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Sujet: Ruby ~ Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux Lun 10 Mar - 18:26
Ruby Poezyn
❝ Watch out for this girl, she's got a gun for a tongue. ❞
Il existe une fille Poezyn répondant au nom surfait et précieux de Ruby. Cette fille, c'est moi. J'ai 19 ans, mais j'ai surtout un problème. Car oui, le Capitole me débecte et oui, je suis une rebelle. J'œuvre en tant que sous-chef du 6 parce que le système en place est proprement révoltant. Je sais, tu vas te dire « un peu vindicative et grande gueule, la petite ». Et je te répondrai : « bien sûr que je le suis ». Mais par-dessus tout, je suis sans pitié envers ces pantins qu'on appelle hypocritement « Pacificateurs ». Le simple emploi de ce terme est une vaste blague qui ne m'arrache plus que des sourires quasi-caranassiers. Comment ne pas passer pour impétueuse et impulsive au milieu de ces capitoliens complaisants et naïfs ? A côté d'eux le dernier des mous apparaît comme un révolutionnaire. Il paraît que le regard transmet toujours mieux la pensée profonde, c'est pourquoi j'use souvent de mes iris bleu pour communiquer avec autrui. C'est même devenu une sorte de réflexe. Je n'ai pas un mauvais fond, mais il est clair que je nourris une profonde rancœur à l'encontre du Capitole. Pourtant, c'est de là-bas que je viens.
Le souci, vois-tu, c'est que mon attrait pour la justice et mes rêves d'équité ne convergent pas tout à fait vers le gouvernement actuel. A cause de ça, je vogue de district en district pour me planquer. Cette vie ne me dérange pas spécialement, en soi. J'ai toujours été la gamine sauvage de la famille, alors vivre comme une vagabonde... pourquoi pas ? Mais cette vie a un prix que je me considère, à tort, tout à fait apte à payer : l'isolement. Par rapport à ma jumelle principalement. Je me réfugie dans le cynisme pour mieux faire face aux conditions de vie et à l'incertitude dans laquelle, nous, rebelles, baignons constamment. Qui que tu sois, il faut que tu sache qu'un portrait de moi (je ne suis pas tout à fait au comble de la sexytude dessus, mais soit) est placardé dans Panem. Histoire que je sois bien grillée dès que je me promène quelque part.
J'ai eu une vie avant de rejoindre les rebelles, et cette vie était celle d'une enfant du Capitole. J'ai même une jumelle, mais nous sommes aux antipodes l'une de l'autre. Nous sommes cependant des copies conforme : les mêmes yeux bleu clair, la même peau pâle (surtout depuis que je vis recluse plutôt fréquemment...), la même taille (ou à très peu de choses près). Ce qui nous différencie tient plus de l'impact de nos modes de vie sur nos physiques : à l'origine, nous étions les mêmes. De mon côté, j'ai désormais des traits un peu plus marqués. Non contentes d'avoir partagé le ventre de notre génitrice, nous avons aussi partagé une personnalité complète. Il semblerait que j'aie hérité du côté obscur (rébellion, brutalité, impatience...) tandis que Bambi a eu droit à toute la noblesse et la pureté du faon (candeur, politesse, et j'en passe). N'empêche, au final, je suis celle qui a pu ouvrir les yeux. C'est assez étrange d'ailleurs, parce qu'en sa qualité de jeune fille douce et adorable, Bambi aurait dû être celle qui réalise que le Capitole est l'allégorie du mal. Un trop plein de naïveté la détourne cependant de la vérité. C'est la chose que je déplore le plus au monde, je crois.
about games and relative.
➺ COMMENT VOIS-TU TA MORT ?
J'ai l'espoir qu'elle ne sera pas prématurée, et n'arrivera qu'une fois que j'aurai eu la chance de voir un Panem changé. Mais l'espoir, c'est l'espoir. En réalité, il y a des chances pour que je ne dépasse pas 23 ans et que je finisse torturée. Ce qui est toujours plus glorieux que de mourir de vieillesse après avoir regardé des enfants s'entre-tuer sans rien faire.
➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ?
