|
fermeture du forum le forum ferme ses portes après six ans d'existence. merci pour tout, on vous aime. |
|
| L U A N || Wir sind die Jägger | |
| Auteur | Message |
---|
| Sujet: L U A N || Wir sind die Jägger Lun 15 Sep - 6:12 | |
| Luan Kaito Rivaï❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞ Luan est né au Capitole il y a maintenant trente deux ans. Comme la coutume le voulait dans sa famille, il s'est engagé dès le plus jeune âge dans les centres d'entrainements du district deux afin de devenir Pacificateur pour le bien de la nation... ou tout simplement parce que c'était comme ça et pas autrement d'après papa et maman. Il ira ainsi jusqu'à grader au rang de Capitaine. S'il fallait vous le résumer en un mot disons que "perfectionniste" le définirait à merveille... à un point que vous n'imaginez sans doute pas, tant ça frôle le psychorigide: tout doit ainsi être à sa place, symétrique, ponctuel. Il faut dire que le jeune homme a été quelque peu marqué par la récente rébellion qui a fait des pertes dans ses rangs et l'a lui-même irrémédiablement blessé après qu'un soldat adverse soit parvenu à lui briser une jambe, le laissant aujourd'hui infirme, car la chirurgie n'a malheureusement pas suffit à remettre totalement son genou gauche à neuf. Un officier au premier rang durant une bataille? Oui, Luan est (malheureusement) de ceux qui ne peuvent pas rester en retrait et qui doivent aller face à l'ennemi pour se sentir utiles. Il aime le défi, il aime la confrontation et surtout, il aime que les choses soient bien faites. Certains le voient comme un fou furieux et ils n'ont sans doute pas tort, car même si vous l'apercevrez en train de boiter, parfois, pour se déplacer, il pourra néanmoins aisément décider de planter sa fourchette dans la main de son voisin de table, si celui-ci l'énerve trop. Un problème avec la violence, dira-t-on... ce qui n'est pas faux. Du tout. Heureusement que les séances chez la psychologue l'aident un peu à se canaliser, maintenant qu'il est bloqué au Capitole, puis-ce qu'on ne peut plus user de lui sur le terrain. Alors voila, au lieu de jouer aux pacificateurs dans les districts, le jeune homme se voit affecté à la gestion des équipes de sécurité au Capitole.
"Sécurité" dans le langage de Luan rimant avec "traquer les intrus"... vous aurez été prévenus du ton donné par sa présence à la capitale. On ne l'a pas placé à ce poste à un si jeune âge pour rien, après tout.
about games and relative.
➺ APPRÉCIES-TU LE VISIONNAGE DES JEUX ? À vrai dire, je ne regarde pas les jeux... je suis beaucoup trop occupé à cette période-ci de l'année pour prendre le temps de m'intéresser à ce qui se passe à la télévision. Il y a toujours énormément d'agitation au Capitole, l'été, et je suis systématiquement épuisé quand je rentre chez moi à la fin de mon service, donc je préfère grandement aller dormir que regarder des adolescents s'entretuer pour divertir des imbéciles.
QUE PENSES-TU DE LA RÉVOLTE ÉCHOUÉE ET DES REBELLES ? Ce que j'en pense?! La rébellion a apporté plus de problèmes que de solutions. Des tas de personnes ont perdu la vie, le nombre d'orphelins s'est multiplié en quelques semaines et même si j'ai combattu "pour Panem", j'ai plus l'impression d'avoir simplement aidé à verser du sang inutilement. Snow n'aide personne avec son régime dictatorial, mais au moins, là, il y a un minimum d'organisation dans le pays. Je préfère le calme actuel au désordre provoqué par la guerre.
➺ AS-TU PRIS PART AUX DERNIERS ÉVÉNEMENTS, QUE CE SOIT POUR OU CONTRE LE CAPITOLE ? J'y ai pris part, oui... mon meilleur ami est mort, un tiers de ma compagnie a été décimé et j'ai abattu des dizaines d'inconnus juste parce qu'ils étaient dans le camp adverse. Après coup, on se demande pourquoi on fait ce genre de choses, surtout parce que ça nous change à jamais en une sorte de créature insensible en apparences, mais je vous assure que sur le coup, le but n'est pas de mourir pour sa patrie: c'est avant tout de faire en sorte que ce soit le bâtard d'en face qui prenne la balle en pleine tête. Maintenant, tout ce que je veux, c'est le calme.
