| Sujet: Loreley Scarlet O'Connor - what's the opposite of thank you ? Ven 12 Juil - 23:27 | |
| LORELEY SCARLET O'CONNOR❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞ » Recrue O’CONNOR au rapport ! Prénom LORELEY, SCARLET, matricule… » T’es bourrée. » Je ne suis absolument pas ivre ! » Y a que les gens bourrés qui ressentent le besoin de dire qu’ils le sont pas… » Tais-toi donc et ressers-moi un peu de cet hydromel, mon brave ! » T’es en âge de boire ? » J’ai VINGT ANS, idiot. Et depuis quand y a un âge pour faire quoi que ce soit ? » Y a bien un âge pour crever dans une arène et un autre pour plus avoir à y aller… » …Pas faux… Je vais boire à ta grande sagesse, tiens. » Bois plutôt à ta nomination dans le DISTRICT 8. » Le 2 va me manquer… Autant que ta face de rat. C’est à dire pas du tout. » On a quand même passé de bons moments ici toi et moi, nan ? » Tu parles des moments où je te mettais des raclés aux entrainements ou de ceux où tu tentais de me voler ma virginité ? » Tu deviens piquante quand tu as un coup dans le nez. J’aime bien ça mais si les gars te voyaient comme ça… » Eh bien quoi ? » Miss Perfection en train de parler ouvertement de sa virginité ? Ca en choquerait plus d’un. » J’m’en moque… » Tu t’en moques pas du tout. Tu fais toujours attention à ce que tu dis, à ce que tu fais. Faut toujours que tu contrôles tout… Les autres disent que t’es une sale fouine lèche-bottes, moi je dis qu’t’es OBSERVATRICE et plutôt MALINE pour une nana. » J’ai pas besoin de ton avis. » T’as aussi un EGO démesuré, j’oubliais. Mais vaut mieux pour évoluer dans un univers de mecs. Surtout si on compte rester INTEGRE, pas vrai ? » Sans doute… » T’es plus aussi drôle tout à coup… Parlons d’autre chose ! Pourquoi le D8 alors ? Il paraît que ça schlingue là-bas. » C’est toi qui schlingue… » Sérieusement, Lory, pourquoi le 8 ? » Tu veux que j’te dise ? » Je poserai pas la question sinon ! » Pour… Tu vas te moquer. » Nan, j’me moquerai pas. Par contre, si c’est pour un mec, là je risque de me mettre à pleurer… » Ce n’est pas pour un garçon. C’est pour les fringues… Hey ! T’as dis que tu te moquerais pas ! » J’me moque pas ! C’est juste… typiquement toi. J’t’ai toujours dit que l’uniforme de PACIFICATRICE ne t’allait pas. Tu mérites de te draper dans de la soie. Tu serais plus jolie avec des couleurs sur toi… Du maquillage aussi. Les cheveux rose, ça t’irait bien. Ou dorés… T’es une jolie fille, Loreley. T’es une princesse. » Ouais c’est ça… Toi aussi mon pauvre, on dirait que t’as un coup dans le nez. » Tu t’en rends pas compte hein ? …Que t’es attirante. » Tu essayes de me draguer ? Parce que t’as aucune chance. » Joue les intouchables tant qu’tu veux, j’t’ai percée à jour j’te dis. T’es une ROMANTIQUE, FLEUR BLEUE qui s’ignore ! Une grande SENSIBLE SOUS TA CARAPACE EN ACIER ! » OK, je vais y aller avant que tu termines de ruiner l’image que j’avais de toi. Mon train part tôt demain de toute manière et je ferai mieux d’être en forme. » Miss Perfection le retour. Elle me manquera pas celle-là… Bon, si tu dois vraiment y aller… Fais bien attention à toi, d’accord ? Les rebelles du huit étaient des coriaces. Et nombreux avec ça. » Je sais où je mets les pieds, ne t’en fais pas pour moi. » Te prends les prends pas dans une de tes robes pendant un combat tes pieds, ce serait dommage ! » Je ne vais même pas relever et simplement te laisser. » Tu pourrais me remercier pour les verres quand même… J’me contenterai d’un baiser chaste… » C’est quoi le contraire de merci ? …Et Dwayne ? Puisse le sort t’être toujours favorable.
about games and relative.
