Judas Maverick Salzak

❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞

reality is here.

about games and relative.

(merci de répondre aux questions en suivant les indications de lignes. certaines questions sont seulement pour certains personnages, merci de supprimer celle(s) qui ne correspondraient pas au vôtre.)

➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ?

Vous rigolez, n'est-ce pas ? Regardez la tête de cet homme, son air cynique et enjoué, cette posture droite et fière qu'il s'impose à lui-même, vous pensez vraiment qu'il est le genre à s’interroger sur sa mort ? Vous vous méprenez sérieusement. Maverick n'est pas de ceux à se poser ce genre de questions existentielles, du moment qu'il puisse mourir le plus tard possible, voire jamais. La mort, la vie, tout ce blabla que l'on nous impose, ces questions que le petite peuple se pose à longueur de journée, c'est d'un redondant ! Rien de plus pour exaspérer monsieur. Il ne veut pas mourir, même, il ne peut pas mourir. Le Capitol aura tout le temps de trouver un remède miracle contre le problème de la mort, après tout le Capitol est capable de tout. Une chose est sure, il ne veut pas mourir comme son traître de frère, qui à donner sa vie pour la "rébellion". Pff, quelle sottise que de donner son âme pour une cause aussi impossible et inutile que cette pseudo attaque. Maverick souhaite mourir comme un homme, non pas comme un traître, et ça le plus tard possible. Sa vision de la mort se fait douce, peut-être entouré de femmes, de bon vin de bonne musique, une mort des plus agréable et raffinée, tout comme lui.

➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ?

Mourir pour quelqu'un ? Vous ne pensez tout de même pas que Maverick laisserai sa peau pour quelqu'un d'autre que lui ? Il à beau être vantard et élégant il n'en reste pas moins un lâche de la première occasion, toujours prêt à fuir dès que la situation s'avère compliquée. Maverick n'a personne pour qui mourir, aucune famille digne de ce nom qui pourrait faire battre en lui un espoir, rien du tout. À l'époque où sa situation était encore précaire on aurait pût dire qu'il aurait donner sa vie pour son frère jumeau, Elliam, pourtant maintenant que ce-dernier est mort Maverick n'éprouve aucune peine, aucune tristesse. C'est ce qui arrive quand les familles se séparent. Et puis il faut avouer qu'avec toutes les femmes qu'il à connu dans sa vie ça n'est même pas la peine de penser à un grand amour pour lui, Maverick n'y croit pas et n'y croira jamais, tout comme il n'aurait rien ni personne pour qui mourir.

➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ?

Non mais regardez-le un court instant, n'est-ce pas évident que ce qui prime chez Maverick à l'instant même où on le croise c'est sa beauté naturelle ? C'est un homme des plus élégant que vous avez là, toujours propre sur lui, toujours vêtu des meilleurs accoutrements, coiffé à la perfection par les meilleures mains du Capitol. Maverick peut compter sur sa beauté et son élégance pour s'attirer les bonnes grâces des hauts placés de la capitale, et plus spécialement des femmes qui ne résistent pas à son regard séducteur et affirmé. Il faut aussi avouer que c'est un homme doué d'un très grand sens de la manipulation, toujours capable d'obtenir ce qu'il souhaite des autres, toujours menteur et presque jamais honnête, le genre d'homme à s'éclipser en douce après avoir consommer la chaire de ces dames. Maverick est l'un de ces hommes qui possèdent un don oratoire important, capable de prononcer des très jolis discours sans même se forcer sur les mots, trouvant toujours les petites faiblesses de chacun pour pouvoir attaquer avec douceur et cynisme, un homme adorable. Sa forme physique n'est pas à passer à la trappe puisque le jeune homme s'entraîne chaque jours afin de garder le plus de muscles possibles compte tenu des denrées fournies par la capitale, ainsi Maverick est quelqu'un doté d'une agilité étonnante, capable de se glisser dans les plus petites impasses sans se faire remarquer. Il possède également une force certaine et connait plus ou moins les arts-martiaux.

