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fermeture du forum le forum ferme ses portes après six ans d'existence. merci pour tout, on vous aime. |
| | DUNCAN ♦ lost and insecure. | |
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Auteur | Message |
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| Sujet: DUNCAN ♦ lost and insecure. Mar 9 Juil - 0:55 | |
| Duncan Clay Herondale❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞ Sombre. Son regard est sombre, comme la nuit. Duncan Clay Herondale, qu’il s’appelle. Mais si ses yeux sont d’un bleu à vous couper le souffle, son regard n’en demeure pas moins sombre. Assombri par la colère et la fureur enfouies en lui. Accumulées depuis son enfance. Depuis cette fameuse nuit, dans le district neuf. Mais elles remontent, parfois, et laisse entrevoir une autre facette du jeune homme. Une facette qui colle un peu plus avec son métier de Pacificateur. Loin d’être de ceux qui prennent froidement des vies et se débarrassent si aisément des gêneurs -qu’ils soient femmes, enfants ou vieillards, Duncan sait toutefois se montrer efficace. Froid. Distant. Intransigeant. Et surtout, sans remords. Il répugne à assassiner des innocents. Oui, assassiner est bien le mot adéquat, pour lui. Comment pourrait-il en être autrement, alors que les Pacificateurs se contentent d’ôter des vies sans laisser la moindre chance à la victime en face d’eux ? Duncan les exècre, il les haït plus que tout. Et pourtant. Il est l’un d’eux.
C’est une raison bien particulière qui l’a poussé à les rejoindre. En apprendre davantage sur la mort de ses parents, sur le massacre du district neuf alors qu’il n’était qu’un gosse. Il a mis du temps à s’en remettre, et à se relever. Mais les épreuves l’ont rendu plus fort. Il faut dire qu’il a été particulièrement bien accueilli dans le district treize. Sa famille, son foyer, son monde depuis le décès de ses parents. Et puis Raven. Une connaissance, puis un ami. Finalement un frère. Si Duncan a longtemps détesté le Capitole, comme son ami, il en est venu à travailler pour lui. Étonnant, quand on sait qu’il faisait partie, tout comme Raven, de l’armée des rebelles. Mais une mission dans le neuf a fait volé douze ans de bons et loyaux services pour le treize.
On ne peut pas dire que Duncan est quelqu’un d’influençable. Non. Il sait démêler le vrai du faux, et voir la part de vérité ou de mensonge dans le discours d’un autre. Mais la rencontre d’un Pacificateur dans le neuf a tout changé. Si Duncan a toujours su montrer beaucoup de rigueur, d'efficacité et de volonté, il n’a pu qu’être convaincu par le Pacificateur, celui-ci pointant notamment les faiblesses du treize ainsi que certaines de leurs actions douteuses du doigt. Il a bien tenté de lui faire croire que le décès de ses parents ne devait être qu’une machination du treize. Mais Duncan n’est pas idiot. Il a simplement mis de côté une certaine partie de son sens de l’honneur et de sa loyauté, pour tenter d’en apprendre davantage sur le meurtre de ses parents. Alors, oui, il joue un certain double-jeu. Pas au point de torturer des innocents. Mais il applique les règles. Il obéit. Il joue le rôle du bon petit Pacificateur. Tout en restant intègre, tout en demeurant lui-même, au fond.
Finalement, le Pacificateur du neuf n’a fait que lui ouvrir les yeux à l’époque : aucun camp n’est gentil, aucun camp n’est méchant. Chacun a ses défauts, ses retords, ses manœuvres qu’il préférerait demeurer cachées aux yeux des autres. Duncan sait qu’un camp ne rattrape pas l’autre : chacun souhaite l’emporter, et ils sont tous prêts, aussi bien le Capitole que les rebelles, à faire tout ce qui est en leur pouvoir pour exterminer l’autre. Duncan a peut-être changé de camp, mais il n’en est pas moins lucide : il ne peut faire confiance à personne. Toutefois, il sera toujours prêt à se battre pour les causes qui lui sont chères, s’il juge qu’elles en valent la peine. Duncan croit en la justice, une justice équitable rendue dans une société finement organisée et solide. Bien qu'il soit quelqu'un de très calme et posé, il se laisse parfois submerger par la colère et la vengeance. Quand celles-ci l'animent, il ne répond de rien. Personne ne pourrait l'arrêter. C'est pourquoi il est de nature solitaire : à part quelques amis, il n'a jamais vraiment apprécié le contact humain. Enfin, excepté celui des femmes. Fin charmeur et véritable séducteur, Duncan désire plus que tout la compagnie des femmes pour lui faire oublier ses soucis. Ce succès chez la gente féminine le rend parfois un brin sûr de lui, voire arrogant. S'il est cynique de nature, il sait se montrer aimable et de bonne compagnie. Après tout, les règles de bonne conduite en société n'ont plus de secret pour lui. C'est sûrement ce côté gentleman qui plaît aux femmes... Bien qu'il ait eu beaucoup d'aventures, Duncan ne s'est jamais réellement impliqué dans ses relations. Il déteste faire confiance aux gens, et il juge cela beaucoup trop dangereux de s'exposer ainsi, en ayant une relation bien trop sérieuse. Enfin, le monde change, les hommes changent. Peut-être que Duncan sera aussi victime de cette tendance. about games and relative.
➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ? Mourir. Depuis mes douze ans, je n’ai plus peur de mourir. Pourtant, il y a eu cette période après le décès de mes parents. Seul, apeuré, vide et sans espoir, je n’avais plus aucune volonté de me battre, et plus aucune raison de vivre. Et puis, les rebelles sont arrivés. Et finalement, j’étais prêt à me battre pour eux. Pour cette cause que défendent tous les rebelles. Pour la liberté. Pour la fin de l’oppression. Pour mes amis. Pour moi. A cette époque, j’étais persuadé que mourir pour une cause juste était la plus belle des fins. Je le suis toujours. Le problème, c’est que cette cause juste varie inévitablement, et ce qui nous paraît juste et fondé un jour peut devenir faux et insensé le lendemain. Alors voilà, j’ai longtemps cru que je pourrais mourir pour la révolte. Cette croyance n’est plus. Je pourrai peut-être bien mourir pour ma famille. Mais je n’en ai plus. Par amour, sûrement. Par orgueil, aussi. J’ai cette fâcheuse tendance à me croire au-dessus de tout. Mais à bien y réfléchir, si je devais mourir pour une cause ou pour une personne, je choisirai de mourir pour une personne. Le seul pour qui j’en serai capable, c’est lui. Le seul être qui m’était cher, et que j’ai laissé au treize. Raven. Ce satané corbeau… Ce foutu rebelle… Mon frère… Quoi qu’il advienne. Peu importe la rancœur. Si je devais mourir pour quelqu’un, ce serait lui. Raven.
QUE PENSES-TU DE LA REVOLTE ECHOUEE ET DES REBELLES ? Les rebelles. J’ai longtemps cru en eux (devrais-je dire en nous ?). Je pensais réellement qu’ils allaient pouvoir faire la différence, que cela n’était qu’une question de temps. J’ai été l’un d’eux, je connais ce sentiment d’espoir qui les a tenus en haleine quand ils sont partis en mission, et qu’ils ont lancé leur révolte. Mais j’ai perdu foi en eux… Ils ne valent pas mieux que ceux contre qui ils se battent. Aussi mauvais les uns que les autres. En tant que Pacificateur, j’ai bien évidemment pris part à cette révolte... Enfin, dans l’autre camp du moins. Cette révolte m’a simplement ouvert encore plus les yeux sur les rebelles. Des barbares, ce sont tous des barbares. Autant les rebelles qui se croient nobles et justes, que ceux du Capitole. Au moins, ces derniers ont le mérite de ne pas totalement cacher ce qu’ils sont. La révolte a été dure, pour tout le monde. Moi le premier. Interrogatoire, torture, massacre… Ce n’est pas facile à vivre. Encore moins quand vous faites partie de ceux qui opèrent du côté du carnage. J’en ai tué, des rebelles. Je n’en suis pas fier, non. J’ai tué des gens, voilà. Mais aucun soldat du treize… Je n’ai pas pu m’y résoudre. Des connaissances, des amis, des frères d’arme. Je n’ai pas pu. Au fond, je ne l’ai pas oublié, le treize. Je crois que… je ne pourrai pas. Jamais. Et même si je ne suis plus l’un d’eux, il reste ma famille. Les seuls qui me restent.
