| Sujet: CAITHNESS ღ Cesse de croire et instruis toi. [TERMINE] Dim 16 Sep - 0:04 | |
| caithness titania donalbain❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞ Caithness Titania Donalbain, née le vingt mars deux mil deux cent soixante-dix-sept, ce qui lui donne donc l’âge de trente-quatre ans aujourd’hui. Elle vient du district quatre et y est tailleuse, une très bonne tailleuse même puisqu’elle est la créatrice de certaines des plus belles tenues que l’on peut voir dans son district. Elle a toujours vécu dans le district quatre, et surtout elle a toujours eu une vie aisée. Facile quand on est la fille du maire Demetrius Donalbain, homme réputé dans le district. Seule fille dans une fratrie de trois enfants, un frère plus jeune qu’elle de quatre ans et un autre plus vieux qu’elle de deux ans. Que demander de plus ? Les Donalbain avaient tout pour être heureux. Pourtant, Caithness avait huit ans lorsqu’en rentrant de l’école avec son grand frère, Phoebus, ils découvrirent leurs parents, morts, baignant dans une mare de sang. A huit ans, toute sa vie bascula. Elle n’avait plus de parents, mais elle avait également perdu son petit frère. Elle et Phoebus ont tenté de le chercher, en vain. Le petit avait mystérieusement disparu. Il ne restait plus qu’eux deux. Elevés ensuite par leurs grands-parents paternels, Caithness continua d’avoir une vie facile et aisée. Grâce à l’héritage de ses parents, elle n’a jamais quitté cette situation de confort dans laquelle elle vivait. Elle avouait en toute honnêteté qu’elle n’avait pratiquement aucun souvenir de ses parents, et que la cause de leur mort, qui leur a été donné quelques années après et qui, semblait-il, était qu’ils avaient été tués par des renégats, ne lui avait pas fait décidé d’entrer en rébellion contre le Capitole. Contrairement à son frère aîné. Ce dernier, en apprenant que leur père avait servi la rébellion, s’était découvert une âme anti-Capitole. Caithness, elle, elle ne savait pas quoi en penser. Elle se fichait de ce que son père avait pu faire, mais ce dont elle ne se fichait pas, c’était de son frère. Ils avaient grandi ensemble, ils étaient proches, et, sans être pro-Capitole, elle ne voulait pas entrer dans une rébellion, elle se plaisait dans sa vie plus que confortable. C’était à ce moment-là qu’un fossé avait commencé à se creuser. Elle, trop en recul, trop hautaine, trop sûre d’elle, trop ancrée dans sa petite vie parfaite, selon Phoebus. Et lui, trop imprudent, trop impulsif, trop irréfléchi selon Caithness. Leurs idées politiques les éloignent. Encore plus depuis qu’elle a fait part à son frère de la demande en mariage de son compagnon depuis quelques temps maintenant, un pacificateur pro-Capitole modéré. about games and relative.
➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ? Caithness ne l’imagine tout simplement pas. Qui penserait à la façon dont elle allait mourir ? C’était bon pour les gens pauvres ou les gens qui participaient aux Jeux de la faim. Mais, elle ? Elle avait trente-quatre ans, elle était en bonne santé, alors, honnêteté, elle n’imaginait pas du tout sa mort. Mais si on lui posait la question, elle répondrait certainement qu’elle espérait ne pas connaître la même mort que ses parents, ce qui ne risquait pas puisqu’elle ne servait pas la rébellion. Elle ne voulait rien avoir à faire avec la rébellion même. Non, elle espérait mourir dans plusieurs années, dans de longues années. Elle comptait bien avoir des enfants avant sa mort, et pourquoi pas, retrouver enfin son petit frère.
➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ? C’était une question assez difficile. Caithness était le genre de personne qui tenait beaucoup à sa vie, à sa réputation, à sa propre personne. Mais, oui, elle pourrait certainement mourir pour les personnes en qui elle tenait le plus. Phoebus, même si elle n’approuvait pas du tout ses actions, ses paroles. Il y avait également Tristan. Thybalt, même si il avait beau être disparu, même si elle ne l’avait plus revu depuis l’assassinat de leurs parents, il était son petit frère et ça c’était le lien le plus important pour elle. Plus tard, elle pourrait également y inclure son ou ses enfant(s) si elle en avait. Quoi qu’il en soit, elle ne mourrait certainement pas pour servir la rébellion, ça, il n’en était pas question.
➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE ? Son talent. Caithness avait du talent dans ce qu’elle faisait, c’est-à-dire son métier de tailleuse. C’était quelque chose de précieux pour elle, quelque chose qu’elle avait hérité de sa grand-mère. Elle avait cette capacité à faire des petites merveilles. C’était en partie ce qui faisait sa réputation dans le district quatre. Elle avait beau être une femme parfois hautaine, parfois froide, elle était respectée et respectable. Tout le monde –ou presque- qui la connaissait savait qu’elle n’était pas si froide et hautaine, qu’elle était simplement sûre d’elle, mais c’était ainsi qu’elle était, ainsi qu’elle avait grandi.
➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ? Des gens qui avaient participé aux Jeux, elle en avait connus oui. Mais, des proches, pas vraiment. Ses amis les plus proches venaient, comme elle, d’un milieu aisé. Et dans ces milieux-ci, lorsque les enfants étaient en âge de participer aux Jeux, ils n’avaient pas besoin de mettre leur nom plus de fois que nécessaire, ils n’avaient pas besoin de tesserae. Alors aucun de ses amis proches n’avaient été tiré au sort pour les Jeux. De ce fait, elle n’avait jamais été vraiment émotionnellement impliqué dans les Jeux.
➺ COIN A ANNONCÉ LORS DES DERNIERS JEUX PAR MESSAGE PIRATE QUE LE TREIZE EXISTAIT TOUJOURS. TU ESSAIES DE TE JOINDRE À EUX OU AU CONTRAIRE, TU FAIS TOUT POUR STOPPER CETTE RÉVOLTE ? La rébellion, Caithness n’en avait rien à faire. Elle ne voulait pas en être. Elle n’était pas une Pro-Capitole, loin de là, mais elle n’avait aucune revendication, aucun grief contre le gouvernement. Pour elle, la rébellion n’apporterait rien de bon. En fait, elle était même plutôt du côté de ceux qui pensaient que la rébellion n’ébranlerait en rien le gouvernement, que ce ne serait qu’une légère brise et rien d’autre. Elle n’était pas vraiment contre, elle n’était pas du tout pour. Elle préférait continuer à vivre sa vie telle qu’elle était, et pour elle, elle était parfaite. Elle ne voulait pas changer ça.
JE VIENS D'UN MILIEU favorisé, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE est abondante. DU COUP, MON NOM A aucune CHANCE D'ÊTRE TIRE AU SORT. J'EXERCE LE MÉTIER DE tailleuse ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'aime ce que je fais. JE SUIS DANS LE quatriÈME DISTRICT. AYANT trente-quatre ans JE ne peux plus PARTICIPER AUX HUNGER GAMES.
tell us your story.
« Caithness, ils sont morts » Le regard de la petite fille blonde de huit ans s’était tourné vers son grand frère, Phoebus, de deux ans son aîné. Ils venaient de rentrer de l’école quand ils découvrirent cet affreux spectacle ; leurs parents, morts, baignant dans une immense mare de sang. Demetrius Donalbain était le maire du district quatre, un homme respecté… et pourtant, il était là, au beau milieu du salon, baignant dans son propre sang. Quant à Ophélya Donalbain, son corps avait été retrouvé dans la cuisine. Quel spectacle pour deux enfants. Caithness n’ouvrait pas la bouche, tandis que Phoebus lui avait pris la main en lui disant qu’ils étaient morts. Au bout de quelques minutes, la petite fille avait retrouvé la parole, mais elle avait une voix éteinte, comme si elle n’était pas vraiment là. « Où est Thybalt ? » Thybalt était leur petit frère, il avait quatre ans de moins qu’elle, soit quatre ans. Et rien n’indiquait la présence du petit garçon dans cette maison qui paraissait étrangement vide, étrangement silencieuse. Et les deux frère et sœur avaient beau eu chercher dans toute la maison, leur petit frère était introuvable. Phoebus et Caithness avait regardé dans tous les placards, toutes les armoires, sous les lits, mais Thybalt avait disparu. C’était le dernier souvenir. Ou plutôt le premier souvenir que Caithness avait de sa vie. La mort de ses parents. Caithness ne se souvenait pas avoir vu autant de sang que ce jour-là dans sa vie. Mais avant ses huit ans, elle n’avait pas de souvenirs bien précis, bien clairs, c’était tellement vague. Et c’était sans doute pour ça qu’au fil du temps, elle se souvenait à peine de ses parents.
