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 Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF

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Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF Vide
MessageSujet: Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF   Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF Icon_minitimeLun 5 Mar - 14:35


Fletcher Finnian Harrison
❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞

Puisqu’il est d’usage de se présenter par ce que les autorités –de loin ou de près, ont choisi pour nous. J’ai aujourd’hui vingt-six ans et je m’appelle Fletcher Finnian Harrison. Autant vous dire immédiatement que rares sont les personnes qui me connaissent sous ce prénom. Autour de moi on m’appelle plutôt FF car c’est ainsi que je me présente. Et puisque nous parlons de mon entourage, je vis dans le District treize bien que ce ne soit pas ici que je sois né. Je suis né dans le District trois. La Présidente Coin et quelques chefs rebelles m'ont trouvé alors que je n'avais que six ans. Ce fut une réelle décision pour moi d'y vivre et c’est un endroit cher à mes yeux. C’est d’ailleurs la principale raison qui m’incita à m’engager parmi les rebelles. J’y ai suivi un bon nombre de formations, auprès du Président Coin elle-même, qui m’ont conduit à devenir soldat pour l’armée rebelle. Orphelin et plutôt solitaire, c’était la voie royale pour moi, celle qui mettait des étoiles dans mes yeux et qui motive un rythme cardiaque soutenu chaque jour. Je suis dévoué et fidèle, réfléchi et calculateur, franc et solidaire, c’est pourquoi j’aime mon travail et m’en satisfait pleinement, il est fait pour moi. Les rebelles m’offrent l’avenir que je n’aurais jamais pu rêver d’avoir et me donnent de l’espoir. Alors vous devez vous demander pourquoi un homme tel que moi a besoin d’espoir ? Ma sœur, Aislinn, a été arrachée à ma mère pour satisfaire les désirs malsains d’une paire d’humains exécrables. Je les ai pour ce qu’ils ont détruit ma famille et transformé ma petite sœur innocente en une espèce de pantin soumis au Capitole. Néanmoins, elle n’en reste pas moins ma petite sœur, ma seule famille. Aujourd’hui, même si elle l’ignore encore, je garde espoir. Parce qu’elle a la douceur du visage de ma mère et parce que quoi que le monde autour de nous en dise, une part du sang qui coule dans nos veines est la même. Physiquement d’ailleurs, nous avons les mêmes cheveux blonds et le même regard bleu profond. Un jour elle saura, et alors, ce jour là, le Capitole payera.


about games and relative.