➺ APPRÉCIES-TU LE VISIONNAGE DES JEUX ?

Une pure merveille ! Voir autant de jeunes enfants se défendre pour leur honneur, leur dignité, quel spectacle magnifique ! Les jeux vous en apprennent beaucoup plus sur la vie que l'éducation de vos parents ou bien même des vos professeurs d'école. Maverick à toujours été fasciné par les jeux de la faim, restant des heures devant le poste de télévision, attendant toujours les moments les plus intéressants, les plus sanglants. C'est pour cette raison qu'il est devenu chirurgien pour les survivants des jeux, afin de faire parti de l'entourage de ces jeunes devenus des hommes et des femmes de grandes importance. Maverick ne plait particulièrement en présence de jeunes gagnantes et fait toujours son possible afin de s'afficher le plus possible à leurs bras, en quête d'une reconnaissance qu'il voudrait tant avoir.

➺ COIN A ANNONCÉ LORS DES DERNIERS JEUX PAR MESSAGE PIRATE QUE LE TREIZE EXISTAIT TOUJOURS. TU ESSAIES DE TE JOINDRE À EUX OU AU CONTRAIRE, TU FAIS TOUT POUR STOPPER CETTE RÉVOLTE ?

Haha. Excusez son rire mais à vrai dire il y a de quoi rigoler n'est-ce pas ? Une révolte ? A Panem ? Certains sont décidément tomber sur la tête ! Cela fait déjà de longues décennies que le D13 n'a rien sorti de productif si ça n'est des cendres fumantes, pourquoi diable agirait-il maintenant ? Et puis ça n'est pas une petite bande de rebelles autodidactes, maîtrisant à peine une arme qui pourra faire peur au peuple de la capitale avec son armée et ses pacificateurs sur-entraînés.

tell us your story.

I never sleep and I just stay in the rain, but the burning in my blood never came.

Pour la première fois depuis de long mois chaud et secs, la pluie s'était abattu sur le district, créant des sillons craquelant dans la terre rugueuse qui semblait frémir au contact de l'eau ruisselante. Les enfants étaient rentrés se cacher, à l'abri du vent et de la pluie qui battait fort au dehors, bien emmitouflés sous des torrents de couvertures chaudes, partageant peut-être le confort d'un feu de cheminé réconfortant ou d'une bonne tasse de chocolat chaud qui coulerait le long de leur gorge. Une vieille dame au regard froid et austère se dirige d'un peu rapide dans un couloir faiblement éclairé, ses talons claquent sur le sol et elle prend soin d'ouvrir chaque portes avec précaution, glissant sa tête à l'intérieur avant de recommencer la même routine quelques secondes plus tard, inlassablement depuis ses quinze dernières années. « Maverick, Elliam, il est temps d'éteindre les lumières et de dormir. Demain est un grand jour. » Sa tête disparaît au-delà de l'encadrement de la porte et elle abaisse le bouton de interrupteur, plongeant la pièce dans le noir le plus complet. Un jeune garçon âgé de six ans sort une lampe de torche de sa table de chevet, faisant s'éclairer un livre à la reliure vieillie par le temps et aux pages jaunies par l'humidité. « Dis Elli, tu crois qu'on sera enfin adopter demain ? » La tête d'un autre garçon, ressemblait traits pour traits au premier, sort de l'obscurité et fixe son regard sur son frère qui se concentre pour pouvoir lire les pages de son livre. Ils en ont vu dans leur vies, ces deux jeunes garçons à peine plus grand que la haie qui entoure l'orphelinat, à vrai dire ils sont pas différents des autres enfants qui peuplent cet endroit, mais sans doute sont-ils les plus connus ici. Maverick & Elliam, deux jumeaux que tout sépare, deux enfants aux caractère radicalement opposés. « J'en sais rien Mav. Peut-être, peut-être pas. Ça n'est pas les familles qui manquent pourtant. » Il à déjà les mots d'une grande personne, Elliam et celui qui réfléchit avant d'agir, qui pèse le pour et le contre avant de se lancer dans quelque chose, du haut de ses six ans à peine tasser il pourrait en paraître dix rien que pour son caractère réfléchit. Tout le contraire de son frère, qui se tourne et se retourne dans son lit en tapant des pieds sur le matelas, incapable de faire preuve de patience, colérique et manipulateur. Maverick, la moitié d'un tout, le garçon au tempérament agressif qui ne sait pas comment se débrouiller dans la vie sans la présence de son frère à ses côtés. « J'en ai marre d'attendre. » Il tape du poing encore plus fort sur son petit matelas crasseux et troué qui à vu passer plus d'enfant que le médecin du district. Elliam finit par soupirer dans un souffle grave, renfermant son livre en cornant le haut de la page, dirigeant le faisceau de la lampe sur le visage de son frère. « Certains sont là depuis plus longtemps que nous, il faut se faire une raison, on à pas besoin d'enfant au district quatre. » La maison, ou du moins ce que les deux garçons identifie comme leur maison. Abandonnés à la naissance ils n'ont jamais connu autre chose que l'enceinte de l'orphelinat, les lacs et les rivières du district quatre, le marché au poisson qui constitue l'un des points capital pour ses habitants. « Si seulement je pouvais partir aux jeux. Je m'en irai d'ici pour toujours. » Douce ironie que de savoir ce jeune enfant de six ans vouloir une autre vie que la sienne, une vie couverte de gloire et d'argent, une vie qui n'est pas destinée aux enfants adoptés.

