| Sujet: This is war † Noam Brodiksen (en cours) Mer 3 Oct - 20:31 | |
| Noam Isaac Brodiksen❝ Lorsqu'on a rien, on a rien à perdre ❞ Son prénom vient de l'hébreu, signifiant douceur, bonheur. Mais ce n'est pas ce que dégage Noam, de part sa personnalité décalé, parfois même bipolaire. Isaac, son père, lui donna son deuxième prénom à son propre patronyme. A 26 ans, il s'engagea dans les rangs en devenant pacificateur, un métier qui par le passé le portait par la haine, mais qui aujourd'hui le portait par la fierté -enfin... c'est ce qu'il prétend. Sa violence n'est peut-être pas dû seulement à sa condition professionnelle, mais peut-être aussi à son esprit totalement déréglé depuis ces dernières années qu'il a dû se forcer à oublier. Avec son regard sombre, parfois dure qu'il affiche tous les jours, Noam ne prend jamais de gants pour parler aux gens. Ses cheveux bruns le fait passer presque inaperçus dans une foule, si il doit infiltrer dans le camp adverse -mais dans quel camp est-il réellement ? Le seul souvenir qu'il a voulu garder, était un bracelet en tissu qu'une jeune femme du District 6 lui avait offert... about games and relative.
➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ? Ma mort ? Je ne l'imagine pas. Peut-être au combat, ou de vieillisse ou même de maladie. Je me fiche pas mal de comment la Faucheuse viendra me prendre. Ce n'est pas très intéressant. Elle viendra quand elle viendra. Mais je pense, parfois, qu'il serait préférable de partir digne mais jeune, que honteux mais vieux. Des mots sur une idée quand même ? J'aimerais mourir en plein action, dans un combat rebelle-pacificateur, en défendant la seule personne qui m'a porté de l'interêt autrefois. Comme ça, je sais que j'aurais fais une très bonne action, qui aura pu sauver la vie de cette fille.
➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ? Hier, ça aurait été cette jeune fille que je considérais comme une véritable petite soeur. Aujourd'hui, c'est complètement différent. Elle est qui pour lui ? De qui vous parlez ? Ludmi-qui ? Non, connais pas. Qui est-elle ? Je ne sais pas, une citoyenne du District 6 sûrement.
Mon frère aussi, à qui je donnerais ma vie, mon âme, et mon esprit. Il a onze ans, il est petit, c'est encore un enfant, et il aura toujours besoin de mon aide. Il s'appelle Isaac, comme mon père, et comme mon deuxième prénom. Il est malade, il est atteint d'un cancer incurable depuis la naissance qui lui donne seulement quelques années à vivre. J'espère juste que sa vie ne s'arrêtera pas lors des Jeux.
➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ? J'ai trois capacités qui sont à mon avantage pour ma survie de tous les jours et pour mon métier. Je suis d'une discrétion hors pair, sans un bruit, je m'approche de toi, pour te lancer un couteau en pleine carotide, et je vise toujours juste. Un vrai don du ciel, en tant que pacificateur, pour infiltrer l'ennemi. Mais ma principal qualité est la persuasion. Je te mens comme je respire, je sais ce qui te touche, et ce que tu peux croire. Je décèle le mensonge chez les autres pour le cacher quand cela vient de moi. Mon entourage ne saura jamais ce qu'il m'est arrivé. Moi, je le sais. Malheureusement, j'aurais toujours ces images en tête, même si je sais que tout est faux.
➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ? Une fille de mon district a participé aux Jeux quand elle était jeune, mais je n'en ai pas réellement le souvenir. Elle les a gagné. Personne ne m'en avait parlé car je ne les regardais jamais. Je me débrouillais pour les éviter.
Cette fille, je l'ai retrouvé parmi les rebelles. Elle avait un prénom magnifique, et elle était très belle. Je ne l'ai plus jamais revu. Je ne sais pas où elle se trouve, et pour l'instant, ça m'importe peu. Ils n'en avaient jamais parlé, c'était un sujet presque tabou, qu'ils n'évoquaient jamais. Mais maintenant, si elle venait à réapparaître, devraient-ils en discuter ?
