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 IV,2 ≈ play the game of thrones, cloom (j1)

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IV,2 ≈ play the game of thrones, cloom (j1) Vide
MessageSujet: IV,2 ≈ play the game of thrones, cloom (j1)   IV,2 ≈ play the game of thrones, cloom (j1) Icon_minitimeDim 15 Juin - 23:49




READY OR NOT, YOU CAN'T HIDE, I'M GONNA FIND YOU
AND MAKE YOU WANT ME

Je ne savais toujours pas quelle stratégie adopter, lorsque les entraînements commencèrent. Allais-je décider de faire semblant que j'étais dure et compétente, ou allais-je plutôt pencher pour une invisibilité provoquée et tactique comme la plupart des jeunes tributs se tâtaient à atteindre ? Mon problème résidait certainement en le fait que je n'avais certainement pas un physique propice pour me permettre d'adopter avec facilité aucune des deux ruses ; j'avais l'air trop en forme, trop bien nourrie et trop soignée pour me fondre dans le paysage, mais j'étais loin de posséder les talents que les carrières pouvaient aspirer atteindre, même dans le cas du petit du Deux, qui ne devait pas toucher les treize ans. Ainsi me retrouvai-je dans une zone grise, incapable de faire un choix concret et tâtant à l'aveuglette l'attitude que je souhaitais adopter. J'avais finalement fait mes devoirs et m'étais penchée pour la première fois de ma vie de façon sérieuse sur les Hunger Games, réalisant du même coup l'atrocité dans laquelle était utilisé le travail de mon père, penchant entre la pitié et le dédain pour lui - émotions que je n'aurais jamais même imaginé ressentir envers mon géniteur quelques jours auparavant. Néanmoins, j'avais noté ce qu'il fallait sur les plus récents vainqueurs, donc également sur Gemma, me refusant de retourner à l'état léthargique qui m'avais prise entre la Moisson et notre arrivée au Capitole ; je me rendais compte que si je voulais bien faire chier ceux qui m'avaient abandonnée au moment où j'allais mourir, c'était de me battre pour revenir, et même si mes chances étaient minimes, j'avais espoir qu'ils découvrent une facette de moi-même qui leur feraient regretter leurs actes égocentriques. Et pendant le visionnement des récentes éditions, j'avais noté qu'aucune tactique ne fonctionnait à moins de la suivre jusqu'au bout, ou peut-être de gagner par chance plutôt que par intelligence, fait rare mais possible. J'avais cependant refusé catégoriquement la simulation d'un lien amoureux entre Kylian et moi, l'idée même me révulsant jusqu'au plus profond de mon être ; ce n'était pas contre lui du tout, mais plutôt parce que je jugeais l'amour comme étant un sentiment sacré que l'on ne devait jamais souiller, et puis aussi à cause de la blessure causée par ma rupture précipitée avec River était encore trop vive pour que je retourne à cet état. J'avais donc passé tout l'avant-midi dans l'insécurité, distraite malgré que je savais l'importance de mon écoute aux stands de noeuds et de plantes comestibles - il fallait bien que je trouve comment me nourrir si je me refusais à la chasse -. Je n'étais pas habituée d'être dans des zones grises, et je devais avouer que dans une telle situation, ne pas savoir pertinemment où je mettais les pieds ne me disait rien qui vaille.

Puis j'avais enfin trouvé. C'était risqué, très, très risqué, tout en mettant un paradoxe évident dans mes pensées alors que je me disais quelques heures auparavant à quel point je méprisais un tel comportement. Mais quelque chose au fond de moi, une intuition presque mystique, me disais que c'était l'attitude que je me devais de prendre, la stratégie qui avait été faite pour moi à la base. Si j'avais été un personnage d'un livre que j'aurais lu, je me serais probablement craché au visage de par mon évident manque de continuité logique, de quoi faire perdre toute crédibilité à une histoire ; mais ce n'était pas une histoire, et paradoxe il y avait. Je l'avais remarqué au début des entraînements, mais surtout pendant le repas, pendant lequel il se pavanait avec sa co-tribut comme le paon qu'il était. Ensemble, ils parlaient fort, riaient trop, intimidaient les plus timides d'entre nous. C'était le tribut du District Un ; le cas typique de mec avec lequel j'étais habituée de traiter, presque un sosie de River en attitude. Je voyais en lui l'athlète-star du district Six, mais il était une carrière ; le seul moyen de m'éviter à me battre une fois dans l'Arène. J'avais considéré son compère du Quatre, qui plus est n'étais pas si horrible à regarder, mais il me semblait trop gentil pour le rôle qu'il me fallait ; non, celui-là, le stéréotype parfait du beau gosse sûr de lui, était l'élément clé de ce qui allait peut-être me permettre de me sortir, moi ou Kylian, en vie. Ainsi lui avais-je lancé quelques signes, portant plein avantage de mon physique assez avantageux devant l'expression circonspecte de mon co-tribut ; un petit sourire aguicheur par-là, un battement de cils gêné par-ci. Ces contacts durant le repas restèrent de loin, et au début il ne me remarqua même pas, mais je finis par attirer son attention - en bien ou en mal, j'étais encore loin de le savoir. C'était le type de jeu que mes "amies" jouaient jour et nuit pour survivre au monde cruel de la jeunesse, le type de jeu qui m'était d'ordinaire impensable et remplacé par une stupide innocence me laissant croire à l'amour au premier regard et aux papillons tissant des robes de bal. Mais la vérité, c'était que j'en avais toujours fait partie, et que dans un certain sens, ce n'était pas complètement du hasard pourquoi j'étais sortie avec le capitaine de l'équipe plutôt qu'avec le bad boy ; tout était comme dans la noblesse et rien n'avait changé, une sorte de jeu des trônes et d'alliances pour se hisser tout en haut, ou dans ce cas, pour être le seul survivant. Et ça me faisait mal, de me l'avouer, que je n'étais pas aussi parfaite que je me tuais à l'être, mais il était enfin temps de l'admettre. Peut-être que c'était ça, la raison de ma pige aux Jeux. Découvrir et accepter la vraie moi, aussi difficile cela pouvait être. Et cette tactique, étant dans ma zone de confort, était presque facile si on enlevait l'anxiété monstre qu'elle me donnait.

