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fermeture du forum le forum ferme ses portes après six ans d'existence. merci pour tout, on vous aime. |
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| Ariel Meery, la fille aux cheveux de feu [Terminé] | |
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Auteur | Message |
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| Sujet: Ariel Meery, la fille aux cheveux de feu [Terminé] Jeu 14 Mar - 15:56 | |
| Ariel Meery❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞ Se décrire n'est jamais une chose facile. Il est plus simple de demander a ses proches de dire ceux qu'il voient, ou ce qu'ils connaissent de vous car c'est bien plus simple ainsi. Ma mère vous en dirait tant sur moi.... Elle vous parlerai de ma peau aussi blanche que la neige, de mon teint juvénile qui donne toujours l'impression que je suis une petite fille dans un corps trop grand pour elle. Elle vous expliquerai comme la couleur de mes yeux lui fait penser à cette drôle de couleur entre le bleu et le vert que l'on vois parfois sur les pétales de certaines fleurs. Je suis également certaine qu'elle en rajouterai des tonnes là dessus, vous parlant des reflets qu'ils peuvent prendre selon le temps, de cet air si triste et désemparé qui les emplissent quand j’entends parler de ma sœur. De la lourdeur qu'il prennent lorsque je dors, me donnant toujours un petit air soucieux qui ne me va pas tant que ça. Puis elle continuera comme une bonne marieuse quelle aimerai être pour moi en parlant du rose qui me monte aux joues les jours de printemps lorsque je sors très tôt le matin pour ramasser des herbes, de mes sourires si rares et qui pourraient faire fondre le plus cruel des pacificateurs...De la douceur de mes cheveux, de l'effet soyeux qu'il ont au touché, de cette couleur soleil qu'ils prennent a l'aurore quand l'astre du jour disparait au loin, et du reflet flamboyant de ceux ci. Mais je ne suis pas qu'un jolie visage comme ma mère aimerait à le faire croire. Je suis assez grande pour mon age! Un mètre soixante dix, selon les dernière mesures, et de mon allure si distinguée qui fait détourner le regard des garçons. De cette poitrine qui s'est développée ces dernières années et qui as aujourd'hui un jolie dimension, sans en faire trop non plus, de sorte que j'ai l'air d'une de ces poupées hors de prix que l'on vois parfois dans les mains des enfants du capitole. Mes vêtements eux font penser à une petite fille. J'aime les robes simples, à bretelle l'été, a manche longue l'hiver ou surmontés d'un petit gilet de laine. Il faut dire que c'est un luxe que d'être coquette dans ce district ou la misère guette à chaque coin de rue, ou l'on vois les enfant, les vieillards, mourir de faim à toute heure de la journée. Pourtant j'arrive toujours à être mignonne. Mais je suis fille de commerçante, pharmacienne comme on dit ici, ce n'est donc pas si compliqué que cela. Mais au delà de l'apparence que je peux avoir, il y a aussi mon esprit, mon caractère, ma façon de voir ce monde ou les riches tel des monstres cachés dans vos placards la nuit attendent de se repaître de votre sang chaque année. Je ne saurai que dire sur ce point, sinon que j'essaye de vivre de façon heureuse. J'essaye de sourire aussi souvent que possible, j'aide ma mère et les gens du district en les soignants comme je peux lorsque ma mère ne le peux pas. Je suis « La jumelle survivante» comme on m’appelais il y a de ça quelques années. La jumelle survivante....ai je vraiment survécu ? Car si je marche, bouge, mange, respire, au plus profond de moi, je ne sens que le vide...le néant. J'éprouve une haine sans nom pour le capitole qui as mené à ma sœur à la mort, pour cette fille du district cinq sortie vainqueur cette année là, Pour tout ces gens acclamant le meurtre de ma sœur...mon meurtre... Oui, au fond de moi je suis amer, triste, furieuse...mais je ne peux le montrer, alors je souri...oui je souri et je vis...que puis je faire d'autre? ! about games and relative.
