| Sujet: a l e c t o w a y l a n d ϟ WHAT ARE WE FIGHTING FOR ? Mer 21 Déc - 23:38 | |
| Alecto Artus Wayland❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞ Je m'appelle Alecto Wayland, j'ai vingt-six ans et je suis né et j'ai toujours vécu (ou presque) dans le district 5. Je dis "ou presque", parce que j'ai passé quelques mois de mon existence loin de ma maison, loin de mon district. Loin de ma vie. Pendant quelques mois, j'ai vécu dans l'Arène... C'était il y a quatorze ans, lors de la 61th représentation des Hunger Games et je n'avais alors que douze petites années. J'y suis allé, et je suis revenu, je suis un vainqueur, mais je ne serai plus jamais le même. Au niveau de mon caractère, il en existe deux facettes, celle que je m'applique à offrir aux autres, et celle qui s'est installé au plus profond de mon être. La plupart des gens me voient comme quelqu'un de très ouvert, de jovial, d'hospitalier, d'amical, souvent enthousiaste et très positif. Je suis extrêmement protecteur et on peut me faire confiance sans la moindre hésitation. Je pense pouvoir m'attribuer d'autres qualités telles que le fait que je sois calme, réfléchis et très très patient. Mais ma plus grande fierté à toujours été d'être vraiment malin. C'est ce qui m'a probablement sauvé lors des jeux d'ailleurs. Je pense être relativement brillant et m'imposer par mon intelligence fine et vive, mes facultés d'élocution, et ma rapidité de compréhension et d'action. Dans mon moi intérieur, je suis différent, je suis rongé. Je suis mort. Les jeux m'ont tout pris, ma joie, mon envie, mon futur, et par dessus tout ma capacité à aimer. Je suis profondément rattaché à mon enfance et j'ai plus qu'un autre du mal à accepter de couper le cordon ombilical et à passer au monde des adultes. Mon inconscient est tout entier relié à ma petite enfance. Mon regret d'un passé à jamais disparu est compensé par une vie imaginative intense à travers laquelle je tente de retrouver sensations ou émotions lointaines, ou de me construire un monde qui ressemblerait au paradis perdu. Le rêve est la seule chose qu'il m'est était possible de garder après les jeux, alors je rêve pour ne pas oublier. Quant au défauts, j'en ai tellement que je mettrai une vie à les lister. Mais on va faire court. Ce qu'il faut savoir c'est que je suis peureux, un vrai lâche, j'ai peur de tout. Je suis également trop renfermé, et je crois que ça me ronge de l'intérieur, mais je ne veux jamais que mes proches aient pitié de ma faiblesse. Je suis également trop calme, un peu têtu et un menteur de qualité. Mais que voulez vous, il faut bien savoir cacher certaines choses...!
En ce qui concerne le régime actuel, je crois que je suis contre. "Je crois" parce que même si les jeux me révoltent, et même si la politique me donne envie de vomir mes cent trente cinq dernier repas, je pense que le moment n'est pas encore venu pour que cela change. J'aimerai bien que la rébellion s'active et tout et tout, mais bon... Pour moi le plus important c'est d'apprendre à vivre malgré tout. De ne perdre aucune minute, aucune seconde, à essayer de changer l'inchangeable. Je suis là, je suis vivant, et je dois vivre. Pour tous ceux qui sont morts, on doit vivre.
about games and relative.
➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ? Je l'ai vu de tellement près, que je dois avouer que l'imaginer ne fait pas partie de mes passe-temps favoris. Si j'avais pu choisir, je serai mort ce jour là, pour sauver celle que j'aimais. Mais on ne peut choisir sa mort malheureusement. Je ne sais pas, je ne veux juste pas mourir seul. Je veux avoir le sentiment d'avoir vécu chaque seconde au maximum, et de n'avoir gâché aucuns moment de mon existence. Je veux mourir le plus tard possible, pour profiter de chaque instants.
➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ? Quelle ironie dans cette question, sachant que la seule personne pour qui j'aurai pu me sacrifier est morte dans mes bras. Cara bien sur. Pour elle, j'aurai tout donné, jusqu'à mon dernier souffle de vie. Si seulement j'en avais eu l'occasion... Sinon, je pense à ma famille, enfin, mes parents, qui m'ont élevés avec tout l'amour dont ils étaient dotés, et qui m'ont appris à grandir en regardant la vie du bon côté. C'est grâce à eux que je peux tenir maintenant, ils sont toujours près de moi.
➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ? Ce qui m'a le plus aidé dans les jeux, sans compté bien entendu le fait d'avoir Cara dans mon équipe, c'est mon agilité. Étant encore petit lors de mes jeux, j'avais la possibilité de me faufiler dans les plus petits recoins pour disparaitre pendant des heures voire des jours du champ de vision des autres tributs. Cara était très douée pour le camouflage, ce qui nous a sorti de très nombreuses situations compliquées. Je ne suis pas un excellent chasseur, mais je sais me débrouiller pour trouver du gibier ou des racines comestibles, ce qui m'a bien aidé durant mes périodes de "retraite". Ma mère étant médecin dans mon district, j'avais également à ma disposition quelques petites connaissance en médecine, ce qui m'a aidé lorsque je me suis fais tailler le bras en morceau. Je suis également très discret, très rapide et, en bon trouillard, j'ai développer au fil des années une excellente capacité de survie.
➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ? Je crois que le frère de mon grand père a participer aux Hunger Games vers la 15ème édition, mais je ne l'ai jamais connu donc je ne sais pas si ça compte comme un proche. Sinon, encore une fois, j'ai perdu l'être qui était le plus cher à mes yeux, j'ai perdu ma vie lorsque j'ai perdu Cara. Nous avons participé à la 61ème édition des Hunger Games, et c'est moi qui suis revenu. Pourtant, j'aurai vraiment tout donné pour qu'elle ait la place du champion cette année là...
➺ COIN A ANNONCÉ LORS DES DERNIERS JEUX PAR MESSAGE PIRATE QUE LE TREIZE EXISTAIT TOUJOURS. TU ESSAIES DE TE JOINDRE À EUX OU AU CONTRAIRE, TU FAIS TOUT POUR STOPPER CETTE RÉVOLTE ? C'est génial ! Et j'espère vraiment qu'ils vont réussir ce qu'ils entreprennent car la tâche n'est pas facile et loin d'être gagnée d'avance. Mais je suis certain qu'ils parviendrons à faire bouger les choses. Pour ma part, je pense que le temps n'est pas encore venu, et même si j'ai de l'espoir, je préfère me concentrer sur ma vie plutôt que sur une cause comme celle ci. Nous, nous sommes vivants, et pour tous ceux qui ont trouvé la mort, dans le jeux ou dans la vie, nous avons le devoir de vivre chaque secondes de chaque minutes, aussi passionnément que nous en sommes capables.
JE VIENS D'UN MILIEU plutôt favorisé, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE n'est pas fictive mais n'afflue pas non plus. MON NOM A déjà été tiré au sort. J'EXERCE LE MÉTIER D'infirmier ET DE mentor ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'aime beaucoup le premier et je m'applique à faire de mon mieux pour le second. Je peux aider les gens, aussi bien physiquement que mentalement. JE SUIS DANS LE 5ÈME DISTRICT. AYANT vingt six ans J'ai déjà PARTICIPÉ AUX HUNGER GAMES ET j'appréhende la prochaine moisson.
