| Sujet: Derek Calhaway Lun 5 Mar - 20:02 | |
| Derek Calhaway❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞ Je m'appelle Derek, Derek Calhaway. J'ai trente-quatre ans et j'habite dans le Capitole même si dans l'ombre j'agis pour le rébellion. Dans la vie de tout les jours, je suis directeur de la plus grande clinique de chirurgie esthétique du Capitole tout en étant naturellement un chirurgien plasticien renommé, mais sous cette couverture se cache un véritable pirate informatique qui arrive à cracker les ordinateurs les plus protégés.
Cela fait beaucoup de choses, vous ne trouvez pas, si ? Directeur d'une clinique tout en étant pirate, et alors qu'il n'a que 34 ans -dans la fleur de l'âge donc !-, on se demande bien comment il a fait. La première chose à savoir est que Derek est une personne très bien organisée, disons qu'il ne laisse rien au hasard. Méticuleux et dépourvu de procrastination, ce qu'il prévoit il le fait et ce qu'il fait, il l'avait prévu. Derek est l'image même de l'homme de la société, organisé dans ses comptes, discipliné dans ses entreprises, il est le costard-cravate caché derrière son agenda bien rempli. Cependant, cette image est rapidement ternie. En effet, si Derek pourrait être l'homme d'affaire parfait, rien dans son image ne renvoie sa position de notable du Capitole puisque son épiderme reste vierge de tous changement. Paradoxal pour un chirurgien plasticien, non ? En réalité, cela est une cicatrice de son passé que vous découvrirez sous peu. Pourtant, excepté ce refus d'acception de la mode actuelle, Derek est une personne ouverte d'esprit, très ouverte d'ailleurs. On pourrait le comparer à un philosophe des lumières, des siècles plus tôt ; à l'imagination débordante et une tolérance presque excessive le poussent à sortir des chantiers battus et à se douter de tout. Pourtant, il n'a pas un sens artistique très développé, seule la Nature demeure son musée, il apprécie tout particulièrement ce qui n'a pas été souillé par la présence humaine, même s'il est un adepte des technologies de pointe il essaie d'être le plus proche possible de la terre. S'il reste proche de la terre, Derek est aussi ce qu'on appelle communément un humaniste. Se souciant de son prochain, il est du genre à aimer et apprécier chacun, à mettre en avant leurs qualités plutôt que leurs défauts. Cela fait de lui quelqu'un de très agréable à vivre, sympathique et adorant découvrir de nouvelles personnalité. S'il ne complimente ni ne flatte -sauf pour manipuler un tant soit peu son entourage huppé- son naturel souriant, sa joie de vivre et son optimisme font de lui quelqu'un de bonne compagnie. Pourtant, à côté de cela, Derek reste très intransigeant, strict et dur avec son entourage. S'il peut effacer les défauts et les torts d'une personne, ses critiques toujours droites et justes blessent la sensibilité de ses interlocuteurs. Il ne crie pas, loin de là, ne s'énerve jamais en public, mais lorsque ses remontrances sont dites, généralement on courbe l'échine. Car oui, il en attendra beaucoup de vous, surtout s'il vous paie, et s'il n'est pas abusif, les erreurs le courrouceront. Enfin, ce dernier point ne vous concerne que si vous faites partis de son cercle privé, duquel il attend beaucoup. Parce que Derek connait beaucoup de monde. Extraverti, il est de toutes les soirées, mondaines ou non, et a la parole facile. Si on ne le qualifie pas de bavard, on dit de lui qu'il a le bagout, qu'il sait parler et qu'il en profite. On l'aime bien, son regard pétillant, son sourire, sa presque hyperactivité et ses paroles débitée à une vitesse incroyable, ponctuées de quelques rires cristallins, font de lui le parfait hôte. Et puis il a une certaine réputation, quelques points faibles, son penchant pour l'alcool est notable bien qu'il ne soit alcoolique, ou ses goûts assez éclectiques dans les drogues, bien qu'il ne soit un véritable camé, mais ce qui est le plus connu reste sa libido débordante. Oh, ce n'est pas un fait public, mais Derek est clairement un coureur de jupons. Enfin, ce ne sont pas les jupons qu'il poursuit, plutôt les pantalons bien remplis si vous voyez ce que je veux dire...
C'est ainsi, Derek est un homme qui aime les hommes, désolé mesdemoiselles. Vous en savez un peu plus sur lui, mais parlons de son intégration dans la société : il n'est pas vraiment comme les autres, déjà physiquement, mais si dans le temps il entrait dans le moule, dorénavant Derek en est exclu. Déjà, il ne mange pas autant que ses congénères qui vont jusqu'à se faire vomir, ses études de médecine lui ont en effet montré les affres des vomissements sur l'appareil digestif, alors disons qu'il préfère déguster que s'empiffrer. Aussi, il préfère la sobriété à l'excès -sauf lorsqu'il s'agit de s'amuser-, le naturel et le brut à l'altéré. Le calme demeure son domaine de prédilection, l'aidant à se concentrer et à s'organiser. Cependant, il est toujours très bien habillé, rangeant méticuleusement ses affaires, jamais il ne sera froissé ou habillé d'une chemise balafré d'un faux pli.
