✤ TOURNEE DU VAINQUEUR les jeux sont désormais terminés, place à la tournée du vainqueur qui met à l'honneur andro graham ! plus d'informations ici. ✤ INTRIGUES panem ne cesse de changer avec de nombreux événements inouïs. découvrez le volume 6. ✤ MISES À JOUR une nouvelle règle a été instaurée. merci de prendre connaissance de celle-ci ainsi que les autres nouveautés ! ✤ MISSIONS ET QUÊTES toutes les missions ont été lancées ! rendez-vous dans ce sujet pour toutes les découvrir. ✤ SCENARIOS voici quelques scénarios qui n'attendent que vous: rebelles. liam hemsworth pacificateurs. boyd holbrook district 13. cobie smulders & chris hemsworth vainqueurs. gemma arterton & elle fanning d'autres scénarios gagnants de la loterie à venir !
Sujet: VIOLET ❝ everybody want to run away. Sam 7 Jan - 18:25
violet althaea woods
❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞
Bonjour. Qui suis-je ? Je suis une simple fille de médecin, je m'appelle Violet Althaea Woods. Mes parents m'ont donner ces prénoms en 'hommage' aux plantes médicinales. J'aurais pu tomber sur de pire prénoms comme Hysope ou Sariette. Je suis née dans le district 2 et j'y ai vécu pendant la plus grande majorité de ma vie. Cependant, j'habite à présent le district 6 après avoir été chassé de mon district natal, et je suis agée de vingt-quatre ans. Mon père étant médecin, je l'ai souvent aidé avec ses patients, il est donc dans la logique des choses que je prenne un chemin similaire. Je suis à présent sage-femme, mais je prépare aussi certains remèdes courant, des baumes ect. J'ai toujours été élevée dans des valeurs anti-capitol, si bien que j'ai intégré les rebelles. J'ai toujours eu peur d'être sélectionnée pour les jeux, mais ce ne fut pas le cas et chaque sélection emporta beaucoup de mes connaissances du district deux. Je suis une jeune femme franche, loyale et douce, et je ne supporte pas la violence, et l'injustice. Bien que je ne le crie pas sur les toits, je déteste les pacificateurs. Pourquoi ? Le point de départ à été le père de Karel, pacificateur maltraitant son fils, et entraînant sa jeune fille, jusqu'à ce qu'elle parte aux jeux et n'en revienne pas. Pour moi, ils sont trop responsable de la violence et de la peur des district. Je me mets rarement en colère, sauf si l'on s'en prends à mes proches. Je peux aussi être impulsive et sensible. J'ai toujours été appréciée par la gente masculine, grâce mes longs cheveux brun, mes traits fins ainsi que mon corps élancé. Sans oublié mes yeux verts. May the odds be ever in your favor, à toujours été la phrase que je déteste le plus au monde.
about games and relative.
➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ?
La mort est synonyme d'injustice. Elle nous arrache les personnes qui nous sont chères, qu'importe le moment de la vie, qu'importe l'endroit où nous nous trouvons. C'est peut être cela aussi les Hunger Games, la mort qui plane au dessus de vingt-quatres jeunes gens innocents. Je n'essaie pas tellement de m'imaginer mon futur, car prévoir sa vie dans Panem est quasiment impossible, alors ma mort je me l'imagine encore moins. A vrai dire, qu'importe, que l'on meure de vieillesse, de maladies ou de morts atroces, le résultat est toujours le même. Nous finirons tous sous terre en ayant été heureux ou malheureux dans notre vie.
➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ?
Pour mon père, qui m'a tout appris et qui m'a aidé à me construire. Si j'avais garder mon enfant, j'aurais été capable de mourir pour lui c'est certain ! Après je pourrais me battre pour une cause qui m'est chère comme la liberté, cependant, je ne sais pas si j'aurais le courage de me battre jusqu'à ce que j'en meure. J'aimerais dire que je serais capable de le faire, mais c'est sur le moment que l'on sait si nous sommes capable de mourir pour telle chose ou pour telles personnes.
➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ?
En tant que sage-femme et assistante de mon père, ce qui m'aide le plus dans ma vie sont mes connaissances en médecine et ma connaissance des plantes. Savoir me nourrir avec des plantes, ou même pouvoir connaître les plantes médicinales est un véritable atout, surtout pour pouvoir survivre face aux blessures infligées par certains pacificateurs. En entrant dans la cause rebelle, j'ai aussi appris à manier un arc , ce qui est pratique pour atteindre un ennemi à distance.
➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ?
Heureusement pour moi, aucun de mes proches n'a participé aux Jeux. Du moins, pas de ma famille. Certains amis d'enfance y ont participé et y ont laissé la vie, aussi bien dans le district 2 que dans le district 6. A chaque moisson, bien que nous ne connaissions pas de manière intime les personnes, nous partageons la peine de leur famille car, cela nous rappelle à quel point l'équilibre dans nos vie est fragile et que tout peut nous être arracher en un claquement de doigts.