Alors que le repas terminait et que nous nous rendions une seconde fois dans la salle d'entraînement, je repérais ma cible - mon esprit avait failli dire proie, mais je me refusais encore d'adopter un tel vocabulaire. Je me rendis vers l'atelier de leçons de bases de survie, au début, tentant à la fois d'apprendre le minimum pour ne pas crever comme une merde dès le premier soir tout en continuant mes quelques signes distrayants sur District Un ; quant à lui, il continuait son oeuvre d'intimidation - qui fonctionnait relativement bien sur moi, malheureusement, même si j'étais habituée de voir des mâles se mettre en valeur de la sorte ; juste pas avec des instruments mortels au bout du bras - avec un air confiant. Mais je devais me rendre à l'évidence : aussi terrorisant cela pouvait-il paraître, il me fallait passer à l'action plutôt que de rester assise sur mes lauriers. Un peu d'attitude péripatéticienne ne me ferait pas un allié, et l'acte était en soi suffisamment dégradant pour que je m'interdise de le laisser sans raison. Ainsi, alors que j'avais globalement compris comment tout fonctionnait - j'apprenais vite, heureusement -, je me décidai enfin à approcher ledit grand blond. À peine m'étais posée à ses côtés que je le regrettai ; il me dépassait d'une bonne tête et était certainement plus musclé. Je sentais mon coeur défoncer ma poitrine et une sueur froide me couler le long du dos, mais même si je sentais ses piques venir et qu'il me donnait envie de fuir à toute allure, je n'eus pas besoin de m'éclaircir la gorge pour l'engager d'un ton mielleux :

"Pas mal... Bloom," susurrai-je en avisant l'écran où nos noms étaient affichés près de nos photos respectives ; un espace vide annonçait la venue prochaine du score qui nous serait attribué.

"Ça changera jamais," plaisantai-je sans apparente tension malgré celle qui me vrillait le dos, "peu importe où j'irai, il faudra toujours que je me débrouille pour avoir des bonnes notes."

Je lui fis un sourire chaleureux. Je détestais mentir, et mon attitude contredisait chacune de mes valeurs que j'avais tenté de suivre à la lettre jusqu'à aujourd'hui, mais je n'avais pas le choix. Et je devais m'avouer que je n'étais pas si mauvaise en art-dramatique, finalement ; j'aurais dû prendre des cours et oublier que c'était une vocation souvent attribuée aux loosers. Je tendis la main audit Bloom.

"Claire, au fait."

Clin d'oeil faussement complice.



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IV,2 ≈ play the game of thrones, cloom (j1) Vide
MessageSujet: Re: IV,2 ≈ play the game of thrones, cloom (j1)   IV,2 ≈ play the game of thrones, cloom (j1) Icon_minitimeVen 20 Juin - 20:38


