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Sujet: stubborn love ◮ ft. arizona Mar 16 Avr - 18:44
STUBBORN LOVE
The opposite of love's indifference. Pay attention now, I'm standing on your porch screaming out and I wont leave until you come downstairs.
Suffocation. Trop grand. Trop pimpant. Trop guindé. Dès l’instant que je mettais les pieds dans cette ville symbole de despotisme, j’étais en proie à des hauts le cœur. Les femmes se pavanaient de leur plus belle parure, tatouée à d’endroits inimaginable et ayant l’air de venir d’une autre planète. Ils avaient de l’argent et ils le montraient. Moi, je n’avais même pas assez d’argent pour m’acheter un repas en bonne et due forme. Alors qu’ici, la nourriture et le luxe arrivait en un seul claquement de doigts. Je continuais sans cesse à me demander si ces gens étaient heureux d’avoir tout ce qu’ils désiraient tout de suite. Pour moi, c’était plutôt plus t’en chie et plus t’es heureux après. C’était le summum de la joie que de travailler dur pour avoir ce qu’on désirait et finalement, lorsqu’on possédait cet objet de désir après l’effort, on se disait que toute cette sueur en valait le coup. C’était ma philosophie, mais les gens du Capitole ne semblaient pas de cet avis-là. J’étais dans cet endroit détesté de toute mon âme pour négociations. Cependant, cela devait rester très secret. Aucune personne de mon entourage n'était au courant de mon alliance aux côtés de la rébellion. A vrai dire, la discrétion était l’une des qualités principale demandées par nos chefs, ainsi, je me devais de faire semblant d’avoir une vie normale alors que je ne faisais que voyager afin de me mettre à la recherche d’alliés dans tous les districts. Aussi surprenant soit-il, le Capitole grouillait de personnes aux mêmes idéologies que les miennes ce qui donnait un peu d’espoir dans ce combat sans Mercie. Mais il fallait entretenir cette relation, à chaque déplacement, je risquais ma tête et j’en avais bien conscience, mais plus téméraire que courageux, je fonçais tête baissée dans la gueule du loup qu’était le Capitole. Je tentais de me fondre dans la foule, passer inaperçu auprès des habitants et j’arrivais à l’endroit indiqué. Je venais en tant que porte-parole des rebelles du district quatre, venant ainsi proposer un accord avec les rebelles du capitole pour l’éventualité d’un nouveau coup contre le despotisme dans lequel nous vivions. Le pourparler fut bien plus long et exténuant que je ne l’avais imaginé, cependant, je sortais de cet endroit avec un accord à transmettre à mon chef. Je ne pouvais cacher ce petit sourire qui se dessinait à la commissure de mes lèvres lorsque je sortais du bâtiment. La place que je me devais de traverser était bondé de personnes aussi affriolantes les unes que les autres. Lorsque soudainement, une personne des plus normale fendait la foule, aussi belle qu’à son habitude de ses yeux clair hypnotisant à sa peau de porcelaine et ses cheveux bruns encadrant son visage parfait. Une dualité de sentiments naissaient dans mon ventre à cette vue. De l’amour, mais aussi de la haine et un seul nom s’échappait de mes lèvres lorsqu’elle fut assez près pour m’entendre « Arizona … » j’avalais ma salive. Il était indéniable que j’étais toujours amoureux d’elle, cependant, cela faisait plusieurs années qu’elle avait laissé mourir mon frère, une part de moi ne lui pardonnait pas. Soudain, je me sentais pris au piège, elle ne devrait pas me savoir ici, je venais de faire une faute dans le principe de discrétion. Ne parler à personne, voilà la règle. Je sentais les questions qui allaient arriver et je ne saurais expliquer ma présence au capitole. « Hm, eh bien, au revoir bonne journée ». La fuite, oui, c’était mieux que rien. Je déglutis, tentant d’échapper à son regard mystérieux qui ne me laissait pas de marbre.
