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 (IV, 2) the scenery is so loud. ▶ (dahlyde)

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(IV, 2) the scenery is so loud. ▶ (dahlyde) Vide
MessageSujet: (IV, 2) the scenery is so loud. ▶ (dahlyde)   (IV, 2) the scenery is so loud. ▶ (dahlyde) Icon_minitimeMer 18 Juin - 10:41


born to survive

clyde & dahlia


Il semblait en cet instant que la jauge de tolérance de Clyde Griffin était arrivée à son point de saturation. Depuis le jour de la Moisson il ne faisait qu’accumuler ; comme chaque année, auraient pu lui faire remarquer certains. Peut-être, oui. Mais à la différence des autres années, cette fois-ci, il ne parvenait pas à rester droit. De petits éléments éparses pouvaient mettre en péril son calme et sa sérénité. Mais une bombe comme celle que l’on venait de lui lâcher en pleine gueule, ça, c’était trop. Trop pour qu’il garde son calme, trop pour qu’il puisse réellement intérioriser, et ne pas avoir la moindre seconde de faiblesse. Trop était alors devenu le mot qui pouvait le mieux définir sa vie de l’instant, tout autant que son état d’esprit.

Le besoin de solitude l’avait poussé à s’éclipser de la résidence de son équipe. À ce moment de la journée, ses tributs n’avaient normalement pas besoin de lui. Sauf si, par magie, ils se décidaient à venir lui demander des conseils. T’es médisant, Clyde. Arrête ça. La fille l’indifférait totalement, mais ce n’était pas le cas de Draken. Dès la Moisson, cet étrange gosse était venu lui conter son admiration, et sa rage de vaincre. Le vainqueur avait beau être loin de miser sur une certitude que ce gosse gagnerait, il avait tout de suite eu l’impression que ce petit lui ressemblait. Même si, lors de sa Moisson, Griffin avait plutôt été du genre à jouer les têtes de cochon et à faire la gueule à tout et tout le monde. Il n’avait pas été volontaire, et lorsque son nom avait été tiré au sort, il se souvenait que tous les tributs masculins avaient fait un pas en arrière. Il était aux premières loges de la foule des candidats, et il n’avait eu d’autre choix que de s’avancer jusqu’aux Pacificateurs. Ah, ils étaient beaux ces gamins avec l’étoffe de héros, qui avaient clamé pendant plusieurs jours à l’avance mourir d’envie de se porter volontaire. Ils étaient resplendissants, ces petits cons qui quelques heures auparavant se targuaient d’être plus forts et plus rapides que les autres, et se battaient à celui qui se porterait volontaire avant les autres. Tu parles. Lorsque les portes de l’enfer s’étaient ouvertes, il n’y avait subitement eu plus personne pour prendre sa place. Tous des lâches. Si au moment où il était monté sur l’estrade on lui avait demandé ton impression, ou un quelconque commentaire sur ce qui venait de lui arriver, la réponse aurait été toute trouvée : bande de couillons. Il ne suffit pas de se mettre une plume dans l’cul pour ressembler à un coq. Bien entendu, on ne lui avait rien demandé du tout. Et il n’avait eu qu’à faire la gueule jusqu’au Capitole, et à envoyer chier ses mentors dans un premier temps. Ensuite, il s’était calmé. Ensuite, il avait changé de tactique, comprenant que la sienne ne l’aiderait en rien à survivre. Et il avait fait ce qu’il savait faire le mieux : mentir, manipuler, se jouer de sa bouille d’enfant, autant auprès des autres tributs qu’auprès des sponsors. À seize ans, on lui en donnait à peine quatorze, plutôt treize. Et ce visage aux traits fins et encore enfantins lui avait permis, à coups de sourires timides et charmeurs, de gagner le cœur des Capitoliens, et bien plus facilement que ce à quoi il s’était attendu. Pour autant, il n’avait jamais été en tête des pronostics. On avait misé sur lui parce qu’il était mignon et qu’il semblait prometteur, sans comprendre ce qu’il cachait réellement. On voulait le voir se battre et mourir héroïquement. Bien tenté. Draken avait cette fibre du manipulateur et du garçon intelligent qui plaisait à Clyde. Il n’avait rien de ces Carrières prétentieux et orgueilleux, qui allaient aux Jeux en étant persuadés qu’ils en reviendraient vainqueurs, parce qu’ils le valaient bien. Mais, pour autant, Griffin ne parlait pas sur Draken. Tout simplement car à la place des autres mentors, sur sa propre édition, il n’aurait jamais parié sur lui-même.