everything I say falls right back.
Je nageais en plein rêve. Jamais la vie de m'était apparue aussi idyllique. Certes, je participais aux Jeux et les prochains jours seraient déterminants de l'existence que je mènerais, il ne s'agissait pas de prendre cela à la légère. Néanmoins, je ne pouvais, devant la horde hagarde et affamée que formait les autres tributs - à l'exception de quelques uns - rester de marbre, tant m'apparaissait avec clarté notre évidente supériorité à nous, les carrières. Certains avaient beau avoir l'air bien bâti ou avoir bénéficié d'une nourriture abondante dès leur naissance - la fille du Cinq m'apparaissait d'ailleurs comme assez rondelette - ils ne pouvaient rivaliser contre la maîtrise parfaite des armes qui nous caractérisait. De plus, contrairement aux périphériques, une ambiance cordiale régnait entre nous. Du moins entre le Un et le Deux, les gamins du Quatre ayant bêtement refuser notre invitation à partager un premier repas. Le garçonnet apathique du Deux n'était également pas présent. Jade et moi nous lièrent immédiatement d'amitié avec Swann, la fille du Deux, qui partageait avec Jade sa passion pour les couteaux. Mesquine, charmeuse et un tantinet violente, Swann, qui gardait malgré tout l'agaçante manie de mâchouiller ses mèches blondes, avait tôt fait de nous convaincre, Jade et moi, qu'elle ne pourrait nous apporter que du bénéfice. Il fut alors conclut que nous nous soutiendrions mutuellement dès lors et jusqu'au moment ou le destin nous obligerait à nous séparer, chose que j'envisageais à peine. Notre repas fut donc des plus festif, blablatant gaiement, nous nous  attirâmes à plusieurs reprises les regards sombres des tributs qui, eux, avalaient leur repas dans un silence solennel des plus pénible, ce dont nous n'avions cure. Jade faisait une remarque cocasse sur l'estropié du Douze et les morceaux de chocolat qui parcourait son muffin, quand je la remarquai pour la première fois. Elle était assise au côté de son imposant co-tribut, caressant sa longue chevelure blonde, dans une indifférence relative. À peine eus-je posé les yeux sur elle qu'elle releva la tête et, nos regards de croisant, battit des cils, dans ce qu'on pût prendre pour une tentative de séduction. Gêné, je sentis le rouge le monter aux joues. Il m'étais rarement arrivé pareille mésaventure, encore moins dans un contexte tel que celui-ci. Il devait s'agir d'une erreur de jugement, oui elle devait juste cligner des yeux, rien d'autre. Hésitant, je tournai à nouveau ma tête vers l'ingénue qui m'adressa un sourire, probablement se voulait-il enjôleur. Un rien surpris, je fis part de mes impressions à mes camarades, lesquelles partirent dans un grand éclat de rire - auquel, je me joignis, les joues en feu. Mon pauvre Bloomy, lance Jade. T'as jamais su t'y prendre avec les filles. Et toute deux s'esclaffèrent à nouveau. Blessé par ces propos, je me renfrognai et terminai mon repas en silence.

Quand nous en eûmes fini, je quittai mes coéquipières pour rejoindre le stand de tir à l'arc, art auquel j'excellais. Ces quelques jours au Capitole n'étaient, pour un carrière tel que moi, qu'une façon de passer le temps en attendant que l'action commence bel et bien. Je ne me sentais en effet nullement concerné par l'entraînement, ayant pratiqué celui-ci depuis mes douze ans. Le but principal, celui qui importait avant tout en ces lieux, était d'intimider les périphériques, chose que, visiblement, je réussissais plutôt bien. Bandant l'arc, je visai la cible mouvante, située quelques mettre plus loin. Je tirai et l'envoyai en plein centre. Fier comme un paon, j'allais encocher une seconde flèche quand j'entendis une voix susurrer. Pas mal... Bloom. La fille blonde de tout à l'heure. Déstabilisé je manquai de lui envoyer la flèche en plein thorax. Passablement énervé d'être déranger un plein entraînement je répondis sèchement, avisant le chiffre imprimé sur sa tenue. Merci, Six. Je m'appretai a retourner à mes flèches lorsqu'elle ajouta, en souriant bêtement. Ça changera jamais, peu importe où j'irai, il faudra toujours que je me débrouille pour avoir des bonnes notes. J'en faillis faire tomber mon carquois. L'arrogante assurance de cette fille me sidérait. Elle n'avait visiblement pas compris que je n'étais pas du genre à me lier d'amitié avec les tributs, du moins ceux qui ne présentaient aucunes disposition particulière, contrairement à ce qu'elle semblait avancer. De plus, j'avais cru que ma condition de carrière tiendrait à l'écart tous ces indésirables avec qui parler m'apparaissait comme le plus misérable des actes de bassesse. J'allais ouvrir la bouche pour la remballer quand elle me devança. Claire au fait. S'en suivit un clin d'œil. J'éclatai de rire. Non la remballer serait trop facile. Cette fille était une idiote arrogante que j'allais prendre plaisir à ridiculiser. Et bien vas-y, Claire. dis-je en lui tendant l'arc. Impressionne nous ! Je hélai d'une main Jade et Swann, occupées à l'atelier d'à coté, afin qu'elles viennent assister au spectacle, asseillant ma toute puissance sur l'ensemble du groupe.

