DÉCEMBRE 2311 ➺
L'offensive dans le
district Trois échoue suite à la répression des pacificateurs qui s'est faite attendre dans tout Panem. Dans le même temps, des tentatives de révolte dans les
district Six,
district Cinq et
district Quatre virent au cauchemar pour les rebelles qui n'arrivent ni à gagner ni à quitter les lieux sans risquer un massacre. Le Capitole renforce petit à petit sa présence dans les districts pour éviter de nouvelles conquêtes par les soldats du Treize. En fin de mois, les combats reprennent dans le
district Huit.
JANVIER 2312 ➺
Alors que la tournée du vainqueur est en cours dans les districts non touchés par la révolte, les combats s'intensifient dans le
district Huit et les rebelles retentent une percée au
district Trois. De nombreux soldats et habitants périssent lors d'attaques dans le
Six, le
Cinq et le
Quatre toujours dans une situation très délicate. Le
district Neuf voit aussi revenir des troupes de pacificateurs. La menace gronde partout dans Panem, et les
districts les plus aisés (D1 & D2) ressentent les évènements par des pénuries multiples. Des comportements suspects sont aussi remarqués, sûrement des rebelles infiltrés un peu partout qui tentent d'agir en vain puisque la révolte semble se bloquer dans certains districts.
FÉVRIER 2312 ➺
La tournée du vainqueur a pris fin, et les districts ne tiennent pas à se laisser faire encore plus longtemps. Les combats s'intensifient un peu partout, même dans les endroits épargnés jusque là. Le point final de cette révolte débute le
18 février, avec le pillage, saccagement et incendie d'une usine d'armement dans le district
Trois. C'est trois jours plus tard (
21 février) qu'un pont est saboté et cause la mort d'un groupe de pacificateurs dans le
Un, lançant ainsi certains combats même s'ils sont limités à quelques quartiers. Quatre jours plus tard, le
25 février, les rebelles passent à la vitesse supérieure et lance des attaques plus violentes dans le
Six en détournant un train de son rail de test dans une usine pour éliminer des agents de sécurité ; mais aussi dans le
Huit où une usine se voit saccagée et incendiée par des habitants et rebelles.
MARS 2312 ➺
Le
1er mars, le Capitole riposte avec des attaques toutes aussi violentes en bombardant une centrale électrique du
Cinq supposant alimenter certains districts. Le
Onze se retrouve plongé dans le noir, et découvre le lendemain
2 mars des mutations-loups avides de sang dans son centre-ville, rapidement suivies par des troupes de pacificateurs. Les autorités du Capitole ne s'arrêtent pas en si bon chemin et mate la révolte du
Quatre rapidement (
5 mars) en libérant des eaux brûlantes sur la population se rebellant dans toutes les rues. Le lendemain,
6 mars, un hovercraft du Treize est abattu par les forces du
Capitole et s'écrase en plein quartier résidentiel de la capitale faisant beaucoup de morts, mais les combats ne peuvent aller jusque là-bas. Ce n'est pas pour autant que les autres combats s'arrêtent, et la révolte au
Sept est marquée par l'incendie d'une partie de la forêt, lancée par les rebelles pour installer le chaos. Dans le même jour (
8 mars), le Capitole bombarde le marché du district
Neuf et des groupes de pacificateurs arrivent en masse. Les rebelles sentent leurs positions affaiblies dans tout Panem, et l'attaque échouée du centre des pacificateurs (
12 mars dans le
Deux n'arrange pas les choses. Le district
Treize est bombardé le
14 mars, attaque qui cause un bon nombre de morts et blessés, mais surtout de grands dommages matérielles. Petit à petit, les rebelles se retirent ou sont faits prisonniers. Le district
Douze est le dernier repris après l'explosion d'une mine de charbon le
20 mars. Pour symbole, deux anciens vainqueurs des hunger games sont exécutés sur la grand-place du district
Dix le
22 mars. La révolte est terminée. La révolte a échoué.
Les attaques sont des évènements précis, inscrits dans un contexte de guerre et de combats. Ce n'est pas un incendie ou une explosion qui lance véritablement de nouveaux combats (sauf dans certains cas), l'incident marque juste une volonté plus ferme d'un côté ou de l'autre de faire peur à l'ennemi.