➺ COMMENT VOIS-TU TA MORT ?
Un soir plein de pourpres et de fleuves vermeils Pourrit, par au-delà des plaines diminuées, Et fortement, avec les poings de ses nuées, Sur l'horizon verdâtre, écrase des soleils. Saison massive! Et comme Octobre, avec paresse Et nonchaloir, se gonfle et meurt dans ce décor Pommes ! caillots de feu ; raisins ! chapelets d'or, Que le doigté tremblant des lumières caresse, Une dernière fois, avant l'hiver. Le vol Des grands corbeaux ? il vient. Mais aujourd'hui, c'est l'heure Encor des feuillaisons de laque - et la meilleure.
Les pousses des fraisiers ensanglantent le sol, Le bois tend vers le ciel ses mains de feuilles rousses Et du bronze et du fer sonnent, là-bas, au loin. Une odeur d'eau se mêle à des senteurs de coing Et des parfums d'iris à des parfums de mousses. Et l'étang plane et clair reflète énormément Entre de fins bouleaux, dont le branchage bouge, La lune, qui se lève épaisse, immense et rouge, Et semble un beau fruit mûr, éclos placidement.
Mourir ainsi, mon corps, mourir, serait le rêve! Sous un suprême afflux de couleurs et de chants, Avec, dans les regards, des ors et des couchants, Avec, dans le cerveau, des rivières de sève. Mourir! comme des fleurs trop énormes, mourir! Trop massives et trop géantes pour la vie! La grande mort serait superbement servie Et notre immense orgueil n'aurait rien à souffrir! Mourir, mon corps, ainsi que l'automne, mourir!
➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ?
Du défouloir éructant de ma logorrhée jaillissent des chapelets de jurons. Des trucs immondes, grossièretés sans fond, pleins tissus de saloperies suintant la pourriture excrémentielle, fleurant la fange putride, mélange de souffre et d'haleine empuantie. Éjaculateur infatigable d'insanités pestilentielles, je dégoise sans compter mes sinistres gravelures. Elle est partie… Le monde s'écroule. Sous mes pieds la terre s'ouvre, découvre un enfer de désespoir, et l'appartement tremble à mes cris d'animal blessé. Ma jumelle est partie… C'était exposé là, sur cet écran stupide, quelques image rapide, signées d'un "Adieu" sanglotant. Elle est partie… Couteau planté en plein cœur, tessons brûlants fouillant la chair, tisons à transpercer l'âme, mon corps n'est que douleurs, ma tête un champ de ruines. Elle est partie… Rejoindre l'Autre. Ça ne pouvait être autrement. Elle est partie pour lui. Et mes meurtrissures se ravivent. Alcool à 90° sur plaies béantes.
- Nôôôôôôôôn ! ! !
L'Autre… Depuis des semaines je soupçonne sa présence occulte, sournoise. J'hurle de plus belle. Des imprécations tout droit sorties de l'enfer. Un voisin a sonné. Venu me témoigner son interet, me quémandant un peu plus de pondération.
-Nôôôôôôôôn ! ! !
Il est devenu blanc, blanc et tremblant. Il est reparti, plus un mot, rien à dire, je peux bien gueuler si je veux puisque je souffre, il comprend le brave homme et titube en s'en allant, la trouille au ventre, la trouille de mes mots, de ma face altérée. La maison pour gueuloir indécent je vomis et ma bile et ma haine, expectore des crachats engluantis de rage.
- Nôôôôôôôôn ! ! !