➺ QUEL EST TON OPINION SUR LES PACIFICATEURS, LEUR ROLE, LEUR COMPORTEMENT ? Curieusement, je les hais. Ces infâmes barbares qui prennent des vies comme je change de vêtements le matin venu. Curieusement, je les hais. Et pourtant. Je suis l’un d’eux. Ironique, non ? Être un Pacificateur, et détester plus que tout ce métier. Alors, pourquoi ? Pourquoi je reste ? Par commodité. Retourner au treize, très peu pour moi. Je ne leur fais plus confiance. Tout comme je ne fais absolument pas confiance aux Pacificateurs. A vrai dire, je ne fais plus confiance à personne. Je ne peux ni retourner au treize, ni quitter les Pacificateurs. Maintenant que je me suis engagé auprès d’eux, cela ferait de moi un traitre, un déserteur, un apatride si je les quittais. Au final, les Pacificateurs ne sont que des pions dans le jeu du Capitole. Ils se plaisent à se croire supérieurs à tous les habitants des districts, et pensent être tout à fait intouchables de par leur métier. Mais ce ne sont que des pions. De simples pions, qui se contentent d’exécuter les ordres. Comme moi. C’est tellement plus simple… Mais s’ils prennent du plaisir à torturer leurs victimes pour en extraire un seul mot, je ne suis pas de ceux-là. S’ils ne fonts qu’exécuter les ordres, ils y prennent goût. Moi pas.
➺ COMMENT QUALIFIERAIS-TU TA VIE DANS TON DISTRICT ? EN ES-TU SATISFAIT ? Simple. Routinière. Bien rodée. Surveillée. Voilà ma vie dans mon district. Certes, il y a quelques échappées, quelques missions inaccoutumées qui mettent un peu de saveur dans ma vie. De toujours trop courts moments, pendant lesquels je peux allègrement montrer pourquoi les Pacificateurs ont bien fait de me recruter. Des missions aux cours desquelles je peux montrer mes talents pour l'espionnage, la chasse (plutôt à l'homme, mais les animaux, ça me connait aussi). Pistage, survie, camouflage... Tout ça a rythmé ma vie pendant douze ans, au treize. Et puis, vu l'enseignement militaire que j'ai reçu d'eux, je me débrouille pas si mal avec mes mains (et mon corps en général, mais ça, les demoiselles vous le diront). Faut pas croire, j’aime quand ça bouge. Et je peux vous jurer que la vie au dix est plus que barbante, à la longue. Mais on s’y fait. Et puis, je continue, je joue mon rôle du bon petit soldat de l’ombre qui se tait et qui ne fait qu’obéir aux ordres. Pour l’instant, ça marche bien. Tout est tellement réglé, quand on est Pacificateur… Il reste tellement peu de place pour l’imprévu. Mais j’essaye tant bien que mal de rester attentif, d’écouter, de voir plus loin que ce qu’on veut bien me montrer. Ne jamais se reposer sur ses acquis, et toujours remettre en question ce que l’on vous dit – voilà ma vie au district. User de diplomatie, de persuasion si besoin. Sans oublier les murmures et autres messes basses derrière mon dos : beaucoup se demandent si j’ai effectivement changé de camp, si je suis bien sincère, si je vais enfin révéler des informations sur le treize. A tort ou à raison ? Qui sait… Moi-même, je n’en suis pas certain.
➺ CROIS-TU AU BONHEUR ? ALORS. LE BONHEUR. Cette immonde connerie qu’on vous sert à toutes les sauces, ce truc perfide qui vous comble d’illusions. Vous le sentez, ça y est, vous y croyez, vous êtes plein d’espoir ? Et vlan, on vous met une bonne claque sur la nuque, on vous poignarde dans le dos, et on le remue dans la plaie pour que vous sentiez bien la douleur. Voilà, vous le sentez le bonheur, là ? Non, hein ? C’est parce qu’il n’existe pas. Le bonheur, je n’y crois plus. C’est toujours quand vous êtes persuadés d’être le plus heureux du monde, comblé de toute part, que vous vous retrouvez avec de plus en plus de problèmes sur le dos, entre coups de poignards sournois et désillusions intenses. Non, le bonheur, je n’y crois définitivement plus. Alors, certes, je peux bien avouer que je suis persuadé qu’il existe une infime petite chose, un semblant de bonheur dans ce monde. Mais de là à dire qu’il dure… Je ne crois pas. Je dirais plutôt qu’il y a des instants de bonheur. Des moments qui vous comblent, de beaux souvenirs, des instants magiques. Voilà tout. On ne peut pas être heureux toute sa vie, il y aura toujours de la place pour une quelconque désillusion, à un moment ou à un autre. Reste à profiter du moment présent et de ces instants de bonheur qui peuvent se présenter, j’imagine… Les miens, je les ai déjà vécus, chacun son tour je présume… A moi la triste vie et l’ennui !