➺ COMMENT VOIS-TU TA MORT ? Pour être tout à fait honnête, je n’y pense pas souvent. On y passe tous un jour, ça je le sais, mais la Faucheuse peut venir vous étreindre à n’importe quel moment et de n’importe quelle façon. A l’époque où j’étais susceptible de devenir un tribut, je n’essayais pas de m’imaginer morte d’une manière ou d’une autre, je m’imaginais vivante. Je m’imaginais en train de défiler dans une superbe tenue de créateur, je m’imaginais porter tout un tas de jolies robes et de bijoux hors de prix pendant la tournée des vainqueurs… Il m’est arrivé, en visionnant les Jeux, de m’imaginer à la place de l’un ou de l’autre des tributs au moment de leur fin mais… J’avais du mal à le faire. Parce que la plupart du temps, je trouvais leur mort stupide et évitable. Quoi qu’il m’arrive, je ne veux pas d’une mort stupide. En fait, je pense que le mieux pour moi serait de tomber au combat, en défendant une cause juste. Je ne veux pas me faire bêtement trucider par derrière par un rebelle pendant un tour de garde, par exemple…
➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ? Eh bien comme je le disais, je veux tomber au champ d’honneur, en défendant une cause qui en vaut la peine. Je ne veux pas être sacrifiée pour défendre une stupide position stratégique ou en essayant de séparer deux imbéciles en plein échange de coups. Je veux mourir en défendant…quelqu’un ou quelque chose que j’aime. Mais croyez-moi, j’emporterai la menace avec moi. Parce que mourir en défendant quelqu’un et le livrer en pâture à son agresseur n’aurait aucun sens, n’est-ce pas ?
➺ QUEL(S) PETIT(S) PLUS T'AIDE(NT) DANS LA VIE (OU LES JEUX) ? J’excelle au combat corps à corps. Je suis plutôt agile, rapide et je n’hésite pas à cogner. Mes adversaires se méfient rarement de moi, à cause de ma silhouette. Je suis mince, mais tout en muscle. J’ai toujours eu beaucoup de force. Et la force qu’il me manque, je la compense en endurance. Généralement, mes adversaires se fatiguent tout seuls très vite et je n’ai alors plus qu’à venir les cueillir… avec un bon uppercut.
➺ APPRÉCIES-TU LE VISIONNAGE DES JEUX ? Bien sûr. J’ai du mal à accepter que certains s’en détournent par sensiblerie ou soi-disant par respect… Ces jeunes offrent leur vie pour eux, pour nous, et la moindre des choses justement : c’est de leur rendre hommage en les regardant se battre. Le message véhiculé aux travers de ces Jeux est primordial. C’est un appel à la paix, il ne faut pas l’oublier ! Nous réglons nos comptes dans l’arène et c’est un procédé bien plus sain que de provoquer une guerre civile. Ëtre tribut est un honneur. Et puis les Jeux sont tellement bien organisés… Impossible de ne pas être pris dans le feu de l’action. Nous voulons tous savoir ce qui va se passer, qui va tomber, comment, etc. C’est humain, un point c’est tout.