Pour quoi ? Mes activités le prouvent plus ou moins. Je pourrais mourir pour défendre la cause qui me paraît juste. Je pourrais mourir pour que le Capitole s'effondre. Pour qui ? La question est délicate. Au fond, il y a bien une ombre qui se dessine dans ma tête quand je me pose cette question, mais je m'empresse toujours de la chasser. Bambi est un souvenir, en quelques sortes. Si elle venait à être menacée je donnerais ma vie pour la sauver. Pourtant, ce serait un acte stupide et une prise de risque inconsidérée étant donné mes conditions. De plus ce serait une forme de trahison envers la rébellion. Je m'efforce de ne pas y penser.
➺ APPRÉCIES-TU LE VISIONNAGE DES JEUX ?
Bien sûr. Qui n'aime pas regarder des gamins s'empaler et se sacrifier pour pouvoir survivre à un milieu hostile créé par des planqués derrière leurs ordinateurs ? C'est tellement drôle ! Et puis, les nouvelles générations méritent de subir la haine que le régime nourrit à l'égard de leurs aïeux. C'est bien connu : c'est de leur faute. Pourquoi sont-ils nés, au juste ? Non, vraiment, les Jeux de la Faim ont lieu d'exister. C'est même une chance pour les districts. Qui ne rêverait pas d'être moissonné ? Tout capitolien regrette de ne pas avoir l'honneur de pouvoir participer aux Jeux ! Voir des adolescents se battre pour un honneur illusoire, perdre leur innocence pour offrir une pseudo-prospérité à leur district... j'adore ça. Cela me met en joie. Ce genre de chose donne foi en l'humanité. Ah la la, mais qu'est-ce qu'on est généreux au Capitole alors !
(Quiconque me connaît sait à quel point j'use de sarcasmes.)
➺ COMMENT TE SENS-TU DANS LES SOUS-TERRAINS DU TREIZE ?
A l'étroit. Mais il faut développer... alors je dirais que la froideur des lieux et la politique d'austérité plombent un peu l'ambiance. C'est vrai quoi, on pourrait tout à fait se marrer et célébrer le fait que nous sommes en vie en festoyant dans les souterrains, telles les taupes que nous sommes, mais bizarrement... ça ne se passe pas comme ça. Plus sérieusement, je ne supporte pas le concept de l'emploi du temps inflexible et tatoué, mais si c'est le prix à payer pour pouvoir bouter quelques fessiers au Capitole le jour venu, ça vaut le coup. L'entraînement est efficace, et les missions me permettent de m'échapper un peu. J'ai cette chance.
➺ QUE PENSES-TU DES VAINQUEURS DES JEUX ?
Quels vainqueurs ? Il n'y a que des perdants au sortir des Jeux. Soit on y perd la vie, soit on y perd son identité. Le Capitole présente ces gens en héros. Ces personnes ont dû ôter la vie pour remporter un succès, et cela ne fait d'eux que les victimes (certes vivantes) de la barbarie capitolienne, encore une fois. Les vainqueurs ne sont plus les mêmes après les Jeux, car quelque chose se brise en chacun d'eux. Cette chose, c'est la candeur et l'innocence que l'on peut espérer retrouver chez de jeunes personnes. Et quand c'est fini pour les uns, cela annonce une nouvelle moisson pour les autres. Il n'y a pas de vainqueurs dans les Jeux. Juste des survivants. Les autres n'ont pas cette « chance », mais tous sont perdants.
➺ QUEL EST TON OPINION SUR LES PACIFICATEURS, LEUR ROLE, LEUR COMPORTEMENT ?