JE VIENS D'UN MILIEU défavorisé, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE tenait bien plus de la légende jusqu'à ce que je sois récupéré par le district treize. DU COUP, MON NOM A aucune CHANCES/RISQUES D'ÊTRE TIRE AU SORTpuisque j'ai quitté mon district à l'âge de douze ans. J'EXERCE LE MÉTIER DE pacificateur ET POUR TOUT VOUS DIRE, JE déteste ce que je fais. JE SUIS DANS LE dixiÈME DISTRICT. AYANT trente-deux ans JE ne peux plus PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET CEUX-CI m'indiffèrent et me révoltent à la fois. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.
reality is here.
Bien le bonjour ! Mon petit nom, c’est Estelle, mais on me connait davantage (façon de parler !) sous le pseudo VELVET GLOVE. Je vous épargne mes surnoms tous plus moches les uns que les autres, et vous laisse décider d’une éventuelle appellation ! Sinon, j’ai dix-neuf ans, et si tout va bien, après ces vacances, j’entre en école d’ingénieur (après deux longues et horribles années de prépa, ou devrais-je dire d’enfer, uhu). Du coup, ça fait deux ans que j’ai pas rp, et je reprends, veuillez me pardonner d’avance des éventuels immondices que constitueront mes posts. Je viens d’un petit village paumé près de Metz et je fais mes études à Nancy. (oui, vive l’Est) Du coup, oui je viens de France, hein. Et puis, voilà, j’aime lire, écouter de la musique, regarder des séries, jouer à LoL, la sf, Tolkien, le trône de fer, et tout ce qui touche de près ou de loin au médiéval et à la fantasy. Plein de trucs communs quoi. Ah oui, j'oubliais, j'ai lu les bouquins et ai vu le film. Je les ai lus après l'avoir vu, même si j'ai pas vraiment accroché au film... Les bouquins, par contre, une fois que j'étais dedans... Ils m'ont tenu en haleine deux jours et puis c'était fini Ils m'ont plu, sans que ce soit non plus l’œuvre du siècle, il y a tout de même quelques incohérences, et disons que bon, l'idée d'une arène où s'entretuent des jeunes n'est pas toute neuve, m'enfin, on ne s'attarde pas sur ces détails quand on lit heureusement Sinon, magnifique forum, qui a l'air de vivre et de compter des membres actifs, c'est géniaaaal FEATURING Jonathan Rhys-Meyers © VELVET♦GLOVE
Dernière édition par Duncan C. Herondale le Mer 17 Juil - 0:06, édité 6 fois |
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| Sujet: Re: DUNCAN ♦ lost and insecure. Mar 9 Juil - 0:56 | |
| tell us your story. Clac. Clac. Clac. Un fouet qui s’abat. Un cri qui se perd, dans le silence de la nuit. Des pleurs. Du sang. Derrière un placard, un garçon. Assis, à la limite de la position fœtale. Pleurant, silencieusement, et se balançant nerveusement. Une fine rainure, entre les portes du placard, lui permettant de voir. L’obligeant à voir le carnage. Du sang. D’immenses flaques de sang. Des cris. Toujours des cris. Une atmosphère sombre, chaotique. De vagues appels à l’aide. Et puis, plus rien. Les cris stoppés, les pleurs terminés, les appels cessés. Seul demeure le silence. Le garçon se lève, mécaniquement. Droite, gauche, droite gauche. Pas après pas, il rejoint le centre de la pièce. Des corps, et du sang. Toujours du sang. Ce dernier se répand sur le sol à une vitesse folle et inonde le plancher. Alors, un bruit. Un bruit de pas, un pied s’abattant sur le plancher. La peur, de nouveau. L’angoisse, que tout se répète. Le môme court se cacher de nouveau dans son placard, s’assied et ferme les yeux. Et puis, plus rien… Le souffle court, Duncan se redresse dans son lit, humide de transpiration, des gouttes perlant sur ses tempes. Encore ce mauvais rêve. Toujours le même. Toujours cette même nuit sombre