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IV,2 ≈ play the game of thrones, cloom (j1) Vide
MessageSujet: Re: IV,2 ≈ play the game of thrones, cloom (j1)   IV,2 ≈ play the game of thrones, cloom (j1) Icon_minitimeJeu 3 Juil - 18:55




READY OR NOT, YOU CAN'T HIDE, I'M GONNA FIND YOU
AND MAKE YOU WANT ME

Il fallait que ce soit comme ça, non ? Dès que je me sentis un minimum en contrôle, je ne fis que réaliser à quel point j'avais tort. J'espérai mentalement que ledit Bloom ne possédait pas des pouvoirs pratiquement psychiques comme la tribut du Deux de l'an dernier, sinon il remarquerait à tous les coups que j'étais nerveuse et que quelque chose avait brisé dans mon assurance. Je n'étais vraiment, mais vraiment pas habituée à devoir gagner ma place nulle part. Ce que j'étais, à la maison, toutes les richesses dont je jouissais autant matériellement que psychologiquement, c'était en quelque sorte la chance qui me les avait données. Alors devoir me battre sur le front était, bien que pas totalement dépaysant, très inconfortable. Et mes craintes ne furent que confirmées quand je vis le visage de Bloom fondre en une moue moqueuse alors qu'il éclata d'un rire qui me sembla violent et agressif, et dès ce moment je sus que j'avais échoué. J'avais été impulsive, et j'en payais désormais le prix. J'aurais dû suivre Kylian et rester avec celui-ci, le seul en qui je me sentais en confiance au Capitole en entier, et arrêter de me prendre pour une super-héroïne. Bethany avait raison ; j'étais juste Claire.

"Et bien vas-y, Claire," m'invita-t-il avec ce qui était clairement de la méchanceté pure. "Impressionne-nous !"

Il me tendit son arc et je sentis mes entrailles se liquéfier. J'aurais pu survivre quand même à ce niveau, mais le jeune homme héla ses compagnes carrières ; j'avais prévu affronter un seul d'entre eux, et contre trois, j'étais foutue. La panique me monta à la tête et le rouge aux joues ; par miracle, les larmes restèrent bien installées au fond de mes glandes lacrymales - je les avais probablement déjà toutes dépensées depuis mon voyage en train. Et de toute façon, je ne les laisserais pas revenir. Je tendis une main un peu hésitante vers l'arme, mon cerveau roulant à toute allure à la recherche de la position appropriée pour le tenir et à quel point je venais non seulement d'échouer, mais également de m'afficher comme cible pour le seul trio de l'Arène qui tuerait et en prendrait plaisir. En temps normal, j'aurais écarté ces pensées que je qualifiais comme ignorantes et discriminatoires, mais lorsque leurs regards moqueurs de hyènes attendaient ma réaction, je ne pouvais m'empêcher de me laisser gagner par la fermeture d'esprit. Mais quelque chose m'empêcha de même toucher l'arc - et ce n'était pas mes valeurs profondément pacifistes - ; je repris le peu de contrôle que j'avais à la base, lançant des regards faussement amusés au trio. Même si je ne donnais pas cher la supercherie.

"Besoin de ton harem pour te donner confiance ?" me moquai-je. "Décevant. J'aurais peut-être dû aller voir un autre tribut, dans ce cas."

Je savais que je jouais énormément avec le feu et risquait à tout moment de me brûler sévèrement, mais ces paroles, à peine avaient-elles été entamées, avaient coulé comme de source. Et au fond, je savais qu'elles étaient nées de quelque chose en particulier. Restait savoir quoi. Mais il me fallait fuir ma situation précaire le plus rapidement possible, parce que quelques secondes de plus et je me retrouvais dans un état encore pire qu'à l'arrivée. Je n'aurais non seulement qu'un seul allié, mais je me serais fait également trois ennemis, les trois tributs les plus dangereux. Ainsi rebroussai-je chemin d'une démarche que je voulais nonchalante - ce n'était pas habituel pour moi, la mienne était plutôt nerveuse en temps normal -, un sourire laissant sous-entendre que j'étais en plein contrôle sur le visage. Puis je m'arrêtai un instant, ne m'adressant à eux que par-dessus mon épaule :

"Vous me décevez, vous savez. Je pensais que vous étiez plus malins et plus matures que ceux de chez vous qu'on montre à la télé. J'me trompais."

Puis je continuai mon chemin. Oh non. Oh non. Oh non oh non oh non. J'avais vraiment dit ça ? J'avais... vraiment dit ça ? Bon, me résignai-je. Si je ne m'étais pas encore ridiculisée, je viens définitivement de le faire, bravo. Je grimaçai, gémissant en silence face à ma propre stupidité.


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MessageSujet: Re: IV,2 ≈ play the game of thrones, cloom (j1)   IV,2 ≈ play the game of thrones, cloom (j1) Icon_minitime

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