QUE PENSES-TU DE LA REVOLTE ECHOUEE ET DES REBELLES ? je pense qu’ils sont d’une stupidités qui n’a d’égal que leur mépris de l’humanité ! Ils disent se battre pour l’égalité des droits, la justice ou je ne sais quoi de ce genre, moi tout ce que je vois, c’est qu’ils tuent leurs frères ! Ils prennent les armes contre la main qui les nourris et, peut-être que leur vie n’est pas idyllique, mais est-ce qu’une vie difficile ne vaut pas mieux que point de vie du tout ? Je ne vois pas vraiment où ils veulent en venir avec tout ça… Qu’est-ce qu’ils croient au juste ? Que brûler des usines ou des champs va leur permettre de mieux manger ? Que tuer un soldat chargé d’assurer LEUR protection va leur permettre de gagner plus d’argent ? C’est une hérésie…
➺ QUE PENSES-TU DES VAINQUEURS DES JEUX ? Je les envie, c’est indéniable ! Depuis toute petite, je m’imagine en vainqueur, parader dans les plus chics tenues du Capitole, être sous les feux des projecteurs, sur une estrade… Il y a de quoi faire rêver, non ? une grande maison, rien que pour soit, des placards remplis de vêtements, de chaussures et d’accessoires colorés… Il est trop tard pour moi, mais j’aurai vraiment aimée remporter les Hunger Games.
➺ COMMENT QUALIFIERAIS-TU TA VIE DANS TON DISTRICT ? EN ES-TU SATISFAIT ? Si j’en avais réellement été satisfaite, je n’aurai pas cherché à me faire muter dans le District 8, cela va de soi. Je n’ai jamais eu à me plaindre de ma vie dans le 2 cependant : j’ai été bien entourée, formée par les meilleurs, j’ai toujours mangé à ma faim, mais j’ai faim d’autre chose aujourd’hui… En vérité, j’aurai pu être détachée n’importe où dans Panem. Sans vouloir me vanter, j’ai obtenu un score plus que respectable aux épreuves de fin d’année et j’ai reçu beaucoup de demandes pour intégrer tel ou tel poste, mais j’ai toujours eu envie de me rendre au huit, spécialisé dans le textile. Depuis toute gamine, je rêve de porter des tenues aussi raffinées que celles des tributs ou habitants du Capitole et c’était un passage obligé pour moi. Evidemment, ma vie au D8 ne se résumera pas à flâner dans les usines pour observer les petites mains à l’œuvre (bien que ce soit un de mes passe-temps favoris !), et j’ai conscience que la situation est tendue là-bas, mais je suis persuadée que je m’en accommoderai très bien.
➺ CROIS-TU AU BONHEUR ? Evidemment. Ceci dit, je ne suis pas naïve au point de croire qu’un jour, j’atteindrai le nirvana et serait comblée de bonheur jusqu’à lma mort. C’est dans la nature humaine de toujours en vouloir plus et d’être éternellement insatisfait. Mais je sais me contenter de ce que j’ai et garder la tête sur les épaules.
➺ COMMENT TE SENS-TU QUAND LE TEMPS DE LA MOISSON ARRIVE ? Fébrile. Excitée, anxieuse, tout un tas de choses à la fois ! C’est un grand moment pour tous les districts. L’émotion, la tension, l’adrénaline sont au rendez-vous. C’est un moment que j’ai appréhendé durant mes années de formation, puisque chacun sait que les choses peuvent vite déraper, mais en même temps, c’est pour ça que j’ai choisi de devenir Pacificatrice. Venir en aide aux populations, encadrer les gens, maintenir l’ordre et représenter au mieux le Capitole.
JE VIENS D'UN MILIEU plutôt favorisé, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE m’a toujours été distribuée en suffisance et je n’ai jamais eu à souffrir de famine. DU COUP, MON NOM AVAIT peu DE RISQUES D'ÊTRE TIRE AU SORT. J'EXERCE LE MÉTIER DE Pacificateur ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'aime certains des aspects de ma profession... JE SUIS DANS LE 8ÈME DISTRICT. AYANT 20 ans JE ne peux plus PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET je me contente de suivre les Jeux de loin et de veiller à ce que l’ordre règne durant la Moisson et les diffusions.. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.