passée au district neuf… Elle lui rappelle, presque tous les soirs, à quel point cet épisode de son enfance l’a traumatisé. Ces corps, sur le plancher, étaient ceux de ses parents. Les cris, ceux de ses parents souffrant alors que trois hommes vêtus de blanc se sont rendus à leur domicile pour les assassiner. Les pleurs, ceux de sa mère alors que son père était le premier à perdre la vie, et les siens, alors qu’il assistait à toute la scène. Personne n’est venu les sauver, ce soir-là. Ses parents ont toujours œuvré en faveur du camp des rebelles. Duncan n’a jamais été vraiment mis au courant de leurs agissements, et puis, ce n’est pas à l’âge de douze ans que vos parents vous expliquent les problèmes politiques et sociaux régnant à Panem. Il n’a que quelques bribes de souvenirs de cette soirée-là, mais elles lui reviennent à l’esprit chaque nuit, en rêve. Il se souvient parfaitement de ce qu’il avait fait juste avant : couper du bois avec son père, pour alimenter le feu du soir. Il se souvient parfaitement d’être ensuite rentré à la maison, une fois le travail accompli. Les bras plein de bois, le sourire aux lèvres, il avait ramené le fruit de son dur labeur à la maison, et sa mère avait tendrement déposé un baiser sur sa joue. Puis, il avait vaguement aperçu trois silhouettes blanches avant que son père le pousse violemment dans le placard, l’intimant de ne faire aucun bruit et de ne pas sortir tant qu’il ne le lui aurait pas permis. Et ensuite, plus rien. Enfin si, quelques bribes. Des éclairs de souvenirs, des sons, de vagues formes se découpant dans la nuit. Mais rien de très distinct. Rien qui devrait le mettre dans un état pareil. Il n’y peut rien, chaque nuit, c’est la même chose. Et son remède à tout ça ? Charlie. La réveiller à cette heure, ce n’est pourtant pas toujours une très bonne idée. Qui sait de quelle humeur elle sera. Mais cette nuit, son malaise était plus fort que d’ordinaire, il voyait encore le sang inonder le plancher, il entendait encore les cris de ses parents résonner à ses oreilles. Quelques pas, dans les tunnels du treize, et il se retrouva devant une simple porte en bois. Il frappa, trois fois. « Encore ce rêve, hein ? » Charlie lui ouvrit la porte, encore légèrement endormie. « Toujours… » lui répondit-il. Des cernes sous les yeux, un mince sourire au visage. Tout allait mieux quand il voyait Charlie. Charlie, une connaissance lors de l’arrivée de la jeune fille au district treize, puis une amie, et enfin sa meilleure amie. Malgré la grande différence d’âge qui les sépare, les deux jeunes gens ont su trouver dans l’autre ce qui manquait à leur vie. Une complicité, un certain équilibre apporté à leur vie. Duncan avait 21 ans, elle 16 lorsque la jeune fille était arrivé au district treize. Après quelques échanges froids et distants, ils s’étaient vite rendus compte qu’ils ne pouvaient que s’entendre. Elle soignait ses blessures lorsqu’il revenait de mission, elle apprentie guérisseuse et lui membre des forces armées rebelles. Ils avaient tous deux vécu dehors, avant d’arriver au treize, et partageaient volontiers les expériences qu’ils avaient vécues à l’air libre, souvent avec nostalgie. Il est certain que l’air frais, le contact de l’herbe sur leur peau ou la chaleur prodiguée par les rayons du soleil pouvaient leur manquer. Mais dorénavant, le treize était leur maison. Ils étaient chez eux, là-bas, dans les souterrains. Duncan finit la nuit chez Charlie, lui confiant toute sa souffrance, son angoisse, tandis qu’elle lui faisait part de toute sa peine depuis la mort de sa sœur. Deux meilleurs amis, unis, comme toujours. ♦♦♦ underco.
