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Sujet: Δ Phoebus ~~ daydreaming into the night, but i'm alright Lun 3 Juin - 11:19
phoebus oberon donalbain
❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞
Phoebue Oberon Donalbain. Voilà son nom. Un nom qui le suit, un nom qui le définit. Des simples mots rattachés à sa personne pour toute sa vie. Et il en a déjà parcouru trente-six ans, de sa vie. Natif du district quatre, il était un enfant heureux, enthousiaste, entouré d'une famille aimante. Ainé, il avait des responsabilités, il en a toujours d'ailleurs, celles-ci ne partent jamais vraiment. Veiller sur les siens. Son frère et sa sœur. Il avait une vie rêvé. Il ne manquait de rien, car sa famille était réputée dans tout le district. Mais un jour, tout bascula. Un cauchemar dans un monde plein de rêve. Une marre de sang. Ses parents assassinés. Impuissant, il n'avait rien pus faire. Il les avait découvert, avec sa sœur, en rentrant de l'école, baignant dans une marre rougeâtre. Son petit frère avait disparu. Il ne lui restait plus rien. Seul avec sa sœur au beau milieu de se massacre. Ils furent par la suite élevés par leurs grands parents, aujourd'hui décédés. Ils ne manquèrent de rien, encore maintenant ils arrivent à tenir leur train de vie grâce à l'héritage. Quant au petit frère, ils n'en entendirent plus jamais parler.
Quelques années plus tard, une rebelle du district quatre vint l'informer que son père, bien que dans les petits papiers du ministère, donnait régulièrement des informations en faveur de la rébellion. Mais sa sœur ne partagea pas son enthousiasme du moment, et leurs chemins se séparèrent. Il se découvrit une sorte de vocation. Il devait entrer dans la cause rebelle, comme son père. Une mission. Et il avait réussi. Il réside maintenant au district treize, et s'est très bien habitué à la vie là-bas. A force de persévérance et de travail, il a obtenu le grade de Major, une grande fierté pour lui. Il ne peut revoir sa sœur qu'en cachette, au cours de ses rares missions au district quatre. Sa vie entière est dédiée à la cause rebelle. Il veut faire payer le Capitole, et il compte bien réussir. Phoebus est une personne franche et entière. Loyal et juste, certain lui reprocheront sa trop grande impulsivité.
about games and relative.
➺ COMMENT VOIS-TU TA MORT ?
Mourir sur le champs de bataille. Voilà comment je vois ma mort. Encerclé de pacificateur, un sourire narquois sur leurs visages. Ils m'ont eu. Il m'auront très certainement, un jour. Et ils seront plus que ravie de me transpercer le corps avec leurs couteaux. Mais je n'aurais pas fait tout ça pour rien. J'aurais aidé des gens. Les protéger, voilà mon devoir. Et je mourrai probablement en essayant de protéger ces gens là. Ces personnes souffrant de la famine, souffrant de la super puissance du Capitole. Je mourrai en défendant mes convictions, en restant comme je suis. Droit et juste jusqu'au bout, quoiqu'il arrive. La mort est une chose inévitable, naturelle. Et je préfère mourir dignement en aidant ceux qui en ont besoin, que de finir mes jours dans une des cages dorées du Capitole, attendant que la vieillesse face son devoir.
➺ APPRÉCIES-TU LE VISIONNAGE DES JEUX ?
Il me révulse, me révolte. Voir des gamins se massacrer dans une arène est quelque chose d'ignoble, de barbare. Qui sommes-nous ? Des sauvages à la recherche de sang et de mort ? La plupart des gens habitant le Capitole en raffole. Cela les divertie, les réjouie. Car ils savent très bien qu'ils ne seront jamais de l'autre côté de l'écran. Qu'ils n'auront pas à faire face à ce massacre inhumain. Ça me donne juste envie de vomir. Envie de les aire payer, envie de leur rendre l'appareil. Nous sommes comme des rats de laboratoire, impuissant face à ces événements. Alors oui, le visionnage des jeux est obligatoire, mais cela ne veut pas dire que nous devons l'apprécier, pas vrai ?
➺ COMMENT TE SENS-TU DANS LES SOUS-TERRAINS DU TREIZE ?
