Clarke R. Lowell △ correspondances : 92 △ points : 0 △ multicomptes : abigail e. huggins △ à Panem depuis le : 22/05/2016 △ humeur : elle aspire au bonheur. △ âge du personnage : vingt-deux ans. △ occupation : soigner vos problèmes.
| Sujet: guilty (clarke) Dim 22 Mai - 11:30 | |
| Clarke Reva Lowell❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞ Je suis Clarke R. Lowell. On me donne plus de vingt-deux ans, pourtant c'est bien mon âge. Je ne suis pas une personne très impulsive, colérique, au contraire. On dit de moi que je suis plutôt douce, gentille, souriante, et dans mon métier cela me sert. En effet, je travaille au District Treize en tant qu'infirmière et psychologue. Les gens autour de moi me trouvent généreuse envers eux. Je suis très calme mais quand je me mets en colère mieux vaut ne pas traîner dans les parages. J'aime beaucoup aider, c'est dans ma nature. Depuis que je suis arrivée au District Treize, donc depuis deux ans, je me suis fait pas mal d'amis. Notamment Aiden, qui comme moi a perdu son père étant plus jeune. Lorsque qu'on m'a forcée à regarder la mort, la torture de mon père, j'ai alors regardé, écouté. J'ai eu l'air d'accepter sa mort. Mais réellement je pense que c'est une blessure qui ne se refermera jamais. Mon père était l'homme que j'aimais le plus au monde, et un jour j'espère le venger. C'est pour cela que je lutte à devenir une Rebelle et cela se réalisera grâce au District Treize. Avant, j'habitais au District Dix, je m'occupais des vaches et de quelques moutons. Mais comme vous l'avez sûrement compris, c'est après la mort de mon père que, ma mère sourde, muette et moi, sommes parties vers une vie meilleure. J'aime ce confort qu'offre le Treize, comparé à ma vieille cabane dans le Dix, c'est parfait. Alors j'espère me reconstruire dans un lieu que j'aimerais. about games and relative.
➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ? je pense que la mort viendra naturellement, même si elle est provoquée. c'est dans l'ordre des choses. si je pouvais choisir ma mort, ce serait dans mon sommeil, mais personne ne la choisit. je pourrais mourir de maladie, de tristesse, assassinée, torturée, mais dans tous les cas je mourrais. le seul espoir auquel on peut se raccrocher, c'est mourir dans longtemps. je ne sais pas si je pourrais me sacrifier. cela dépendrait de la situation. j'ignore si je serais capable de me mettre devant quelqu'un pour le protéger. j'ai si souvent soigné, protégé... mais pas de cette manière. on dit tous que mourir est horrible, mais que sait-on de la mort exactement ?
➺ COMMENT TE SENS-TU DANS LES SOUS-TERRAINS DU TREIZE ? à mon aise. je ne m'y suis jamais sentie aussi bien. des fois, j'ai l'impression d'y avoir toujours vécu, d'y être née. j'imagine que je suis dans la nature, aussi, ou dans une grotte. ce confort, ces règles strictes mais utiles, ces habitants... j'aime beaucoup cet endroit, et si je pouvais j'y vivrais pour toujours. l'inconvénient, c'est qu'on ne sait jamais si notre idéal de vie se trouve ici et y restera encore pour longtemps. aussi, cette menace que l'on sent peser, tout autour de nous, cette menace qu'on nous déloge de notre maison, du Treize, m'inquiète. j'ai peur du Capitole. et s'ils nous tuaient tous alors qu'on se sentait en sécurité ?
➺ CROIS-TU AU BONHEUR ? bien sûr. le bonheur peut être partout pour celui qui décide d'y croire. dans ce monde, cesser d'être pessimiste est un don rare. ou plutôt être optimiste est un don rare. je suis comme happée par cette joie de vivre, lorsque je vois un des patients de l'infirmerie se relever et marcher, en pleine forme, chantant et s'amusant comme avant ! et quand je vois des fleurs, près des souterrains, ou même au Dix, je sens que la vie n'est pas tout à fait terminée. la vie n'existerait pas s'il n'y aurait pas de bonheur. personne ne peut vivre sans bonheur, c'est impossible, impensable. ou alors cette personne n'est pas humaine, je ne peux pas m'imaginer dans un perpétuel désarroi.
➺ QUE PENSES-TU DE L'ORGANISATION DE PANEM (DISTRICTS/CAPITOLE) ? je n'en pense pas grand chose, je dois l'avouer. je ne peux pas juger si elle est utile ou inutile, puisque c'est comme cela depuis longtemps. nous n'avons plus l'habitude de penser comment serait organisé la société s'il n'y avait plus de districts, ni de Capitole. ce serait un désastre. plus d'organisation, le chaos règnerait et les spécialités ne seront plus regroupées. Panem sombrerait dans une pénurie de ressources... ses habitants dépériraient. mais en même temps, nous pourrions sortir d'une dictature ? sortir d'un régime politique qui ne plaît pas à tous ? mais comment survivrons nous ? les habitants du Capitole sont tous habitués à la nourriture sans fin, tandis que ceux des districts les plus pauvres non. à mon avis, mieux vaut ne rien changer avant longtemps.
