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 Everybody's got to learn sometimes~ Lou R. & Virani

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MessageSujet: Everybody's got to learn sometimes~ Lou R. & Virani   Everybody's got to learn sometimes~ Lou R. & Virani Icon_minitimeSam 22 Fév - 19:35

On me relâche, on me largue, on me jette hors du train, où on m'a endormie auparavant. Pour ne pas voir sûrement, les autres districts. Les autres endroits peuplés de personnes susceptibles d'être rebelles. Comme moi, ou plutôt, comme mes parents, et moi un peu plus maintenant, quand j'y pense.
Parce que je me suis faite embarquée, il y a quelques jours. Sans comprendre pourquoi, sans comprendre pourquoi mon univers se détruisait sous mes yeux,  
où je n'étais qu'un témoin lorsque tout ce qui m'entourait tombait soudain comme des lambeaux. Et ce n'appartenait pas qu'à moi. À mon frère aussi, Elyas.
Elyas, Elyas, Elyas
J'ai tellement de fois prononcé son nom, dans ma cellule. Au début, je pouvais entendre ses cris, et cela m'angoissait. Mais aussi horrible que cela puisse paraître, j'étais au fond de moi rassurée, que mon frère soit toujours vivant et près de moi. On nous faisait souffrir. J'ai cru qu'il était mort, lorsque les jours suivants restèrent muets de l'autre côté du mur de ma cellule, blanche, vide et éclairée de néons, blancs également. Je restait silencieuse pendant trop longtemps, ayant arrêté de compter pour trouver le temps. Et je ne cessais de penser à leur retour. Car ILS allaient revenir. Pendant combien de temps ILS allaient me blesser, combien de temps j'allais prier, et même supplier de mourir pour que cela se termine. Pendant combien de temps j'allais résisté, pour que Elyas ne soit pas seul, pour ne pas tout perdre. Ma motivation du départ pour cette résistance était qu'il était en vie, de l'autre côté de ce foutu mur, qu'il était mon frère, et que l'on ne s'était jamais dit au revoir, ni même adieu. Mais je n'entendais plus rien désormais, et j'était seule.

Généralement, vers le quinzième coup de frappe ou autre, je m'évanouissait. Puis je me réveillais, le lendemain, dans cette cellule, toujours vide, comme si j'avais rêvé. Mais les marques sur ma peau prouvaient le contraire.

Enfin, on ouvrit la porte. J'avais replié mes genoux entre mes bras, la tête baissée. Une voix glacée m'annonçait qu'on me relâchait. Que, même si j'avais toujours nié le fait d'être rebelle, on me surveillait étroitement. Que si jamais j'avais l'audace d'en parler, je reviendrait ici. Que si j'avais ne serais-ce qu'un minuscule lien avec les rebelles, je pourrais dire adieu à tout ce que j'aime.
C'était simple : j'allais être traquée. On se servirait de moi comme d'un exemple, silencieux, de toute rébellion. C'était beaucoup plus facile et efficace de garder la petite Virani en vie et muette à jamais dans son district, que de l'emporter pour de bon. Non. Il fallait quelque chose de choquant et cruel pour éloigner les habitants du Neuf de la cause rebelle. Et c'était moi leur pantin.
J'imaginais très bien que, si quelconque rebelle essayait de prendre contact avec moi, en sachant que mes parents étaient très engagés, cela se terminerait mal pour eux.
J'ai encore du sang frais sur la joue et les lèvres, un œil à moitié fermé, des cicatrices pas totalement fermées aux jambes surtout aux genoux.

Je fais un pas, puis trois, avant de tomber au sol. La gare est presque vide. Personne ne m'attend ici. Pas même les gens de la boulangerie, juste en face.
Je m'avance, aussi rapidement que je peux, vers le chemin des habitations de la ville. Je rabaisse mes manches sur mes bras.
Une main me saisit l'épaule, je me retourne.