Venant d'un milieu aisé ; lorsque je les ai parcouru pour la première fois, je ne vais pas mentir, ce fut un assez gros choc. Je venais de quitter ma belle habitation du quatre, pour me retrouver dans des souterrain crasseux et sombres. Je n'arrivais pas à me dire que j'allais vivre ici. Tout le monde est logé à la même enseigne, je n'en avais pas l'habitude. Mais je m'y suis fit assez rapidement. Je n'avais pas le choix. Je voulais aider, alors il fallait que je m'adapte, c'était plus que nécessaire. Plus les jours passaient, et plus je me sentais mieux au sein de ce groupe. Aujourd'hui, je ne le quitterais pour rien au monde. Nous avons une mission, un devoir. Et nous allons l'accomplir au mieux, ensemble.
➺ QUEL EST TON OPINION SUR LES PACIFICATEURS, LEUR ROLE, LEUR COMPORTEMENT ?
Des vermines abusant de leur pouvoir, de leur droit. S'attaquant aux faibles, aux enfants, à ceux qui ne pourront pas rétorquer, se défendre. Je les hais, mais je les plaint également. Il ne font que suivre les ordres du Capitole. Ils n'ont pas vraiment le choix. Certains s'engagent par plaisir, par envie, mais d'autres y sot probablement forcés. C'est ceux-là que je plaint. Mais nous avons toujours le choix. Peu importe le sujet de notre problème, il y a toujours une solution quelque part. Alors je ne les excuse pas, mais je les comprend. Comment aurais-je réagi si on m'avais mis le couteau sous la gorge, m'ordonnant de torturer un enfant qui venait de voler une orange ? Je ne sais pas, et je ne préfère pas y penser.
➺ CROIS-TU AU BONHEUR ?
Le bonheur est une notion plutôt abstraite. Qui peut dire qu'il a déjà accédé au bonheur ultime ? Moi même je ne sais pas si j'ai déjà été vraiment heureux. C'est une chose subjective, propre à tout un chacun. Alors oui, j'y crois. Je veux y croire, que dans un future proche, un certain bonheur m'attend. Retrouver ma famille, ma sœur, mon petit frère. Les seules fois où j'ai vraiment été heureux étaient très certainement durant ma plus tendre enfance. Entouré de ma famille, de mes parents. Je les revoit encore, lorsque je ferme les yeux. Leurs rires, leurs sourires. C'est ce sentiment que je veux retrouver. C'est ce sentiment que je cherche désespérément, encore et encore. Et je ne m'arrêterais pas avant de l'avoir retrouver. Avant de pouvoir me dire que j'ai enfin réussi à atteindre mon bonheur.
JE VIENS D'UN MILIEU favorisé, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE est abondante. DU COUP, MON NOM A aucunes CHANCES. J'EXERCE LE MÉTIER DE major dans l'armée du treize ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'aime. JE SUIS DANS LE treizeÈME DISTRICT. AYANT trente-six ans JE ne peux plus PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET j'appréhende. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.
reality is here.
Hello ! Alors moi c'est Florian, et j'ai 19 ans Je suis pas étrangé au monde de MJ, parce que j'ai déjà eu deux personnages ici, mais par un grand manque de temps, j'ai dû les abandonner, malheureusement (mais j'étais Keagan et Marvel-Ceasar, si certain se rappel ^^) Mais je reviens en force, bien décidé à rester ! Les partiels sont passés, et j'ai du temps donc... En plus avec un scénario de la mort qui tue tout
Dernière édition par Phoebus O. Donalbain le Mar 4 Juin - 10:25, édité 7 fois
Invité
Sujet: Re: Δ Phoebus ~~ daydreaming into the night, but i'm alright Lun 3 Juin - 11:19
childhood is who we are.
Enfant insouciant, libre, heureux. L'enfant ne se souciait guère du future ou du passé. Tout ce qu'il lui importait était de vivre dans le présent. Maintenant. Profiter de chaque minutes, de chaque heures comme si la terre allait s'arrêter de tourner, comme si son monde allait s'écrouler. Et il finit par le faire, éventuellement. Rien n'est éternel, l'enfant le sait, l'enfant l'assume. Il décide tout simplement de passer outre cette loi de la nature, et de vivre. « Papa c'est quoi ça ? » Le jeune garçon pointait du doigt un énorme poisson tacheté que son père venait de retirer de la rivière. « Ça mon fils, c'est une carpe. » Il s'approcha de l'animal et posa sa main sur son dos visqueux. Il grimaça et la retira aussitôt, avant de saisir par la queue un amphibien plus petit qui gisait sur le sol non loin d'eux. Doucement, il s'approcha près de la fillette assise dans l'herbe près de leur mère et du bébé, à seulement quelques mètres d'eux. Il jeta le petit poisson dans la figure de sa sœur, avant de s'en aller en courant, craignant les représailles. A bout de souffle, il s'étala sur le sol. Le soleil lui léchait la peau, alors qu'un sourire vint fendre son visage. Un enfant. Un simple enfant qui ne se rendait absolument pas compte de la cruauté du monde dans lequel il vivait. De la barbarie des gens. Tout pouvait basculer en un battement de cil, et il le compris bien assez tôt.