L'Autre… Des semaines que je pressens son existence. Lui imagine une vie, un visage. Des mois déjà, le maquillage attentionné, les lèvres au rouge soigné, les mains manucurées. Et les bas de nouveau sortis du placard, les toilettes élégantes, les sous-vêtements raffinés. Pour lui ! Pour l'Autre ! Hydre malfaisante, fourbe prédateur, charognard sans scrupule. Sur l'Autel des condamnés je t'immolerai, t'écartèlerai mais lentement, sur le bûcher mais à petit feu. Elle est partie… Je demeure, anéanti. Imparable K.-O… J'ouvre le meuble du séjour. Service en porcelaine Bernadeau de Limoges, cadeau de tes grad-parents, tes chers grand-parents qui nous ont tant aimé et maintenant tu es partie. Les assiettes volent, se brisent avec fracas. Ma tête est un chantier je ruinerai la maison et nos souvenirs sous le regard affable de celle qui de ses tripes t'as vomis. Souvenirs d'une vie passée. Tu es partie. Tu as préféré l'Autre… Le sol n'est qu'un monceau de vaisselle brisée. Je me coupe. Quelques égratignures de plus sur mon corps d'écorchée. Le salon est en ruines comme ma vie est détruite. Dans la cuisine je regarde encore et encore le petit écran assassin, trois mots pas davantage pour me clouer au pilori d'une souffrance éternelle. Trois mots pas davantage, signées d'un "Adieu" sans appel. "Adieu", deux syllabes guillotinent mon futur. Je flatte ma douleur. T'imagine dans les bras de l'Autre, me torture l'intérieur, lui as-tu dit je t'aime, flagelle l'épicentre de ma folie amère. Les lèvres de l'Autre, limaces vieillissantes sur ta bouche adorable.
- Nôôôôôôôôn ! ! !
Les meubles subissent mon trop plein de fureur, une chaise en gourdin je frappe et je cogne. Ravage la cuisine . Sous mes assauts les placards se disloquent, les vitrines se crèvent et les étagères chutent. Le frigo renversé répand au sol ses restes de poulet dans un fleuve de lait. Je le savais, j'avais vu l'Autre te chavirer, t'ensorceler dans un filet de mensonges. Je l'ai dit, tu as ri en jurant aux grands dieux qu'il n'y arriverait jamais. Personne d'autre que moi.Personne d'autre que nous. Et pour me prouver ta sincérité tu m'as entraîné dans tes bras, bousculé sur le divan, ce grand sofa muet dernier témoin de nos amours éperdues. Admirable catin qu'as-tu fait ? Passer après l'Autre ? Jamais ô jamais je n'accepterai de subir tel affront. Je t'ai repoussée. Et aujourd'hui cette gifle cinglante, cet "Adieu" désespoir. Je suis seul et je hurle
- Nôôôôôôôôn ! ! !
J'insomne la nuit de nos voisins, ils tapent aux murs pour me dire "Calme !" mais n'osent se présenter, c'est terrible un animal blessé et peut-être dangereux. Délateurs impuissants ils composent en secret police au secours une forcenée venez vite oui, la deuxième droite. Souffrir on comprend mais en silence comme les gens bien élevés, demain nous travaillons, les enfants dorment… Je le sais ! Appelez vibrants zélateurs de la moralité, Ils peuvent bien venir faire hurler leurs sirènes. Quand ils seront là j'aurais effacé toute trace du passé. Appartement renversé en un tas d'immondices, le temps fera son œuvre, les milles et un objets d'un bonheur enfui décomposés en un terreau stérile. Attila irréductible je renverse brise éclate détruit foule aux pieds le passé commun. Tout doit disparaître rien ne doit subsister. Une seule chose demeure. Quelques mots prononcés et un "Adieu" tranchant. Je les grave sur mon cœur pour mieux le faire saigner. Le grand miroir de la salle de bains ne m'a pas résisté. Il t'a vue nue, il doit oublier. Sept ans de malheur. Futile bagatelle puisque tu es partie. Le saint du saint est encore épargné. La pensée de l'Autre gonfle ma déraison, porte ma violence. Devant la porte de notre chambre je revois nos jeux. Parles-tu à son coeur comme tu parlais au mien ? Je le croyais unique objet de ton amour, de ta gourmandise, de ta convoitise. Dis ? ! Parles-tu à son coeur ? Je n'ouvre pas la porte. D'un coup de pied vengeur je l'enfonce, qu'elle laisse enfin passer ma souffrance aveugle, ma fureur destructrice. Elle est là… Dans notre lit, notre grand lit témoin muet de nos étreintes. Il est là, monstre défunt de nos amours meurtri par ton départ. Les draps sont rouge sang. Qui donc lui a asséné ce coup de grace? Qui ? Je défaille. Mon cœur s'arrête. "Adieu" c'était donc ça… Ce trou béant dans le fond de mon cœur et le souvenir de nos jeux déchiqueté dans le sang de nos souvenirs… Tu as préféré l'Autre… Ma jalousie de damnée invente seule cette affabulation délirante ! J'étais la seule et tu m'aimais… - Non… Ô Nôôôôôôôôn ! ! ! En mon être il ne reste qu'un souffle de vie. Je m'allonge à tes côtés. Adieu… ma vie...Adieu moi même
➺ QUE PENSES-TU DES VAINQUEURS DES JEUX ?
