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 safe and sound feat. cearyl

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MessageSujet: safe and sound feat. cearyl   safe and sound   feat. cearyl Icon_minitimeVen 7 Sep - 21:11

SAFE AND SOUND
amaryllis shields & cearyl underwald

La journée avait été longue. J’avais passé le plus clair de mon temps à tenter de convaincre les gens du district présents sur le marché que je pouvais guérir leurs petits maux. Bien que j’étais dans le domaine depuis trois ans, les habitants peinaient à me confier leur vie. Leur vie, c’est un peu abuser, mais dans certain cas, si on ne traite pas les symptômes à temps, ça dégénère. Du coup, la maladie devient de plus en plus présente et c’est la mort assurée. Je ne vous apprend rien de nouveau, mais eux... Ils ne semblaient pas comprendre la gravité que de simples maux de tête, étourdissement ou des nausée peuvent avoir. Il faut dire que lorsque vous êtes né dans le douzième district, l’un des plus pauvres si ce n’est pas LE plus pauvre de tout Panem, et que vous côtoyer régulièrement la mort, elle perd un peu de son obscurité. Pour ajouter à ce semblant d'indifférence, mon district n'est pas le mieux fourni en matériel médical et un médecin ressemble plus à un mystère, une légende. Nous avons quelques guérisseurs, mais pas de médecin à proprement parler. J’avais donc passé la journée à tenter de vendre mes herbes sans grands résultats. Il fallait être patient, à moment donné je tomberais sur quelqu’un qui allait réellement avoir besoin de moi et là, je ferais mon argent pour la semaine. Avec un peu de chance, je retournerais chez le maire… Quoi qu’il en soit, je n’avais pas un métier facile et mon âge n’arrangeait pas les choses.

Je rentrais à la maison, les pieds engourdis par la douleur. Mon panier me paraissait peser une tonne de charbon. Je le traînais à grande peine sur le chemin de terre. Je portais un chemisier blanc avec une longue jupe beige. J'avais pris soins de rentrer mon haut dans ma jupe et passer une ceinture tressée en cuire autour de me taille. Malgré la couche de poussière sur mes habits, j'avais quand même fier allure. Mes longs cheveux blonds descendaient en cascade dans mon dos donnant l'impression qu'un champ de blé s'étalait sur le dos de mon chemisier. Je n'étais pas de ces filles très féminine, mais lorsque j'allais au marché, je faisais attention à mon allure. Question de ne pas passer pour une souillon. Marchant en direction de la Veine, un nuage de poussière se soulevait à chacun de mes pas. C'était ainsi dans le District douze ; sec et poussiéreux. Après une quinzaine de minutes, je finis par arriver au bout de ma rue. La maison de mon père se trouvait au fond à droite, tout près des grilles nous séparant de la forêt. Mon père dit que nous avons l'un des meilleurs terrains de tout le district. nous avons la chance d'avoir un grand arbre derrière la maison, nous procurant un peu de fraîcheur surant les longues journées d'été. Étant tout près de la clôture, nous n'avons pratiquement pas de voisin. Notre maison se dresse donc fièrement au bout de la rue. Bien qu'elle soit très petite, elle est magnifique. Mon père aime en prendre soins. L'été dernier, nous avons teindu la porte et les volets en rouge à l'aide de mes teintures à base de plantes. Bien que la couleur se soit estompée, l'effet reste saisissant dans le décor gris au maussade de la Veine.

