♦Jen et Cassandre♦





Le soleil palpitait sur ma douce peau. J'ouvris mes yeux d'un bleue éclatant et regarda ma chambre en me tournant sur le dos et croisant mes bras derrière ma tête. Une chambre plutôt grande, vide et ranger. Mon lit baldaquin blanc coller au mur à gauche de la porte d'entrer était toujours aussi lumineux le matin. Puis je tourna la tête vers mon bureaux placer sur le mur de droit près de ma porte, à sa gauche se trouver mon armoire remplie d'habit que mes parents m'avaient envoyés pour mon anniversaire, tellement débordée parle boulot qu'il ne venait même plus me voir. En passant mes yeux sur le réveille je remarqua qu'il était neuf heure du matin. Une journée bien calme m'attendait. Mes cours de physique sur l'atmosphère de Panem n'avait pas lieu aujourd'hui, et a vrai dire j'en était ravie. Je me décida enfin à sortir de sous mes drags lisses vers 9h05. Passent devant le balcon de ma chambre j'admirais les collines du district 3 malgré que l'air frais et magnifique du district 4 aller me manquer aujourd'hui. J'avais rendez-vous avec une ancienne gagnante. Je ne comprenais pas pourquoi elle tenait tant à me rencontrer mais cela n'allait pas me tracasser toute une éternité !Descendent les marches de ma maison luxueuse, je passa dans la cuisine ou Madleine- celle qui s'occupe de la maison et de mes repas- avait préparée des pancakes au petit déjeuner. Rien que sa me donnais le sourire, quelqu'un prenait soin de moi. Déjeunant avec une forte d'ose d'appétit je remonta dans ma chambre pour me préparer. L'hiver était là, il avait recouvert de neige le sol ce qui était assez jolie. Bref en repassant ma tête dans mon armoire je prix un long pantalon que j'accompagna avec des rangers et un gros blouson plus un petit bonnet bleue, mon préférée. Le rendez vous ce présentez à onze heure et il était déjà dix heure et demie. Sortant de la maison en courant, je prix ma luge venant du Capitole et traça les collines avec dans la neige, ce qui était assez amusant de ma part.

Arrivée devant l'hôtel de ville je déposa ma luge et entra .L'hôtel donnait l'air d'un endroit propre, rangée et saufistiqué. Le maire me conduisit dans une pièce. J'entra avec un sourire assez aimable et gentil. Une femme blonde regarder par la fenêtre et me tourner le dos. J'enleva mon bonnet et mon gros blouson puis commença à parler d'une voix assez mure pour mon âge .

"Bonjour, vous devez être mademoiselle Walden ?"

Ma voix était douce et donner l'impression qu'un ange parler, puis avec mes yeux bleue bleue comme le ciel et les cheveux roux comme un levée de soleil .

J'étais nerveuse. Les rebelles m'avaient confié une mission que je ne pouvais pas refuser. Ils voulaient que je rencontre la petite Cassandre pour comprendre son but dans la vie et je devais la convaincre de faire le bien si un jour elle montait sur le trône du capitole.

-Jen! C'est de la manipulation pure et simple. Pourquoi tu fais ça?

Je me parlais à voix haute. C'était le seul moyen de me donner du courage. Je ne voulais pas manipuler cette petite fille, mais je devais comprendre comment elle pensait.

Il était 10 h30 le rendez-vous était prévu pour 11h00. J'étais dans l'hôtel de ville du district 3 et j'attendais avec impatience l'arrive de l'enfant prodigue. Je n'arrêtais pas de regarder par la fenêtre en répétant le texte que je m'étais inventé pour aborder la petite. Quelques minutes plus tard je compris qu'elle était arrivée. Je n'es même pas eu le temps de me retourner qu'elle m'abordait déjà avec sa voix d'ange et avec un ton trop mûr pour son âge.

"Bonjour, vous devez être mademoiselle Walden ?"

Je m'agenouillai pour être à sa hauteur. Je lui tendis ma main pour qu'elle puisse la serrer et avec une voix décontractée je lui dis.

-C'est bien moi et vous devez être la petite Cassandre? Et oublie le vouvoiement avec moi. Ça me ferait plaisir.

Je l'invitai à s'asseoir dans un des deux fauteuils qui étaient devant la fenêtre. Je m'assis en face de l'enfant, croisa ma jambe et je pris une grande respiration avant de commencer.