➺ QUEL SERAIT LE PÉCHÉ CAPITAL QUI TE REPRÉSENTERAIT LE MIEUX ? La colère, sans aucun doute. Je déteste les gens du capitole qui font comme s'il ne s'était rien passé il y a trois ans, je déteste les rebelles qui ont ôté la vie à mes hommes, je suis enragé contre la présidente Coin et contre Snow. J'ai horreur du manque de respect, des gens qui parlent trop fort, de ceux qui manquent de discipline et de tous ces types qui essayent d'infiltrer le capitole pour servir les rebelles en se la jouant fine. Énervé contre tout et tout le monde, aussi parce que je me vois coincé dans un monde qui n'est pas le mien, dans un corps qui me fait atrocement souffrir certains jours. Si je pouvais simplement décapiter les chefs actuels du pays et reconstruire une démocratie où personne n'aurait plus de raisons de vouloir se taper dessus, c'est certain que je le ferais sans hésiter. Quand aux hunger games... honnêtement, c'est presque ce qu'on a de moins cruel à Panem. Allez voir dans les disctricts ce qui se passe chaque jour et vous reviendrez me parler de ces adolescents qui courent quelques semaines seulement après leur vie.
➺ QUEL EST TON OPINION SUR LES PACIFICATEURS, LEUR ROLE, LEUR COMPORTEMENT ? Hum... en ce qui me concerne j'ai toujours appris à mes troupes à ne pas perdre de vue les règles de base qu'on leur enseigne à l'école. Pour moi, un pacificateur est là pour maintenir l'ordre, ni plus ni moins. Ce n'est pas un héros, mais ça ne doit pas non plus devenir un tortionnaire. Malheureusement, je suis conscient que beaucoup d'entre-eux ont tendance à devenir de véritables psychopathes avides de sang et qu'ils vont parfois chercher la moindre ouverture possible pour s'en prendre aux autres... c'est regrettable. Ces types-là, il faudrait leur mettre une raclée et leur rappeler leur place. Quand à ceux qui sont trop laxistes, je pense pareil. On ne fait pas dans le sentiment, mais il faut savoir s'adapter à la situation parce qu'on reste des êtres humains interagissant avec d'autres êtres humains. Vous savez... même au sein des pacificateurs, le mot d'ordre est Rivalité, il ne faut pas croire qu'on est un groupe soudé. Y'a des cons partout.
reality is here.
J'ai décidé de chasser la crevette au Capitole, on va bien s'amuser FEATURING jeajoong kim © COPYRIGHT frostingpeetaswounds.tumblr
Dernière édition par Luan K. Rivaï le Ven 19 Sep - 10:27, édité 4 fois |
| | |
| Sujet: Re: L U A N || Wir sind die Jägger Lun 15 Sep - 6:14 | |
|
“Wars may be fought with weapons, but they are won by men. It is the spirit of men who follow and of the man who leads that gains the victory.” ____ 2311, District 13.
« Ryle... Ryle ! » Le jeune homme balança rapidement son arme d'épaule dans son dos, puis se hissa d'entre les décombres encore enfouies sous d'épais nuages de poussière, ceci afin de pouvoir se rapprocher de la silhouette d'un sergent qu'il avait aperçu un peu plus loin. Une fois arrivé à hauteur du pacificateur, cependant, Luan sembla remarquer quelque chose qui le fit immédiatement ralentir sa course et il se contenta alors de s'agenouiller aux côtés du garçon d'à peine vingt ans qu'il venait de rejoindre. Doucement, ses mains se posèrent ensuite sur le casque du plus jeune qu'il retira pour lui permettre de mieux respirer. De la pâleur, de l'effroi et une souffrance certaine, voila tout ce qu'il y avait à voir chez le sous-officier. En même temps... vu l'armature en acier sur laquelle il s'était fait embrocher suite à l'explosion qui était survenue un peu plus tôt, c'était tout à fait normal.