Une légère brise venait fouetter son visage alors qu'il rentrait en courant chez lui, avec Caithness. L'école était fini, et il avait hâte de raconter sa journée à ses parents, à son petit frère. Mais il s'arrêta net devant la porte d'entrée à moitié ouverte. Quelque chose n'allait pas, quelque chose avait changé. Il pris sa sœur par l'épaule, et la plaça instinctivement derrière lui, avant de pousser la planche de bois et de pénétrer dans la maison. Il avançait doucement parmi les couloirs, devenus étrangement sombres. Un silence pesant régnait sur les lieux. Un silence de mort. « Papa. Maman. » Une trace de sang sur le plancher. Son cœur s'arrêta de battre. Il retint son souffle tout en suivant cette traînée rougeâtre. Il releva les yeux et poussa un cri de stupeur. D'horreur. Cette image serait gravée à jamais dans son esprit. Ses parents morts, assassinés sauvagement, baignant dans leurs sangs. Il couvrit les yeux de sa sœur, l’amena dans une autre pièce. Ils n'étaient que des enfants, ils n'étaient pas supposé voir ce genre de chose. Des larmes coulaient le long de ses joues. Quand soudain, une chose le frappa. Pris de panique, il lâcha Caith et se mis à parcourir toute la maison. « Thybalt ! » Personne. Il se précipita dehors, taché du sang de ses parents et pleurant toutes les larmes de son corps « THYBALT ! » Il avait disparu, sans laisser de trace. Introuvable. Phoebus se laissa tomber sur l'herbe douce et ferma le yeux. Il resta là pendant des heures, sans bouger, avant que ça sœur ne vienne le chercher.
ΔΔ
« Dis moi ce que tu sais ! » L'air était chaud, aride. La sueur perlait sur le front du jeune homme, qui sentait l'agacement monter en lui. L'été était déjà bien installé sur Panem, et le district quatre ne faisait pas exception. Bien au contraire. L'air salé de la mer avoisinante lui remontait jusqu'aux narines. Il n'allait pas rester planter là encore bien longtemps. Son poing commençait doucement à se lever, et son interlocuteur l'avait remarqué. « J'peux pas dire ce genre de chose, désolé. » L'homme voulu s’échapper, mais Phoebus le plaqua violemment contre le mur en pierre. L'intimidation n'était pas dans ses habitudes, mais il était si proche du but que ce constant suspens commençait sérieusement à lui taper sur les nerf. Cela faisait plusieurs mois qu'il enquêtait, qu'il posait des questions, qu'il cherchait des réponses. Et il était sur le point de les trouver. Il était sur le point de lever ce voile qui lui troublait l'esprit depuis tant d'année. Il resserra sa prise sur l'homme. Il ne rigolait pas, il n'avait plus envie de jouer. Son cœur battait la chamade, et sa respiration était courte. « Ok, ok. » Il le reposa sur le sol. Celui-ci se massa difficilement la gorge, et épousseta ses vêtements. « Ton père, il donnait bien des informations aux rebelles quand il en avait l'occasion. »
Le soleil lui tapait sur le crâne alors qu'il avançait dans les rues du district quatre. Mais il ne s'en préoccupait pas. Non, son esprit était ailleurs, sur cette révélation. Un sourire fendit son visage. Il s'arrêta devant une petite maison et frappa à la porte. Il ne pouvait plus retenir son excitation, il devait lui dire. Il était tellement euphorique, qu'il ne pouvait concevoir l'idée qu'elle puisse réagir différemment de lui. La jeune femme ouvrit la porte. Phoebus prit sa sœur dans ses bras, et l’entraîna dans la cuisine. « J'ai quelque chose à te dire Caithness, assied toi. » Elle s'exécuta. Il ne pouvait pas tenir en place. Faisant les cent pas dans la pièce, il élaborait son discours à voix basse. Comment lui annoncer ? Il se retourna vers la jeune blonde, et posa ses mains sur ses épaules. « J'ai trouvé des informations sur notre père Caith ! » La joie pouvait se déceler dans son intonation. Il repartir à l'autre bout de la pièce, avant de se planter comme un piquet. « Il donnait des tuyaux aux rebelles. » Un silence plana sur la demeure. Elle se leva, et commença à faire la vaisselle. Phoebus s'approcha, la pris dan ses bras. « Laisse moi... » Il relâcha son étreinte. Il ne s'était pas préparé à cette éventualité. Il voulait qu'elle soit ravie de cette nouvelle, comme lui l'avait été. Mais ce n'était pas le cas. Doucement, il prit la sortie. La porte claqua derrière lui. Le soleil descendait doucement dans le ciel. Il ne pouvait pas l'ignorer. Cette chose le rattachait à son père. Un but à atteindre. Continuer la tradition familiale. Il se devait de la faire. Il n'avait plus le choix.
