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 let me be your everlasting light ⊹ (mycroft)

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let me be your everlasting light ⊹ (mycroft) Vide
MessageSujet: let me be your everlasting light ⊹ (mycroft)   let me be your everlasting light ⊹ (mycroft) Icon_minitimeJeu 24 Jan - 19:09


mycroft-enoch thom redleeds
❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞

"My thoughts are stars I cannot fathom into constellations."
Redleeds. Ce nom qu'on prononce peu, par crainte que l'on nous entende en parler. Redleeds. Sujet tabou, et pourtant, fascinant. Redleeds. Tout le monde connait ce nom, les adultes qui s'en indignent, et les enfants qui le craignent. Légende urbaine du savant fou dans sa grande tour du Capitole, du grand méchant loup perché dans son antre au cœur de la grande ville. On le dit cannibale, psychopathe, diabolique, des dizaines et des dizaines de rumeurs se contredisent à son propos. La vérité personne ne la connait vraiment. Elle est bien trop dure à entendre.
Mycroft Elwood Thom Helios Redleeds, pour ne citer que les premiers prénoms, sa mère ayant pris un plaisir malsain à lui en affubler une dizaine. Professeur Redleeds, pour les rares personnes qui ont le privilège de le fréquenter. Brillant scientifique de trente-sept ans, dont les travaux sont omniprésent dans tout Panem : nouvelle formule de bottox, venins spéciaux, mutations ... Si ces travaux sont le plus souvent utilisé pour les Jeux, il lui arrive souvent de prêter main forte au gouvernement pour inventer de nouvelles armes, notamment des armes bactériologiques et chimiques, contre un bon paquet d'argent. Opportuniste de première, il n'hésite pas à vendre ses services au plus offrants, refusant toute sorte de contrat, travaillant pour lui et lui seul. En haut de sa tour, plusieurs étages de laboratoires où le scientifique s'acharne seul sur ses problèmes. Pas d'équipes de chercheurs, pas de ribambelles d'assistants. Juste lui, et quand l'envie lui prend, une jeune élève qu'il engage généralement à la sortir de l'université. La vérité est que Mycroft est un génie. Depuis son plus jeune âge, il excelle dans tout ce qu'il entreprend. Diplômé à seulement quinze ans, il s'est vite fait un nom dans Panem et les grandes entreprises se l’arrachent aujourd'hui, le fils Redleeds ayant même la prétention de n'accepter que les requêtes qui représentent un réel défi pour lui. Atteint depuis l'enfance du syndrome d'Asperger, c'est en grande partie la cause de son intelligence hors du commun. D'un perfectionnisme maladif, Mycroft voue un grand soin aux détails. Il possède une pensée analytique et une logique indéniable, grand avantage cet handicap, ainsi qu'une mémoire extraordinaire. Mais si ce syndrome possède bien des avantages, il apporte de même un bon lot d'inconvénient. Cousin de l'autisme, le syndrome d'Asperger affecte les capacités sociales du patient. Mycroft est le parfait exemple. Il voue une profonde méprise à ceux qui ne peuvent pas tenir de conversation avec lui, c'est à dire une grande partie de Panem. Égocentrique, il peut pourtant se montrer extrêmement attentionné envers les personnes qu'il aime. Ces dernières pouvant se compter sur les doigts d'une main, il leur porte pourtant une affection profonde, et supporte mal qu'on les blesse, Mycroft pouvant même devenir violent dans ces moment-là. Associable depuis toujours, le scientifique n'a en dehors de cette poignée de proche pas vraiment de relations, aussi bien amicales qu'amoureuses. S'il a été marié dans sa jeunesse, c'était loin d'être d'amour et les deux jeunes n'ont jamais consumé leur mariage. Même s'il pouvait compter Pandora dans ses proches amis, dont la mort six ans auparavant l'a beaucoup affecté, il ne l'a jamais vu comme sa femme et être amoureux relève pour lui de l'impossible. Maladroit lors de ses rares contacts avec les autres, il n'arrive pas réellement à distinguer la ligne entre ce qui est acceptable de dire ou pas. Beaucoup de personne l'évite pour ça, ne pouvant supporter sa franchise pourtant innocente, puisque Mycroft ne parvient que difficilement à dire lorsque quelque chose blesse ou non la personne. Il a depuis toujours vécu au Capitole, fils d'un riche entrepreneur, il possède un frère ainé, Lorcan, qui veille sur lui toujours, tâchant tant bien que mal de rattraper ses maladresses. Si pendant longtemps le cadet Redleeds ne s'imaginait pas résider ailleurs que dans sa bien-aimé capitale, dont il aimait observer l'agitation du haut de son jardin sur le toit, il a pourtant déménagé après la mort de sa femme dans son manoir de vacances au district Sept, emmenant avec lui son assistante du moment. Pourtant, il a trouvé au fin fond de la forêt une vie à laquelle il prit goût petit à petit, tellement paisible pour travailler, idéale pour le scientifique. Ermite dans l'âme, ce mode de vie lui convient parfaitement, continuant à travailler à distance et réduisant ses déplacements au minimum. Nouveau départ aussi, puisqu'au fond de son district, personne n'imagine Mycroft tel qu'il est vraiment, loin des médias Capitolien, il est ici à nouveau l'innocent scientifique qu'il était à ses début. Personne au Sept n'a eu bruit du scandale dont le Professeur a été sujet quelques années auparavant, alors que ses assistantes disparaissaient les unes après les autres. Si Mycroft prenait soin de ne plus en parler, il ne pouvait pourtant pas éviter les regards noirs et les chuchotements craintifs quand il se promenait dans la Capitale. Le savant fou bourreau de ses autres innocentes élèves était bien loin maintenant, et il pouvait enfin passer à autre chose. Heureux, presque, si bien dans sa nouvelle vie. Il aurait pu rester longtemps comme cela, à l’abri des autres, en seule compagnie de la personne qui devenu vite la plus chère à ses yeux. Mais, loin d'être de cet avis, le district Treize, après avoir découvert la tanière du savant fou, a décidé de l'emmener de force dans ses souterrains pour servir la cause rebelle. Si Mycroft n'avait jamais été pro-Capitole, il était loin d'être rebelle pour autant. Servant sa propre cause, ne souhaitant que sa propre sécurité et celle de ses proches, il ne se serait jamais lancé dans la révolte de son plein gré. Aussi lâche qu’attentiste , s'il a un temps servie le gouvernement, il n'a pourtant pas hésité longtemps à rejoindre le Treize, espérant vainement pouvoir regagner son manoir et reprendre le train de vie qu'il adulait, auprès son Elyon adorée.