« Capitaine... est-ce que ça aura été utile ? »
Ryle parlait évidemment de la mission presque suicidaire mais néanmoins nécessaire à reprendre le dessus sur les rebelles qui avait été menée par l'escouade dont il faisait partie.
« Oui. »
Le regard du militaire se braqua sur celui de son supérieur et il agrippa alors le bras de ce dernier pour le fixer comme si sa vie dépendait de ce qu'il allait lui répondre.
« Est-ce qu'on va gagner ? »
Il voulait savoir si oui ou non son sacrifice allait servir à la cause qu'il soutenait, si ses parents pourraient au moins se consoler en se disant que leur fils était un héros... or, à ceci, on ne pouvait jamais donner de prédictions exactes. La victoire n'était pas encore assurée, loin de là, chose que le jeune homme tout comme Luan savaient parfaitement.
Après un léger silence, le trentenaire retira son propre casque pour laisser voir son visage ( toujours aussi neutre que d'habitude ) puis il déposa sa main sur l'avant-bras de son interlocuteur sans pour autant le lâcher des yeux.
« Tout ça va bientôt rentrer dans l'ordre, je te le promets... ne t'en fais pas. Tu as été d'une grande aide, merci pour tout. »
Ces deux phrases furent visiblement ce que le pacificateur attendait. Une simple confirmation libératrice : il aurait été utile à l'histoire, même si son nom ne resterait pas gravé dans la pierre... et sachant cela, il pouvait donc s'en aller en paix. Un dernier soupir s'échappa des lèvres du garçon, puis ce fut terminé.
Un mort de plus. Sans doute y en avait-il bien des autres dans ces ruines... mais les pertes seraient plus grande dans le camp adverse. Après avoir ainsi perturbé l'équilibre qui s'était enfin instauré dans le pays et ce à coup de grands efforts, ils n'avaient pas le droit de venir tout chambouler.
Après s'être relevé et avoir récupéré l'arme de son camarade, le Capitaine remit son couvre-chef, puis continua sa battue, à la recherche des autres membres de l'équipe.
“I hope I’m on the list of people that you hate.” ____ 2311, Capitole
Dossier n°004918 Nom : Rivaï, Luan Kaito Âge : 30 ans Résumé TPGS: 174 cm, 70kg, A+ N° de compagnie : 9, armée de terre Fonction : Capitaine Diagnostic médical : Lésion du ménisque gauche, fracture du tibia gauche, hématomes, brulures 3e degré, traumatisme crânien. Taux de rétablissement post-opératoire: 88%. - Greffe d'une prothèse au genou - Greffe de peau Reprise de fonction autorisée: Non
Le jour où Mary Moore a dû annoncer à Mr. Rivaï qu'il ne pourrait plus remplir ses fonctions militaires resta gravé d'une manière très vivide dans sa mémoire. C'était un mercredi, à neuf heures et il pleuvait. L’hôpital avait appelé de toute urgence les infirmiers en congé, car la masse de blessés revenus de la guerre devenait ingérable pour le personnel déjà présent, alors même si elle aurait dû se trouver ailleurs au Capitole, en compagnie de ses amies, la jeune femme fut bien obligée de répondre à l'appel. Galère... comment dire ? Le patient qu'on lui avait affecté n'était encore qu'un nom écrit sur une fiche... et plus tard, ce serait également un visage, mais sans plus. C'est qu'on leur apprenait à se détacher au maximum de leurs émotions, à l'école de médecine. Et en y repensant, étrangement, Mary se remémora néanmoins le fait qu'aucun collègue ne s'était empressé d'aller s'occuper de l'individu qui l'attendait dans sa chambre, ce matin-là... particulièrement pas les filles qui avaient pourtant établi son dossier.
« Oh, bon courage. » Lui avait-on simplement glissé dans un couloir. Du courage... il en fallait pour surmonter ces derniers temps difficiles où l'on ne mangeait plus aussi varié qu'avant le début de la rébellion et où les couvre-feux avaient prit place. Mais voila, la fin des temps durs s'annonçait, à présent que l'ennemi avait plié sous le pouvoir des forces armées du Capitole. Ouf... du courage... qu'est-ce qui pouvait bien être plus difficile que les restrictions que les habitants avaient subi jusqu'à présent ?
Supporter ce qui se dégageait de cet homme.