Le danger lorsque l’on vit dans de telles conditions d’obscurité est de ne plus savoir. La mort n’est plus une ennemie. La mort n’est jamais une alliée. Chaque jour des milliers d’hommes, de femmes, et d’enfant meurent. Pourquoi ? La stupidité d’un homme sans précédents. La misogynie d’un Président imbu de pouvoir et de sadisme. Délivrance d’un combat il y a bien longtemps déjà perdu, punition pour n’avoir été qu’un spectateur impuissant ? Allez savoir. La crainte de mourir est quotidienne. Lorsque vous croisez un pacifiste, lorsque vous marchez entre les Districts, lorsque vous vous risquez à révéler votre identité. Ce n’est pas la mort qui me fait peur, c’est l’ignorance. Quand viendra t-elle ? Comment viendra t-elle ? Je me fiche de souffrir. Je veux mourir juste. Abattu comme un chien sur la place publique au milieu de ces bâtards de Capitolistes ? Ce serait-une victoire. Souiller leurs beaux pavés ornés de pierres précieuses de mon sang bouillant de haine, voilà une belle mort.
Je me demande parfois quelle est l’utilité d’avoir encore des valeurs ? Dans une nation ainsi instable que valent de bonnes résolutions ? J’aimerais mourir. Mourir en juste. J’aimerais que ma mort ait eu une utilité, j’aimerais que mon dernier souffle crève de patriotisme. Pour ces hommes et ces femmes qui pleurent chaque minute chaque seconde dans l’espoir de voir revenir un enfant innocent envoyé à l’abatage. Pour ces hommes et ces femmes qui voudraient crier leur joie de voir leur enfant toujours en vie, mais qui ne cessent de remuer les horreurs commises par le monstre qu’ils ont créé et que le Capitole a engendré. Pour ces enfants qui ne connaîtront jamais le sourire sincère d’une mère. Pour ces enfants qui ne prendront jamais plaisir à courir dan les champs, mais qui se glorifieront du sang humain sur les marguerites de ces mêmes champs. Pour cette femme, infiniment belle, infiniment innocente, que l’on salit à coup de mensonges et de fausses valeurs mielleuses. Pour ma sœur. Voilà pourquoi ceux pour qui je laisserais mon propre corps.
Je dirais qu’à priori, comme ça, je ne suis pas plus surhumain qu’un autre homme. Mes défunts parents m’ont transmis des valeurs. Ce sont elles qui me font avancer. Ma mère, était une femme identique aux autres. Elle était pauvre, et éduquait ses enfants dans l’amour comme elle le pouvait. La mort de mon père l’avait rendu éternellement triste. Elle s’était arrêtée de parler, sauf pour quelques banalités. Ainsi, malgré moi, j’avais appris à lire dans son regard. Et c’est resté… C’est peut-être impoli, mais dorénavant j’y avais pris goût. Puisque je pouvais me passer de mots pour comprendre, et puisque parler me fatiguait naturellement… Cette vieille manie s’imposait à moi tout aussi naturellement. Coté paternel, mon père était un courageux et loyal rebelle. Il est mort pour ainsi dire, dignement. Son corps a été transpercé plus d’une fois par les balles sans qu’il n’ait jamais tremblé. J’espère avoir hérité de cela. Ce courage légendaire, cette fierté et cette rage de vaincre victorieuse de toute épreuve, voilà ce qui me meut réellement. Je reste persuadé que s’il avait vécu plus longtemps, il aurait certainement pu m’apprendre bien des choses encore, telle que la maitrise des armes, le combat au corps à corps, mais malheureusement ce n’est pas à lui que je dois cela. Les chefs rebelles m’ont accueilli très jeune et m’ont donné une seconde éducation. C’est avec eux que j’ai appris l’auto-défense et quelques autres arts, tels que la création et manipulation d’explosifs. Ce sont ces choses, guerre exceptionnelles pour un homme tel que moi qui me facilitent le quotidien et même plus, sans lesquelles je serais certainement déjà mort.
Fort heureusement non. L’enlèvement de ma sœur aura au moins servit à ça. Peut-être que tout aurait été différent si elle était restée –et je suis bien incapable de prendre assez de recul pour imaginer ce que ma vie aurait été, mais aujourd’hui, je ne sais que penser de ma réaction si son nom avait été prononcé. Sans doute serais-je devenu fou au point de tout faire pour me faire descendre avant le commencement même du jeu. Chaque année je vois ces enfants quitter leurs familles. Chaque année je vois des larmes de sang rouler sur les joues des mères. Chaque année ce sont des effusions de sang et de haine qui coulent des corps maltraités des pères. Parfois je voudrais oublier toute cette misère et refuser de vivre dans ce monde. Parfois je voudrais me réveiller dans des draps blancs propres, à coté desquels ma mère se serait endormie en me racontant une de ces histoires que l’on aime entendre lorsque l’on est qu’un enfant. Parfois je voudrais voir autre chose que ce monstre caché sous mon lit, attendant la plus belle occasion de me faire payer ma propre existence. Chacun des vingt-quatre noms annoncés pour le grand jeu me semble être celui d’un être cher. Et pourtant, je ne peux plus me permettre de m’apitoyer sur leur sort. Chaque année je rêve que ces vingt-quatre noms seront les derniers annoncés et chaque année, ma rage redouble d’intensité.
La lumière me manque je ne peux le nier. Mais lorsque mon corps remonte à la surface, il me semble qu’il habite encore les profondeurs de la planète. Le soleil a revêtu un terrible manteau pourpre et la lune seule dans sa blancheur majestueuse est mon échappatoire. Je vis le jour, je vis la nuit. Il semble qu’à force d’errer telle une âme en peine dans ces sous terrains mon horloge biologique ce soit inventé son propre rythme. Mais dans le fond, ces sous terrains sont ce qu’il m’est le plus chair. La terre y est encore imbibée du sang de ceux qui ont péri pour la liberté. J’ai conscience que cette atmosphère n’est pas très saine, et j’ai conscience aussi que tout ce qui se trame ici n’est motivé que par une haine féroce augmentant de jours en jours. C’est ici même que j’ai appris à contrôler ma rage, à utiliser mes sentiments, à ne plus mépriser ma nature humaine mais à l’exploiter pour en faire une arme de destruction massive. Ces sous terrains sont ternes et même morbides parfois, mais ils sont ma maison, mon logis et pour rien au monde je n’échangerais cette odeur de renfermé contre le parfum sucré de la rose qui embaume le Capitole.