Elle chante. Entre les couloirs, les allées et les chemins. Elle chante, d'une voix pure et sans chagrin. Ils sont deux, tout droit sorti de la capitale, affichant leur tenues de couleur pastel et leur coiffure extravagante. Elle, elle se contente de chanter à voix basse en passant devant les enfants, murmurant des vieux refrains, de vieilles comptines qui sont supposées l'aider dans son choix. Lui, lui il se contente de passer en revu les frimousses crasseuses et humides des jeunes gamins à peine réveiller, n'écoutant même pas les remarques de sa femme alors qu'elle s'arrête à hauteur du couple de jumeau. « Lui ! C'est lui que je veux ! » Comme lorsque l'on choisit un animal de compagnie dans un vitrine elle désigne du doigt le petit Maverick, qui n'ose pas lâcher la main de son frère et qui regarde la dame avec insistance. « Tu es sûre de toi chérie ? Il à l'air un peu … chétif.» Il insiste bien sur le dernier mot tandis qu'elle s'accroupit à hauteur du gamin, un sourire satisfait sur le visage. « Sûre et certaine ! Avec un bon coiffeur et un superbe costume il sera parfait ! » La vieille dame de l'orphelinat s'approche du couple et Maverick resserre un peu plus son emprise sur la main de son frère, dont les yeux commencent à se tremper de larmes. « Ils sont jumeaux madame … Presque impossible à séparer … Et entre nous, Elliam est le plus prometteur des deux.... » La chanteuse aux cheveux bleus adresse un signe de tête à la vieille dame sans même la regarder, son attention toujours porté sur le jeune Maverick est sa tenu débraillé. « Je n'en prend qu'un, et c'est celui-là. » Elle daigne enfin levé les yeux vers la vieille dame, lui adressant un regard des plus noirs tandis que son mari agrippe fermement l'épaule du jeune garçon qui se débat, essayant de ne pas flancher sous l'emprise de l'homme et de sa force. « Non ! Non je ne veux pas partir ! Elliam me laisse pas ! » Les larmes coulent le long des joues de l'autre frère, qui repousse son jumeau avec autant de force dont son jeune âge est capable. « Pars Mavercik. Pars avec eux et je viendrai aussi vite que possible. » L'homme arrache l'enfant à son frère jumeau, le faisant passer sur son épaule comme l'on porterai un sac de farine, et, en moins de temps qu'il n'eut fallu à Elliam pour pleurer, son frère fut emporté dans une grande voiture aux vitres teintées.