FICHE ET CODES PAR RIVENDELL
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Sujet: Re: stubborn love ◮ ft. arizona Mer 17 Avr - 10:23
A cette heure les rues du Capitole sont bondées. Tout le monde quitte son boulot et rentre chez soit. Moi de même. J'ai terminé ma journée et pas question que je fasse des heures supplémentaires ce soir. Je n'ai pas spécialement l'envie, ni le moral. Tout ce que je veux c'est m'affaler sur mon lit, plus pas penser aux prochains jeux, ne pas penser à ma nouvelle vie, ne pas penser que je pourrais être contre le régime pour lequel je travaille. Et si j'étais rebelle à mon tour ? Qui le découvrirait? Peu de monde je suppose. Je suis une comédienne hors pair, j'ai toujours su mentir et le mensonge c'est égal à la survie sur vous voulez mon avis. En tout cas ce soir, je n'ai qu'une envie, déboutonnée ce corset noir qui me donne l'air encore plus mince. Retirer mes talons hauts, virer chaque pince qui est plantée dans ma tignasse brune. Je veux me retrouver, j'aimais bien moi, après le lycée dans les districts on passait des heures et des heures à s'entraîner pour survivre si notre nom était pioché. En tout cas je suis plutôt heureuse d'en être sortie, au pire je me dis toujours que je ne serais plus ici pour me lamenter de mon sort, donc que la lamentation ne serait plus possible, j'aurais tout simplement déçu mon père, gagnant de génération en génération, je ne gagne pas, je deviens une paria, mes parents n'ayant d'une seule fille unique, il n'aurait pas pu se consoler avec un frère ou une soeur, impossible. Je n'avais pas le choix et mon choix c'est rapidement fait. J'ai gagné, sans scrupule. J'ai fait mon maximum, j'ai même perdu la seule personne dont je n'ai jamais été amoureuse. Il parait que j'ai laissé son frère mourir mais les images sont manipulées, c'est faux, j'ai essayé de le défendre, il avait déjà pris un coup fatal. J'ai donc poursuivi la fille du deux pour me venger, mais les images me montre fuguant. Tant pis, c'est fini, je dois être forte et passer à autre chose, en tant que journaliste, je suis surveillée. Je traverse l'immense place, je marche tête haute, rien à me reprocher, c'est vrai de toute façon. Puis à travers la foule son visage m'apparaît, un mirage, la fatigue ? Non une dure réalité me retrouvant et s'amusant à me faire souffrir, quelle souffrance ? Non, je ne ressens plus rien ou du moins j'essaie, je me force, je crois que cela ne va pas être possible très longtemps. Je le vois bouger les lèvres, la lectures des sons inaudibles je connais. Il vient de prononcer mon prénom. Je détourne le regard. J'ai envie de partir tout autant que lui je suppose et je ne peux pas être vue avec lui, pas ici, il est rebelle, je le sais, et si je le sais je suppose que d'autres sont au courant. Et ma carrière, ma réputation serait légèrement abîmée. Je ne veux pas m'engager dans un truc qui ne me regarde pas, j'ai perdu personne dans ses jeux, si ce n'est lui, mais c'est son choix à lui. Il n'a jamais voulu m'écouter. Alors qu'il reste borné. Je m'en fiche je n'ai qu'à demander j'aurais un prétendant pour les soirées et je l'oublierais. C'est la colère qui me fait penser cela, je n'en pense pas un seul mot, je ne l'oublierais pas, un Jared ne s'oublie pas. Je le toise.. de haut en bas. Il fuit. Je ris, c'est pas parce que je suis contente, mais plutôt un rire nerveux, il m'agace. " Fuit il paraît que vous êtes tous des lâches de toutes façons, vous faîtes tout dans le dos des autres, on ne sait pas quand vous agissez. Lâche.. ! " Je prononce le dernier mot au ralentit. " Vas y part. Si j'étais si horrible que cela, tu saurais arrêtée et muet depuis des lustres. Repense à ce que Toi tu aurais fait. J'ai rien à me reprocher. " Sur ceux, après avoir craché ce que je voulais lui dire depuis un moment, je continue en le bousculant. Une part de moi espérant qu'il me rattrape et m'arrête.. me pardonne.. m'embrasser, je suis folle d'imaginer de telles choses. Pas ici.
Sujet: Re: stubborn love ◮ ft. arizona Dim 21 Avr - 14:27
STUBBORN LOVE
The opposite of love's indifference. Pay attention now, I'm standing on your porch screaming out and I wont leave until you come downstairs.
Ce genre de rendez-vous me laissait toujours nerveux. A vrai dire, avant d’y aller, je me faisais les scénarios les plus inimaginables dans ma tête. Par exemple, cela pourrait être un coup du gouvernement et une horde de Peacekeepers m’attendrait afin de faire de moi un muet et me réduire à l’esclavage au Capitole. Je pense que je préférerais me tuer plutôt que d’être réduit à cela. Je détestais cette politique. Ils m’ont pris les deux êtres qui m’étaient le plus cher. Mon petit frère décédé dans l’arène et Arizona, elle n’était pas morte, mais c’était tout comme. Nos relations n’étaient plus les même. Parfois, j’aimerais retourner à l’époque où nous étions ensemble, il n’y avait aucune prise de tête si ce n’est ces disputes de couple insignifiante, mais à présent, j’avais de bonne raisons de ne plus lui parler. Mais c’était plus fort que moi, d’une certaine manière, j’étais toujours fou amoureux d’elle, je ne pouvais pas passer un instant loin d’elle et pourtant, lorsqu’on se croisait, c’était pour se lancer des choses horrible à la figure. Je ne comprenais pas pourquoi j’agissais d’une telle manière. Peut-être avais-je trop de fierté pour lui pardonner d’être revenue et pas mon frère ? Une partie de moi ne voulait pas lui pardonner et l’autre voulait la récupérer. J’étais complètement perdu et moins j’y pensais, mieux je me portais.