Oui mais, derrière ces habits haute-couture et cet esprit droit, que se cache-t-il ? Un homme, vous l'aurez compris à moins d'être le dernier des imbéciles. Un homme grand, très grand même, puisqu'il s'il n'atteint pas le mètre quatre-vingt-dix, il l'effleure presque. Aussi droit que son caractère, il est aussi très carré, musclé par beaucoup de sport et une diététique saine. Avec sa démarche élancée et cadencée, on peut dire qu'il marche vite en fixant l'horizon. De plus, il faut savoir que Derek connait son corps et aime en user, s'il est peu tactile, il parle avec les mains, fait de grands mouvements et n'est pas du genre à rester statique. Il en est de même pour ses expressions faciales ; excepté au travail, généralement ses yeux noisettes vont et viennent dans ses orbites tandis que sa bouche, d'où émane une voix douce et suave, se tord en sourire exprimant parfois un air coquin, taquin, joueur ou sincère.
about games and relative.
➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ?
[i]Ma mort ? Je ne la vois pas. Ou loin. Enfin, un bureaucrate comme moi, respecté et respectable, j'espère passer l'arme à gauche par mort naturelle, vous comprenez ? Ou alors une maladie, mais ça ne serait vraiment pas de chance. Je mange correctement, mon hygiène de vie est irréprochable, seules quelques incartades à mon régime rendent mon quotidien moins morne, je fais du sport souvent alors. L'infarctus, le cholestérol, le cancer du poumon, ce n'est pas pour moi. Oh, peut-être un accident un soir où j'ai trop bu, ou à cause de quelqu'un qui a trop bu, mais j'essaie de me calmer sur la bouteille. Oh, il y a peut-être le fait que je sois un rebelle, si jamais on apprend que je crack le réseau informatique du gouvernement, je pense que les Pacificateurs viendront me "pacifier". Mais il n'y a aucune chance, vraiment.
➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ?
Personne. Franchement, mes parents n'en valent pas, et puis je suis plus utile vivant que mort. Alors, je n'ai pas le sens du sacrifice, mais je ne pense pas être digne d'un sacrifice, je vaux trop, je suis trop utile vivant. Enfin, si, il y a d'autres pirates parmi les rebelles, bien sûr, mais disons qu'il n'y a personne haut-placé dans la société du Capitole qui se bat contre le gouvernement actuel, ou vraiment peu. Non, il n'y a que si j'aime une personne que je pourrai m'éteindre pour le protéger, mais ce n'est pas demain la veille je le sens.
➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ?
- Mes capacités en médecine, il s'agit de mon point de fort. Je suis médecin après tout, je peux tout guérir, enfin, je peux panser toutes les plaies et je connais la plupart des maladies de tête, ainsi que leurs traitements. Alors bon. - Ma capacité à pirater les systèmes informatiques, depuis mon enfance cela me permet de grandes choses, mais ce n'est pas vraiment de la survie. - Ma force, et ainsi ma vitesse de course. Oui, je cours vite et je frappe fort, je sais un peu me battre aussi, même si je ne suis pas un combattant. Je donnerai tout de même du fil à retordre aux personnes m'assaillant. - Mon éloquence. Je ne suis pas un manipulateur ni un menteur, enfin, je le suis un peu, pour ma survie dans la société, mais ma principale force réside dans ma capacité à tourner les phrases, à jouer la comédie, à convaincre les gens. Tout le monde m'aime, tout le monde m'écoute, tout le monde va dans mon sens.
➺ APPRÉCIES-TU LE VISIONNAGE DES JEUX ?
Absolument pas, je crains fortement la souffrance, que ce soit la mienne, celle des autres, celle infligée ou naturelle, ou celle physique comme psychique. Depuis mon adolescence j'essaie d'aider mon prochain, d'où mon orientation vers la médecine, alors regarder des vies s'éteindre en étant assis sur un siège confortable, ce n'est pas pour moi, merci.
➺ COIN A ANNONCÉ LORS DES DERNIERS JEUX PAR MESSAGE PIRATE QUE LE TREIZE EXISTAIT TOUJOURS. TU ESSAIES DE TE JOINDRE À EUX OU AU CONTRAIRE, TU FAIS TOUT POUR STOPPER CETTE RÉVOLTE ?
Message pirate. C'est la clef. Vous ne comprenez pas ? Eh bien, si je suis pirate, et que le message est pirate, alors je suis un peu l'enveloppe du message, celui qui a permis à ce qu'il soit transmis. Donc cela répond à votre question ?
tell us your story.