JE VIENS D'UN MILIEU DÉFAVORISÉ, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE SE PARTAGE COMME UN PRÉCIEUX BIEN.. DU COUP, MON NOM N'A AUCUNE CHANCE D'ÊTRE TIRÉ. J'EXERCE LE MÉTIER DE SOLDAT ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'EN SUIS PLUS QUE FIER. JE SUIS DANS LE 13ÈME DISTRICT. AYANT VINGT-SIX ANS JE NE PEUX PLUS PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET J'EN SUIS SOULAGÉ. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.

tell us your story.


    Episode I : La meilleur volonté du monde ne vaudra jamais la plus cruelle des barbaries

En apparence un soir banal sur le d3. La pluie martelait incessamment une terre déjà bien imbibée –trop imbibée. L’écho des gouttes qui perlaient à travers le toit poreux de notre maison et qui s’écoulaient, unes à unes dans une marre déjà conséquente m’était offerte pour seule distraction. Aislinn dormait déjà paisiblement dans les bras de ma mère. Elle s’était endormie avec le sourire. Elle se réveillerait en larmes. Assis sur une vieille caisse en bois je scrutais l’horizon. Pourquoi ? Je ne le savais pas. Je n’avais que quatre ans. Je voulais être mon père. Mais l’expérience me manquait. Au dehors tout était calme. Pas un chat. Pas un chien. Pas un enfant sous la pluie. Ici l’amour se cultivait comme une précieuse céréale. Chacun devait être dans le creux des bras d’un être cher. Ma mère. Ma sœur. Imbriquées l’unes dans l’autres, elles se ressemblaient tant. Elles étaient belles. Belles à en mourir. Belles à mourir pour elles. C’était le choix que mon père avait fait. C’était le choix que je ferai. Lourdement, j’avais posé ma tête dans mes mains. J’avais soupiré alors qu’il me semblait qu’au dehors, la pluie s’estompait. Je tournais faiblement la tête. Erreur de jugement. Effet d’optique. Deux hommes étranges, vêtus de couleurs étranges, venaient de faire leur apparition. Si le temps n’avait pas été si gris et si ces deux étrangers ne s’avançaient pas d’un pied ferme vers la maison, j’aurais dansé toute la nuit. Ma mère aurait rit aux éclats –comme elle aurait pu le faire pour la dernière fois. J’aurais pensé que c’était le carnaval. Erreur de jugement. Fatal. L’un des deux hommes poussait violement la porte tandis que l’autre se précipitait vers ma mère. Aislinn c’était mise à pleurer en valdinguant des bras de ma mère. Moi, jeune faible et insouciant, je me jetais sur ce dernier. Hurlant et criant, transpercé par des larmes de peur. Affermissant ma prise comme je le pouvais je tapais, mordais, frappais. Aislinn m’accompagnait dans un opéra pour le moins étrange. Ma mère faisait la harpe. Allongée sur le sol. La scène m’avait semblé des heures et des heures mais en réalité. Quelques secondes et c’était la fin. Le premier homme m’avait saisit par le col en riant. Je retrouvais bien vite la vieille caisse en bois –contre mon gré. Et puis c’était fini. Dehors, les étranges bonhommes disparaissaient dans le brouillard. Ma mère avait cessé de pleuré. Elle était couchée sur le sol, dans la marre qui mêlait ses larmes à la pluie. Ma famille avait été traînée dans la boue. Vraiment. Mon père était trop mort pour y changer quoi que ce soit. Toute la bonne volonté du monde que j’aurais pu rassembler pour vouloir lui rassembler n’aurait jamais valu la barbarie de ces hommes. Fin du premier épisode