Besoin de s’aérer. Besoin de penser à autre chose. Et sans savoir vraiment pourquoi il avait choisi cette option-là, le vainqueur s’était rendu dans l’une des salles d’entraînement que le Capitole mettait à disposition des vainqueurs, et de tant d’autres. Un coin habituellement peu fréquentés ; peu nombreux étaient ceux qui continuaient de se battre ou de s’entraîner, alors que leur vie ne le nécessitait plus. Ils cherchaient désormais un repos bien mérité, et il n’aurait pu les en blâmer en rien. Mais, en cet instant, il avait besoin de vider la tête, de passer ses nerfs avec violence sur la première chose qui passerait à portée de main. Mieux valait ça plutôt que d’étrangler la stupide hôtesse. Ou mieux, encore, cet enfoiré de petit styliste. Il avait beau passer sa vie à lui envoyer des piques avec le plus grand des sourires, il ne supportait pas de se trouver dans la même pièce que lui. Et dans des moments critiques comme en cet instant, il aurait été capable de fermer ses mains autour de son cou, et de lui faire du mal. Mieux valait condenser cette violence et l’expulser dans un endroit prévu à cet effet.

Mains croisées derrière sa tête, menton légèrement basculé vers le plafond, fixant ce dernier d’un air un peu souffrant, Clyde attendait que l’ascenseur ne parvienne au sas d’entrée de la salle d’entraînement. Il avait un besoin fou de s’exercer, de se dépenser. Un besoin d’être seul et de pouvoir manifester physiquement un millième de sa rage et de son chagrin. Lorsque la cabine se figea, et que les portes de verre s’ouvrirent, il était en train de songer, sombrement, qu’il aurait préféré ne jamais aller chercher l’identité de cette gamine. Il aurait mieux valu qu’il reste dans son coin, et qu’il la regarde crever en restant dans le doute, plutôt que d’avoir désormais toutes les chances de la perdre, en sachant qui elle était. Quatorze ans. Quatorze années de souffrance à se faire à l’idée qu’on ne la retrouvait jamais. Et elle était maintenant au Capitole avec lui. La chair de sa chair. Le fruit de ses entrailles.

Stop. Il était ici pour arrêter de penser. Pas pour se torturer encore plus que le reste du temps. Dents serrées, il laissa ses mains retomber le long de son corps, sortant de la cage d’ascenseur pour entrer dans le sas. Les portes derrière lui se refermèrent. Celles qui lui faisaient face captèrent sa présence et s’ouvrirent. Mais avant même qu’elles ne lui laissent le passage, il comprit qu’il n’était pas le seul à avoir eu cette idée. Merde. La silhouette qui se dessinait dans son champ de vision l’irrita tout d’abord, avant qu’il n’intègre son identité. Ses poings se relâchèrent, ses phalanges s’ouvrirent et ses muscles se détendirent. Zen. « J’me disais bien que c’était trop beau pour être vrai d’espérer avoir la paix en v’nant ici. » Un sourire fin étira ses lèvres, tandis qu’il se frottait les mains, comme pour se préparer, en avançant dans l’espace d’entraînement. Ce n’était pas l’un de ces abrutis de Capitoliens qui auraient pu l’importuner plus que de nature. Ce n’était qu’elle. Sale caractère, peut-être, mais quelle importance ? Sa présence ne lui était pas désagréable. Il n’aurait pas été jusqu’à dire qu’il était heureux de la voir ici, alors qu’il pensait avoir droit à un peu de solitude ; mais dire qu’il était vexé au point de revenir plus tard aurait également été un mensonge. « J’pensais que tu serais en train de savourer tous les petits plaisirs que le Capitole a à t’offrir. » Ni joyeux, ni mauvais ; un ton simple et léger. Sans cesser de sourire, il s’était finalement arrêté, s’approchant raisonnablement de la jeune femme. Ses mains étaient venues retrouver leur place aux côtés de son buste. « Salut, Dahlia. » Tout de même. La base. Et on lui épargne les idiots surnoms de jolie fleur, ou je ne sais quoi encore. Nice, right ?