Prenant soins de déposer mon panier près de la porte, je pénétrai dans la demeure sombre. À cette heure, mon père était encore à la mine. Il ne rentrerait pas avant la noirceur, j'avais donc le temps d'aller faire un tour avant le repas. Je me dirigeai vers ma chambre, question de me débarrasser de mes vêtements encombrant. Je tirai les rideaux puis échangeai mes habits contre de plus confortables. J'attrapai une sacoche en cuire au passage et sortie de la maison nouvellement vêtu. Je pris la direction du trou dans la clôture, un peu à l'ouest. Marchant d'un pas rapide, je saluai quelques personnes en chemin, m'arrêtai un moment pour attraper un chien courant dans ma direction et le rendre à son propriétaire. Il me fallut quelques minutes tout au plus pour atteindre le lieu de mon évasion. Passant au travers du trou, je m'écorchai le bras contre le grillage. Jurant à voix basse, je ne m'arrêtai toutefois pas. Une fois que j'avais passé la grille, pas question d'arrêter. Je risquais de me faire prendre. Il me fallait rejoindre le couvert des arbres le plus rapidement possible. Ce n'est qu'en pénétrant dans la forêt que je me sentis en sécurité. L'esprit à la dérive, je me dirigeai vers ma clairière favorite. Instinctivement, je grimpai dans le gros érable en bordure de celle-ci. M'asseyant sur une grosse branche à une bonne hauteur du sol, je calai mon dos contre le tronc plongeant mon regard dans la canopée. L'érable était le plus grand des arbres aux alentours, j'avais donc une vue incroyable sur le dessus de la forêt tout ne étant à l’abri des regards.
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MessageSujet: Re: safe and sound feat. cearyl   safe and sound   feat. cearyl Icon_minitimeJeu 13 Sep - 0:19


safe and sound Que tu es faible Cearyl… Allez continu… Encore… Encore… On en est qu’à soixante, continue, tu ne t’arrêteras pas à moins de deux cents. Un grognement. C’est la seule réponse que je peux fournir et franchement, je suis fier de pouvoir faire autre chose que de me concentrer. Je fronce le nez alors que je suis totalement concentré sur ce que je suis en train de subir. Me voilà aux dessus de bougies, en train de faire des pompes en hauteur avec mon père assis sur mon dos. Une vraie horreur. Je n’ose pas trop descendre trop loin et mon père qui ne l’entend pas de cette oreille force sur mon dos. Arrive ce qui devait forcement arrivé, ce dont je n’essaye de pas penser, mais ce qui hante mon esprit, mes bras lâche et je tombe dans le feu. Mon père prend son temps pour se relever, me laissant bien le temps aux flammes de lécher mon corps. Je me relève, et m’en sort avec quelque brûlures. Je hurle un bon coup tout en regardant mon père et je m’éloigne sans me retourner alors qu’il me hurle de revenir. Je rentre dans la maison, prend le premier T-Shirt qui me tombe sous la main, ma veste en cuir et sort le plus rapidement possible. MEDERICK, REVIENS TOUT DE SUITE… Je n’entends rien et me mets à courir torse nu jusqu’à la grande place. Lorsque j’ai pris assez de distance, j’enfile mon T-Shirt et c’est une vrai horreur, il me colle alors que ma peau me brûle, la transpiration n’aide vraiment pas. Je me remets enfin à trottiner dans la Veine, sous les regards interrogateurs de ceux qui trainent dans la rue. J’arrive enfin au grillage et m’assure qu’aucun bourdonnement n’en échappe…
Alors que je vérifie, je me dis qu’un jour je serais trop distrait et que je mourrais électrocuté. Je crèverais grillé dans la boue et totalement seul. Je suis persuadé que mon père ne pleurera pas, il sera juste très déçu que ma mort ne soit pas plus spectaculaire. Cependant, ce moment de répit n’est pas pour aujourd’hui. Rien. Je n’entends absolument rien. Je passe le grillage et cours comme un enfant vers la forêt. Une fois les habitations cachées par les arbres et leurs feuilles, je me sens à l’abri et totalement comblé. Je cours encore un long moment sans trop savoir où je vais réellement. Je n’ai pas d’endroit précis où je me sens complet, la forêt entière me fait sentir comme ça. Je cours je ne m'arrête pas une fois. Il avait plu le matin même, l'herbe était encore mouillé, les arbres pleuraient encore des goutes dans mon dos. BAM. Je glisse comme un patineur sur sa glace, dans un petit marais de boue. Je grogne à nouveau, sortant de la boue. Ark dégueu. Je n'étais pas une petite nature mais plongé la tête la première dans la boue... Je m'assied sur le côté, enlève ma veste pui mon t-shirt. Mes brûlures me dont plus mal que je le pense. C'est ainsi que je vais périr ? Si je rentre je sais que la sanction sera pire. Et pourtant, je me dis que la forêt regorge de petite grotte. Mais je serais très vite retrouvé, sans nourriture et habits je serais aussi mort rapidement. Si il me retrouverai avant, ils me couperont la langue ou peut être pire. Je remonte mes genoux vers moi, posant mes avant bras dessus. La chance pour moi que de grosse gouttes des arbres me tombent dessus pour enlever un peu de terre.
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MessageSujet: Re: safe and sound feat. cearyl   safe and sound   feat. cearyl Icon_minitimeVen 14 Sep - 0:56