Les Pacificateurs... quels êtres extraordinaires. Vraiment, il en faut du courage pour accepter de frapper, de brûler, d'humilier, de dépouiller – et autres joyeusetés – sous prétexte qu'un seul homme décrète qu'il le faut. Souvent je m'interroge sur les raisons ayant pu pousser une personne a devenir Pacificateur. Figure-toi que j'en suis arrivée à la conclusion suivante : il faut avoir été forcé. Comment rejoindre les rangs de ces monstres de son plein gré ? QUI peut être convaincu que sa vocation est de martyriser ses semblables ? Personne. Du moins je l'espère. Leur rôle ? Réprimer tout mouvement de foule, dissuader la population d'envisager jusqu'au millième du quart des prémices d'une révolte. Pour cela, ils font appel aux flagellations, exécutions... ils brûlent les lieux qui nous tiennent à cœur. Ils sont les chiens du gouvernement et font régner la terreur à grand renforts de « ouaf ouaf » et de coups de griffes. Mais s'ils savent montrer les dents, crois bien que moi aussi. Les Pacificateurs sont des moutons. Ils perpètrent des crimes sans se poser de questions. Je serais bien capable d'en achever un de la même façon : sans me poser de question.
➺ CROIS-TU AU BONHEUR ?
Le bonheur se trouve un peu partout, alors oui, j'y crois. Il se trouve dans chaque éclat de rire, dans chaque estomac rempli, dans chaque corps en bonne santé. Je crois au bonheur parce que je le vois tous les jours par petites bribes. Et c'est à nous qu'incombe la tâche de réunir ce puzzle afin de voir chaque estomac de Panem rempli et des sourires accrochés à toutes les lèvres. C'est aux rebelles qu'il revient de bannir les corps meurtris par un travail trop intense au profit d'existences plus confortables pour tous, dans le respect mutuel. Le bonheur ne peut exister que si l'on œuvre pour le sauvegarder, et c'est la foi en un bonheur de ce genre qui fait que je me bats aujourd'hui.
JE VIENS D'UN MILIEU aisé, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE n'a pas manqué. DU COUP, MON NOM A approximativement 0.0000 % DE CHANCES D'ÊTRE TIRE AU SORT. J'EXERCE LE MÉTIER DE contestataire du régime à temps plein (rebelle, quoi) ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'aime beaucoup. JE SUIS DANS LE 6ÈME DISTRICT (la plupart du temps). AYANT 19 ans JE ne peux de toute façon pas PARTICIPER AUX HUNGER GAMES MAIS j'appréhende toujours les moissons. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.
tell us your story.
Dans la moiteur de cette nuit chaude, Ruby se redressa dans son lit. Les étoiles nimbaient le Capitole de leur lueur bienveillante. La jeune fille s'extirpa de ses couvertures et alla jusqu'à la fenêtre sur la pointe des pieds. Au-dehors, la rumeur qui émanait de la ville en plein jour s'était tue. La nuit s'était frayé un chemin entre les bâtiments de la capitale de Panem. Ruby inspira et expira. Elle répéta cette opération trois fois et, une fois tout à fait calme, l'adolescente marcha avec le plus de légèreté possible vers son armoire. Elle en sortit un sac bien plein : il contenait des vivres pour plusieurs jours. Ruby Poezyn était de ces grands enfants aux tempéraments d'aventuriers. Du haut de ses quatorze courtes années, la jeune fille se sentait prête et assez mature pour exprimer à pleine voix son apostasie à l'encontre du Capitole. Elle était une jeune fille frêle mais forte, et déterminée. Son but était de quitter la prison dorée dans laquelle elle se sentait oppressée. Le Capitole était pour Ruby l'allégorie même de la superficialité. Partout où on se rendait, tout n'était qu'apparences. Cet environnement déplaisait fortement à l'adolescente qui, contrairement à sa sœur jumelle, trouvait quelque chose d'étrangement malsain à la contemplation des Jeux. Il y avait dans ce rituel comme un arrière-goût de mépris, de haine et de rancœur mal canalisée. Des enfants de son âge, mais aussi plus ou moins âgés se battaient pour l'argent. L'argent, la prospérité, la nourriture... pourquoi ne leur donnait-on pas des vivres que l'on avait au Capitole ? La luxure ambiante rendait les gens futiles et passifs. Tout leur était apporté sur un plateau. Ces choses-là, si facilement gagnées, perdaient de leur saveur aux yeux de Ruby. Si dans les districts on devait se battre pour manger, alors il faudrait que ce soit le cas partout dans Panem. Ou alors nulle part... Non, Ruby Poezyn ne comprenait pas cet enfermement et espérait y échapper cette nuit.