➺ A QUOI ASPIRES-TU LE PLUS DANS LA VIE ? je voudrais simplement vivre heureuse, avec une famille prospère. sans complications. une vie noble, simple. des enfants aussi, peut-être. mais, comme toute mère, je ne voudrais pas qu'ils soient tirés au sort aux Hunger Games, si jamais je venais à retourner dans mon ancien district. qu'ils vivent heureux, eux aussi, et longtemps, sans connaître la méchanceté, la pauvreté, la faim, les Jeux. tout ça. je veux que toutes ces morts cessent, car je sens que nous sommes proches de la folie si nous continuons dans cette direction. Panem risque de sombrer. j'aspire à prendre du plaisir à vivre, aussi, car à quoi bon vivre si c'est pour se tuer, ou tuer, ou blesser ? sans bonheur, sans avoir connu l'amour, la vie, entre autres.
JE VIENS D'UN MILIEU défavorisé, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE n'est pas abondante mais me suffit. DU COUP, MON NOM A 01 ou 02 RISQUES D'ÊTRE TIRE AU SORT. J'EXERCAIS LE MÉTIER D'éleveuse de bétail pour le Capitole, maintenant je suis infirmière et psychologue ET POUR TOUT VOUS DIRE, JE préfère ce second métier. JE SUIS DANS LE 10, maintenant 13IÈME DISTRICT. AYANT vingt-deux ans JE ne peux plus PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET j'appréhende. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.
tell us your story. MY STORY: Avancer ? C'était plus que de la torture. Reculer ? C'était admettre mon infériorité. Rester ? C'était regarder s'abattre lentement mon père sous les coups des Pacificateurs. Je n'avais qu'à regarder, et écouter. Ecouter ces hurlements de douleur de cet homme à qui je dois la vie, ma personnalité, moi même. Regarder ce sang qui coule, aussi. Alors je regarde. J'écoute, et j'attends. Je ne montre rien. Ni douleur, supplices, horreur. Rien. Je reste stoïque, de toute manière, personne ne fait attention à moi. Puis je le vois tomber, sans se relever. Je sais que c'est fini. Au fond de moi, j'aimerai hurler, leur demander d'arrêter toutes ces horreurs qu'ils prodiguent. Je voudrais leur infliger toutes ces souffrances qu'ils font ressentir. Juste pour leur montrer ce que c'est, d'avoir mal. J'ai l'impression qu'on m'a ruée de coups, moi aussi. Je voudrais être morte, comme lui, ne plus vivre, car je ne vois que le mal devant moi. On m'emmène, ou je me dirige seule, je ne sais plus, vers ma maison. Vers notre maison, que je partage avec ma mère. Elle n'est pas là. Ils me laissent, ou alors je les imagine, mais je m'écroule sur une chaise en arrivant. Et je pleure. Pas longtemps. Parce que je sais bien que pleurer ne changera rien, que rien ne redeviendra comme avant, ce gentil équilibre où nous vivions. Je sais que j'ai perdu un être qui m'est cher. Alors je pleure, mais pas longtemps. Cependant, je pleure quand même.
Admettre qu'on va quitter sa maison, celle où l'on a toujours vécu, c'est tourner une page, changer de chapitre, sauter des paragraphes. Tout est bouleversé, et on ne suit plus le fil conducteur. On ne suit plus rien, on se laisse traîner, guider, on ne réfléchit plus. C'est ce qui m'est arrivé, quand je suis partie avec ma mère, vers le Treize. Au début, je ne prenais jamais part à la conversation, et, comme ma mère, je me murais dans ce silence qui m'était alors inconnu. J'ai marché, avec des amis de mon père, et pendant longtemps, je me suis dit que j'allais peut-être mourir dans ces abominables chemins à peine visibles, ou qu'on allait se faire dévorer par des animaux sauvages, même voire tuer par des pacificateurs. Puis on est arrivés au Treize. C'était clairement mieux que dans notre ancien District, le Dix, et c'était confortable, propre, et surtout, surtout, bien protégé. Puis tout dans ma vie à changé, je me suis fait des amis, des personnes sont venues me parler, et puis j'ai réussi à me trouver un travail qui, au moins, me plaît et sert à quelque chose. Comme ma mère, je regarde. Mais aussi j'écoute, je perçois. Je parle à ceux qui ont besoin de parler, à ceux à qui on n'adresse jamais la parole, ou très peu, à ceux qui parlent tout le temps et qu'on n'écoute jamais. A ceux qui sont importants, à ceux qui font des choses pour la communauté qu'est le District Treize. A ceux qui font partie des Rebelles. Moi aussi, je veux en faire partie. Je veux changer Panem. Je ne veux pas finir comme mon père, enterrée dans la torture. Je ne veux pas mourir maintenant. Je veux donner tout ce bonheur que je peux créer, et je veux vivre.
Aussi, je veux rencontrer quelqu'un que j'aimerais, que j'aimerais vraiment. Quelqu'un que je pourrais sauver, ou aider. Et cette personne, elle aime déjà. Cette personne ? C'est Aiden. Je sais rien, je sais tout de lui. En fait, j'opterai pour la première proposition.
reality is here.
Salut c'est Abi Vous m connaissez déjà, mais bon. Pauline, j'ai toujours mon âge, et puis je vous aime ! J'espère que je m'éclaterai avec ce compte FEATURING HAILEE STEINFELD © COPYRIGHT Shiya et ???
Dernière édition par Clarke R. Lowell le Lun 30 Mai - 18:11, édité 6 fois |
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