-Avant de commencer j'aimerais te dire que je me suis arrangé pour qu'on puisse parler en priver, donc personne ne pourra nous entendre et tu pourras tout me dire. Je suis la de mon plein gré pour seulement te parler à toi.

Je sentais la chaleur monter en moi. Le stress commençait à me gagner. J'enlevai ma veste et commença avec la première question.

-Dit- moi, comment tu trouves le capitole?

Je s'avais très bien que c'était une question qu'il ne fallait pas prendre à la légère. C'est pourquoi je lui es laissé tout son temps pour répondre.

"Avant de commencer j'aimerais te dire que je me suis arrangé pour qu'on puisse parler en priver, donc personne ne pourra nous entendre et tu pourras tout me dire. Je suis la de mon plein gré pour seulement te parler à toi.Dit- moi, comment tu trouves le capitole? "

C'est mot résonnait souvent dans ma tête d'adolescente, comment une personne pouvais poser de telle question et je parie qu'elle savait qui j'étais. La fille de deux parents du capitolien, totalement fanatique de la république. Sa m'avais parrue totalement fou de me dire sa. Et si cette femme venait du capitole, si je lui disais le fond de mes pensées, que je détestais cette république, cette loi des jeux... Je risquais de mourir c'était certain... Mais je préfère choisir la mort plutôt que la vie dans une cage ou la mort nous attends à tout boût de champ. Oui c'était ce qu'était Panem !Un pays survivant de l'innondement, et des cons en tant que dirigeant de ce pays. Des polititiens tous affreux telles qu'ils sois, abusant des anciens vainqueurs des Hunger Games. Oui personne ne le sais mais j'ai trouver une fois petite-j'avais au moins 8 ans- un des juges sur le corps d'une ancienne gagnanye. J'était tromatisée et prise par la peur je suis partit en courrant. Cette scène me donner la nausée à n'en plus finir. Je baissais ma tête, et des larmes ce m'était à couler sur mon visage enfantin. Pourtant je ne devais pas pleurer, je n'avais rien subbit; maix c'était le choque, la tristesse de voir ces enfants, jetée dans l'areine, pour s'entre tuer.

Il fallait que j'arrête de pleurer mais je ne pouvais plus en finir, je prenais ma manche en m'essuyant les yeux avec un petit gloussement. Pourquoi tant pleurer alors que je suis qu'une enfant pourrie gâtée ?...
Je releva la tête avec les larmes qui coullait longuement de mes yeuxx bleus, pris ma respiration et me leva avec les points serrées et le regard fixant et méprisant.

"-Pour tout vous dire je déteste ce gouvernement, ces personnes !! Alors allez-y tuer moi si vous êtes une espionne vous ne perdrez plus de temps avec une gamine comme moi !"

J'ignorais totalement qui était cette femme mais elle avait du savoir une chose sur moi, j'étais une fille très courageuse et prête à mourir pour les autres .

J'écoutais attentivement la gamine et je ne croyais jamais entendre une chose pareille d'une fille de son âge.

"-Pour tout vous dire je déteste ce gouvernement, ces personnes !! Alors allez-y tuer moi si vous êtes une espionne vous ne perdrez plus de temps avec une gamine comme moi !"

L'estime que j'avais pour la petite venait de monter en flèche. J'étais heureuse quelle déteste le capitole. C'était une bonne nouvelle pour les rebelles et pour moi.

-Ne t'inquiète pas Cassandre. Je ne suis pas une espionne. Je ne peux pas tout t'expliquer pour le moment. On ne sait jamais si quelqu'un nous espionne, mais je peux te dire que je suis de ton côté et que je déteste autant le capitole que toi.

Un sourire commençait à apparaitre sur mes lèvres. J'étais remplie d'espoir. Je sentais que les rebelles avaient enfin une chance de pouvoir créer une grande rébellion et tout ça grâce à une petite fille. Je regardais autour de moi. Je voulais être sur de ne pas être écouté, car la révélation de Cassandre pouvait lui attirer plein de problèmes.

-Tu connais un endroit où on pourrait être tranquille et ou c'est sûr que nous ne seront pas entendue?

J'attendais patiemment la réponse de Cassandre. Maintenant c'était urgent de lui parler.

"Ne t'inquiète pas Cassandre. Je ne suis pas une espionne. Je ne peux pas tout t'expliquer pour le moment. On ne sait jamais si quelqu'un nous espionne, mais je peux te dire que je suis de ton côté et que je déteste autant le capitole que toi."