La vie de rebelle l'attirait, il n'y avait aucun doute à cela. Les échos qu'elle avait eu au sujet de cette organisation clandestine lui donnaient l'impression d'avoir trouvé une place pour elle quelque part: désormais, il ne lui manquait plus qu'à la rejoindre. C'était une déchirement pour cette enfant du Capitole. Il y avait au-delà des murs de la ville une foule de secrets dont les capitoliens étaient préservés. Que se passait-il réellement dans les chaumières du 12 ? Sur la place principale du 7 ? Préservés, c'est le mot. Toutefois Ruby voulait braver cette barrière et se rendre compte de la réalité par elle-même. Une fois hors du Capitole, sa sécurité serait menacée... cependant elle préférait vivre dehors, traquée mais libre plutôt que vivre dedans, choyée mais manipulée.
Ruby vérifia une nouvelle fois son sac : tout était là. Elle quitta alors sa chambre. Dans la pénombre, connaissant la maison sur le bout des doigts, elle parvint à gagner la porte d'entrée sans encombre, toutefois elle stoppa. Derrière elle, il y avait l'objet de toutes ses hésitations. La main sur la poignée de porte, Ruby fit le choix de revenir sur ses pas. Elle poussa le battant de la chambre de sa sœur jumelle. Le plus silencieusement possible, elle s'approcha. La future rebelle retira sa bague et la déposa sur la table de chevet de Bambi, qui dormait tranquillement. C'était un très bel anneau sur lequel étaient gravées les lettres « R. P. ». Un bijou dont Ruby savait qu'il plaisait à sa sœur. Cette ultime offrande, comme offerte en gage de sacrifice de sa vie passée au profit d'une existence plus simple et rudimentaire, scella le futur de la jeune contestataire. Une fois ce don effectué, Ruby quitta sa sœur définitivement et passa la porte de la maison, sac sur l'épaule, sans même se retourner. Une petite goutte d'eau salée glissa le long de la joue de Ruby. En abandonnant Bambi, elle savait qu'elle la livrait à l'univers barbare du Capitole et ne la défendait pas de la "lobotomisation" en rigueur dans cette partie de Panem. Mais il lui fallait désormais œuvrer pour le bien commun.
Deuxième jour de fuite.
Chère Bambi,
Je regrette de ne t'avoir pas dit au revoir de vive voix. C'était une erreur, mais je ne peux pas revenir en arrière. Il faut parfois lâcher prise et passer à autre chose : c'est ce que j'essaie de faire en t'écrivant cette lettre. Une nouvelle vie m'attend, et je suis forcée de reléguer mes souvenirs au plus profond de ma mémoire. Tu n'as pas le droit de hanter mes penser, nos parents non plus. Le Capitole ne doit plus m'évoquer que de la haine. Je ne dois plus me considérer comme une ressortissante de cette ville, mais plutôt comme actrice de son effondrement futur. Il n'y a plus de place pour toi à partir de ce soir. Plus de place dans mon cœur, ma tête... nulle part. Je te poursuivrai jusqu'aux confins de mon cerveau pour devenir plus forte et embrasser la cause rebelle. C'est un sacrifice, tu es ma jumelle... mais je le ferai car c'est là qu'est ma place : de l'autre côté de la barricade. Si les choses tournent mal, je sais que mon ultime pensée ira vers toi. Le principal problème est que tu es là chaque fois que je me regarde. A bientôt peut-être, dans un Panem plus libre.
Ruby craqua une allumette et l'approcha de sa lettre. Elle regarda le papier se consumer entre ses doigts. C'était comme cela qu'elle avait l'habitude de se séparer des autres. Il lui fallait écrire une lettre pour leur dire ce qu'elle aurait voulu leur dire avant d'en être éloignée, puis la regarder brûler pour passer à autre chose.
reality is here.