Dernière édition par Duncan C. Herondale le Lun 22 Juil - 23:04, édité 2 fois |
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| Sujet: Re: DUNCAN ♦ lost and insecure. Mar 9 Juil - 1:19 | |
| DUNCAN C'est Raven qui va être content BIENVENUE et bonne chance pour ta fiche |
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| Sujet: Re: DUNCAN ♦ lost and insecure. Mar 9 Juil - 1:21 | |
| Bienvenue |
| | | Raven H. Abernathy △ correspondances : 2104 △ points : 1 △ multicomptes : thybalt, gwendal, eurydice (denahi) △ à Panem depuis le : 22/01/2012 △ humeur : la mort de Coin, dont les idées commençaient à lui déplaire, a donné un nouvel élan à son implication dans la lutte contre le Capitole △ âge du personnage : trente-six ans △ occupation : lieutenant-colonel dans l'armée du 13 (chef de section, tireur d'élite) ~ membre du conseil de décision post-Coin
| Sujet: Re: DUNCAN ♦ lost and insecure. Mar 9 Juil - 2:20 | |
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| | | Moonshine I. Park △ correspondances : 2260 △ points : 0 △ à Panem depuis le : 30/05/2012 △ humeur : ۞ idéaliste △ âge du personnage : ۞ vingt-quatre ans △ occupation : ۞ vendeuse de bijoux
| Sujet: Re: DUNCAN ♦ lost and insecure. Mar 9 Juil - 7:08 | |
| Bienvenue sur MJ, excellent choix de scénario fighting pour la suite de ta fiche |
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| Sujet: Re: DUNCAN ♦ lost and insecure. Mar 9 Juil - 9:21 | |
| RHYS MEYER bienvenue monsieur sexy bon courage pour la suite de ta fiche |
| | | Swain Hawkins △ correspondances : 5710 △ points : 0 △ à Panem depuis le : 18/06/2012 △ humeur : I'm a fucking monster. △ âge du personnage : 38 y.o.
| Sujet: Re: DUNCAN ♦ lost and insecure. Mar 9 Juil - 9:32 | |
| JRM And dat scénario. Bienvenue sur MJ bon courage pour ta fiche ! /me ressuscite Raven. Hang on Raven, hang on there. |
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| Sujet: Re: DUNCAN ♦ lost and insecure. Mar 9 Juil - 10:01 | |
| Bienvenue dans le coin VELVET GLOVE Have fun around here |
| | | Gemma K. Mubstin △ correspondances : 4141 △ points : 0 △ multicomptes : Ø △ à Panem depuis le : 16/04/2012 △ humeur : Floue. △ âge du personnage : Vingt-et-un △ occupation : Danseuse.
| Sujet: Re: DUNCAN ♦ lost and insecure. Mar 9 Juil - 10:25 | |
| Bienvenue |
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| Sujet: Re: DUNCAN ♦ lost and insecure. Mar 9 Juil - 12:49 | |
| Bienvenue sur MJ |
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| Sujet: Re: DUNCAN ♦ lost and insecure. Mar 9 Juil - 13:22 | |
| ATHOS : Oh oui, j'espère bien faire un heureux en prenant ce scéna, vu comme il a été attendu. Merci en tout cas MATTYS : Merci monsieur le tribut RAVEN : tu peux m'épouser si tu veux enfin oui, bienvenue c'est déjà pas mal, on verra le reste plus tard Très heureuse de te rendre heureuse, dans ce cas, c'était le but. (toujours regarder les scénarios pour faire le bonheur des gens, toujours ) MOONSHINE : je suis bien d'accord, le scénario est à tomber, je comprends pas pourquoi personne ne le joue depuis tout ce temps (et puis JRM quoi, les gens, ouvrez les yeux !! enfin bon, tant mieux pour moi que personne ne l'ait pris au final ) SISKA : abbey lee n'est vraiment pas mal non plus dans le genre madame sexy hein Merci SWAIN : on est d'accord, JRM + scéna de fifou = Merci à toi NIALLAN : merci bien GEMMA : merciii NILO : merci |
| | | Avalon R. Sweenage △ correspondances : 13212 △ points : 2 △ multicomptes : dely, ridley, dahlia △ à Panem depuis le : 23/04/2011 △ humeur : mélancolique △ âge du personnage : vingt-deux ans △ occupation : garde d'enfants
| Sujet: Re: DUNCAN ♦ lost and insecure. Mer 10 Juil - 19:14 | |
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| Sujet: Re: DUNCAN ♦ lost and insecure. Mer 10 Juil - 20:16 | |
| Je répète ce qui a déjà été dit, mais bon choix de scénario. Bienvenue et bon courage pour ta fiche. |
| | | Adonis Nightsprings △ correspondances : 2406 △ points : 12 △ multicomptes : Robin D. Bates / F. J. Kennedy △ à Panem depuis le : 01/04/2012 △ humeur : Blasé. △ âge du personnage : 35 ans △ occupation : [i]Chef[/i] Pacificateur du D08
| Sujet: Re: DUNCAN ♦ lost and insecure. Jeu 11 Juil - 23:19 | |
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| Sujet: Re: DUNCAN ♦ lost and insecure. | |
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| | | | DUNCAN ♦ lost and insecure. | |
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