Lorsqu’elle était toujours vivante, maman me disait souvent que lorsque j’allais rencontrer les gens, j’allais instinctivement sentir si nous étions faits pour nous entendre où non. Il y avait cette fille, cette médecin qui voyageait dans plusieurs districts afin d’offrir ses services. Elle, elle ne semblait pas apprécier ma présence, mais moi j'adorais la sienne qui était si instructive. Il y avait également Norah avec qui je m'entendais super bien. Certes, elle avait cette tendance à me mettre dans le pétrin en sollicitant mon aide pour la sortir des emmerdes, mais je l'adorais. C'était comme une soeur pour moi. Puis il y avait Messaline, cette petite pimbêche qui me tapait sur le système. Elle essayait de piquer son copain à Norah, bon son futur copain, mais ce n,est qu'un détail. Je ne l'aimais pas et je crois bien que c'était réceptif. Je pourrais continuer ainsi durant des heures à énumérer les gens avec qui je partage ma vie, mais ce n'est pas ce que j'ai l'intention de faire parce que la tranquillité dans laquelle mon esprit s'était engouffré pour s'évader venait d'être perturbé par l'intrusion d'un autre être humain dans ma zone de confort personnelle.

« Ark dégueu. » Je sursautai. Cette voix masculine venait soudainement perturber la tranquillité dans laquelle la forêt se trouvait à l'habitude. Il était très rare d'entendre des voix lorsque je me trouvais dans les bois. Je suis même prête à mettre ma main au feu en assurant que ça ne c'était jamais produit avant aujourd'hui. Vous comprendrez donc ma surprise lorsque j'entendis cette voix. Bien qu'il ne s'était pas exclamé très fort, le son de ses paroles chargées de haine s'était élevé dans l'air comme celles prononcées par cette femme horrible qui venait piger les tributs lors de la moisson, celle qui parlait dans un micro sur la scène dressée uniquement pour envoyer deux habitants du district à l'abattoir.

Très doucement, je me penchai un peu vers l'avant essayant d'apercevoir le propriétaire de cette voix. Mes long cheveux blonds pendaient dans le vide alors que j'étais étendu sur le ventre sur ma branche. Je scrutais le paysage en contrebat de mes petits yeux bleus perçants. Quelle ne fut pas ma surprise en apercevant l'un de fils du maire dans la boue. Il était étendu au milieu de la marre quelques secondes avant vu l'état de ses vêtements et de son visage. J'en conclu qu'il s'était pris les pieds dans je ne sais pas quoi. Le voir ainsi avec cette expression dégoutée sur le visage me fit éclater de rire. Si bien que je faillis en tomber de mon arbre. Me redressant partiellement, je retins mon ventre d'une main alors que ce fou rire s’immisçait en moi. Mon éclat envahissait la clairière comme le son d'un carillon. Il me fallut plusieurs minutes avant de reprendre contenance, mais ça ne dura pas bien longtemps puisque je faillis me remettre à rire lorsque aperçue l'expression outré sur le visage du jeune homme.

M'accostant contre le tronc, j'inspirai profondément à plusieurs reprise avant de me décider à descendre de l'arbre. Lorsque mes pieds touchèrent le sol, je me retournai vivement, faisant ainsi face à mon compatriote. Je l'observai longuement des pieds à la tête. Son corps était élancé et musclé. Pendant mon éclat de rire, il en avait profité pour retirer son T-shirt plein de boue me laissant ainsi la chance d'observer son torse musclé à volonté. Contrairement à notre dernière rencontre, je ne ressentis aucune gène. C'était un truc qui m'arrivait couramment. Un jour je pouvais me montrer super timide alors que le lendemain, il n'y avait plus la moindre trace de cette timidité chez moi. J'observais ainsi le jeune homme sans la moindre gène. Même que j,appréciais le spectacle. Il avait les cheveux aux épaules, mais si ondulés et ébouriffés qu'ils ressemblaient plus à un arbre qu'à une chevelure. Il avait de profond yeux noirs dans lesquels je ne tarda pas à me perdre. « Tu t'appelles Cearyl c'est bien ça? », demandais-je d'une voix lointaine. Je n'arrivais plus à quitter la profondeur de son regard. Il m'hypnotisait carrément...
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MessageSujet: Re: safe and sound feat. cearyl   safe and sound   feat. cearyl Icon_minitimeVen 14 Sep - 23:56