Or, tandis que je traversais l’immense place du Capitole après ce rendez-vous, j’étais pressé de retourner dans le quatre. Mais ce n’était sans compter que cette jolie brune qui occupait mes pensées croisa mon chemin. Il y avait quoi ? Des centaines voire des milliers d’habitants, de combien était la probabilité pour que je la croise ici ? Presque zéro. Tandis que nous nous retrouvions en face l’un de l’autre, mon visage se durcit. C’était une sorte de réaction d’auto-défense, car l’autre partie de moi voulait m’excuser pour tout, la prendre dans mes bras, goûter ses lèvres à nouveau et arrêter cette petite guerre inutile. La charmer à nouveau et la voir rire, c’était tout ce que je voulais. Or, je trouvais le moyen de fuir et éviter la confrontation. Mais bien sûr, c’était mal connaître Arizona, car ses paroles étaient comme des lames acérées, aussi tranchante à chaque phrase. Je me retournais, sous le choc. Je la pris aussitôt par le poignet et l’emmenais dans un coin tranquille, elle ne pouvait pas m’échapper, car je la coinçais entre le mur et moi « Je suis un lâche et toi tu es une hypocrite Arizona. Tu bosses pour eux alors qu’une partie de toi les hais » lançais-je d’un ton froid. « T’as rien à te reprocher ? Julian est mort ! MORT PUTAIN ! » J’avais hurlé, je passais ma main devant ma bouche, conscient qu’il ne fallait pas crier comme ça « Et puis merde, c’est toujours la même discussion avec toi de toute façon. Il est où le temps où on s’aimait hein ? Tu peux me le dire ? J’ai l’impression que tout ce qu’on a vécu s’est passé dans une autre vie ou dans un rêve et que je me suis brusquement réveillé ».
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Sujet: Re: stubborn love ◮ ft. arizona Ven 26 Avr - 23:20
Le destin c'est de toujours mettre sur notre route des personnes qu'on cherche à tout prix à éviter. Prenons la personne qui se trouve en face de moi. Jared. Cela fait trois ans que je m'évertue à l'éviter, je ne veux pas me confronter à son regard devenu si dur en face de moi. Je ne veux pas le voir pourtant il m'arrive toujours de le voir de loin parfois que de dos dans les rues, parmi la foule. Parfois il me voit je suppose mais moi pas. C'est régulièrement dans le 4 ça. Mais je ne l'avais jamais croisé Jared dans le Capitol. C'est blindé, surpeuplé, j'ai une chance sur combien de croiser la personne qui me déteste le plus ? Elle est infime, peu importe la précision, elle est minuscule. Infime, je n'en reviens pas que je sois en face de lui et que je sois surtout capable de lui parler. Au début j'ai cherché à fuir, puis je ne vois pas pourquoi. C'est lui qui n'est pas à sa place, c'est lui qui doit fuir pas moi, je n'ai rien à me reprocher, il ne sait rien. Il est con, borné, stupide, et en le voyant je sais que je l'aime toujours. C'est dur d'effacer un amour comme celui que nous avons eu. Mais pourtant je lui en veux de croire des gens qu'ils détestent, il va à l'encontre de ses convictions, et remarque, je ne suis pas la mieux placée pour dire ça. Je lui balance des trucs, c'est pourri mais c'est vrai. J'aurais voulu être plus méchante en même temps. Pourtant je m'attendais à ce qu'il fuit, mais non. Il m'enfonce autant que j'ai voulu le faire. Je lâche un rire sarcastique. " Hypocrite ? Tu plaisantes ? Je t'ai toujours tout, dis, c'est toi qui a fait de moi ce que je suis aujourd'hui. " Il avait hurlé, et maintenant on est à l'écart. Parce que les taupes, les espions sont partout. Je déteste son contact autant que je l'aime, est ce possible de déteste autant, tout en adorant ? Je ne savais pas. Je suis partagée, il y a deux mois. Une Arizona pour, une Arizona contre, dans tous les sens du terme. Je me pince les lèvres à la suite de son discours. " Il est plus là. C'est terminé. " chose on ne peut plus vrai. " Tu me dis hypocrite mais tu n'es pas mieux. Tu te trouves un coupable pour Julian. Tu sais pertinemment que les vidéos sont des montages. J'ai tué les deux agresseurs de son frère, j'aurais pu mourir. J'ai conscience que j'aurais déteste être à ta place, je n'ai ni frère ni soeur et pourtant je sais très bien que tu aurais préféré que je crève dans l'arène. " Je me rend compte qu'il me tient toujours. " Lâche moi d'ailleurs, au pire tue moi, comme ça tu seras content, tu tiendras une revanche, je crois que je n'ai plus grand chose à te dire. "