Personne ne sait comprendre, ne peut pénétrer ce qu'une victime des jeux de la faim ressent. Chacun souffre "au singulier". Il est difficile de recréer le voisinage, les amitiés nouvelles avec un cœur profondément meurtri. On s'isole de la vie normale, de la société dansante, euphorique, superficielle... Un homme à qui je conseillais de s'approcher des autres pour ne pas sombrer dans la solitude, m'a répondu : "je suis un cadavre, je sens mauvais". Il entretient ainsi sa solitude, sa souffrance qui grandit à chaque seconde, et jusqu'où ? Sans passé, sans enfance, car déraciné. Ce rescapé a un problème de réintégration, il est tel un sans famille, un sans logis, un sans voisinage, sans moyens. Seul avec ses blessures morales ou physiques. Tout est devenu étranger autour de lui : les gens, les maisons, la vie; tout ce qu'il aimait dans son pays est englouti à jamais, on n'a plus rien du passé : les êtres humains, la maison, l'enfance, les biens, les photos, etc. Rien ne nous accroche dans ce pays que des souvenirs amers. Le rescapé reste inconsolable, il se résigne mais reste un révolté, un impuissant éternel devant la vie. Il ne sait pas quoi faire, l'environnement social ne le comprend pas, et lui non plus ne se comprend pas.
Hallucinations, obsessions, oubli total jusqu'aux noms, aux figures, aux lieux. On soupçonne tout le monde, toute personne est devenu un possible tueur pour toi, car même ceux qu'on a connus et aimés ont tué. On essaie de recréer le passé en ramassant partout des photos des disparus, on ne parle que d'eux, de leurs actions, de leurs vies. On ne se sent bien que là où on parle de l'arène, ailleurs on se sent étranger. C'est pourquoi les vainqueurs se recherchent, car ils sont unis par la douleur unique au monde, les autres gens sont exaltés par ce génocide, alors on les évite, on est solitaire, "seul". Des gens sont devenus fous, d'autres muets, on voit ces enfants morts partout.
Un vainqueur est devenu adulte quelque soit son âge, Tout de suite après le génocide, l'enfant pauvre survivant s'est adapté aux doucereuses conditions de vie. Il sais qu'il n'est plus un enfant, il est un survivant. Il sais qu'il n'est plus citoyen de Panem...il est mentor de ces jeux amères. Et pour cela...je leur accorde la plus profonde des pitiésPersonne ne sait comprendre, ne peut pénétrer ce qu'une victime des jeux de la faim ressent. Chacun souffre "au singulier". Il est difficile de recréer le voisinage, les amitiés nouvelles avec un cœur profondément meurtri. On s'isole de la vie normale, de la société dansante, euphorique, superficielle... Un homme à qui je conseillais de s'approcher des autres pour ne pas sombrer dans la solitude, m'a répondu : "je suis un cadavre, je sens mauvais". Il entretient ainsi sa solitude, sa souffrance qui grandit à chaque seconde, et jusqu'où ? Sans passé, sans enfance, car déraciné. Ce rescapé a un problème de réintégration, il est tel un sans famille, un sans logis, un sans voisinage, sans moyens. Seul avec ses blessures morales ou physiques. Tout est devenu étranger autour de lui : les gens, les maisons, la vie; tout ce qu'il aimait dans son pays est englouti à jamais, on n'a plus rien du passé : les êtres humains, la maison, l'enfance, les biens, les photos, etc. Rien ne nous accroche dans ce pays que des souvenirs amers. Le rescapé reste inconsolable, il se résigne mais reste un révolté, un impuissant éternel devant la vie. Il ne sait pas quoi faire, l'environnement social ne le comprend pas, et lui non plus ne se comprend pas.