Dernière édition par Virani Lean Chesterfield le Mar 4 Mar - 18:25, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: Everybody's got to learn sometimes~ Lou R. & Virani   Everybody's got to learn sometimes~ Lou R. & Virani Icon_minitimeDim 2 Mar - 17:37


« These battle scars don't look like they're fading »



E
lle t'avait toujours guidé. C'était celle qui avait toujours contrôler tes moindres faits et gestes. Elle parcourait tes veines et glaçait ton sang. Et bien que tu ais grandi, elle n'avait jamais cessé de t'écraser, semblant y prendre bien plus de plaisir qu'on ne pouvait le croire. C'était à elle que tu pensais avant de t'endormir, c'était à elle que tu pensais chaque matin, et c'était à elle que tu pensais à chaque bouffée d'air. Tu avais froid. Vraiment froid. Debout derrière le comptoir, tu attendais que quelqu'un entre dans la petite boulangerie pour te demander un morceau de pain. Mais les clients se faisaient rare, de plus en plus. Vous n'aviez plus rien. Les enfants naissaient dans la poussière et vos âmes se perdaient dans la pauvreté pérenne. Le cris de ton père te sortit de tes pensées ainsi que les bruits de fer claquant le sol, sûrement avait-il encore fait tomber sa fournée.
« LOU ! VIENS ICI ! Viens corriger tes conneries ! » aboya-t-il en pestant.
Sans attendre, tu te dirigeas d'un pas rapide jusqu'à l'arrière de la boulangerie et ramassa les pains brûlants en grimaçant, sans broncher. Surtout sans broncher. Puis, de toute manière, tu en es incapable n'est-ce pas ? Le jour où on entendra ta voix n'est pas encore arrivé, et j'en suis navrée. Quand tu eus fini tu repartis sur le devant, silencieuse. Tes mains étaient rougies par la chaleur des pains et tu les collas machinalement sur tes joues rosies par le froid tout en regardant l'horizon. Votre boulangerie était installée en face de la gare, la grande gare qui connaissait du mouvement qu'à deux trois périodes de l'année et dont peu étaient ceux qui attendaient quelqu'un sur le quai. Elle était déserte, ç'en devenait presque déprimant pour toi. Pourquoi ne pas avoir choisi un endroit plus jovial - même s'il se comptait sur les doigts d'une main ici ? Le prix sûrement.

Les heures passèrent et rien ne se passa. Tu réussis à vendre deux baguettes, quel exploit, tu allais fêter ça avec ton frère une fois la journée finit. Mais quelque chose t'interpella alors que tu scrutais à nouveau l'autre côté de la rue. Une jeune femme, blonde, sortit de la gare. Ton sourcil droit s'arqua, manifestant ta surprise. Tu plissas un peu les yeux de manière à mieux voir mais rien n'y faisait : elle marchait la tête baissée. Cependant, sa façon d'avancer t'arrêta un instant. Elle était irrégulière, et ses épaules tombaient comme si elles étaient bien trop lourdes pour son petit corps. Qui cela pouvait bien t-il être ? Ta curiosité prenant le dessus, tu t'approchas de la vitrine afin d'avoir une meilleure vue et de pouvoir identifier cette personne. Par la même occasion, tu aperçus deux pacificateurs retourner dans la gare, tournant le dos à ce qu'il devait être une prisonnière du Capitole un peu plus tôt. Tu réfléchissais. Il y a quelque temps, tu avais remarqué que la jeune Virani manquait au district. Tu avais alors chercher son frère, Elyas, mais il semblait avoir lui aussi disparu jusqu'à ce qu'on te raconte qu'ils avaient été embarqué au Capitole pour traîtrise. Tu étais inquiète pour eux depuis et n'avait toujours pas eu de nouvelles. Peut-être étaient-ils à cet instant enterrés ou encore que leurs corps avaient été jeté on ne sait où. Ou bien étaient-ils encore en vie, et tu l'espérais. Sincèrement. Et cette petite te rappelait Virani, bien que son allure te faisait douter.
Tu te lanças alors en dehors de la boulangerie et marcha aussi vite que tu le pouvais jusqu'à cette carcasse mouvante. Quand tu fus enfin à sa hauteur, tu posas ta main sur son épaule priant pour qu'il s'agisse de Virani. Et c'est quand elle se retourna que tu fus face à un visage qui t'était à la fois familier et étranger. Qu'avaient-ils fait ? Sous les bleus, tu arrivais encore à reconnaître la douce enfant Chesterfield mais ça en restait marquant. Immédiatement, tu la pris dans tes bras, lui procurant de nombreuses douleurs dans tout le corps, te faisant reculer presque aussitôt. Si tu avais pu parler, tu aurais certainement poser mille et une questions mais ce n'était pas vraiment le moment. Les pacificateurs pouvaient revenir à n'importe quel moment et tu étais consciente qu'être vue aux côtés d'une victime du Capitole n'était pas bon. Alors, tu pris son bras gauche et le passa délicatement autour de ton cou pour l'aider à avancer.
Vous traversâtes ainsi les habitations du district neuf, tentant tant bien que mal de rester discrètes malgré l'apparence de Virani. Quelque uns posèrent leur regard curieux sur vous deux mais ne vous tendirent pas la main pour autant de peur qu'un représentant de la garde Capitolienne ne les voit avec vous. Misérables. Vous étiez tous autant misérables les uns que les autres. A croire qu'elle vous bouffait tous un peu plus chaque jour. Quand elle trouvait encore la force, Virani gémissait légèrement de douleur nourrissant ainsi ton inquiétude grandissante.