Je ne savais pas qui était cette femme à part son nom et son prénom. Mais en tout cas c'était une rebelle, une gagnante des Hunger Games. Une femme que l'on peut appeler forte, avoir l'audace de venir voir l'une des enfants la plus renommée du Capitole, la fille de deux sadiques qui veulent envoyer leurs filles dans les jeux de la faim pour tester sa capacité, voir si son intelligence peut aller au delà du capitole et de la mort. Comme une annatheme, bien sur tout le monde ne sais pas ce qu'est l'annatheme, en tout cas sa viens du grecque comme mon prénom. Cassandre. Vous trouvez pas sa majestueux non ? Cassandre était la princesse de Grèce et avait le don de lire l'avenir sans savoir pourquoi. Mais il y avait un problème bien sure, personne ne la croyait et la comprenait et tout le monde penser qu'elle était folle ... Comme moi, personne ne me comprend... Je suis une fille que personne ne peut comprendre, sympathique mais le coeur en sang d'avoir des parents comme sa... Enfin tout ça pour dire que cette femme me parraîssais si gentille, si sympathique.Elle regarda autour de nous et ajouta :

"-Tu connais un endroit où on pourrait être tranquille et ou c'est sûr que nous ne seront pas entendue? "

Madleine devais surement être à la maison, mais c'était le seule endroit ou cette madame Walden pouvait me parler, je lui souris puis remis mon manteaux en lui parlant.

"-Bien sure, il y a chez moi, venez, si sa ne vous dérange pas de marcher un peu."

J'enfila vite fait mon bonnet et sortie avec miss Walden qui avais mis ses habits d'hiver, nous sommes parties en marchant vite fait jusqu'à dehors, je n'aimais pas l'odeur pesante de cette hôtel de ville. Arrivée dehors, la neige avait bien augmenter, je pris ma luge et commença à marcher en direction de chez moi au côté de Jen.

J'aimais bien cette petite. En quelques secondes elle avait comprit se que je voulais et je voyais très bien que peut importe se qui allait arriver elle resterait déterminé, car elle détestait le capitole autant que moi. Elle m'indiqua un endroit plus tranquille pour parler de la raison de ma venue et de toutes mes questions.

"-Bien sûre, il y a chez moi, venez, si sa ne vous dérange pas de marcher un peu."

-Parfait! Montre-moi le chemin.

Je remis rapidement mon manteau et mon foulard que j'avais enlevé en entrant dans l'hôtel de ville. Cassandre ouvrit délicatement la porte et je sortis affronter le temps froid du district 3. De la buée sortait de ma bouche. J'aurais dû apporter quelque chose de plus chaud, car même s'il faisait doux ce matin se n'était pas une bonne idée de prendre un simple manteau et un foulard. Comparé à moi, Cassandre s'était mieux habillé. Je pensais même qu'elle avait chaud en dessous de son manteau.

Finalement nous sommes vite arrivé devant sa maison. L'endroit m'impressionnait. Sa maison était énorme comparé aux autre bâtiment du district. J'étais même prête à parier qu'elle avait le téléphone et le chauffage. J'ai souvent vécu dans la misère avec ma famille. La nourriture était difficile à trouver, mais je savais me débrouiller et la première fois que j'ai vus un téléphone c'était le jour de mon emménagement dans la maison des vainqueurs. Je perdais mes mots. Je n'arrivais pas à décrire la maison de Cassandre, mais je ne voulais pas trop montrer mon émerveillement. Je devais lui parler de choses sérieuses.

-Alors? On rentre.

Cette femme avait un esprit maternelle qui me donner l'envie d'être, sa fille. J'ignore le pourquoi du comment pour une fois mais j'avais envie de la connaître, peut-être que mes parents m'avaient adopté et qu'elle était ma mère mais cela était impossible, elle devait avoir dans les 20 ans. Lui proposant de venir chez moi pour parler des jeux elle accepta gentiment.

-Parfait! Montre-moi le chemin.

Je lui ais sourit avec un petit regard angélique en enfourchant mon écharpe, mon manteau et mes gants qui me tenait bien chaud au doigts. Sortant de la pièce en mettant mon bonnet suivit de la jeune femme, un domestique de l'hôtel vains nous ouvrir la porte, je sortis suivie de Jen en lui faisant signe de la tête pour dire merci. Ici les domestiques ne parlent pas et nous ne devons pas leur parler, même ci il me faisait une grosse peine.