about games and relative.


Calme, paisible, aux antipodes de ma vie tumultueuse dans la capitale. Si j'ai longtemps eu un goût prononcé pour l’extravagance, je réalise aujourd'hui que rien aux Capitole ne peut égaler la sérénité de mon gigantesque manoir du district sept, et les quelques années les plus agréables de ma vie reculé dans un lieu où je n'aurais jamais imaginé vivre cinq ans auparavant. Aussi je veux ma mort comme ces quelques années de bonheur : discrète, tranquille, intime. De la maladie peut être, ou même de vieillesse si je peux avoir la prétention d'aspirer à une telle fin. J'image parfois qu'Elyon est toujours là, à mes côtés, me réconfortant une dernière fois. Mais quelle qu'elle soit, je ne la vois certainement pas maintenant.
J'ai toujours été, depuis mon plus jeune âge, fasciné de manière morbide par les Jeux de la Faim. Je ne m'extasiais pas sur le défunt funeste de ces pauvres enfants envoyé à la mort, mais plutôt sur le spectacle qu'offraient les Juges au public de Panem, sur la manière dont ils mettaient en scène chaque mort, chaque infime détail de l'enfer que vivaient les tributs. Gamin, j'admirais les Festins sanglants et les finals de chaque édition, essayant de trouver quel procédé les créateurs utilisaient pour tel ou tel piège. C'est cette adoration macabre qui m'a poussé à devenir scientifique, et qui occupe aujourd'hui une grande partie de mes recherches : la création de mutations plus horrible les unes que les autres, élaboration de certains pièges et autres venins hallucinogènes. Grand enfant, je reste aujourd'hui encore scotché devant les Hunger Games, pour apprécier parfois mon travail ou tout simplement profiter du spectacle.
Contre mon gré, certes, mais je prends aujourd'hui part à la révolte. Côté rebelle, c'est surement le plus étonnant. Voilà maintenant deux semaines que le Treize est venue me chercher dans ma maison au Sept, pour ne pas dire enlever, et je suis aujourd'hui contraint de travailler pour eux. Je n'aurais surement jamais participé à la rébellion sans cet enlèvement, servant depuis toujours mon propre intérêt, essayant simplement de rester en vie. Opportuniste pourrait-on dire. Si au début je refusais de fabriquer les armes que Coin me demandaient, détestant travailler sous la contrainte, j'ai finalement décidé de travailler pour le Treize. D'un part car je compte bien gagner sa confiance et rentrer à la maison, retourner me terrer dans le district Sept, mais aussi car ma si précieuse assistante a décidé de joindre la cause des rebelles, ayant toujours eu un penchant malheureux pour l'aventure et le chaos.
Mal. Extrêmement mal. Je ne prends même pas la peine de le cacher, prenant un malin plaisir à critiquer le district dès que l'occasion se présente. Cette habitude à beau en énerver plus d'un, si ce n'est pas la totalité des habitants, mais je prends un point d'honneur à rappeler à qui veut l'entendre à quel point la vraie vie me manque, autant la capitale que mon manoir confortable. Six pieds sous terre, entassé les uns sur les autres, j'ai l'impression étouffer en permanence.
Le bonheur est plus complexe qu'il en a l'air, pour y croire, pour penser qu'on peut réellement l'atteindre, il faut être naïf. J'ai longtemps refuser de penser qu'il existait. Je n'avais pourtant pas à me plaindre, ayant grandis dans la classe la plus favorisé de Panem, parmi les spécimens les mieux portant de la capitale. Je n'avais jamais manqué de rien, on ne m'avait jamais rien refusé. Et pourtant, je ne parvenais pas à trouver le bonheur, la sentiment d'être enfin bien, en paix. Pendant de longues années, incapable de mettre la main dessus, j'ai préféré me persuader qu'il était impossible de le trouver, ce si précieux bonheur, que c'était seulement un mythe populaire, un fatasme. Mais depuis que j'ai quitté le Capitole, que je me suis retiré avec Elyon dans les districts, je suis plus proche du bonheur que je ne l'ai jamais été. Je ne suis pas totalement convaincue cependant que le vrai bonheur existe, mais aujourd'hui je me laisse bercé par l'idée qu'il existe quand même un stade accessible qui se rapproche de ce bonheur.