Do you know who you are ? Do you laugh, just to think what I lack?

L'homme est un lâche par nature, il prend la fuite devant le danger comme un animal apeuré devant un prédateur. C'est comme ça pour tous les hommes, et ceux qui vous disent le contraire ne sont que des menteurs. Il se rhabille en vitesse, enfilant son pantalon et boutonnant sa chemise avec une grande rapidité, après tout il fait cela presque tous les jours depuis qu'il à été promu au poste de chirurgien. Il s'enfuit, avant même que la jeune femme ait le temps de s'en rendre compte il ne reste plus rien de lui que les souvenirs d'une nuit passée à consommer le péché de la chaire comme un simple plat de qualité, plus ou moins appréciable. D'un geste rapide et routinier il embarque avec lui toutes preuves de son passage, ses chaussures qui traînent dans un coin de la pièce, sa cravate encore accrochée à l'abat-jour, son identité toute entière disparaît avec lui. Maverick s'exécute dans la plus habituelle des routines, inlassablement il recommence les mêmes gestes chaque matin avec une facilité déconcertante. La jeune femme à la chevelure rose dore encore paisiblement sous l'amas de couvertures qui la surplombe, Maverick lui adresse un coup d'œil rapide afin de constater qu'elle est encore endormi et que ses mouvement ne la feront pas sortir du sommeil, sous quoi il devrait trouver une excuser valable pour ne pas avoir à revenir et bien même la rappeler. Il est bien loin le temps où ce jeune homme n'était qu'un garçonnet apeuré qui avait toujours besoin de l'approbation de son frère avant de se lancer dans quoi que se soit. Les temps ont changés, les personnes on grandis, mûrit, Maverick n'est plus le même, rien n'est plus pareil. Un mouvement trop brusque de sa part fait basculer un cendrier violet placé sur le bord d'une petite table, Maverick s'en mort déjà les doigts, sachant pertinemment que le bruit sourd ne fera que réveiller la belle aux bois dormant qui pousse un grognement sordide pareil à l'aboiement d'un chiot. « Tu t'en vas déjà ? » Sa voix est douce, presque inaudible et tellement commune aux gens du Capitol qui sifflent les s comme de vieux serpents. Le jeune homme, bien troublé par cette affaire, affiche une mine des plus sérieuses, se contentant de reboutonner sa chemise jusqu'au col. « Je vais chercher le petit déjeuner, tu n'as qu'à aller prendre une douche pour être prête quand je reviendrais. » Un sourire charmeur se pose sur ses lèvres, alors que toutes ses paroles ne sont que mensonges, calomnies et parodie de vérité. La jeune femme semble ravit par tant d'attention et elle n'hésite pas à se montrer encore plus enthousiasme en levant les bras en l'air comme dans un signe de victoire, ce qui à le don d'énerver le jeune Maverick qui ne pense qu'à sortir d'ici le plus vite possible. « Je pense avoir trouvé l'un des meilleurs parti du Capitol avec toi Elliam. » Un sourire et le tour est joué, Maverick prend la porte avant même qu'elle n'ait eu le temps de sortir du lit. Le nom de son frère est toujours celui qu'il donne comme identité, pourquoi ? Il l'ignore lui-même, à vrai dire il ne s'est jamais vraiment remis de leur séparation. Aucunes nouvelles, pas la moindre lettres, le moindre mot. Tout deux ignorent ce que l'autre est devenu, et c'est sans doute beaucoup mieux comme ça. Elliam, l'autre moitié, la bonne moitié. Envolé les souvenirs, disparus les murs de l'orphelinat du district quatre, tout ça se trouve bien derrière lui maintenant.