Hallucinations, obsessions, oubli total jusqu'aux noms, aux figures, aux lieux. On soupçonne tout le monde, toute personne est devenu un possible tueur pour toi, car même ceux qu'on a connus et aimés ont tué. On essaie de recréer le passé en ramassant partout des photos des disparus, on ne parle que d'eux, de leurs actions, de leurs vies. On ne se sent bien que là où on parle de l'arène, ailleurs on se sent étranger. C'est pourquoi les vainqueurs se recherchent, car ils sont unis par la douleur unique au monde, les autres gens sont exaltés par ce génocide, alors on les évite, on est solitaire, "seul". Des gens sont devenus fous, d'autres muets, on voit ces enfants morts partout.
Un vainqueur est devenu adulte quelque soit son âge, Tout de suite après le génocide, l'enfant pauvre survivant s'est adapté aux doucereuses conditions de vie. Il sais qu'il n'est plus un enfant, il est un survivant. Il sais qu'il n'est plus citoyen de Panem...il est mentor de ces jeux amères. Et pour cela...je leur accorde la plus profonde des pitiés
➺ APPRÉCIES-TU LE VISIONNAGE DES JEUX ? Abjecte flétrissure de l'ame, paroxisme de mon angoisse et de ma haine, les jeux, amère dejection aux allures mortifères m'embomant de leur haine et de leur tristesse, flot continu de larmes aux gouts salés de ce peuple qui trop longtemps s'est vu exploité, martyrisé. Quel joie peut on avoir à observer la mort en son plus simple appareil, excroissance vulgaire des interet du peuple d'en haut...du capitole...
➺ COMMENT TE SENS-TU QUAND LE TEMPS DE LA MOISSON ARRIVE ? Comment se sent l'oiseau pris en cage ? Quel peur envahi le corps du poisson lorsque le filet se referme, quelles larmes coule sur le visage de la mère qui vois son enfant disparaitre derrière les portes de l'hotel de justice destiné à mourir pour l'allégorie du peuple...quelle angoisse enserre mon être lorsque la main etrangère de cette créature famélique du capitole plonge sa main, serpent infecte dans la boule de verre fumée contenant le nom de celle qui bientot par le monde se fera dévoré..
JE VIENS D'UN MILIEU favorisé..., AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE est abondante/.... DU COUP, MON NOM A six CHANCES/RISQUES D'ÊTRE TIRE AU SORT. J'EXERCE LE MÉTIER DE lycéenne ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'je n'aime pas.... JE SUIS DANS LE cinquième DISTRICT. AYANT 15 JE peux PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET j'appréhende la prochaine moisson . ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.