tell us your story. Son rire franc raisonne dans les rues du district et se répercute sur le béton tâché par les traces des incendies qui ont fait ravage dans le coin. Elle secoue la tête avec une réprobation amusée et adresse un sourire à son partenaire qui termine de s’esclaffer lui-même. Sans plus échanger un mot, ils continuent leur progression dans la ruelle qu’ils scannent avec un peu plus d’attention. L’endroit a l’air tranquille, mais n’est-ce pas toujours le cas avant qu’une tempête se déclenche ? La révolte a beau avoir été tuée dans l’œuf, les rebelles ne se sont pas volatilisés pour autant et la colère continue de gronder dans le cœur des hommes et femmes qu’elle croise chaque jour pendant et après son service. La sanction a été sévère mais la pacificatrice qu’elle est y a vu un bon moyen de marquer le coup et les mémoires dans un premier temps… Seulement, savoir que cent quarante-sept rebelles vont être exécutés pour leurs crimes en plus des pertes civiles provoquées par les combats, et côtoyer par la suite leurs voisins et familles endeuillés est une toute autre paire de manche. Si elle n’a jamais eu peur de les relever pour aller se salir un peu les mains, Loreley reste peu à l’aise face à toute cette situation. Elle n’est pas d’ici et ne connaissait ni les victimes, ni les agresseurs punis ou non. Tout ce qu’elle sait, c’est que pour eux, il n’existe que l’uniforme. Elle porte le blanc et représente tout ce que la population abhorre. Qu’elle ait participé ou non aux exécutions publiques importe peu : elle est tout de même coupable à leurs yeux, ce qui la contraint à rester constamment sur ses gardes. Elle fait pourtant partie de ceux qui tentent de faire oublier l’incident, essayent de se montrer conciliants avec les habitants du huit et de leur permettre de conserver leur humanité et un minimum d’honneur en ces temps difficile. Mais ça ne suffit pas à la placer hors de danger. Leur confiance bafouée jusque là est difficile à gagner et, si la pacificatrice peut tout à fait le comprendre, ça reste parfois terriblement frustrant à vivre. Il lui faut en plus de cela veiller à ne pas outrepasser ses fonctions ou se faire marcher sur les pieds et prendre à partie. Se montrer aimable et compréhensive est une chose, mais elle n’en oublie pas son but, qui est de faire régner l’ordre. Gare à celui qui tenterait de la prendre pour une imbécile en se servant d’elle et en abusant de son altruisme : il s’en mordrait les doigts. Si elle a appris à conforter d’une main, elle sait cogner de l’autre dans un même temps… Elle n’est pas prête à avoir recours à des pratiques contestables comme certains ici, mais elle n’hésiterait pas à rendre coup pour coup, assurément. » Tu fais quoi ce soir ? » J’en sais encore rien. » Tu veux venir suivre les Jeux avec nous ? On va s’réunir avec les gars chez Markus. Loreley détourne son regard un moment, se laissant le temps de la réflexion. A une époque, elle n’aurait pas refusé une telle soirée et sa perspective l’aurait absolument ravie. Mais depuis un moment, quelque chose la chiffonne quand elle se met à penser à tout ça… Aux Jeux, aux différences entre son district et celui où elle séjourne actuellement et dans lequel elle se sent… Comment se sent-elle réellement ici d’ailleurs ? Heureuse à priori, dans son élément au milieu de ces usines qu’elle a toujours rêvé d’explorer pour voir de vulgaire morceaux de tissu devenir de véritables œuvres d’art… En même temps, elle ne peut s’empêcher de ressentir ce malaise, ce nœud dans son estomac. Au départ, Loreley a mis ça sur le coup du simple dépaysement, sauf que sa famille ne lui manque pas tant que ça, elle s’est rapidement fait d’autres amis sur place et ses quartiers lui conviennent, tout comme son environnement. Alors quoi ? Ce