rien de tout ceci ne se produisit. A l'exception de deux trois tributs, mais là plus part étaient mort asphyxiés ou d'une ruse de la demoiselle. Et puis il y avait la final. Une bataille digne de ce nom, bien que ce fut de courte durée. Il espérait bien plus, mais au fond, le garçon fut vite décimé, et ce sans une once de souffrance. L'agonie était la meilleure partie de la bataille, et Logan ne pouvait cacher sa déception ce jour là, avant de tourner la page le lendemain.

Cependant, ses amis restèrent fixé sur ce qui c'était passé. Sur le peu qu'ils avaient vu. Et cela s'était ressentit le jour de la tournée des vainqueurs, où la demoiselle rendit visite à leur district. Sa bande avait décidé de lui faire vivre un véritable cauchemar. Logan lui se contenta de la fixer sans expression particulière. Il échappa un simple soupir, réalisant que celle-ci sera sûrement l'une des plus hautaine de toute, suite à toute ces morts dont elle semblait si fière. Mais comme toujours, il se refusait d'en parler, ne voulant pas faire plaisir à ces vainqueurs à l'ego sur-dimensionné. Il n'écouta rien du discours, rigola des quelques blagues disgracieuses de ses amis et ria encore plus lorsqu'un d'entre eux fut réceptionné par un pacificateur. Plus tard dans la journée, il recroisa la demoiselle qui avait décidée de se balader dans leur district, accompagnée de deux pacificateurs. En la regardant de plus près, elle ne semblait pas comme les autres. Pouvait-il alors espéré que celle-ci ne soit pas aussi désagréable que les autres ? Il se souvenait en tout cas l'avoir vu mal à l'aise et triste face aux mauvais mots de ses amis, qui étaient plus méchants que drôles. Il quitta alors plus tôt le travail de sa sœur pour aller jusqu'aux falaise où il retrouva Anastasia observant l'horizon. « Si tu ne devais garder en mémoire qu'un seul souvenir de ce district, alors imprègne-toi de cet endroit. C'est le plus beau que je connaisse. Moi-même j'aime venir me perdre en ce lieu, rêver de l'avenir et imaginer ce qui pourrait m'arriver demain. » dit-il d'une voix douce en arrivant à sa hauteur. Le regard de la jeune fille était emplit d'étoile. Il lui sourit en mettant ses mains dans ses poches et reprit. « Ne te soucis pas de ce que peuvent dire les autres, et en particulier mes amis. Ils n'ont même pas regardés l'entièreté des jeux. Ils sont juste déçus que tu es tuée notre ami sans te salir les mains. Et je ne te cacherais pas avoir moi-même été déçu, préférant la difficulté d'une altercation et l'agonie qui s'en suit à la facilité. La différence est que je comprends tes actes. Et puis, on aura d'autres occasions de voir des jeunes s'entre-tuer dans l'avenir. L'important est de fêter ta victoire. Oublie les idiots que nous sommes et soit fière de ce que tu as fais. ». Oui, cette petite n'avait rien de méchant. « Je dois retourner travailler. Profite de ta visite de chaque district. J'adorerai aller dans le huit ou le trois, mais le un aussi, évidemment. Tu pourras revenir me voir et me raconter tout ce que tu auras vu, d'accord ? ». Il n'en pensait pas un mot. Il n'avait pas plus envie que cela d'aller dans d'autre district et il n'était pas plus certain de se souvenir d'elle. Mais il savait qu'elle serait un peu plus heureuse, et qu'avec un peu de chance, elle oubliera ce qu'avait bien pu dire ses amis. Et puis, il était certain qu'elle oublierait au fil du temps ce qu'il venait de dire.

A ses dix-huit ans, et après son ultime moisson, il partit pour le district deux afin de devenir pacificateur, comme l'avait été sa mère, désormais en retraite suite à une blessure à la hanche et à la jambe. Malheureusement, à la sortie de sa formation, il ne fut pas transféré dans son district, mais dans le premier. L'important était qu'il lui était toujours autorisé de voir sa famille. Et il avait au moins la fierté de ne pas être un simple pacificateur, étant avant tout affecté à la protection des tributs dès leur nom prononcé jusqu'à leur mort, ou alors jusqu'à leur victoire, où il les escortes durant la tournée des vainqueurs. Ce qu'il put expérimenté lors de la victoire du petit Tywin.