tell us your story. Je suis né dans le district cinq, il y a maintenant vingt six longues années. Mon enfance fût relativement heureuse, mes parents étaient très attentifs à mon égard, toujours bienveillant et m'aidant à développer des capacités de réflexion dès le plus jeune âge. Étant fils unique, c'est à l'âge de six ans que je décide qu'il me faut une autre personne pour partager mon enfance. Et c'est là ce moment précis, que je l'ai rencontré pour la première fois. Cara. Bien qu'âgé d'un an de plus que moi, immédiatement nous devînmes inséparables. J'ai passé toutes mes journées, sans aucune exception, à ses côtés. J'ai tout de suite compris qu'elle était différente. Elle avait ce regard, ce sourire... tout était différent chez elle. Lorsqu'elle était près de moi, j'avais l'impression de voler, l'impression d'être mieux, l'impression d'être moi. Elle m'a transformé et j'en suis tombé amoureux. Au fil des années, mon amour n'a jamais cessé grandir. Elle était mon rayon de soleil, mon bonheur, elle était tout pour moi. Quant à elle, je n'ai jamais réellement su ce qu'elle ressentait à mon égard, mais sa simple présence m'était plus que suffisante. Puis, cette fameuse moisson de l'année 2296 arriva. Alors qu'elle n'était âgée que de treize ans et moi douze, la chose la plus affreuse qu'il pouvait arriver se produisit. Elle et moi fûmes tirés pour participer aux Hunger Games. Le choc à été terrible, à aucun moment, ni Cara ni moi n'avions songé à cette possibilité. La pire de toute les possibilités. L'annonce de la nouvelle à fait l'effet d'un coup de poignard, il était clair que quelque soit l'issue des jeux, nous allions être séparés. Après des semaines de préparations et d'entrainement, les jeux étaient sur le point de commencer. Il était convenue dès le départ que Cara et moi ferions équipe ensemble, se servant de ma malice et de ma chasse, ainsi que de sa prodigieuse capacité à créer des camouflages et sa rapidité. Le premier jour fût terrible. Sept tribut trouvèrent la mort, mais ni Cara, ni moi, n'avions eu de problème pour fuir la corne d'abondance. Notre idée était simple : se faire oublier. Nous étions des proies faciles, et comme d'habitude, ils ne feraient pas attention à nous à moins de nous croiser. Durant les jours de combat qui suivirent, elle et moi étions cachés, bien profondément dans la forêt, qui se dressait au centre de l'arène. Nous nous nourrissions de petites racines transparentes, contenant de l'eau, ou du moins un liquide potable, et de graines marron trouvées à même le sol. Plusieurs fois j'ai songé que nous allions mourir de faim, car ces petites rations nous permettait à peine de nous lever pour chasser. Nous nous déplacions environ une fois tous les deux ou trois jours, pour ne pas prendre de risque de se faire repérer. Plusieurs fois nous avons évité de peu un tribut qui se "baladait" là par hasard, ce qui donnait lieu à des états d'anxiété profonds. Par deux fois même, nous nous retrouvâmes spectateur de la mort d'un enfant par la main d'un autre sans pouvoir rien n'y faire. Ces visions nous bouleversèrent au point qu'il nous était désormais quasiment impossible de fermer les yeux la nuit. Chaque bruit était un supplice, chaque craquement de branche, chaque murmure de vent à travers les feuilles. Nous tremblions au moindre signe de vie. Mais Cara était là, elle était près de moi, et elle était l'unique chose qui me retenait à la vie. Je voulais vivre pour profiter de son visage le plus longtemps possible. Vivre pour être avec elle. La nuis parfois, lorsqu'il était impossible de se réchauffer, on se blottissait l'un contre l'autre, sous un rocher, pour que la chaleur humaine nous tienne en vie. Ces moments là étaient les plus merveilleux. En fermant les yeux, j'arrivais presque à oublier où nous étions. Je ne savais qu'une chose, c'est que j'étais contre elle... Bref, je