Il est dit que le sommeil est l'une des choses les plus importantes dans la vie. Il faut choyer son lit, avoir un matelas haut-de-gamme, ne pas se coucher tard, garder un rythme etc. Car oui, le sommeil est une part majeure de notre vie puisque nous dormons des années de notre existence. Personne n'échappe à cette règle, vraiment personne, pas même moi.
Dès mon enfance, le sommeil fut une part importante, voire principale, de mon existence. En effet, je ne dormais peu. Mes pauvres parents, ils ne cessaient de veiller, ils s'inquiétaient ; mon père médecin ne comprenait pas pourquoi je dormais si peu. Ce n'était pas normal, ce n'était pas sain et surtout, mes braillements les empêchaient de dormir. Les pauvres. Et puis je grandis, mon indépendance plus ou moins relative fit que mes parents dormaient de nouveau tranquillement, ou du moins est-ce la présence d'une bonne. Et, à mesure que je grandissais, mes heures de sommeil s'amenuisaient. Il fallait que je m'occupe, et des choses à faire j'en avais. Mes parents en effet étaient riches. Ma mère, comptable et virtuose de la fiance, rencontra son futur mari qui faisait des études de médecine. Ensemble, diplômes en main, ils fondèrent une clinique. Madame gérait l'aspect financier, monsieur jouait du bistouri. Déjà riche suite à l'héritage de leurs parents, l'agrandissement de la clinique fit fructifier le pécule familiale. Fortunés et célèbres, il ne manquait plus qu'un fier enfant pour combler de bonheur les parents. Ainsi je naquis, entouré de jouet et de tant d'amour. Oui, ils m'aimaient, mais tout comme leurs onéreux bibelots, je n'étais qu'un objet à entretenir. C'est pourquoi j'avais de quoi faire. Tout le temps autour de moi traînaient des jouets et des livres. J'appris ainsi à lire et à écrire jeune, enfin cela restait très rudimentaire, je n'étais en rien surdoué, mais j'avais ainsi une avance considérable sur les autres enfants de mon âge. Lorsque j'atteins les six ans, mes parents, fatigués de me voir endormi en dernier et réveillé en premier, décidèrent de m'épuiser en m'inscrivant dans différents sports. Mais rien n'y faisait et, au contraire, mon temps de sommeil devenait de plus en plus court.
Je m'ennuyais et il fallait que je m'occupe. Ainsi, le soir, après l'apprentissage et les séances de sport, je me suis mis à espionner mes parents. Oh, rien de grave, mais je voulais savoir. Durant leurs sommeils, je farfouillais dans leurs bureaux -car oui la clinique était dans le même bâtiment que notre demeure, bien que séparée- et cherchais de terribles secrets. Il n'y avait rien, jamais rien. Cela me frustrait. Dans le bureau de mon père, l'ordinateur dormait, éteint, et attisait ma curiosité. Je l'allumai et, malheureusement, il demandait un code. J'essayai toutes les combinaisons, le nom de sa femme, du mien, nos dates de naissances. Tout. Et ça ne marchait pas. Je tentai les noms de ses employés, des autres chirurgiens, des infirmières et les femmes de ménage. Ce fut celui de l’anesthésiste qui fonctionna. Une belle femme, je l'aimais bien, elle passait du temps avec moi. Il n'y avait rien d'intéressant sur son ordinateur, si ce n'est des fichiers clients. Percer le secret médical m'avait enthousiasmé, mais cela s'arrêta là. Et puis, je me suis mis à farfouiller dans ses mails, dans le réseau privé de la clinique, et je vis alors l'échange entre l'anesthésiste et mon père. Des mots doux, des mots d'amour. J'avais dix ans alors, je pouvais comprendre de quoi il s'agissait. Cependant, si je révélais cette découverte à qui que ce soit, mon secret serait connu de tous. Alors je me suis tus.
Nous étions riches et mes caprices ne duraient guère longtemps. J'eu droit à mes premiers appareils informatiques très jeune, peu après la découverte de la relation entre mon père et l’anesthésiste.
reality is here.
Bonjour, tu es qui ? K, Spécial K D'où tu viens ? D'en bas à droite C'est quoi ton petit pseudo ? cf ci-dessus Et t'as quel âge ?20 ans Le livre, tu l'as lu ? Absolument pas, je ne savais même pas qu'il en existait avant ce soir, 18h Et tu l'aimes, non ? Le forum, à la hauteur de tes attentes ? (: N'oublies pas d'envoyer un MP aux admins en cas de problème, on sera ravie de t'aider ! Mais, je m'éparpille, en gros c'est ici que tu te présentes .
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Dernière édition par Derek Calhaway le Jeu 8 Mar - 18:51, édité 5 fois |
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