➺ COIN A ANNONCÉ LORS DES DERNIERS JEUX PAR MESSAGE PIRATE QUE LE TREIZE EXISTAIT TOUJOURS. TU ESSAIES DE TE JOINDRE À EUX OU AU CONTRAIRE, TU FAIS TOUT POUR STOPPER CETTE RÉVOLTE ? Je ne veux pas donner mon avis. Je suis un pacificateur, ancien rebelle. Je suis une Suisse qui a sa propre opinion. Je suis un entre-deux qui ne peut pas donner d'avis objectif, ni même subjectif, car ce serait révéler des informations sur ma période fantôme que je ne peux vous dévoiler. Peut-être qu'un jour, on arrivera à me faire cracher le morceau, mais pour l'instant, je suis toujours l'indécis qui a vécu un lavage de cerveau. Je ne peux parler, penser, ni même rêver sans être écouter.
JE VIENS D'UN MILIEU ni favorisé, ni défavorisé , AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE est présente, à ma faim. DU COUP, MON NOM N'A aucune chance d'être tiré au sort lors des jeux. J'EXERCE LE MÉTIER DE pacificateur ET POUR TOUT VOUS DIRE, j'aime mon métier, il nourrit ma famille, et je n'aime pas qu'on se mêle de ma vie autant professionnelle que privée. JE SUIS DANS LE 6 ÈME DISTRICT. AYANT 26 ans JE ne peux plus PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET j'attends la prochaine moisson avec impatience, je crois. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.
tell us your story.
Il dormait au côté d’Isaac, son petit frère, souffrant en silence de la blessure qu’il s’était faite en se battant contre un ami à lui. Il n’avait pas réfléchi, et quand le jeune garçon avait osé insulter sa défunte mère, malgré le fait qu’il voulait juste s’amuser, Noam n’avait pas laissé passer cela. Le poing était parti d’un coup. Le retour avait été encore plus violent. Noam était plutôt frêle et chétif. Sa carrure n’avait rien à envier aux autres, mais il était plus maigre que les garçons de son âge. Son visage était fin, presque féminin, enfantin, et sa gentillesse pouvait attirer autant de filles qu’il le souhaitait. Son regard était parfois un peu sombre, quand il parlait de sa mère, décédée quelques années après la naissance d’Isaac, d’une plaie qui s’était infecté. Il n’était pas gâté par la vie, encore moins par son physique. C’est pour cela qu’il avait en horreur les Jeux. Car il fallait dégager une image de soi qui n’était pas forcément celle que l’on était réellement. Au début, il trouvait le concept amusant. Il riait de voir des gens s’entretuer mais il était trop jeune pour comprendre l’ampleur de ses actes. Avec l’âge, il comprit que des gens de son district, des amis à lui, des cousins, des camarades de classe avaient succombé lors des Jeux de la Faim et qu’ils ne reviendraient plus jamais. Cette haine, il la portait jusqu’au plus profond de son cœur. Il cherchait un moyen de se faire remarquer, et d’arrêter tout ça quand il rejoignit le clan des rebelles. Il fit la connaissance d’une fille. Il rencontra cette jeune fille lors d'une chasse. Il l'appréciait beaucoup, et, malgré des débuts glaciales, presque mauvais, ils ont appris à s'apprécier. Au fur et à mesure des chasses, des balades et des repas, ils ont créés un liens intimes, comme un frère envers sa soeur.
Il était du genre sociable, méfiant aux premiers abords, mais il s'ouvrait facilement aux autres, et il se faisait des amis rapidement. Il était très large d'esprit, sain, avec une intelligence particulière la manipulation. Il ne s'en rendait pas forcément compte, mais il embobinait qui il voulait, quand il voulait. C'était son caractère. Il était très terre à terre, avec du bon sens. Dans le district, on l'appelait le Médiateur, car il calmait n'importe qui, grâce à sa parfaite diction. Il avait peu d'ennemis, et c'est ce que la plupart des gens appréciaient chez lui. Il était là, pour tout le monde.