Sujet: Re: stubborn love ◮ ft. arizona Sam 4 Mai - 19:03
STUBBORN LOVE
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Il ne se passait pas une journée sans que ces images me tourmentent. Moi, regardant la télévision, incapable de faire quoi que ce soit, impuissant face à ce qu’on me projetait. Assister à l’exécution en direct de son frère. Durant toute cette journée, on ne me tenait plus, je me suis rué sur la télévision comme si cela pouvait aider, regardant Arizona, ma petite amie fuir, ne rien faire. Julian me manquait tous les jours, laissant un trou béant dans ma poitrine. Oui, j’étais incapable de faire mon deuil, pas comme ça. Mes parents s’étaient remis, me conseillant sans cesse de ne plus penser à toute cette histoire, mais je ne pouvais pas ! Quand allaient-ils le comprendre que je ne voulais pas oublier ? C’était ce qui faisait toute ma force pour participer à la rébellion. Oh je n’avais qu’une envie, c’était faire subir le même sort que mon frère à tous ces barbares qui dirigeaient ces jeux. C’était eux les barbares ! Quelle bande de connards. Rien ne pouvait décrire cette rage qui me consumait constamment, elle m’emportait avec elle et me faisait faire des choses dont je n’étais pas très fier.
Le ton commence à monter avec Arizona. De toute façon, c’était toujours la même rengaine avec elle et je commençais un peu à en avoir marre. Je ne savais pas si je devais rester ou partir. Or, je me disais que si je partais en pleins milieux, cela lui ferait croire qu’elle avait gagné, alors que ce n’était pas du tout le cas. Je l’emmenais dans un endroit plus tranquille, loin de cette grande place bondée. Je ne savais jamais sur quel pied danser avec elle, alors que je l’aimais profondément, je n’arrivais jamais à dépasser le stade de la colère lorsqu’elle était dans les parages, c’était tout à fait déconcertant. « Avec moi peut-être Arizona, mais tu bosses pour le Capitole alors qu’une part de toi les déteste autant que moi. Si ce n’est pas de l’hypocrisie, je ne sais pas ce que c’est » je la dardais d’un regard noir, fulminant presque. Je la coinçais entre le mur et moi afin de l’empêcher de s’enfuir au beau milieu de cette éternelle conversation qui revenait sans cesse. La mort de mon frère. Je lui en voulais, je ne pouvais pas m’en empêcher. Pourtant, elle marquait un point. Il n’était plus là, ces mots me pincèrent au cœur. « Non il n’est plus là » lançais-je d’un air triste. C’est bon, ressaisi-toi, tu ne vas pas montrer tes failles. Pourtant, c’est ce que je faisais, Arizona était celle qui me connaissait le mieux. Cependant, j’avais l’impression que ce bonheur que nous avons vécu tous les deux relevait presque du fantasme tellement ce dernier semblait si loin. Nous nous regardions comme deux ennemis alors que la seule chose que j’avais vraiment envie, c’était de l’embrasser. Nous visages étaient proches, je savais que je pouvais le faire, or, je n’en fis rien. « Ne dis pas des trucs que je n’ai pas dit. Contrairement à ce que tu peux croire, je n’ai pas envie que tu meurs » je la fusillais du regard, elle osait croire que je pensais cela d’elle, j’étais profondément choqué. Je la lâchais à son ordre et m’éloignais un peu afin de ne plus être si proche d’elle. « Te tuer ? Mais tu es folle Arizona ?! Tu crois que j’ai changé au point de vouloir te tuer ? Mais tu vas te rendre compte que c’est tout le contraire ? Je veux tout sauf te tuer » et mes failles se montraient quelque peu tandis que je lui jetais un regard triste en essayant de ne pas penser à l’idée qu’elle pourrait mourir puis, mon visage repris sa dureté « Oui, nous n’avons sûrement plus rien à se dire ».