Marchant dans la neige avec Jen et ma luge sous un bras nous ne parlions pas tellement le froid était glacial et nous ne voulions surtout pas usez notre énergie. Je ne comprenais toujours pas avant aujourd'hui pourquoi mes parents m'avait envoyer ici mais je n'avais qu'une envie à ce moment. Leur dire merci. Trente minute de marche dans le froid glacial et nous sommes enfin arrivée devant ma maison, grande belle avec un air de chalets ou de maison en bois.

-Alors? On rentre.

Jen m'avait fait sursauter. Je pensais encore à des produits chimiques pour faire exploser le capitole rien qu'en une bouffée d'air, je voulais les tuer. Un part un, car j'avais bien sur reconnue Jen, l'ancienne gagnante d'une édition ou je n'étais qu'une enfant. J'avais même voter pour elle plein de fois car c'était celle qui méritait le plus de gagner. J'hocha la tête en silence et ouvris la porte en la faisant entrer. A l'intérieur il faisait chaud, et une douce odeur de biscuit trottait dans la maison, alors ma gouvernante avait encore fait des biscuits, ce qui me fit sourire. J'enleva mes chaussures pour mettre des petits chaussons, j'en ai aussi sortie du placard devant la porte d'entrer pour Jen, j'aimais recevoir des invités.

-Voilà mon petit chez moi. Viens vers la cuisine et dit moi ce que tu veut que je te serve, après on ira ce mettre vers mon canapé avec la cheminée si cela te fait plaisir.

Je lui ai souris en me dirigeant suivit de Jen, je voulais paraître sympathique et non riche comme mes parents voudrait que je sois, mais je suis comme une rebelle. Ouvrant un placard et prenant du chocolat en poudre avec deux tasses, sortant du lait que je fis chauffer sur la gazinière et déposant un peu de poudre je faisais tout cela en pensant à l'édition de Jen, puis je me suis décidée et je lui ais demander .

Dis moi, c'est bien toi qui a gagner l'édition des jeux il n'y a pas longtemps n'est ce pas ?

J'aimais bien cette petite fille. Elle était sincère, gentille et vraie. Elle ne m'a pas mentie et c'est une réaction assez bizarre quand on rencontre une personne pour la première fois et qu'elle nous demande tout de suite si on aime le capitole. Je me connais très bien je sais que si une inconnue viendrait me poser cette question je me refermerais sur moi-même oú j'essaierais de changer la conversation à mon avantage. Mais cette Cassandre était différente et je commençais même à l'apprécier comme une petite soeur ou mieux comme ma propre fille. Je suis encore une simple célibataire et je n'es pas d'enfant, mais je ne sais pas pourquoi je vois Cassandre comme la petite fille que je n'es jamais eu. -Alors? On rentre? Je me suis vite rendu compte que j'ai fait sursauté la pauvre Cassandre. Je voulus m'excuser, mais elle nous fit déjà entrer dans sa grande demeure. L'extérieur était déjà incroyable, mais l'intérieur était spectaculaire. Tout était magnifique, bien rangé et je pouvais enfin me réchauffer. -Voilà mon petit chez moi. Viens vers la cuisine et dit moi ce que tu veux que je te serve, après on ira ce mettre vers mon canapé avec la cheminée si cela te fait plaisir. Tout était parfait. Cassandre commençait à préparer les chocolats chauds. Je voulais l'aider, car je me sentais un peu inutile, mais Cassandre refusa. Elle voulait tout faire par elle-même. Pendant ce temps je pouvais penser à ce que j'allais lui dire. Tout à coup Cassandre me sortie de mes pensées.-Dis moi, c'est bien toi qui a gagner l'édition des jeux il n'y a pas longtemps n'est ce pas ? Je ne comprenais rien. Comment cette petite fille m’avait reconnue. Normalement quand une nouvelle année arrive tout le monde oublie l’ancien gagnant et ils se concentrent sur le prochain. -Heu… Oui c’est bien moi. Mais comment tu m’as reconnue. J’ai gagnée la 72e édition. Tu avais quel âge dans ce temps la? J’étais touché que la petite me reconnaisse, mais je pensais surtout à toute la barbarie qui la petite à été obligé de regarder.