ΔΔ
Assis sur sa couchette, il contemplait le plafond en métal. Cela plusieurs années qu'il se trouvait ici, dans ces souterrains. Le chemin avait été long, mais il avait réussi. Il perpétuait l'héritage laissé par son défunt père. Il se redressa, enfila ses chaussures. Il était plutôt difficile de se repérer dans les long dédales du district treize, au début. Mais petit à petit, il avait pris ses marques, si bien qu'il n'hésitait plus quand à quel chemin prendre. Instinctivement il tourna à droite, pis à gauche et encore à gauche avant d'arriver dans une vaste pièce bourdonnante de monde. La plupart des gens le saluait sur son passage. Il n'était pas n'importe qui. Il n'était plus n'importe qui. La méfiance avait disparut dans leurs regards. Bien entendu, pour certain, il resterait toujours l'étranger, celui en qui on ne peut pas avoir confiance, celui qui pouvait vous trahir à tout moment. Mais il était plus ou moins accepté par la majorité, désormais. Il s'assit devant la petite assiette métallique. De la bouillie, comme d'habitude. Mais il avait également appris à ne pas faire son difficile. Lui qui était habitué au luxe, à la grande nourriture, la chute avait été terrible, au début. Et puis, plus le temps passait, plus il s'y faisait. Il n'avait pas le choix.
« Major Donalbain, veuillez me suivre s'il vous plaît. » Il posa ses couverts, et suivit ce jeune homme. Une nouvelle mission, très certainement. Avec la rébellion ratée, et la moisson qui venait de prendre fin, le treize avait beaucoup à faire. Il espérait simplement tomber sur le district quatre. Revoir sa sœur. Ils ne pouvaient se voir que très rarement, maintenant. Devenue couturière, elle ne voulait pas prendre parti pour le Capitole ou pour le treize. Elle menait simplement sa petite vie tranquille. Et leurs rencontres étaient désormais constituées de reproches. Ils s'aimaient profondément, mais Caithness n'acceptait pas que Phoebus puisse mettre sa vie en danger pour des gens qu'il ne connaissait même pas. Il s'arrêta devant l'imposante porte. Lorsqu'il en reçut le signal, il pénétra dans la petite salle. Encore une journée de travail. Encore une journée à défendre son idéologie, celle de son père. Encore une journée banale, en sommes. Mais rien n'était banale dans sa vie, plus maintenant, plus depuis qu'il avait perdu ses parents, son petit frère. Son cœur se serra à cette pensé. Thybalt. Son visage était à jamais gravé dans son esprit. Qu'était-il devenu ? Était-il toujours en vie ? Tant de question et si peu de réponse. Tant de chose qu'il devait élucider. Tant de zone d'ombre à éclaircir. Et le temps lui manquait, terriblement. Mais il ferait tout ce qui était en son possible pour protéger les siens. Voilà pourquoi il faisait ça. Protéger Caithness, retrouver Thybalt. Retrouver sa vie, sa famille, et partir loin. Très loin de ce chaos incessant.
Dernière édition par Phoebus O. Donalbain le Mar 11 Juin - 9:38, édité 4 fois
Thybalt M. Homens
△ correspondances : 8988 △ points : 29 △ multicomptes : raven, gwendal, eurydice (denahi) △ à Panem depuis le : 22/12/2011△ humeur : désabusé △ âge du personnage : trente quatre ans △ occupation : médecin de campagne ~ bras droit du chef des rebelles
Sujet: Re: Δ Phoebus ~~ daydreaming into the night, but i'm alright Lun 3 Juin - 12:28
ReBienvenue sur MJ Bonne chance pour ta fiche
Reed Emerson
△ correspondances : 1464 △ points : 11 △ multicomptes : Charlie la Pacificatrice, Juju le Rebelle & Gold la rêveuse (Ex Elyas) △ à Panem depuis le : 09/01/2013△ humeur : Se sent vide et abandonné, désespéré par la chute de Coin et l'échec de la rébellion. △ âge du personnage : Vingt-six ans △ occupation : Sniper dans l'armée du Treize