    Episode II : Le meilleur des peintres n’aurait pu représenter une telle déchirure.

Aislinn aurait du fêter ces deux ans. Mais c’était Roseann qui l’avait fait pour elle. Ma mère, sa mère, fêterait ça pour la première et dernière fois. Seule. Pour la dernière fois. J’avais six ans et il faisait beau. Je revenais de jouer avec les enfants du district de mon âge –ceux qui acceptaient de m’adresser la parole du moins. Jamais un enfant n’aurait du rentrer chez lui. Jamais un enfant n’aurait du avoir à faire face. Si mon père n’était pas mort. Si ma sœur n’avait pas été enlevée. Si j’avais été plus grand… La porte s’entrouvrait sur le visage défait de ma –désormais, défunte mère. Seule cette vieille et immonde corde la rattachait encore à notre monde. A l’intérieur elle était déjà partie. Depuis combien de temps ? Peut importe. Joyeux anniversaire Roseann. Fin du deuxième épisode

    Episode III : La mort c’est une errance qui dure toujours.

Me voilà orphelin. C’était le triste bilan d’une existence trop courte pour être prise au sérieuse, mais trop longue pour être racontée. Mon père avait cessé de parler. Ma mère avait cessé de pleurer. Ma sœur avait cessé de pleurer. Puisse t-ils être heureux là où ils étaient. Moi, où que j’aille, il me semblait qu’un fantôme mortuaire me suivait. Partout où je mettais les pieds, le sol s’imbibait de sang et de haine. Quel enfant de six ans seulement pouvait grandir éduqué par sa colère ? Personne. Pas même le plus monstrueux des hommes ne le pouvait. Une semaine, deux mois, six… Qui sait ? J’errais, de district en district. Cherchant désespérément. Mais quoi ? Là, au beau milieu d’une forêt de conifères, sombre et majestueuse, je décidais de faire une halte. J’avais faim, froid, soif. J’étais fatigué. Je m’allongeais, sur le sol, près d’un vieux cèdre du Liban. Il était beau, classe. Mes cheveux blonds à mois ne pouvaient plus être salis tant la crasse avait pris le dessus. Ma mère aurait hurlé. Mais elle ne pleurait même plus. Je réfléchissais. Allais-je errer ainsi longtemps ? Etait-ce ainsi que mon père avait grandi ? Errant de district en district ? Chercher le destin, ça faisait mal à mes petites jambes. Mais il suffisait que je m’arrête. Le destin m’avait trouvé. Une troupe d’homme, étrange eux aussi s’approchaient. Etais-je réellement en mesure de prendre mes jambes à mon cou ? Etais-je en mesure de choisir mon destin ? Je me fichais bien de ce que ces hommes pouvaient avoir à m’apprendre. Je me fichais de quelle éducation ils me donneraient. De toute façon, mes yeux se fermaient. Je n’étais pas tranquille, encore moins serein. Mais je ne retenais rien. Je m’endormis, dans l’espoir que c’était la dernière fois. Fin du troisième épisode

    Episode IV : Le bonheur ne se cherche pas. Il vous tombe dessus –ou pas.