tell us your story. Mon histoire commence,je présume comme celle de tout habitant de Panem.. Du moins ceux de mon district. Mon district est assez éloigné du capitole, pourtant sans nous, cette grande cité ne pourrait pas fonctionné sans nous, qui nous occupons de l 'électricité. Ma mère est pharmacienne dans le district. Normalement tout le monde est censé aller travail aux usines pour la création et l’entretien des circuits électrique, mais comme dans tout district il faut des commerçant et ma mère est plus ou moins de ce genre. C'est elle qui soigne les blessés, de la simple toux au plaies les plus immondes. Mais revenons à ce qui vous intéresse, ma vie, du moins, le prélude de celle-ci, car comment peut on dire qu'on se soit construit une vie à a peine quinze ans, dans l'un des districts les plus triste de tout Panem. Nous vivons dans ce qui semble être une ancienne gville de ce pays que l'on appelé il y a si longtemps, Amérique du nord, ou États-Unis d’Amérique si l'on veux être plus précis. Comme le rappelle chaque année le Capitole, nous étions treize district autrefois, chacun à sa spécialité, l'electricité pour nous. Le district cinq à était construit sur ce que l'on appellé autrefois l'Arkansas, l'Oklahoma et le Missouri. Je le sais car un jour alors que je fouillais dans les décombres d'un immeuble à la recherche de plantes médicinales, je suis tombé sur une sorte de carte de Panem avant les cataclysme. Et dans tout cela je me suis amusée à situé chacun des district dans les états de ce pays qui est aujourd'hui le notre. Cela ne sers peut être à rien, mais j'ai toujours aimé savoir des choses que les autres ne savent pas, et ne sauront certainement jamais. Bref, Je m'appelle donc Ariel Meery Fille unique depuis trois ans. Oui. J'avais une sœur, une sœur jumelle avec qui je partageais tout, qui était mon reflet dans ce monde. Et que j'ai vu mourir lors de la soixante-quatorzième édition des hunger games, abattue comme un animal à l'aide d'une lance par un de ces salopard de carrière. Depuis, je ne peux m’empêcher de me réveiller chaque nuit hurlant de terreur, le corps recouvert de sueur. Je revois ce corps qui était aussi le mien se déchirer en deux lorsque l'épieu vint se ficher dans son thorax, la transperçant de part en part, la laissant retomber telle une poupée de chiffon avant cet immonde coup de canon annonçant que j'étais désormais incomplète pour le restant de mes jours. Bien entendu dans la journée qui suivi, nous reçûmes le cercueil en sapin grossier dans lequel reposez le corps de ma défunte sœur. Mais je ne pue me résoudre à l'enterrer ainsi, et nous fîmes rouvrir le cercueil, lui mettant une de ses plus belle robe, agrémentant sa chevelure rousse encore marqué par le fer a frisé qui avais servi à en faire la plus exquise créature que mes yeux aient jamais vu deux jours auparavant, lors de son interview ou elle avait fièrement indiquer:
«Même si je meurs, une part de moi continuera vivre...»
C'était sa façon de me redire que même si elle ne s'en sortais pas....ce qui était plutôt fréquent pour les tributs du district cinq, il fallait que je continue à vivre pour elle, pour que le capitole n'ai pas pleinement gagné. Puis une fois parée de fleurs, nous fermâmes son cercueil, dissimulant à tout jamais son visage radieux aux doux rayons du soleil.
Puis le temps passa. D'une fillette maigrelette, aux jambes aussi épaisses que des bâtons de bois, je devins une splendide jeune fille. Du moins c'est ce que ma mère me répétée sans cesse. Et il était vrai que les garçons commençait à intéressés à moi, mais très peu d'entre eux osaient m'approcher, moi, la jumelle survivante. Étrangement depuis ce jour, je voue une haine sans nom pour le district un et me réjouis de les voir mourir depuis lors des éditions précédentes. Pourtant, ce n'est pas eux qui ont tué ma sœur, c'est le capitole et sa foutue loi des hunger games.
Bien entendu, personne ne m'entendra jamais proférer ce genre de choses a haute voix, je risquerai de me faire tuer sur le champs par les pacificateurs et ma mère avec surement. Mais j'avoue que j'aurai profondément aimée pouvoir crachée au visage du gagnant de cette édition lors de la tournée de l'année qui suivie.