Cet homme-là. Elle ne voulait plus jamais avoir affaire à lui. Il n'était pas comme ceux qu'elle avait l'habitude de fréquenter. En fait, il ne ressemblait même pas à la description générale qu'on se faisait d'un pacificateur, soi-disant « froid et impassible »... ça allait bien plus loin, comme une sorte de colère à la fois très intense, mais pourtant très calme... un iceberg dont seule la pointe dépassait de la surface de l'eau. Il y avait définitivement quelque chose chez ce patient qui l'avait rendue mal à l'aise dès l'instant où elle était entrée dans la chambre et qui persista jusqu'à ce qu'elle en sorte. Non seulement parce que les yeux de l'individu se résumaient à deux billes noires sans fond, mais aussi parce qu'il n'avait ni bougé, ni dit un mot du début à la fin de la rencontre. Littéralement. Au début, Mary avait d'ailleurs cru que ce comportement était simplement du à un état de choc post-traumatique ainsi qu'à la mauvaise nouvelle qu'on venait de lui annoncer pour son genou... mais puis au moment d'ouvrir la porte pour sortir de la pièce, la jeune femme sentit que son patient avait finit par tourner la tête dans sa direction.
Et même sans avoir à vérifier ce fait, l'infirmière jura avoir senti une sueur froide remonter le long de sa colonne vertébrale.
C'est que le Capitaine venait de sourire... mais ce n'était pas un sourire réconfortant. Il y avait une sorte de dégout, d’écœurement qui se dégageait de l'autre côté de la chambre. Cet homme avait tué des gens. Il avait fait de cela son métier. Il avait perdu des collègues au front et avait du ramper dans des mares de sang humain jusqu'à ce qu'un médecin arrive pour le prendre en charge. Cet homme n'était plus un être vivant au sens ésotérique du terme... il vivait avec un cimetière dans son cœur et faisait partie d'un monde totalement étranger à celui de Mary. Monde dont elle ne voulait même pas commencer à entendre parler, car cette réalité potentielle aurait déséquilibré la représentation qu'elle se faisait de Panem.
« Tourner le dos à ceux qui ont permis de préserver votre pays tel que vous le connaissez... vous me rendez malade. »
Le visage hésitant de la brune se tourna légèrement vers la voix qui venait enfin de s'élever au fond de la chambre. Comment se permettait-il de dire cela?
« C'est à ça que ressemblent les héros de votre nation. C'est ça, le prix de votre confort. Tch... je me demande bien pourquoi on se sacrifie pour des ingrats pareils. »
Il n'avait rien ajouté par la suite, se contentant simplement de tourner la tête vers la fenêtre, le dos droit, ne laissant pas la place à la moindre discussion pour éclaircir les idées qui venaient d'être lancées.
Sans le moindre doute possible, cet homme était plein de rancœur. Rancœur envers qui ? Ca, c'était néanmoins une toute autre question. Les rebelles? Le Capitole? Lui-même? Ou peut-être tout le monde, finalement... tout le monde, sans doutes pour avoir tué tant d'humains ou alors pour avoir ignoré la valeur de leur mort. Peut-être était-il en colère de ne pas être lui-même décédé sur le champ de bataille. Peut-être ressentait-il une forme d'injustice? Peut-être se demandait-il si cela valait vraiment la peine de défendre la capitale de son pays, quand bien même il était l'un des seuls à sembler pouvoir saisir les enjeux des pertes humaines. Des centaines de morts et en face, des gens qui s'en foutaient complètement, du moment que leur confort était rétabli... il y avait de quoi péter les plombs.
Peut-être simplement qu'on n'aurait jamais de réponse à ce qui se passait vraiment dans la tête de Rivaï.
Mais cette nuit-là, Mary ne dormit qu'une heure. Une heure remplie de cauchemars en tous genre.
“A man is not measured by how much he can take and stand but by how fast he regains once fallen.” ____ Juin 2313, Capitole. Le bruit sourd d'un crâne s'écrasant au sol se fit entendre dans la salle d'interrogation dissimulée aux yeux du reste de la population, aux fins fonds des sous-sol du Capitole. Rapidement, une plainte de douleur étouffée par les parois isolantes perça le silence, puis cessa presque aussitôt que la voix cassante mais monocorde de Luan s'éleva d'entre les quatre murs.