ne vais pas rentrer dans les détails, mais grâce à notre habileté à nous cacher, nous avons échappé je dirai à 80% des combats. Un soir, alors qu'il ne restait plus que trois tribus vivants en plus de nous, les juges durent en avoir marre de nous voir restés cloitrés de cachettes en cachettes depuis quasiment le début des jeux. La forêt disparue, d'un coup. Enfin elle fût rasée plus exactement. Plus aucun arbre, plus aucune cachette, la forêt était devenue un désert. De là, impossible de se cacher, nous devions fuir, loin. Oui mais loin de quel côté ? Comment savoir où se trouvaient les deux survivants ? Après quelques jours de fuites intense, un garçon, nommé Roran je crois, du district trois, nous surpris lors d'une pause. Et, j'ai... tué ce garçon. Je ne sais pas comment, mais je sais pourquoi. Armé d'une arbalète, son viseur pointé sur Cara, le blondinet ne s'attendait pas à ce que je pousse cette dernière vers le sol, sentant le danger arriver. Je ne sais pas bien ce qu'il s'est passé ensuite, ça devait être sa dernière flèche car Roran s'est précipité vers nous armé d'un couteau, et bien décidé à nous découper je pense. Instinctivement, je me suis saisie de sa flèche tombée à quelques mètres, et je l'ai tendue devant moi à l'instant même où il m'atteignait. J'ai senti comme du mou, puis j'ai ouvert les yeux pour me rendre compte que la flèche était plantée dans son cou. Le garçon s'est effondré dans un gargouillis de sang, les mains plaquées sur le trou béant de sa gorge. Son poignard était enfoncé dans mon bras droit, et une douleur déchirante m'a fait suffoqué. Je me rappelle de ce sentiment étrange qui m'a envahie, j'ai lâché mon arme et j'ai vomi tout ce que je n'avais pas dans le ventre. Je me suis écarté de Roran, et je me suis effondré à mon tour. Je ne voulais pas regarder Cara, j'avais trop peur de son regard, je venais de tuer un garçon. Mais malgré ce que je pouvais penser, la jeune fille m'a rejoins, couvert et serrer si fort dans les bras que j'aurai pu en mourir à mon tour. Je venais de tuer un garçon... J'avoue qu'à partir de là, j'ai un peu perdu la notion du temps. Cara à prit les choses en main, et décidé que nous devions aller vers le centre de l'arène puisque de toute façon il ne devait rester que deux autres tributs "autant en finir". Je ne sais toujours pas si elle parlait de nous ou d'eux, mais j'étais à l'époque bien trop perturbé pour relever. Un soir, quatre jours après mon meurtre environ, il se passa la deuxième chose à laquelle on se n'attendait pas. Deuxième chose à laquelle on ne s'était pas préparé du tout... les visages des deux derniers tribus s'allumèrent dans le ciel. Ce qui ne signifiait qu'une seule et unique chose : nous n'étions plus que deux. Elle, et Moi... Il était clair pour chacun de nous, que nous n'allions tuer l'autre. Mais nous savions également, que les Juges et le Capitole ne seraient jamais de notre avis. Nous devions trouver un solution, où il le feraient pour nous. Instintivement, je me suis saisi du couteau que nous avions ramassé près du corps de Roran, j'ai placé la pointe sur mon cœur et j'ai dit : ❝ Tue moi Cara. Tue moi. ❞ Mon bras était encore bien trop amoché pour que je le fasse de ma main, mais dans ma tête, il était impossible que je vive sans elle. Et il était également impossible qu'elle fasse ce qu'elle allait faire. Cara m'a regardé, à saisi le manche du couteau, m'a souri et à prit ma main. Je lui ait souri aussi, pour l'encourager. J'étais heureux qu'elle accepte mon choix. Mais j'étais aussi naïf. Elle a tourné le couteau. Elle l'a planté dans son cœur, et mon monde à cessé d'être.
reality is here.
Voir Julius, qui vous dira d'aller voir Taj
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Dernière édition par Alecto A. Wayland le Ven 23 Déc - 14:57, édité 9 fois |
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