Et sinon, toi, comment ça va ?


code (c) about today.


Dernière édition par Clyde H. Griffin le Jeu 31 Juil - 10:16, édité 1 fois
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Dahlia Lindström
DISTRICT 4
Dahlia Lindström
△ correspondances : 397
△ points : 0
△ multicomptes : ava, dely, ridley
△ à Panem depuis le : 29/04/2014
△ humeur : motivée
△ âge du personnage : vingt-cinq ans
△ occupation : mentor et "peintre"


can you save me?
statut: célibataire
relationships:


(IV, 2) the scenery is so loud. ▶ (dahlyde) Vide
MessageSujet: Re: (IV, 2) the scenery is so loud. ▶ (dahlyde)   (IV, 2) the scenery is so loud. ▶ (dahlyde) Icon_minitimeLun 28 Juil - 20:57


Je me demandais ce que pouvait bien être la Moisson idéale. Quand j'avais des nuls, je me plaignais, mais c'était aussi la même chose pour les prétentieux aux grandes capacités. Autrement dit, chaque année à être la mentor de deux gamins allait me gonfler jusqu'à la fin de mes jours. Mais c'était tout de même hors de question que je laisse l'un d'entre eux me piquer la place de dernier vainqueur du district quatre. Je ne voulais pas être oubliée au profit d'une pimbêche ou d'un bellâtre qui ne se rendrait pas compte de la chance qu'il a. Par chance, cette année était peut-être différente. Bon, Thunder était un tribut moyen, pas mauvais – et c'était déjà très bien – mais pas non plus très doué. Par contre, Avril ne cessait de m'impressionner. Au premier abord, on se demandait tous ce qu'elle faisait là, mais je n'avais eu que de bons retours depuis l'après-Moisson. Nous avions peut-être là une successeur pour la grande Dahlia Lindström. Pardon ? Un peu prétentieuse ? Possible. Mais franchement, quand on voyait la carrure de certains vainqueurs... Je méritais largement ce titre. Je savais me battre, je ne devenais pas déprimée comme la moitié des mentors et je n'avais pas doublé de volume. Il n'y avait rien de pire que les vainqueurs qui se prenaient pour les meilleurs alors qu'ils ne pouvaient même pas avancer sans se prendre les pieds l'un dans l'autre tellement ils étaient bedonnants. Bref. Au moins, le temps des jeux réussissait à me faire sourire avec toutes les soirées, les acclamations, les rediffusions d'anciens jeux. Je me faisais un plaisir de revoir les miens et j'aurais tout donné pour que quelqu'un ait la bonne idée d'inventer un jeu miniature pour les habitants du Capitole et leurs invités. A défaut de cela, je devais me contenter des salles d’entraînement mises à disposition des mentors ces quelques jours. J'aurais voulu aller dans celle des tributs qui inauguraient tout le temps des nouveautés extraordinaires, mais vous savez avec toutes les règles de sécurité et blablabla. Comme si j'allais délibérément aider mes tributs en trafiquant un atelier... C'était mal me connaître. Ou peut-être craignaient-ils que j'en sabote un ?