SOMEWHERE ALONG IN THE BITTERNESS
I WOULD HAVE STAYED UP WITH YOU ALL NIGHT

Au début, cette affectation ne l'arrangeait guère. Certes, il était au premier rang, pouvant discuter avec les tributs et les regarder mourir un à un en buvant quelques bières au milieu des capitoliens, mais avant tout au milieu des vainqueurs. Ces personnes qu'il détestait encore plus qu'un rebelle lambda. Malgré leur désaccord envers les lois, ils avaient une part tout de même fascinante rendant en soit son travail intéressant. Mais les vainqueurs, eux, étaient ennuyant. Ce narcissisme lui donnait envie de vomir son petit déjeuné. Et il aurait préféré torturé des petits chats plutôt que de protéger ces personnalités irritantes. Du moins, c'est ce qu'il affirmait avant sa première mission. Il restait en retrait, grincheux, attendant avec impatience la tombée de la nuit pour se retrouver seul à nouveau. « Logan ? » dit une femme à sa montée dans le train en direction du capitole. Il se retourna et aperçu l'un des mentors, lui souriant. Il haussa un sourcil, soupira et dit « Excusez-moi, je dois me diriger au toilette. Je... je ne supporte pas très bien les voyages à grande vitesse. » C'était faux, mais il n'avait aucune envie de faire la causette avec l'un de ces spécimens. Il s'enferma dans les toilettes jusqu'à leur arrivé au capitole où il put brièvement discuter avec les jeunes tributs. Une fois dans leur logement, les vainqueurs revinrent à la charge. Seul contre deux, il ne pouvait rien. Il fit l'effort de les écouter, de leur sourire faussement et de pousser un rire forcé lorsque c'était nécessaire. C'est lors du repas qu'il constata qu'il se faisait peut-être une fausse idée des vainqueurs. Du moins, ils n'étaient pas forcement tous aussi insupportable. Jagger en était la preuve. Et Logan découvrira avec le temps que beaucoup d'entre eux s'avéreront être de très bons amis.

« Vous allez mieux ? » Il se retourna quelques peu surprit. Il s'agissait de la jeune fille du train. Elle l'effrayait quelque peu. Il faut dire que ce n'est pas vraiment rassurent de voir quelqu'un que vous ne connaissez pas s'acharner à vous parler. « Devrais-je être mal ? » demanda-t-il, perplexe. « Je... vous m'aviez dit ne pas supporter le train, je voulais m'assurer que vous n'étiez plus malade. – Malade ? Je n'ai jamais... Oh, oui ! Oui, je vais bien merci. » Il se gratta la tête quelque peu gêné. Elle avait comprit qu'il avait mentit, et voir une femme attristé lui pinçait le cœur. « Ne m'en voulez pas, je n'ai jamais éprouvé un grand amour pour vous, les vainqueurs. Je me suis un peu enfermé dans mes souvenirs d'enfance, mais au fond, vous n'êtes pas aussi... dérangeant que je le pensais » dit-il en étouffant un petit rire tout en restant souriant. « Vous ne vous souvenez pas de moi... N'est-ce pas ? – Devrais-je ? Je veux dire, des vainqueurs, on en à de nouveau chaque année. – … Oui, vous avez raison. » Elle s'en alla sur ces derniers mots, laissant le jeune pacificateur rejoindre ses quartiers. Le lendemain, Logan retourna la voir. « Comment connaissiez-vous mon prénom ? – Pardon ? – Hier, dans le train, vous m'avez appelé par mon prénom. Au yeux de tous, nous ne sommes que des noms accompagnés d'un rang, et dans le pire des cas, un numéro. Alors je vous demande comment avez-vous apprit mon prénom. » Elle ne répondit pas tout de suite. « District quatre. L'un de vos amis m'avait divulgué votre prénom alors que je vous cherchais. – Me chercher ? Pour quelle raison ? – Ce n'a plus d'importance à présent. Excusez-moi, je dois me rendre à mes occupations. ». Il l'avait blessé. Il l'ignorait, mais elle l'aimait et ce depuis le premier jour. Il ne pouvait le deviner (après tout, elle n'était pas la première à succombée à ses charmes), mais il pouvait voir la déception sur son visage. Le jeune homme passa la journée à réfléchir, finissant par demander qui elle était à Jagger. Ce n'est que le soir qu'il  retourna la voir. Elle était assise sur son lit, l'air songeuse. Lui s'appuya sur le encadrement de porte en croissant les bras, sourire aux lèvres. « Je vois que tu ne m'as pas écoutée. » Elle releva la tête, surprise. Peut-être par le fait qu'il la tutoyais à présent, ou qu'il lui parlait alors qu'elle avait parfaitement comprit qu'elle n'était rien pour lui. « Pardon ? – Je t'avais dis de ne pas te soucier des idiots de notre genre et pourtant, tu sembles encore insister. – Vous... – Mais je devrais t'en vouloir pour ne pas être revenue me raconter ton merveilleux voyage à travers les districts. – Je l'ai fais, mais vous n'étiez plus là. – Je suis là maintenant. Et j'attends toujours ce récit. ». Elle retrouva aussitôt le sourire. Logan s'assit à ses côtés et l'écouta lui raconter ses souvenirs d'antan. Il ne se souciait que très peu de la demoiselle, comme à l'époque. Elle l'aimait toujours autant, pourtant, il appartenait déjà à quelqu'un d'autre, ce qui l'aida à tourner la page, évitant par la suite le jeune homme comme elle le pouvait. Pourtant, ils finiront bel et bien ensemble, comme elle l'avait imaginée dans son enfance. Elle pouvait remercier la dite petite-amie qui avait brisé le cœur du beau pacificateur lors de la soixante-quatrième édition des jeux, déclarant Tywin Nasuada vainqueur. Grâce à ce garçon, elle put conquérir le cœur fragile du pacificateur et le faire enfin sien.