Phoebus et elle ont été confiés à leurs grands-parents paternels. Jamais plus ils n’eurent de nouvelles de leur petit frère. Caithness avait gardé une photo d’eux trois, et elle la gardait précieusement avec elle. « On ne le reverra jamais. » Lorsque Phoebus lui avait dit cela alors qu’il fixait la photo que sa petite sœur gardait, quelques années après, Caithness s’était mise en colère, et lui avait presque crié. « Dis pas ça. » Et puis, malgré elle, des larmes avaient commencé à perler au coin de ses yeux. « C’est notre petit frère, et je garderais toujours espoir de le voir. » Au fond, la jeune femme n’avait jamais cessé de le chercher. Quand elle voyait un homme qui pouvait avoir le même âge que son jeune frère, elle analysait chaque point de son visage afin de déceler des caractères familiers. A l’école, dans la rue, partout… En vain. Elle n’avait jamais reconnu Thybalt. En aucun homme. Pourtant, elle avait toujours eu le sentiment qu’il était toujours en vie. Quelque part. Elle ne savait pas où, elle ne savait pas comment, elle le savait, c’était tout. Il ne restait plus qu’eux deux, Phoebus et elle, alors ils se serraient les coudes. Ils étaient très proches. Vous allez me dire que c’était normal pour deux enfants ayant perdu leurs parents aussi jeunes, et ayant vu ce spectacle affreux en rentrant de l’école. Mais c’était bien plus que ça, c’était bien plus que deux frère et sœur faisant attention l’un à l’autre. Ils se protégeaient, ils partageaient tout.
Au district quatre, tout le monde savait qui était les enfants du maire Donalbain, mort dans son salon. Les Donalbain étaient une famille respectée, une des rares familles qui ne manquait de rien. Caithness avait toujours eu une vie aisée, même après la mort de ses parents. Elevée par ses grands-parents paternels, ces derniers leur offraient tout. De plus, les deux jeunes gens avaient reçu un bel héritage, qui leur serait, évidemment, donné à leur majorité. A dix-sept ans, Caithness était devenue une belle jeune femme, sûre d’elle, et très aimée. A force d’avoir une vie aussi aisée et confortable, elle avait fini par adopté un certain comportement hautain vis-à-vis des personnes n’ayant pas la même vie qu’elle. Elle n’en restait pas moins une jeune femme adorable, mais elle pouvait paraître très froide par moment. Quoi qu’il en soit, c’est à cette époque qu’elle apprit les véritables raisons de la mort de ses parents. Ce fut Phoebus qui lui annonça cette fameuse raison. « Papa servait la rébellion, Caithness, il avait beau être aimé du gouvernement, il donnait des informations à la rébellion. » La jeune femme voyait dans le regard de son grand frère qu’il voyait là une voie à suivre, mais elle ne le voyait pas du même œil. « Et alors, Phoebus ? Tu veux te faire tuer comme lui, c’est ça ? » Le moins que l’on pouvait dire était qu’elle était franche, et n’allait pas par quatre chemins pour dire ce qu’elle pensait. Que son père soit mort parce qu’il servait la rébellion ? En toute honnêteté, elle n’en avait que faire. Elle se souvenait à peine de son père. Non, ce qui la tiraillait le plus était que son propre frère veuille suivre le même chemin. Il s’était découvert une sorte de vocation en apprenant cela. Et, elle trouvait ça ridicule, tout simplement. Elle n’avait aucune envie que Phoebus se fasse tuer également. « Je vois… » Il s’était levé avant d’ajouter. « Garde donc ta petite vie bien rangée. Moi, je vais faire ce qui est juste. » Caithness avait soupiré, et au moment où Phoebus claquait la porte de sa chambre, elle avait lancé « Ouais, c’est ça ». C’était sans doute là que leur relation avait commencé à se dégrader.
