Comme vous l'avez sûrement lu, à partir de maintenant il n'y aura qu'une sujet unique de réactions aux événements par Volume. La raison est assez simple : c'est principalement pour éviter la multiplication de sujets, qui sont pour la plupart déserts. Ainsi, nous espérons que ces sujets mis à votre disposition seront un peu plus remplis. Un petit message rp ne vous prendra pas beaucoup de temps, et vous pourrez ancrer au mieux votre personnage dans les événements qui se déroulent et que vous n'avez peut-être pas le temps ou la possibilité de développer dans un rp complet.

Cependant, il vous faudra suivre quelques petites règles pour éviter que le sujet soit complètement désorganisé. Pour chaque message, vous devrez préciser quel événement votre rp commente. C'est pourquoi nous vous demandons de suivre le formulaire afin que vous n'oubliez pas !

exemple a écrit:

Chapitre 3
le 10 avril au district 12

Code:

<center><span class="urname">[size=16]Chapitre ...[/size]</span>
[size=11]le ... au ...[/size]</center>

On ne fume pas sur la place publique. Une histoire de respect de son prochain ou un truc comme ça. Oh, ça ne vient pas de toi, ton prochain tu l’emmerdes bien comme il faut, lui et son respect. Tu as appris que ça ne se faisait pas quand un pacificateur t’a arraché ton paquet de clopes. Crime de lèse-majesté. Ou peut-être qu’ils ne veulent pas de fumeurs dans l’assemblée face aux caméras, ça fait trop désintéressé, pas assez fasciné par les annonces des dieux. Et puis merde, ils ont gagné. Ils ont ton attention. En partie. Tu ris intérieurement de ces pauvres fous qui devront aller s’exhiber à la foire des monstres, dans l’antre de la bête capable de vomir aussi bien des paillettes que des armes.Tu ris de leur fausse joie et tu ris comme la capitole rira d’eux. Tout ça parce qu’elle te ronge les entrailles, cette innommable jalousie. Les paillettes, les paillettes c’est risible mais ça brille et tout ce qui brille est de l’or. Te noyer dans le faste et crever la bouche ouverte, aveuglée par les lumières. Ce rêve chimérique de gloire qui toute ta vie t’a poursuivie, tu as aujourd’hui une infime chance de le toucher. Et tu l’enterres, tu l’enterres avec la possible déception. Ne pas espérer pour ne pas être déçu. Mais oh, ce frivole espoir, cette espérance folle ! Il y a de quoi tuer un homme. Tu ne veux pas mourir alors tu crois que prêter attention sans prêter attention te sauvera. Tout est là, dans cette façade imperturbable. Une main dans la boule de verre. Une langue sur des lèvres trop roses. C’est trop, c’est trop, ça brille, ça déconcentre. Que les lèvres trop roses parlent, qu’on en finisse. « Lili-Roxanne Wetmore ! » Sourire sur le coin de lèvres gercées. Personne ne sait qui sait, on ne connaît pas de Lili-Roxanne ici on ne connaît qu'une Chester. Et toi tu t’avances, tu déchires la foule à coups de coudes et en écrasant quelques pieds.Il te suffit de monter les quelques marches, encadrées de deux uniformes blancs. Soudain on reconnaît ta tignasse rousse, on reconnaît tes vêtements, et on grogne. Pas qu’il y en ait tant que ça qui veuillent aller chez ces chiens de capitoliens. C’est juste l’idée que toi, toi, tu as été choisie, et que eux restent derrière. Des protestations grommelées s’élèvent de la foule. Une insulte à voix haute, pas plus. La haine reste voilée. Et toi tu ris, tu ris aux éclats, au nez de tous, tu riais de ceux qui partiraient et maintenant tu ris de ceux qui ne partent pas. Tu les insultes par ta jubilation et effaces toute leur colère dans cet accès de joie. Tu iras. Ils iront se faire foutre.