Pourtant, être amoureux d'Anastasia Namara n'était pas de tout repos. Elle tomba progressivement malade, son teint devenait livide, et ses cheveux blanchâtre. Logan s'inquiétait pour elle, bien plus qu'elle ne pouvait l'imaginer. Jusqu'au jour où elle tomba dans le coma. Il faisait de son mieux pour être à son chevet, bien qu'il était difficile pour lui d'allier le travail en parallèle. Il commença à sombrer dans une pseudo folie, accusant les médecins de mal faire leur travail sans raison particulière, devenait violent, au travail comme dans la vie courante, tout comme arrogeant et on en passe. Et le physique accompagnait son changement d'humeur. Il se laissa pousser les cheveux sans en prendre réellement soin, dormait peu ce qui lui laissait de magnifique cernes sous les yeux. Son teint était devenue livide – sûrement pas autant que sa femme – et jamais il ne souriait. A vrai dire, la première fois qu'il esquissa un sourire fut lorsque Anastasia sortit du coma. Seulement, il n'était pas pour autant tiré d'affaire. Elle refusait de croire qu'il pouvait l'aimer encore. Elle n'était qu'un monstre disait-elle. Lui ne voyait rien de plus qu'une femme qui ignorait sa beauté. « Je ne suis plus assez belle pour te mériter. – Ce matin, un capitolien m'a prit pour un clochard. Le bon côté c'est qu'il m'a donner de l'argent. – Je suis sérieuse Logan... – Ce n'est pas pour ta beauté que je suis à tes côtés nuit et jour, mais pour la merveilleuse personne que tu es, celle qui fait de moi une meilleure personne, l'unique pouvant me rendre heureux. ». Chaque jour il lui rappela ces mêmes mots, de différente façon, jusqu'au jour où il posa le genou à terre et lui tendit une magnifique bague. C'était la seule façon pour elle de croire en son homme et en ce qu'il pouvait affirmer.




UNTIL THE END OF THIS STORY

On peut enfin dire que la suite des événements, à quelques détails près, soit « normal », et que cette petite famille se soit enfin encrée dans une routine de gens heureux. Monsieur Namara décéda peu de temps après avoir offert sa bénédiction pour ce mariage (la condition étant que le jeune Lundgren coupe ses cheveux). Deux ans plus tard, Logan fut promu chef pacificateur du district un. L'année suivante, Anastasia donna naissance à une magnifique petite fille. Le jeune père demanda à sa femme la bénédiction de lui donner le nom de sa tendre mère, afin de lui rendre l'hommage qu'elle mérite après toutes ces années de souffrance. Ainsi naquit la petite Rosalyn. L'année qui suivit naquit de magnifiques jumeaux ; un garçon et une fille, les neveux de Logan. Quelques mois plus tard, grand-mère Lundgren rendit l'âme. Et depuis trois ans, Logan bénéficie d'un nouveau poste qui n'est autre que celui de capitaine des districts. Et on peut dire que le jeune homme aime avoir un tel contrôle des choses.

Mais aujourd'hui, Logan ne travail pas. On lui accorda une semaine de repos pour retourner dans son district natal, le numéro quatre, afin d'enterrer son défunt neveu, mais aussi soutenir sa sœur et faire lui-même le deuil de ce garçon dont il était proche, mort lors de la soixante-dix-huitième édition des jeux. Adieu, Thunder Felix O'Malley.

Citation :

Et il aurait préféré torturé des petits chats plutôt que de protéger ces personnalités irritantes.

Tu viens d'être validé(e), mais il reste encore plusieurs endroits où tu devras passer pour que nous puissions mettre à jour quelques informations.Voici donc les liens que nous te demandons de visiter à présent.

Pour commencer ton pacificateur doit être recensé dans le listing officiel disponible ici. S'il est natif d'un district, il peut être vainqueur et avoir eu des proches morts aux jeux, n'oubliez pas de les recenser ici. Il peut également faire parti de la famille du maire, tu peux le recenser ici pour éviter toute incohérence.
Tu peux ensuite recenser le district de ton personnage ici. Pour cela, tu auras besoin de créer ta fiche de liens ici et ton journal de bord ici.
N'oublie pas de vérifier que ton avatar est bien réservé dans le bottin ici, des oublis peuvent parfois être faits. Tu pourras aussi créer un scénario ici.
Il ne te reste plus qu'à passer de bons moments sur mockingjay