« J'ai dis que je ne répéterais la question que trois fois avant de m'énerver. Où est la disquette ? »
Pas de réponse, évidemment. Une fois après s'être redressé en retenant un soupir ennuyé, le jeune homme fit une demande inaudible dans le micro de son oreillette, puis se rapprocha de l'individu menotté qu'il venait de mettre à terre. Le silence revint alors, pendant une bonne trentaine de secondes, ceci jusqu'à ce que la porte de la pièce s'ouvre pour laisser entrer un pacificateur qui tenait une mallette à la main.
« Attachez-le, je m'occupe du reste. »
L'individu en blanc s'exécuta aussitôt.
Les techniques de chantage, on les apprenait bien assez tôt, dans le milieu... l'idéal était souvent de menacer les gens en s'en prenant à leurs proches, pour que ça aille plus vite... mais il y avait quelque chose de déplaisant dans cette pratique aux yeux du Capitaine, récemment promu chef de la sécurité au Capitole. Selon son point de vue, c'était totalement injuste et barbare de s'en prendre à des civils qui n'avaient rien demandé à personne. Malgré le métier qu'il exerçait, le jeune homme tenait à rester intègre vis-à-vis de ses principes : mieux valait dépenser de la sueur que du sang.
On avait jugé bon de l'ajouter à la liste des candidats potentiels au poste de direction de la milice policière pour des raisons qui relevaient plus de sa fidélité au gouvernement qu'autre chose, et puis lorsque les entretiens ont eu lieu, la question ne s'était apparemment même plus posée aux yeux des examinateurs : pas d'état d'âme visible, pas la moindre réaction à l'intimidation, quelques problèmes de sociabilisation et de sang froid, mais néanmoins, une très grande rigueur dans les tâches données à faire et surtout une résistance sans faille à la corruption. C'était bien un ancien soldat de pure souche : formaté pour fonctionner exactement comme on l'attendait de sa part, avec toujours une seconde essentielle de retard sur les réflexes de peur. Il avait laissé une part de sensibilité suffisante aux oubliettes afin de pouvoir supporter ou faire subir les pires des atrocités humaines, sans pour autant virer dans la démence et le sadisme de certains pacificateurs devenus avides de sang. Il était « parfait », vous dira-t-on. Un parfait doberman.
Après avoir fouillé dans la valise quelques instants, Luan se saisit d'une cisaille qu'il posa sur la table, puis enfila une paire de gants pour éviter de se salir avec ce qui allait suivre.
« Bon... dix doigts aux mains et dix aux pieds... ça va te laisser un peu de temps pour te rappeler où tu as mis ce que tu nous dois. On va passer une bonne soirée, toi et moi. »
Non pas que la torture était un passe-temps plaisant aux yeux du jeune homme, mais il fallait ce qu'il fallait. En plus, le type attaché à la chaise avait clairement été reconnu coupable de trahison envers le Capitole, alors si ça tournait mal pour lui, ce ne serait finalement pas si grave, du moment qu'il balançait l'information qu'on lui avait demandé.