safe and sound Durant mon enfance, personne ne pensais vraiment à mes besoins, ils pensaient surtout que je voulais vivre dans une famille aimable, qui m'offrirais un toit et de l'amour. Alors ils ont chercher le meilleur pour moi, jusqu'à ce que cette famille débarque dans le bâtiment ou avec plusieurs orphelins je vivais. Ils m'ont racontés plus tard que pour eux, c'était une évidence il me voulait moi. Déjà enfant je n'étais déjà pas des enfants qui jouait, j'étais dans un coin d'une pièce, je ne disais rien je ne faisais que de dessiner. Le temps n'a rien changer je continue de dessiner, avec des cicatrices sur le bout des doigts à force de devoir faire certain exercice au risque d'être punis. Je n'avais trouver qu'un seul moyen de faire sortir tout ce qui était en moi. Ce moyen, c'était la course.

La course avait toujours eu tendance à m’apaiser ou à faire sortir toute la colère que j'avais en moi. Je courrais le matin avant d'aller travailler, je sortais en short aillant enfiler mon t-shirt dans celui-ci pour le mettre juste avant d'aller au lycée. Je cachais mon sac sous un escalier que personne ne pouvait voir. Je vérifiais que personne ne pouvais me voir pour me mettre à courir. Je ne voyais pas beaucoup de monde tôt le matin, je croisais la vieille d'âme qui travaillait au marché, puis le boulanger et la secrétaire de mon père que je m'étais mis dans la poche pour qu'elle ne dise rien à mon cher père adoptif.

Mon parcours était simple, je partais de la maison pour passé un quart ou plus du district avant de me diriger vers la forêt. Espérant toujours de me faire surprendre par les grillages non électrique. Qui sais, un jour peut être. Pour courir ensuite à vive allure dans la verdure. Parfois je me prend les pieds dans des branches et y salit mon t-shirt.

Cette petite blonde qui rigole en me regardant plein de boue, c'est Amaryllis Shields. Je l'ai rencontré un jour à la maison, elle venait pour guérir père qui souffrait d'un toue sèche il me semble. Mais je n'avais même pas été capable de lui parler, père m'avais fait faire le matin même quelques exercices. Je devais tenir en l'air, me tenir à la poutre en bois avec le force de mes bras. Il avait laissé des clou sur le sol, assis dans on fauteuil il me dictait que si je baissais les yeux ou lâchais, je souffrirais encore plus que si je tenais. Mes bras m'avait fait souffrir le martyre. Il m'avait laissé ainsi une bonne quarantaine de minutes, si ce n'est pas plus en l'air. Je m'étais effondrer au sol, et ce jour là il m'était devenu impossible de dire un mot, et certaine fois j'avais quelques spasmes. Ce n'était pas la première fois, et c'était devenu anodin.

La petite blondinette n'arrêtais pas de rire de moi, j'étais tombé dans la boue et si elle le voulais je pouvais très bien l'y pousser. « Qu'est-ce qui te fais rire !? » lançais en levant les yeux sur la demoiselle dans son arbre. Ses longs cheveux blonds descendant en cascade, comme une cascade de neige. « Tu t'appelles Cearyl c'est bien ça? » me demanda la blonde un fois en bas de son arbre. Je confirma du regard, en me relevant en suite enfin je tenta mais mes brûlures me faisant un mal de chien j'ai préférer m'assoir. Je connaissais son prénom, pas besoin donc de lui demandé. « Il te plaît le spectacle ? Amusant n'est-ce pas. » Je passa ma main sur mes quelques cercles brûlé sur le torse, l'eau des arbres avait casiement fait partir la boue de mon visage, mes cheveux par contre à par les secoués pour en enlever la majeur partie, je ne pouvais pas faire grand chose d'autre.[b]
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