Puis vous arrivâtes près d'un coin d'eau, le fleuve plus exactement. Un des endroits des plus dépeuplés du district par ailleurs. Tu n'avais pas amené Virani ici par pur hasard non, tu y avais pensé tout le long du chemin. Délicatement, tu l'aidas à s'asseoir à côté de l'eau et t'installa en vitesse à côté d'elle. Elle était sale, encore plus de les travailleurs dans les champs après une longue journée de travail. Mais surtout, elle était amochée et il fallait faire quelque chose. Tu devais faire quelque chose. Tu dénouas ton tablier et le plongea dans le fleuve sans faire attention à sa température. Puis tu caressas le visage de la jeune fille avec ce tissu, nettoyant ses traits fins endommagés par les coups qu'elle dût recevoir. Ton regard en disait long. Que lui avaient-ils fait exactement ? Où était Elyas ? Avaient-ils eu ce qu'ils désiraient ? Les enfants Chesterfield étaient-ils encore en danger ? Quand tes yeux croisèrent les siens, tu compris qu'elle était bien trop faible pour te parler maintenant. Votre échange visuel parut interminable alors que tu continuais à tamponner son visage. Tu patientais, attendant qu'elle daigne te parler, t'expliquer ou même tout simplement réagir. Par les larmes ou par le cris, peu t'importait. Tout ce que tu savais était qu'elle était aussi en elle en cet instant et qu'elle la tiraillait. La peur vous submergeait. A chaque instant.
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MessageSujet: Re: Everybody's got to learn sometimes~ Lou R. & Virani   Everybody's got to learn sometimes~ Lou R. & Virani Icon_minitimeMar 4 Mar - 19:29

Lou.
La jeune boulangère était bien là, en face de moi. Je me rappelle que je leur acheter du pain tous les matins, avant. Je franchissais le seuil de leur porte, après avoir sautillé sur le chemin et bien observé leur vitrine, où des pâtisseries plus appétissantes les unes que les autres, trônaient.
Je claironnait un "Bonjour !" Joyeux, Lou étant muette, ne me répondait jamais, mais souriait. Son absence de voix ne me dérangeait pas vraiment, vu que d'une certaine manière, j'arrivais à la comprendre, sans parler le langage des signes comme son frère.
Je venais dans ses lieux en pleine matinée, et assez tôt, avant que mes parents ne partent travailler. Ma mère raffolait de leurs brioches, mon père aimait leurs baguettes, mon frère se contentait d'un pain au raisin.

Maman, papa, Elyas.
Brusque retour à la réalité.
Je n'ai plus neuf ans, ou bien quatorze ans. Je ne suis plus la petite fille heureuse d'autrefois.
J'ai seize ans, et mes parents sont morts.
Mon frère est absent.

Lou me prend dans ses bras, sûrement par pitié.
Je pensais que toutes les douleurs provoquées là-bas n'étaient plus qu'un lointain et mauvais souvenir. J'avais tord.
J'étais juste endormie.
Mon corps se réveille, mes cicatrices brûlent de partout.
Puis je repense aux derniers mots des pacificateurs. Lou ne devrait même pas se tenir en face de moi, elle serait en danger.
" Tu ne devrais pas..." Je bredouille.
Quoi, me parler ?