➺ COIN A ANNONCÉ LORS DES DERNIERS JEUX PAR MESSAGE PIRATE QUE LE TREIZE EXISTAIT TOUJOURS. TU ESSAIES DE TE JOINDRE À EUX OU AU CONTRAIRE, TU FAIS TOUT POUR STOPPER CETTE RÉVOLTE ?
Ce message à été comme un électrochoc, comme si nous avions droit à une lueur d'espoir. Cela fait quelques temps que j'ai rejoins les rebelles du district 6, j'essaie de trouver un moyen de rejoindre le district 13, bien que cela soit très risqué. La rebellion est comme un souffle nouveau, comme un chant qui s'éléve et qui prends vite de l'ampleur. Ayant toujours des opinions anti-capitol, il est important pour moi, d'aider autant que je le pourrais.
JE VIENS D'UN MILIEU moyen, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE est suffisante. DU COUP, MON NOM A 0 chances d'être tiré au sort. . J'EXERCE LE MÉTIER DE sage-femme ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'aime beaucoup mon métier. JE SUIS DANS LE 6ÈME DISTRICT. AYANT JE ne peux plus PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET j'appréhende la prochaine moisson. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.
reality is here.
Bonjour, tu es qui ? Je m'appelle Laura. D'où tu viens ? De la planéte terre, plus précisément la France. C'est quoi ton petit pseudo ? Je n'en ai pas. Et t'as quel âge ? J'ai vingt-ans. Le livre, tu l'as lu ? J'ai lu les trios à une vitesse fulgurante ! Et tu l'aimes, non ? I'm lovin' it -mc do sort de ce coprs !- Le forum, à la hauteur de tes attentes ? Il est vraiment superbe
Dernière édition par Violet A. Woods le Dim 8 Jan - 14:39, édité 14 fois
Invité
Sujet: Re: VIOLET ❝ everybody want to run away. Sam 7 Jan - 18:25
tell us your story.
La porte s'enfonce, deux hommes entrent en portant un corps ensanglanté. Un frisson me parcours alors que je me précipite dans le bureau de mon père. J'ai huit ans, cela maintenant bien longtemps que des gens blessés ou malades passent le pas de notre porte. "Papa, il y a un blessé.", l'informais-je. Il soupire. Il n'en a pas assez de guérir les gens, seulement assez de la tyrannie qui régne en maître. Alors qu'il se dirige vers le blessé, je le suis d'un pas léger. Mon père entre alors en action, va chercher des bandages, compresse les plaies. Je le regardes avec mes yeux de petite fille. J'ai l'impression que c'est un héro, cependant les héros n'ont pas leurs places dans les districts, seuls les gagnants des Jeux peuvent être considérés ainsi. A la fin de la journée, je servais la table pour le dîner et mon père entra. "Il s'en est sorti ?", lui demandais-je en faisant référence au blessé du matin. "Oui, mais il s'en est fallu de peu. Encore les pacificateurs.", répondit-il. Je serrais les lèvres, les pacificateurs toujours là pour régir nos vies et en faire un enfer. Je posais une main sur son épaule, l'esquisse d'un sourire sur les lèvres. Au fil des ans, j'ai vu des patients passés, des plus amochés que d'autres. J'ai aidé mon père, il m'a appris ce que tout médecin devait savoir : les plantes médicinales, les gestes, les paroles rassurantes à avoir. Il m'a aussi élevé dans des valeurs anti-capitol. Dans le district deux, presque tout le monde savait que mon père n'était pas un grand fan du Capitol, même les pacificateurs.
Karel entra dans la maison, une main sur son épaule, je le regarde, étonnée. Pourtant, je ne peux m'empêcher de penser. Pas encore. Fait qu'il ne l'ai pas encore blesser. Pourtant sa main découvre son épaule, une épaule blessée qui affirme mes craintes. Ni une, ni deux, je vais chercher mon père. "Karel est là, il est encore blessé.", dis-je précipitamment. Mon père le prends en charge, le questionne sur sa blessure. Je ne peux m'empêcher de rester. "Je suis tombé sur un gros caillou à côté de chez moi.". Je sais bien qu'il ment, comme toujours, mon père le sait lui aussi, mais il ne dit rien de plus. Profitant de son absence, je m'approche doucement du brun. "Il t'a encore fait du mal n'est-ce pas ? Ton père.", je le questionne. Mais il ne réponds rien, comme d'habitude. Il ne me regarde pas non plus, j'aimerais savoir ce qu'il se passe dans sa tête à cet instant. Je soupire et finis par reprendre la parole. "Un jour il te faudra dire la vérité Karel, ne le laisse pas diriger ta vie.". J'appuie alors ma main sur sa joue et réussi enfin à capter son regard, son regard si bleu, si envoûtant. C'est là, que j'ai sû que jamais je n'aimerais quelqu'un d'autre que lui.