Pourtant, j'avale ma rancoeur chaque jour. Je souris, j'essaye de vivre cette vie qu'on as volée à ma sœur en priant pour que mon nom ne sorte jamais dans cette loterie de la mort. J'y ai déjà échappée trois ans de suite, mais je doit encore prier durant trois longues années avant d'être totalement libérée de cette peur viscérale de me retrouvé dans l'arène à devoir combattre d'autres adolescents.
Cette année ce tiens, les soixante-dix-septième hunger games. La moisson approchante nous découvrirons sous peu les noms de ceux qui irons mourir dans l'arène pour la gloire des jeux. Mais ensuite? Qui me dit que je n'entendrais plus jamais le nom de Meery dans le micro?
Pour l'instant je me raccroche à l'espoir que ma sœur me protège de là ou elle est, en compagnie de mon père mort lors d'un accident à l'usine. Qu'il veillent sur nos vies à moi et maman. Maman, cette femme si belle, si forte, aux longs cheveux roux comme les miens, qui as failli tomber dans cet enfer qu'est la drogue... Comment pourrait elle survivre si sa seconde fille servais de pâture à ces monstres colorés du capitole?
Surtout avec ces tesseraes que j'ai du prendre l'année suivant la mort de Scarlett. Cette année maudite ou ma mère dû faire son deuil dans la somnolence et les pleurs. Je ne peux pas être appelée au sacrifice...non c'est impossible....
reality is here.
Ma petite présentation personnelle, c'est sympa comme idée plutot qu'avoir à répondre à des questions, bon alors *passe en mode raconte sa life* je suis né par un froid jour de novembre....nan on va faire plus simple vous pouvez m'appeller Léo. J'ai...un certain age que je ne nomerai que comme etant mon vieil age! (si vous voulez chercher mon age est egale à la factorielle de 4). Je vis avec mon petit ami on se mari fin de l'année. sinon je suis agent de voyage et j'adore ce que je fais Pour ce qui est d'Hunger Games j'ai découvert avec le film, je l'avoue mais n'est pas tardé à me ruiner en livre pour tout lire, je crois que j'ai mis 4 jours pour lire la trilogie, merci le café tu es mon ami! o/ J'adore tout simplement l'idée, le contexte et surtout la morale qui se cache derrière que je trouve absolument superbe. J'ai était modérateur sur un forum Hunger Games, mais suite à pas mal de souci sur ce dit forum et à une ambiance qui n'a cessé de se degrader pour diverses raisons, j'ai quitté ce lieu et mon personnage que j'aimais à la folie! Bien sur je suis trop accro à Hunger Games pour faire sans rpg et c'est donc environ 2 mois apres que je viens vous rejoindre, ce forum me semblant vivant, accueillant et des plus sympathiques. Autre chose je suis un grand grand fan de la petite sirène et ce smiley :ariel: m'as fortement incité à m'inscrire car vous ne pouvez qu'être de gens bien pour avoir ce genre d'emoticone x) FEATURING celebrity © COPYRIGHT frostingpeetaswounds.tumblr
Dernière édition par Ariel Meery le Ven 22 Mar - 7:49, édité 7 fois |
| | | Thybalt M. Homens △ correspondances : 8988 △ points : 29 △ multicomptes : raven, gwendal, eurydice (denahi) △ à Panem depuis le : 22/12/2011 △ humeur : désabusé △ âge du personnage : trente quatre ans △ occupation : médecin de campagne ~ bras droit du chef des rebelles
| Sujet: Re: Ariel Meery, la fille aux cheveux de feu [Terminé] Jeu 14 Mar - 16:41 | |
| Bienvenue sur MJ Une rousse J'aime les rousses Bon courage pour ta fiche |
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| Sujet: Re: Ariel Meery, la fille aux cheveux de feu [Terminé] Jeu 14 Mar - 19:41 | |
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| Sujet: Re: Ariel Meery, la fille aux cheveux de feu [Terminé] Jeu 14 Mar - 19:45 | |
| Merci ^^ je suis impatient de reprendre le rp sur le thème Hunger Games ça me manque franchement trop |
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| Sujet: Re: Ariel Meery, la fille aux cheveux de feu [Terminé] Jeu 14 Mar - 20:12 | |
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| Sujet: Re: Ariel Meery, la fille aux cheveux de feu [Terminé] Jeu 14 Mar - 20:17 | |
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| | | Swain Hawkins △ correspondances : 5710 △ points : 0 △ à Panem depuis le : 18/06/2012 △ humeur : I'm a fucking monster. △ âge du personnage : 38 y.o.