Il pousse une grande porte en verre, se retrouvant à l'intérieur d'un bâtiment aux murs blancs et immaculés. « Maverick ! Comment se porte notre nouveau chirurgien vedette ? » Un homme aux cheveux teintés de rouge lui sert la main avec force, le poussant d'une main vers l'escalator en verre. « Bien merci. Par quoi commençons nous ? » Il monte nonchalamment les dernières marches, se retrouvant nez à nez avec une femme en tailleur violet, les yeux plissés et un énorme tatouage en forme de fleur lui courant dans la nuque. « Monsieur Salzak, veuillez me suivre sil vous plait. » Elle se lance dans un couloir qui semble interminable, ne prenant même pas le temps de regarder si l'homme la suit ou bien si il n'a pas entendu sa remarque. Le bruit de ses talons claque sur le sol et cela n'est pas sans rappeler à Maverick sa vie d'antan et les talons de la vieille dame qui leur servait de marâtre à l'orphelinat. Il faut tout oublier, ne pas se laisser submerger par les souvenirs de l'autre vie, de celle qu'il partageait avec Elliam. « Mais je vous suivrez n'importe où. » Agir comme tous les clones du Capitol, se faire tout petit et accepté ce que la vie nous offre. Le couloir s'étend à perte de vu, jamais il n'avait emprunté cette aile du bâtiment et l'inquiétude commence à lui monter à la tête. Elle ouvre une porte et laisse passer l'homme avant de la refermer d'un coup sec sans même lui adresser la moindre parole, le moindre regard. « Bien Mr Salzak. Je m'appelle Pénélope Gylis, conseillère auprès du gouvernement du présent Snow. Je crois avoir un travail de la plus haute importance pour vous. » Elle tire une chaise de sous un bureau de verre et force Maverick à s'assoir, tout en décrivant un arc de cercle autours de lui afin de prendre place en face, éclairée un faisceau de lumière qui sort de l'un des grandes fenêtre de la pièce. Ses mais s'agitent autours d'un dossier d'où elle sort plusieurs photos sur papier glacés, représentant un homme au milieu d'une forêt un fusil à la main, un autre où ce même homme entre dans une maison abandonnée, puis plusieurs clichés obscur où l'on ne distingue pas grand chose si ce n'est le tâche de sang et les ecchymoses qui couvrent le visage de l'homme. « Vous le reconnaissez ? Après tout ça n'est pas dur. » Le visage de cet homme, en tout point semblable à celui de Maverick, comme deux gouttes d'eau, comme deux jumeaux. Elliam. C'est le visage d'Elliam qui se tient sur ces photos, les yeux clos, des bleus entourant ses yeux, ses lèvres maculées de sang. « Il s'agit de votre frère. Elliam Salzak, aussi connu pour être l'un des chefs de la rébellion du district quatre. Enfin, il était connu de son vivant. » Sa voix se fait puissante sur le dernier mot, insistant sur la connotation sordide, des larmes coulent sur le visage de Maverick. Il peut sentir son cœur se briser en deux partie bien distinctes, l'autre moitié de son être, la meilleure part de lui-même s'est perdue à jamais. « Que voulez-vous que je fasse ? » Abandonné, Elliam l'à abandonné. Il n'est jamais venu chercher Maverick comme il l'avait promis et ce-dernier la renier comme le dernier des inconnus. « Nous voulons que vous preniez sa place et que vous rapportiez des informations au Capitol, des informations qui pourraient arrêter cette mascarade stupide. » Elle referme le dossier et les photos, le plaçant au devant de Maverick dont l'esprit s'est envolé au loin. « Je ferai n'importe quoi pour le Capitol. » Il se saisi du dossier et se lève sans un mot, avec autant d'agilité que lorsqu'il quitte les femmes. Tout, il fera tout pour ne plus avoir à entendre parler de cette rébellion stupide et de son imbécile de frère. Mort, enterré, tout c'est perdu.

Vous êtes beaux.
Faites la queue pour les orgasmes, il y en aura pour tout le monde.