On est tous victime de vivre nos véritables expériences trop jeunes. Si Aislinn avait réagit de la sorte huit ans plus tôt. Peut-être n’en serions nous pas là. Ni moi ni elle. Plus moi que elle.
Depuis six ans, j’avais trouvé les rebelles. Les rebelles m’avaient trouvé. Ils m’avaient offert un avenir. Les deux premières années, je me fichais bien que cet avenir soit juste ou non. Mon voyage de district en district m’avait trop épuisé pour me poser encore des questions existentielles. Je voulais me posé. J’étais posté. En six ans j’avais appris sans doute bien plus que tout ce qu’un préadolescent aurait pu ingurgiter. Je maitrisais déjà le camouflage et l’art de la discrétion n’avait plus aucun secret pour moi. Comme après de nombreuses expérimentations, il s’était révélé que j’étais incapable de tuer, la présidente Coin m’avait affecté aux opérations terroristes. J’étais petit et discret. Coin disait même que j’étais une gueule d’ange inoffensive. Soit. C’était elle l’experte. Aujourd’hui j’étais en repos. Repos –mot que je ne connaissais que très peu. Le repos, c’était avoir l’âme tranquille et sereine. Chaque jour passé était loin d’être d’un quelconque repos pour moi. Je m’étais promis de veiller sur ma sœur. Chaque jour qui passait la gardait près de barbares infréquentables. Demander pitié n’aurait rien pu changer. C’était aujourd’hui ou jamais. Marcher sur les traces de mon passé me déchirait les entrailles. La douleur était plus intense à chaque pas franchi. La douleur sur une échelle de un à dix ? Quatre-vingt dix. Tout s’estompa pourtant lorsque son visage transparu au travers des broussailles. Aucun de ces scientifiques du capitole n’aurait pu imiter une telle magie. Aislinn était si belle. Rien à voir avec le bébé que ma mère enlaçait dix-neuf heures sur vingt-quatre. La balle c’était présentée à moi comme si les instants qui allaient suivre n’allaient être qu’un jeu. Et tout à fait maladroitement, je l’écrasais de mon pied. Je redresse la tête et mon regard se plonge dans la mer douce et clair qui inondait les yeux de ma petite sœur. Elle n’était certes que ma demi-sœur, mais ma mère l’avait aimé comme si elle était ma propre chair. Alors ainsi était-elle. De la mère chair. « C'est toi, la fille de la styliste ? » Parler m’avait tiraillé la gorge comme si mes muscles fournissaient un effort surhumain. J’avais une telle boule dans la gorge, c’était elle qui m’opposait résistance comme mille géants. Mais sa voix douce et claire m’apaisait instantanément. J’avais tant espéré ce moment. Mais la réalité du temps qui passait à une allure folle me rattrapait vite. Les rebelles m’avaient appris la valeur du temps qui passe, l’importance de tout faire vite, et bien, de manière efficace et concise. J’en oubliais toute tendresse. Ni une ni deux, je saisissais la blondinette par le bras et tentais de l’amener à moi. Elle se débâtait et hurlait. Les hurlements de la fillette avaient la même couleur que ses larmes ce fameux soir. Etais-je franchement différent de ces drôles de bonhommes à cet instant. La question me foudroya comme jamais aucune idée ne m’avait transpercé. Je me laissais déconcentrer. Erreur fatal. Un coup de genoux bien placé et je pliais le genou. Si elle avait su se débattre ainsi plus tôt. Tout aurait été différent. Martelé par les larmes qui s’accumulaient, menaçant de faire éclater l’épaisse boule de rage dans ma gorge. Alors je disparu. Brisé plus que jamais. Détruit. Plus que jamais. Fin du quatrième épisode

To be continued…



reality is here.