Un jour comme les autres où il se réveillait pour aller prendre son petit-déjeuner, il eut comme un pressentiment. Il se dirigea vers la chambre de son frère qui n’était plus là. Peut-être était-il parti ? Mais non, il savait très bien qu’Isaac attendait que son aîné vienne le lever. Il le chercha de partout où il le pouvait, il se mit même à crier dans les pièces où il allait, bousculant les gens au passage. Il criait sur des personnes qui ne voulaient pas ou ne pouvaient pas lui répondre, faute de savoir où était son frère. On lui répondait « Ne t’en fais pas, il doit être sorti prendre l’air ! » mais il avait neuf ans. On ne sort pas à cet âge là. Le père de Noam aidait son fils dans sa recherche mais il devait travailler pour ramener la monnaie à la maison. Sur son chemin, il croisa Ludmilla qui se dirigeait vers une épicerie, les bras chargés. Il ne lui adressa pas la parole, et la jeune fille fut prise au dépourvue. Ils se lancèrent un regard. Ludmilla d’incompréhension, Noam de panique. Ce fut leur dernier contact. L’ultime adieu, l’ultime déchéance du brun. Il retourna dans la chambre de son cadet pour trouver des indices quand il tomba sur une lettre du Capitole. Le lendemain matin, vers les midis, après avoir ranger ses affaires dans un sac de la taille d'une pastèque, il alla chez son amie, déposa une boîte contenant un bracelet noir en tissu, et aux couleurs de l’herbe sèche. Dans ce contenant de bois, il y laissa un mot, où il était inscrit : « Tu peux gravir les montagnes. Ne m’attend pas pour ça. N. » Et il s'enfuit.
Il n’avait plus rien à voir avec le garçon d’autrefois. Il avait grandi, ses muscles s’étaient développés, son corps avait totalement changé, ses cheveux avaient poussé et sa voix avait prit une tête menaçante. Il dormait peu, il mangeait peu, toujours sur ses gardes. Il avait toujours une arme en main, au cas où. Noam était une autre personne, totalement désemparé, déboussolé, ses réflexes étaient affutés, ses paroles étaient dures, son corps tremblait constamment, et son sourire enjoué avait complètement disparu. Il ne savait plus qui mentait, qui disait la vérité. Il regardait les gens de haut, même ses amis d'autrefois. Les gens ne comprenaient pas son comportement, son changement d’attitude soudain, son animosité apparente, sa violence extrême, et ses mots acerbes. Il lui arrivait d'être violent, et il se fichait qui subissait sous ses coups. Il hurlait la nuit dans son sommeil, il avait un regard sombre à longueur de journée. Il passait son temps à s'acharner sur les enfants du District 6, sans réel raison. Il avait atteint un point de non retour en terme d'agressivité. Les personnes l'entourant, jusqu'à ses co-équipiers, il les considérait comme de vulgaire déchet, sans importance, et les gens qu'il avait aimé auparavant, il les méprisait au plus haut point. La population du District six ne comprenait pas non plus pourquoi Noam était devenu ce qu’il méprisait le plus auparavant. Il était devenu pacificateur.
reality is here.
Coucou tout le monde ! Je m'appelle Anaïs, mais on m'appelle plus souvent Nana, j'ai 18 ans, et j'suis en BAC ST2S. Concernant les livres, je les ai tous lu, et mon préféré est le tome 2, allez savoir pourquoi ! Je suis folle amoureuse de Peeta, c'est l'homme de ma vie, mais je préfère quand même mon vrai chéri. Pour me connaitre plus, ça sera au fur et à mesure parce que j'aime pleiiiiiin de choses. J'adore votre forum, et je me languis vraiment d'y jouer. A plus tard les crottes PS, edit : j'habite dans le sud-est, et je le vaux bien ! :sergi: FEATURING celebrity © COPYRIGHT britsterzstupidtumblr
Dernière édition par Noam I. Brodiksen le Sam 20 Oct - 20:31, édité 7 fois |
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