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Sujet: Re: stubborn love ◮ ft. arizona Jeu 9 Mai - 13:12
Je ne m'attendais pas à croiser Jared ici. Lui qui pourtant semble tant détester le Capitol le voilà qui déambule dans les rues. Je ne sais pas ce qu'il fait ici mais je suppose que pour nous cela n'a rien de bon. Alors forcément je me méfie. On se dit un peu des horreurs, cela fait un moment qu'on est à s'éviter le plus possible. Je crois que ce genre de conversation m'avait pas eu lieu depuis que j'étais sortie de l'arène, il a arrêté tout simplement de répondre à mes messages et moi j'ai abandonné, il m'ne voulait sans que je sache pourquoi lorsque j'ai appris moi aussi j'ai eu des raisons de lui en vouloir, il m'a cru capable de ça, alors que son frère j'ai tout fait pour le protéger, s'il ne me fait pas confiance je préfère l'oublier. Et c'est comme ça qu'on s'est perdu du vue. J'ai jamais réussi à l'oublier pour autant. En tout cas me voilà en face de lui et je lui dis. Qu'il me prenne pour une folle ou non. Il semble persuadée qu'une part de moi est contre ce gouvernement tout autant que lui. " Tu ne me connais apparemment pas. Tu as bien cru que j'avais laissé mourir ton frère, je bosse pour eux point, ne me mêle pas à tes activités, on est différent. " Je pense vraiment qu'il a envie de me tuer. Je pense vraiment qu'il me déteste mais je commence juste à m'y faire. Mais apparemment cette idée le rend hors de lui. Folle moi ? Il s'est vu ? " Tout sauf me tuer ? Pourquoi tu as rejoins les rebelles, pourquoi tu m'as tant ignorer ? Je te dégouttes vas-y je t'en prie ! " Je rage, il m'énerve j'ai envie qu'il parte mais en même temps j'ai envie qu'il me prenne dans ses bras. " Alors oui on n'a plus rien à se dire, je crois que c'est terminé cette fois. " Je soupire. Je le regarde une derrière fois en soupirant. Et je lui tourne le dos, une partie de moi espère qu'il me retiendra, mais j'ai bien conscience qu'il ne le fera pas. Je ravale mes sanglots mais c'est comme ça..
Sujet: Re: stubborn love ◮ ft. arizona Dim 19 Mai - 13:11
STUBBORN LOVE
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J’étais partagé dans cette dualité qui était mienne. Une partie de moi mourrait d’envie de la serrer dans mes bras, sentir sa délicieuse odeur, l’apaiser, lui dire que je l’aime et enfin, m’excuser de me comporter d’une façon aussi puérile. Je l’aimais toujours, c’est indéniable, mais si sa présence me réconfortait, elle me rappelait aussi Julian. Ces images d’une Arizona qui fuit, le laissant là, mort. Je ne pouvais pas. Je ne voulais pas me débarrasser de ce deuil, il en était hors de question. Renoncer à cela était comme renoncer à son souvenir et son être tout entier. Hors de question ! Je la regardais, là, le reflet de ma colère, nous dardant chacun d’un regard mauvais, chacun défendant son point de vue. Comment pourrais-je reconquérir cette femme alors qu’à chaque fois qu’on se voyait, c’était pour se disputer. Il n’y avait jamais de trêve entre nous. Quand allons-nous cesser de nous comporter comme des enfants ? Des chamailleries ! Voilà ce que c’était. « Voyons Arizona, penses-tu que je te mêlerais à mes activités alors que tu bosses pour les barbares ? Tu rêves ! » Elle pensait que je voulais la tuer, était-elle folle ? Je lui fis comprendre que je voulais tout sauf la tuer. Comment pourrais-je vivre sans une Arizona et un Julian dans ma vie ? « La raison pour laquelle je les ai rejoint ne regarde que moi » je soupirais « Tu ne me dégouttes pas ! Mais quand je te vois, je pense à Julian, voilà ce qu’il y a ! » Ne plus rien se dire ? Non ! Je ne le pensais pas lorsque j’ai dit cela, Arizona reviens ! Je l’attrapais par le bras et la collait au mur, ne lui laissant pas le temps de réagir, je l’embrassais longuement et me décollait d’elle « Je suis sans cesse partagé entre l’envie de t’engueuler et de t’embrasser lorsque tu es là, voilà pourquoi je t’évite » je me reculais soudainement « maintenant, si tu veux partir, libre à toi ».
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Sujet: stubborn love ◮ ft. arizona 
Mar 16 Avr - 18:44