Je me rappelle le départ de la sœur de Karel. Le chagrin qui l'a envahit. J'étais près de lui. J'avais ma place, je voulais rester près de lui pour toujours. C'était sans compter sur son père le fou du contrôle, le manipulateur. Je me souviens du jour, où le père de Karel, est venu nous menacer. J'étais dans la salle où l'on soigne les patients. La porte s'est ouverte à la volée laissant place au pacificateur tant redouté. Même pas un regard, une démarche à glacer le sang, il s'est dirigé vers le bureau de mon père. Puis, j'ai entendu des cris, des hurlements, une 'conversation' peu cordiale s'était engagée. Je me suis alors précipitée dans le bureau de mon père. Ce dernier était au bord de la crise de nerf, complétement en colère. Je ne l'avais jamais vu ainsi. « Vous n'avez pas le droit de nous ordonner de partir ! C'est chez nous ici ! », hurla t-il. Le père de Karel eut un sourire glacial, implacable. Je les regarde sans un mot, complétement abasourdie. « Vous ne tenez pas vraiment à la vie n'est ce pas ? Partez de ce district dés aujourd'hui ou alors je m'arrangerais pour démontrer à vos voisins que l'on insulte pas le Capitol sans punition … Je ferais peut être passer votre fille en première qui sais ... », répondit-il d'une voix autoritaire. J'en ai l'estomac noué, je regarde mon père avec désespoir. Que faire ? Je ne voulais en aucun cas quitter le district, encore moi quitter l'homme de ma vie. Karel. Son visage s'imposa à moi et une larme coula sur ma joue. Je me retournais pour partir en courant, mais une main agrippa le bras avec force. « Lâchez-moi ! », criais-je. « Pas de cela, jeune fille ! Pas d'au revoir. Faite vos valises, disparaissez. », sourit-il. Il me lâcha et s'en alla. Je tournais ensuite le regard vers mon paternel. Ce que j'y vois me glace. « Non, non, je t'en supplie, c'est du bluff. Je ne veux pas partir ! », pleurais-je, en m'accrochant à lui. « Pas d'histoires, s'il te plait, je préfère voir ma famille saine et sauve. Va faire tes valises, on s'en va. », déclara t-il. J'ai imaginer mille et un stratagème pour aller dire au revoir à Karel, mais je n'ai pas pu. Je le regrette, tous les jours.
La douleur dans le bas de mon ventre me figea. Cela faisait déjà plus d'une heure, que des contractions m'assaillaient. Il y a neuf mois, j'avais appris que j'étais enceinte de Karel, l'homme que j'aimais et que j'avais abandonné malgré moi. Ma famille et moi, avions emménagé dans le district six. Je caressais mon ventre espérant que la douleur se calmerait, mais rien n'y fit. Assise sur mon lit, je ne savais pas si j'avais la force de me lever. « PAPA ! », criais-je. Mon paternel ne se fit pas attendre et il ne tarda pas à débouler en trombe dans ma chambre. Au même instant, je perdais les eaux, je n'eus même pas besoin de lui dire quoi de ce soit. Il m'aida à m'allonger sur mon lit, me chuchotant des paroles rassurantes. Il alla chercher ma mère, du matériel etc. Après avoir appris que j'étais enceinte, je n'eus pas le choix que commencer à me faire à l'idée que je devais faire adopter mon enfant. Un déchirement, car c'était la seule chose qui me rattache encore à l'être aimé. Pendant tout l'accouchement, je ne pus m'empêcher de pleurer, malgré l'aide de mes parents, toujours présent. Eux aussi, n'allaient pas vraiment connaître cet enfant. « Félicitation, c'est un petit garçon », me dit mon père en tenant ce petit être dans ses bras. Ma mère l'enveloppa dans une serviette, pour ensuite le poser sur ma poitrine. Comme tous les parents le disent sûrement … c'était le plus beau bébé du monde, et j'allais en être privée. « Hey bonhomme … », chuchotais-je en caressant sa petite main. Il agrippa mes doigts, ma gorge se serra. « Maman, je t'en supplie, je veux le garder. », implorais-je alors que ma mère me caressait la joue. « Je suis désolé ma puce, tu n'as pas le choix. », dit-elle doucement. « J'aurais voulu que ton père soit là, pour voir à quel point tu étais beau … », continuais-je. Je restais un moment avec mon petit bonhomme dans les bras, ma petite merveille. Mes parents me l'enlevèrent difficilement des bras, et se chargèrent de l'adoption. Je ne sais pas dans quelle famille, il est parti, si il est heureux … Je sais juste qu'à ce moment là, quelque chose se brisa en moi, et je ne sais pas si cela se réparera un jour.
Dernière édition par Violet A. Woods le Sam 21 Jan - 13:50, édité 10 fois
Aiden S. Bregstone
△ correspondances : 1696 △ points : 2 △ multicomptes : - j. baÿs-galor △ à Panem depuis le : 09/10/2011△ humeur : - découragé, désemparé et plein d'autres rimes tarées. △ âge du personnage : - vingt-quatre ans. △ occupation : - (ancien?) chef rebelle du district neuf, pilier d'infirmerie