Alooooha ! *-* Alors, d'abord je m'appelle Doriane, et mon petit pseudo c'est Meow en ce moment. Je vis dans le sud ouest de la France (avec accent un peu , huhu). J'ai 16 ans, et j'ai lu les 2 derniers tomes et vu tous les films jusqu'à maintenant (ouais je sais, c'est pas bien mais je compte y remédier!). Of course, j'aime beaucoup. Presque autant que les crêpes ( ) et les poneys (ça veut dire beaucoup beaucoup). Le forum m'a l'air bien sympa, alors j'espère juste que je trouverai des compagnons et compagnottes de RP très vite !
Dernière édition par Ruby Poezyn le Mar 8 Avr - 18:49, édité 8 fois
Invité
Sujet: Re: Ruby ~ Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux Lun 10 Mar - 19:07
Alors tout d'abord, je crois que tu as posté dans la mauvaise partie ma Belle . Un membre du staff déplacera ta fiche j'imagine !
Mais sinon BIENVENUUUUE ! La jumelle de Bambi ohhh Courage pour ta fiche
Invité
Sujet: Re: Ruby ~ Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux Lun 10 Mar - 19:14
Oh non la bouleeeette
Merci (x
Jaime F. Walker
△ correspondances : 856 △ points : 0 △ multicomptes : alaska t. rhodes : pearl i. whything △ à Panem depuis le : 05/03/2014△ humeur : contrôlé par la folie de la mort △ âge du personnage : 39 ans
Sujet: Re: Ruby ~ Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux Lun 10 Mar - 19:17
HIHI On dirait moi tellement je suis pas douée
Bienvenue sur MJ Et joli avatar
Invité
Sujet: Re: Ruby ~ Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux Lun 10 Mar - 19:26
Pourquoi je suis toujours celle qui :comprendu: ? T.T
Oh cool Jaime, comme ça je peux feinter et dire : "non mais en fait j'ai fait exprès pour qu'on puisse faire un club officiel des pas-douées" !
Et merci merci !
Invité
Sujet: Re: Ruby ~ Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux Lun 10 Mar - 19:43
Sinon, bienvenue jolie chose
Invité
Sujet: Re: Ruby ~ Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux Lun 10 Mar - 21:05
Oh oui c'est THE choix de scénario, j'approuve totalement ** bienvenue par ici ma ptite choupinette rebelle <3
Invité
Sujet: Re: Ruby ~ Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux Lun 10 Mar - 22:14
En parlant de jolies choses, James Gaisford...
Je me suis dit pareil quand je l'ai vu Merci mon petit choupinet
Invité
Sujet: Re: Ruby ~ Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux Mar 11 Mar - 12:54
Hihihihihi ma jumelle adorée ! TYWIN LOIN, TU T'APPROCHES PAS c'est ma mienne. -non je rigole - Je ne te remercierais jamais assez de tenter mon scénario, genre jusqu'aux étoiles ça suffira pas. Merci merci merci merci.
Sujet: Re: Ruby ~ Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux Mar 11 Mar - 13:00
"Choupinet"
Bienvenue
Invité
Sujet: Re: Ruby ~ Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux Mar 11 Mar - 13:21
quoi encoreuh ?
Yorell T. Moon
△ correspondances : 757 △ points : 0 △ multicomptes : / △ à Panem depuis le : 10/01/2014△ humeur : un mort n'a pas d'humeur △ âge du personnage : dix-sept ans pour l'éternité △ occupation : héritier de l'empire stylistique de ma mère
can you save me? statut: mort, éternel célibataire relationships:
Sujet: Re: Ruby ~ Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux Mar 11 Mar - 13:29
Bienvenue Ruby :D Ce PV a beaucoup de succès j'ai l'impression *voit des Ruby partout depuis son arrivée orz* Bon courage pour ta fiche !
Invité
Sujet: Re: Ruby ~ Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux Mar 11 Mar - 14:59
Bienvenue sur Mj, donc ! Je crois que c'est bon, ton sujet a été déplacé au bon endroit !
Adonis Nightsprings
△ correspondances : 2406 △ points : 12 △ multicomptes : Robin D. Bates / F. J. Kennedy △ à Panem depuis le : 01/04/2012△ humeur : Blasé. △ âge du personnage : 35 ans △ occupation : [i]Chef[/i] Pacificateur du D08