Mais bon, je n'avais plus envie de penser à mes tributs. La seule chose que je voulais était me vider l'esprit. Et, par chance, mes deux gamins étaient pris par autre chose, ce qui voulait dire que je pouvais vaquer à mes propres occupations. La plupart des vainqueurs préféraient partir à la rencontre d'autres vainqueurs, d'habitants du Capitole pour tisser des liens et vanter les mérites de leurs tributs dans l'espoir de décrocher quelques sponsors le moment venu. J'avais eu ma dose pour la journée. Et puis, les petits gâteaux étaient peut-être beaux et bons mais ce n'était pas le cas des bourrelets qui allaient avec. Je savais me retenir et éviter la boisson pour vous faire vomir le surplus. Je préférais me terrer dans mon coin, dans une salle d'entraînement, pour garder la forme et rester au plus haut niveau, celui de ma victoire, dans l'espoir de faire mes preuves un nouveau jour. Je n'avais aucune idée de quel serait ce jour, mais je l'attendais patiemment. Alors je m'étais dirigée à l'écart de tout cette agitation. Une simple salle, calme et remplie d'ateliers pour vous maintenir en très bonne forme : le rêve. J'étais seule, enfin, et je pouvais me défouler sur tout ce que je voulais. Un parcours d'obstacle, un punching ball, un mannequin de bois pour le combat... Bref, il y avait tout ce dont j'avais besoin ici, et même plus. Je m'entraînai donc sur diverses appareils de musculations pour perdre ce que j'avais accumuler ces derniers jours à cause de leurs affreux régimes où 'plus' n'était encore pas assez. Il suffisait de regarder certains anciens vainqueurs du quatre que je connaissais bien maintenant pour comprendre pourquoi ces rendez-vous avec moi-même dans la salle d'entraînement étaient inévitables. Je devais garder le corps qui avait fait ma gloire, ce n'était même pas une option mais une obligation. Puis ce fut le tour du punching ball que j'imaginais être mes anciens et présents tributs. Ça faisait tellement de bien de pouvoir se défouler comme ça. Bien plus que de boire comme dix ou se droguer toutes les cinq minutes. Et quel bonheur d'être seule. Si seulement cela avait été pour plus longtemps.

J'étais en plein exercice lorsque j'entendis quelqu'un arriver. Il – ou elle – ne pouvait pas choisir un autre endroit, ou un autre moment pour venir là ? Je voulais seulement être tranquille, ce n'était pourtant pas trop demander. Alors je fis mine de ne rien percevoir en espérant que mon indifférence fasse fuir la groupie ou le simple indésirable qui venait d'entrer dans mon endroit. « J’me disais bien que c’était trop beau pour être vrai d’espérer avoir la paix en v’nant ici. » Bon. Ce n'était que Clyde. Même si j'avais un peu de mal avec lui, il avait le mérite de ne pas pleurnicher toutes les cinq minutes ni de faire sa potiche hypocrite devant les caméras. Et nous étions au moins d'accord sur un point, on voulait tous avoir la paix en venant ici. « J’pensais que tu serais en train de savourer tous les petits plaisirs que le Capitole a à t’offrir. » J'espérais reconnaître un ton qui s'approchait de l'ironie ou bien ce serait mon poing dans sa figure. Plaisirs du Capitole ? Ça allait quelques minutes mais il fallait savoir garder la tête sur les épaules. Je voulais bien faire sombrer certains vainqueurs pour les écarter de mon chemin mais je n'allais certainement pas faire l'erreur d'y plonger moi-même. Et puis, quelle politesse Clyde. Encore un peu plus et c'était clair que tu voulais me voir dehors la seconde suivante. « Salut, Dahlia. » Roh. Maintenant j'allais devoir lui adresser la parole pour éviter de passer pour la plus désagréable des vainqueurs, même si Jove était impossible à détrôner. « Je laisse cette joie à Prudence, elle a encore quelques jours devant elle avant d'être détrônée. » dis-je à moitié essoufflée, sans même tourner la tête vers le nouveau venu. Ma réplique aurait pu venir d'un bon sentiment, mais la vérité était bien ailleurs. Cette fille m'exaspérait à un point... C'était à se demander ce qu'Elyas pouvait bien lui trouver, même si c'était clair que c'était une relation pour être tranquille. Mais bon, j'allais très bientôt essayer de lui ouvrir les yeux sur cette fille qui n'était avec lui que pour sa réputation. Il avait déjà sa sœur qui partait pour l'arène, il n'avait pas besoin d'une Prue à ses côtés. « Salut Clyde. Je vois qu'on a eu la même idée pour se débarrasser des dérangés du Capitole. » Je m'arrêtai quelques courtes secondes pour le saluer avant de reprendre mon effort. Je le connaissais suffisamment pour savoir que c'était la raison principale de son exil ici. Chaque vainqueur avait sa vie, ses propres raisons d'aimer ou de ne pas aimer certaines choses. Mais on en revenait presque tous à la même raison : le Capitole n'était pas notre maison. Je ne savais même pas quelle était ma maison. « Au fait, bon courage avec tes tributs. Je te parie tout ce que tu veux qu'ils passent pas quatre jours dans l'arène. » J'aurais aussi dû parier que c'était la dernière chose qu'il voulait entendre. Mais je n'étais pas connue pour être la personne la plus aimable de Panem.
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