| Sujet: Re: Ariel Meery, la fille aux cheveux de feu [Terminé] Jeu 14 Mar - 21:22 | |
| Rousse+district5+Ruby en prénom= I like it Bienvenue sur MJ |
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| | | | Silk Preston △ correspondances : 1057 △ points : 0 △ multicomptes : Fenugreek (✝) Auden (D2) △ à Panem depuis le : 01/04/2012 △ âge du personnage : 32 ans
| Sujet: Re: Ariel Meery, la fille aux cheveux de feu [Terminé] Ven 15 Mar - 2:14 | |
| Bienvenue Agent de voyage ? BTS VPT sous le coude ? Enfin si tu habites en France. Oui je suis curieuse. |
| | | Reeven-Sham Skenandore △ correspondances : 1381 △ points : -5 △ multicomptes : ❝ ever (d13) & sagitta (kaput) △ à Panem depuis le : 02/12/2012 △ humeur : ❝ dans un petit coin de paradis où tout va enfin bien, aux côtés de cette famille qui n'avait pas pu voir le jour △ âge du personnage : ❝ dix-sept ans
| Sujet: Re: Ariel Meery, la fille aux cheveux de feu [Terminé] Ven 15 Mar - 2:29 | |
| WILKOMMEEEEEN OMG OMG OMG MATH, KAS, JUDORANGE, UN AUTRE MÂÂÂÂÂLE Bien la venue par minous !! C'cool que t'es pris le 5 Moi de même, j'adore ta plume ALLEZ, VOILÀ TON COUP DE FOUET SYMBOLIQUE PETIT HOMME, ET VA VERS L'HORIZON |
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| Sujet: Re: Ariel Meery, la fille aux cheveux de feu [Terminé] Ven 15 Mar - 7:06 | |
| Merci à tous pour votre accueil ^^
Mycroft : Docteur Who ** je t'aime!!!!
Siklpreston : Titre pro plutot que BTS ça forme mieux et c'est en 9 mois plutot que 2 ans :p
Reeven : Oh oui, fouette moi j'adore ça x) |
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| Sujet: Re: Ariel Meery, la fille aux cheveux de feu [Terminé] Ven 15 Mar - 23:40 | |
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| | | Reeven-Sham Skenandore △ correspondances : 1381 △ points : -5 △ multicomptes : ❝ ever (d13) & sagitta (kaput) △ à Panem depuis le : 02/12/2012 △ humeur : ❝ dans un petit coin de paradis où tout va enfin bien, aux côtés de cette famille qui n'avait pas pu voir le jour △ âge du personnage : ❝ dix-sept ans
| Sujet: Re: Ariel Meery, la fille aux cheveux de feu [Terminé] Sam 16 Mar - 3:27 | |
| Nan, toi t'es MON mâle, nuance |
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| Sujet: Re: Ariel Meery, la fille aux cheveux de feu [Terminé] Sam 16 Mar - 9:19 | |
| vile femelle ( bon, j'arrete de flooder c'est mal ) |
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| Sujet: Re: Ariel Meery, la fille aux cheveux de feu [Terminé] Mar 19 Mar - 20:32 | |
| /me viens voir ce que deviens sa fiche |
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| Sujet: Re: Ariel Meery, la fille aux cheveux de feu [Terminé] | |
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| | | | Ariel Meery, la fille aux cheveux de feu [Terminé] | |
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