Non, pour elle se serait plutôt me soutenir, m'aider.
Elle relâche son étreinte immédiatement. Roule des yeux, avec des regards avertis des deux côtés de sa tête, puis, passe mon bras sur ses épaules, et m'aider à avancer.
Si une des personnes qui nous voient préviennent les pacificateurs, nous sommes toutes les deux cuites, moi pour de bon.
J'essaye de me retenir, mais la douleur est trop forte, et, quand la salive-ou le sang- qui se trouve dans ma bouche, humidifie enfin ma langue, je ne peux retenir les pénibles gémissements qui s'ensuivent.
Je crois que j'ai du fermer les yeux quelques minutes, car lorsqu'elle me dépose enfin sur un rocher, au bord des fleuves bruyants-à cause de leurs forts courants-je ne me rappelle plus du chemin entier fait jusqu'ici.
Elle me met de l'eau sur mon visage, qui doit être vraiment sale, à voir sa bouche se crisper.
Puis, elle cesse tout mouvement, et elle attend, me défigurant en face d'elle.
Je n'ai toujours pas compris pourquoi elle est venue m'aider, moi, alors que j'aurais trouvé cela plutôt normal si ça avait été mon frère, qui la connais beaucoup mieux.

Elle voudrait sûrement que je lui parle, que je lui explique ce qui m'est arrivé. Je ne sais pas si j'ai totalement retrouvé mes esprits.
Mais je me rappelle de ce qu'ils m'ont dit.
Jene voudrais pas la mettre en danger, elle qui m'a aidé, parce qu'elle saurait.

Mais elle ne peut pas parler, et cela fait une raison de plus pour lui raconter.
J'insiste longuement.
Je me rappelle de tout. Mais je ne veux pas la choquer, après le spectacle de mes marques de tortures.
Elle doit savoir que j'ai été emmenée au Capitole, comme tous les habitants de ce district.
Qui sait ce que les ragots auraient pu raconter à mon sujet. En plus de la mort publique de mes parents.
Et qu'une fillette soit revenue des cellules du Capitole, c'est du jamais vu au Neuf.
Mes mains tremblent. Personne ne devrait connaître la vérité, ce serait beaucoup plus simple pour eux. Un neud    
se forme dans mon ventre.
"On est partis en pleine soirée.
Ils sont venus nous chercher, Lou.
" Je lève les yeux et cherche son regard pour voir si elle comprend. "Dans la maison d'Elyas...
Elle comprend. Je reprend.
On a pris le train. On marchait dans de longs couloirs sombre. Un moment, on nous a séparés..."
Je m'étais retrouvée seule, dans une cellule, en face de deux pacificateur.
Je me mord la lèvre inférieure si fort, qu'elle se met à saigner, elle aussi.
"Ils m'ont interrogée. Mais je ne savais
rien...
" Puis... J'ai eu mal, très mal.
"J'ai entendu les cris d'Elyas, de l'autre côté du mur. J'ai eu peur. Je savais ce qu'ils allaient me faire, je savais que j'allais être torturée. J'ai fermé les yeux."
Pas exactement. Ils se sont rapprochés de moi, m'ont prit le bras pour me soulever.
Ils avaient des instruments. Mais ne s'en sont pas servi, au début. Je me suis débattue, ils m'ont plaquée contre le mur. M'ont hurlé des mots inintelligibles.  
Ils me serraient le visage de leurs fortes mains. J'ai senti comme si on me taillait quelque chose, au bras gauche. J'ai serré les dents.
Dans notre district, on se servait des fouets pour torturer, ici ce n'était pas le cas. Il y avait des tasers, les seuls instruments que je reconnaissais. Le deuxième jour, ils m'ont frappée. Puis ils me laissaient dans la cellule, vide.

Je relève la tête. Lou m'a fait un signe pour me dire de continuer. Je m'étais absentée. Je hoche la tête.
Je ne lui poserait qu'une question.
"Est-ce qu'Elyas est revenu ?"
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