qu’il y a, c’est qu’ici, elle se sent… comme une gamine naïve tout droit débarquée de sa campagne et qui ignore tout du monde. Pourtant, elle s’est toujours considérée comme une jeune fille intelligente et cultivée. Sa scolarité s’est déroulée sans encombre et son parcours militaire est envié de beaucoup. Certaines certitudes qu’elle avait sur la vie dans les districts se révèlent pourtant fausses. Les gens ne vivent pas ici comme au deux et elle a parfois l’air d’une extraterrestre, voire d’une simple imbécile quand elle converse avec ses nouveaux voisins. Ici, il faut se battre pour gagner sa croûte et même les plus farouches combattants ne sont pas toujours récompensés de leurs efforts. Les enfants trainent dans les rues, apprennent à se battre comme des hommes, à voler et mendier, et rares sont ceux qui restent sur les bancs d’école après leurs douze ans… Ici, elle est l’ennemie alors que chez elle, les Pacificateurs sont respectés, on s’enrôle même avec plaisir. Elle-même l’a fait en tout cas, désireuse de protéger et servir ses voisins au nom du Capitole… Ce n’est pas aussi prestigieux que de devenir carrière et d’être sélectionné pour l’Arène, mais c’est tout de même une profession respectable et ses parents ont été enchantés de la voir suivre cette voie. Pas au district huit pourtant. Les gens lui jettent des regards glaciales, méprisants ou apeurés dès qu’elle approche. Alors qu’elle vient simplement leur faire la conversation, ils s’imaginent qu’elle va les arrêter, les battre ou es menacer… Et elle ne peut pas le leur reprocher, elle a vu beaucoup de ses collègues agir de la sorte, soi-disant pour mater la racaille. Quand elle a tenté de s’interposer, on l’a remise à sa place. Elle peut comprendre que les récents évènements aient laissés des traces dans l’esprit des Pacificateurs, mais quelque chose lui dit que les choses vont ainsi depuis bien plus longtemps… que c’est même l’une des raisons des soulèvements qui ont coûtés tant de vies… » Si t’as pas envie, t’es pas obligé, reprend Doug, voyant qu’elle ne répond toujours pas. » Désolée, j’étais ailleurs. Je viendrai. » Super ! Elle s’essaye à sourire puis retombe dans son mutisme, affichant une moue contrariée qu’elle tente de dissimuler à son partenaire de patrouille. Son estomac est à nouveau noué tandis qu’ils débouche sur une rue plus large où circulent bon nombre d’habitants, qui lui jettent des regards à la dérobés. Des regards haineux, méfiants… Un autre qu’elle pourrait les punir rien que pour cela. Adonis Nightsprings, le chef des Pacificateur du D8 ne se serait sans doute pas gêné pour leur faire ployer le genou et baisser les yeux sur son passage… Encore que sa réputation était déjà faite et qu’ils ne se seraient sans doute pas permis ce genre d’attitude en sa présence. Loreley prend une inspiration et resserre sa prise sur son arme, relevant un peu le menton. Elle n’a aucune envie d’inspirer le respect par la peur, mais elle doit tout de même en insuffler un minimum pour s’éviter des désagréments et garantir tant sa sécurité que celle de son camarade. Elle ne doit pas avoir l’air d’une cible facile. Elle n’en est pas une. Alors qu’ils continuent leur déambulation, Doug reprend son babillage et elle l’écoute d’une oreille plus distraite que précédemment, son regard se promenant avec attention sur le décor que lui offre le district. Avant qu’elle n’arrive, Dwayne l’a décrite comme une fille maline et observatrice et elle compte bien lui donner raison en gardant l’œil et l’esprit ouverts. Jusqu’à ce que cette sensation de malaise la déserte enfin. Pour le pire, ou pour le meilleur.
reality is here.
Je suis une fouuuugèèèère ! FEATURING Emmy Rossum © somewhere on tumblr
Dernière édition par Loreley S. O'Connor le Sam 13 Juil - 12:33, édité 1 fois |
|