Phoebus s’était lancé à corps perdu dans cette idée de rébellion. « C’est ridicule, tu ne peux pas t’engager dans leur armée. » avait crié Caithness lorsque son ainé lui avait annoncé son intention de rejoindre l’armée du district treize. Mais il était tellement buté qu’elle savait qu’elle pourrait dire n’importe quoi, il ferait quand même comme bon lui semblait. « Tu peux pas comprendre, Mademoiselle pro-Capitole. » Caithness avait alors haussé un sourcil. « Dis pas n’importe quoi, je n’ai jamais dit que j’approuvais le Capitole. J’ai ma vie, c’est tout. » Effectivement, la jeune femme avait grandi, s’était fait sa propre vie. Elle avait à présent vingt-quatre ans, et habitait toujours dans la maison de leurs grands-parents depuis leur mort il y avait deux ans. « Ah oui, ton métier de tailleuse. » Phoebus avait dit cela comme si c’était un métier abject. Caithness adorait son métier de tailleuse. Leur grand-mère était tailleuse et elle avait donné le goût de ce métier à sa petite-fille. Un jour, elle lui avait même dit « je suis heureuse d’avoir réussi à te faire aimer ce métier, je n’ai jamais réussi à le faire avec Ophélya. » La vieille dame était si heureuse en disant cela que Caithness n’avait jamais abandonné cette idée de devenir tailleuse. Et aujourd’hui, elle faisait beaucoup des plus belles tenues que l’on pouvait voir dans le district quatre. Elle en était plutôt fière. Quoi qu’il en soit, les disputes devinrent fréquentes avec Phoebus. A dire vrai, ils se voyaient lorsque Phoebus avait des missions dans le coin à faire, et leurs rencontres se faisaient en cachette. Phoebus manquait beaucoup à Caithness, mais elle n’arrivait pas à accepter ce qu’il faisait, elle n’arrivait pas à accepter qu’il puisse détruire leur réputation, sa réputation. Elle le refusait, alors elle ne voulait pas que les gens sachent quand ils se voyaient.
« Je m’appelle Tristan Gilmore. » Caithness eut un sourire. L’homme face à elle était un pacificateur. Un pacificateur charmant, il fallait l’avouer. « Caithness Donalbain. » Il avait souri à son tour. « Je sais. » Evidemment qu’il le savait, la boutique était assez connue et réputée dans le district, quiconque avait les moyens venaient s’offrir les vêtements de Caithness. La jeune femme, alors âgée de vingt-huit ans, avait comme l’impression qu’il se passait quelque chose entre eux. Elle ne savait pas trop ce qu’elle ressentait mais elle avait l’impression qu’un lien s’était immédiatement formé entre eux. Et, son statut de pacificateur lui était bien égal. Après un premier rendez-vous plus que réussi, Caithness avait eu envie d’aller plus loin avec lui. Il était tout ce qu’elle désirait, il était beau, il était également dans une situation aisée, il était gentil, attentionné. Et il avait beau être pacificateur, il était un pro-Capitole modéré, mais il n’abusait pas de son pouvoir, et ça aussi, ça lui plaisait. Bien sûr, pour Phoebus, peu importait qu’il n’abuse pas de son pouvoir, il était tout ce qu’il détestait, ce qui creusait encore plus le fossé entre lui et sa petite sœur. De plus, Caithness n’avait pas le cœur à contredire Tristan lorsqu’il qualifiait son aîné de lâche. Pas qu’elle pensait comme lui, mais tout était question de sa réputation. De plus, elle était heureuse avec Tristan, elle était heureuse dans sa vie, alors elle ne voulait pas abandonner cela. Par conséquent, elle était souvent amenée à jouer la petite sœur trahie par son frère. C’était ainsi. Les relations avec son frère ne s’arrangeraient pas, bien qu’elle tenait encore énormément à lui. « Phoebus, je vais l’épouser. » Caithness avait à peine fini sa phrase que son frère avait claqué la porte. Cela faisait deux mois qu’elle lui avait annoncé son futur mariage, et depuis, ils ne s’étaient pas revus. Phoebus lui manquait. Son frère lui manquait. Ses deux frères lui manquaient. Mais elle n’abandonnerait pas sa vie, elle n’abandonnerait pas Tristan, elle l’aimait et elle comptait bien l’épouser dans les mois à venir.
reality is here.
Alors, moi c'est Purple, ou Alison de mon vrai prénom qui était d'ailleurs encore mon pseudo jusque très récemment. Bref, sinon, j'ai vingt ans, et je suis en deuxième année d'informatique. Je me suis déjà inscrite ici en tant que Finley (le super scenario de Catalina/Miléna) mais le Catalinley s'est terminé et me revoici avec un nouveau personnage parce que j'aime ce forum. (j'aime aussi Thybalt mais ça faut pas le dire c'est un secret, je vous fais confiance). Et puis maintenant que j'ai lu le premier livre et vu le film, bah j'ai encore moins envie de partir Et puis, les smileys Pokémon, sont trop kouls et le meilleur pour la fin De toute façon, parlez moi de Pokémon et je trouverais ça koul FEATURING Michelle Williams © COPYRIGHT inconnu
Dernière édition par Caithness T. Donalbain le Sam 9 Mar - 18:03, édité 10 fois |
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