'Jour à tous, je m'appelle Niccòlo, alias Niko évidemment. Je suis sur l'année de es vingt ans et je suis en maths spé à Paris (douce tragédie n'est-ce pas). Je suis en train de lire les livres depuis deux ans en fait puisque je n'ai plus de vie social mis à part mon idylle entre mes livres de maths et moi. Enfin voilà. C'est à peut prêt tout ce qu'il faut savoir. Je crois.

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Dernière édition par Fletcher F. Harrison le Mar 6 Mar - 19:05, édité 12 fois
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MessageSujet: Re: Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF   Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF Icon_minitimeLun 5 Mar - 14:58

bradleeeeey. Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF 4209083858 Bienvenue parmi nous beau gosse. et bonne chance pour ta fiche, aussi. I love you
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MessageSujet: Re: Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF   Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF Icon_minitimeLun 5 Mar - 15:18

Bienvenue parmi nous I love you et bon courage pour cette fiche =)
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Clay L. Kennedy-Fawkes
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MessageSujet: Re: Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF   Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF Icon_minitimeLun 5 Mar - 15:27

Bienvenuuuuue sur MJ Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF 173490454
courage pour ta fichette !
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MessageSujet: Re: Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF   Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF Icon_minitimeLun 5 Mar - 16:26

WILKOMMEN Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF 173490454 et bon courage pour la suite ! (:
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Alexiane R. Hawthorne
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MessageSujet: Re: Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF   Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF Icon_minitimeLun 5 Mar - 17:08

Bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche I love you
Bradley en rebelle, j'adore Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF 173490454
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MessageSujet: Re: Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF   Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF Icon_minitimeLun 5 Mar - 17:35

Merci tout le monde chou
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MessageSujet: Re: Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF   Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF Icon_minitimeLun 5 Mar - 17:45

bienvenuuuuuue Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF 173490454Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF 3523041270

si j'ai bonne mémoire, c'est le scéna de Roseann c'est ça ? Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF 3421360609

parce que la joueuse ne garde pas le personnage Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF 4209083858
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MessageSujet: Re: Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF   Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF Icon_minitimeLun 5 Mar - 18:04

Oui c'est ça c'est son scénario.
Si elle lâche le perso il serait possible de le créer en scénario non ?
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MessageSujet: Re: Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF   Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF Icon_minitimeLun 5 Mar - 18:09

Ohhhh bienvenuuuue Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF 1366640713
Faudrait voir avec zozo, sil elle veut garder Rose maintenant que son scena est là Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF 1366640713

Mais sinon demande lui gentillement si tu peux lui voler sa Rose, je pense qu'elle te mordra pas What a Face

Bon courage pour la fin de ta fiche, ou de ta future fiche si jamais Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF 173490454
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MessageSujet: Re: Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF   Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF Icon_minitimeLun 5 Mar - 18:28

très bon choix ! Bienvenue et bon courage I love you Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF 4153354820
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MessageSujet: Re: Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF   Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF Icon_minitimeLun 5 Mar - 19:16

Un Bradleyrebelle Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF 173490454 chou
Bienvenue sur MJ & bon courage pour ta fiche I love you
Fletcher ça me plait comme prénom Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF 4153354820
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http://www.mockingjay-rpg.net/t1349-thybalt-strawberry-fields-forever http://madebyumita.tumblr.com
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MessageSujet: Re: Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF   Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF Icon_minitimeLun 5 Mar - 22:29

BRADLEY Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF 173490454
Bienvenue chou
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Miléna E. Andréis-Wheeler
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Miléna E. Andréis-Wheeler
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MessageSujet: Re: Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF   Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF Icon_minitimeMar 6 Mar - 8:28

BIENVENUE chou Et bonne chance pour ton histoire Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF 173490454
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MessageSujet: Re: Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF   Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF Icon_minitimeMar 6 Mar - 9:43

Cool !! Bradley James !! Cool

Welcome ! Au plaisir de vous torturer sous peu mon brave...
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MessageSujet: Re: Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF   Un bon dictateur est un dictateur mort :: FF Icon_minitime

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