It's no fun but I've been here before Watching the death toll rise, wondering how I'm alive Stranger's blood on my hands, shot all I can There are no silent nights, watching your brothers all die I'm far from home and I'm fighting your war Not the way I pictured this, I wanted better things Some are scared, others killing for fun I shot a mother right in front of her son Take this from my consciousness and please erase my dreams
Je ne sais plus exactement quel camp est le mien
Je ne sais plus exactement pourquoi j'ai fais tout ça
Ma dernière volonté, si mes meurtres m'en donnent le droit
Sera de limiter le sang versé et l'extinction de l'humain
Dernière édition par Luan K. Rivaï le Ven 19 Sep - 9:18, édité 12 fois |
| | | Yorell T. Moon △ correspondances : 757 △ points : 0 △ multicomptes : / △ à Panem depuis le : 10/01/2014 △ humeur : un mort n'a pas d'humeur △ âge du personnage : dix-sept ans pour l'éternité △ occupation : héritier de l'empire stylistique de ma mère
| Sujet: Re: L U A N || Wir sind die Jägger Lun 15 Sep - 11:23 | |
| Je t'aime Hardy. Fais-nous une super fiche. |
| | |
| Sujet: Re: L U A N || Wir sind die Jägger Lun 15 Sep - 16:28 | |
| Bienvenue ♥
"Wir sind die Jaeger" "Rivaï"...Hum ne serais-tu pas un fan de Shingeki no Kyojin toi? ^^ |
| | |
| Sujet: Re: L U A N || Wir sind die Jägger Lun 15 Sep - 17:51 | |
| Tu me réserves un lien, heiiin ? |
| | |
| Sujet: Re: L U A N || Wir sind die Jägger Lun 15 Sep - 20:51 | |
| Promis Laurel è_é Eh bien je ne me cache pas de m'inspirer du personnage pour faire Lulu! En fait, en le construisant dans ma tête, je me suis rendue compte qu'il avait trop de points communs avec Levi, alors... ben j'me suis dis pourquoi pas xD merci (a) Evidemment, je vais me faire un plaisir de te pendre par les pieds |
| | | Swain Hawkins △ correspondances : 5710 △ points : 0 △ à Panem depuis le : 18/06/2012 △ humeur : I'm a fucking monster. △ âge du personnage : 38 y.o.
| Sujet: Re: L U A N || Wir sind die Jägger Lun 15 Sep - 21:50 | |
| |
| | |
| Sujet: Re: L U A N || Wir sind die Jägger Lun 15 Sep - 21:52 | |
| |
| | | Alexiane R. Hawthorne △ correspondances : 11154 △ points : 75 △ multicomptes : hunter, pepper-swann (leevy, ivory) △ à Panem depuis le : 08/05/2011 △ humeur : indifférente △ âge du personnage : vingt-deux ans △ occupation : mentor
| Sujet: Re: L U A N || Wir sind die Jägger Jeu 18 Sep - 13:01 | |
| Rebienvenue parmi nous Bonne chance pour cette fiche Je file te réserver ton avatar pour la semaine |
| | | Thybalt M. Homens △ correspondances : 8988 △ points : 29 △ multicomptes : raven, gwendal, eurydice (denahi) △ à Panem depuis le : 22/12/2011 △ humeur : désabusé △ âge du personnage : trente quatre ans △ occupation : médecin de campagne ~ bras droit du chef des rebelles
| Sujet: Re: L U A N || Wir sind die Jägger Jeu 18 Sep - 17:45 | |
| (re)bienvenue |
| | |
| Sujet: Re: L U A N || Wir sind die Jägger Ven 19 Sep - 10:28 | |
| MAAAH MERCI TOUT LE MONDEUH |
| | | Alexiane R. Hawthorne △ correspondances : 11154 △ points : 75 △ multicomptes : hunter, pepper-swann (leevy, ivory) △ à Panem depuis le : 08/05/2011 △ humeur : indifférente △ âge du personnage : vingt-deux ans △ occupation : mentor
| Sujet: Re: L U A N || Wir sind die Jägger Sam 20 Sep - 0:53 | |
| Ta fiche est très bien, Huntie est content d'avoir un nouveau coupain J'ai bien aimé le passage avec Mary, la pauvre Je te valide Tu viens d'être validé(e), mais il reste encore plusieurs endroits où tu devras passer pour que nous puissions mettre à jour quelques informations.Voici donc les liens que nous te demandons de visiter à présent. Pour commencer ton pacificateur doit être recensé dans le listing officiel disponible ici. S'il est natif d'un district, il peut être vainqueur et avoir eu des proches morts aux jeux, n'oubliez pas de les recenser ici. Il peut également faire parti de la famille du maire, tu peux le recenser ici pour éviter toute incohérence. Tu peux ensuite recenser le district de ton personnage ici. Pour cela, tu auras besoin de créer ta fiche de liens ici et ton journal de bord ici. N'oublie pas de vérifier que ton avatar est bien réservé dans le bottin ici, des oublis peuvent parfois être faits. Tu pourras aussi créer un scénario ici. Il ne te reste plus qu'à passer de bons moments sur mockingjay
|
| | |
| Sujet: Re: L U A N || Wir sind die Jägger | |
| |
| | | | L U A N || Wir sind die Jägger | |
|
Sujets similaires | |
|
Page 1 sur 1 | |
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|