reality is here.


:ass:

FEATURING matt smith© COPYRIGHT tumblr





Dernière édition par Mycroft E. Redleeds le Sam 9 Fév - 22:04, édité 15 fois
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let me be your everlasting light ⊹ (mycroft) Vide
MessageSujet: Re: let me be your everlasting light ⊹ (mycroft)   let me be your everlasting light ⊹ (mycroft) Icon_minitimeJeu 24 Jan - 19:10

I. No more tears, my heart is dry, I don't laugh and I don't cry.
“ S'il te plait Mycroft, elle n'acceptera de venir que si je ramène quelqu'un pour sa jumelle ! ” Je croisais les bras contre ma poitrine, peu décidé à accompagner mon frère à un rendez-vous. Je détestais perdre mon temps, c'était une chose qui me dégoutais ; et un rendez-vous dans le genre, c'en était une belle, perte de temps. Parler de teinture et de sac à main, très peu pour moi. “ Allez, fait un effort ! Tu dois bien te douter que tu n'étais pas mon premier choix, mais ce soir il n'y a que toi de disponible. ” Je le fusillai du regard. “ J'ai des plans pour ce soir moi aussi ! Plein. ” insistais-je même si le plan en question était de relire mon livre favori pour la dixième fois. Il me lança un regard noir, se contentant de me fixer sans un mot, alors que j'essayais de me replonger dans l'histoire. Longtemps. Trop longtemps, tellement que je décidai de laisser tomber au bout de dix minutes, sachant que, le connaissant, Lorcan ne lâcherait pas l'affaire. “ Tu m'offriras ce microscope que j'avais repéré la semaine dernière ? ” lâchai-je enfin. Un sourire éclaira le visage de mon frère alors qu'il acceptait avec entrain. Il devait avoir oublié le prix du-dit microscope, ou alors il était tellement obsédé par l'idée de sortir avec cette fille qu'il en oubliait à quel point il était radin. Je ne comprendrais jamais cette obsession pour la gente féminine. Futile, selon moi. Dans tous les cas, j'étais gagnant. Mais même si l'idée de recevoir un nouveau microscope m’enchantait, j'allais bien vite changer d'avis en rencontrant les charmantes demoiselles qui devaient nous accompagner ce soir. Sept minutes. Sept minutes et trente-et-une secondes exactement qu'elles parlaient de coloration. Je fusillai Lorcan du regard, alors que les jumelles entamaient un nouveau débat sur la couleur de leurs cheveux. A ce moment précis, j'étais pris d'une forte envie de m'enfuir en courant, impossible de rester une seconde de plus attablée avec de telles invités. Incapable de tenir une conversation aussi vide de sens. J'avais pourtant l'habitude d'écouter de telles futilités à la maison, mais je ne les supportais pas pour autant. Et alors que le serveur nous apportait la carte, et que la plus agaçante des jumelles -comme par hasard, mon rendez-vous- entrepris de raconter ses vacances au District Quatre, je craquai. “ Ennuyeux ! ” lâchai-je bruyamment en enfouissant ma tête dans mes bras, affalé sur la table. “ Mycroft ! ” cria Lorcan, indigné, alors que tous les regards se tournèrent vers moi. Je relevai la tête, détaillant nos invités le regard dédaigneux. “Quoi ? Son voyage au fin fond du pays t'intéresserait-il ? Tu veux vraiment savoir ce qu'elle a fait parmi ces bouseux ? Elle n'est pas intéressante. Je ne fais que pointer l'évidence. Je la suspecte même d'avoir vendu son cerveau pour s'offrir une stupide chirurgie des seins. ” Suivirent des cris d'indignations et d'autre "Mycroft" accusateur de la part de la tablé. “ Raté en plus. Le droit est plus gros que le gauche. ” finis-je la mine boudeuse, les bras croisés contre ma poitrine. Mon frère se cacha derrière sa main, surement atterré par mon comportement -pour changer. Mon rendez-vous quant à elle, cet air choqué exagéré toujours collé sur son visage bleuâtre, examinait sa poitrine paniquée. “ Je ... je suis désolée du comportement de mon frère. Vraiment. Je vais faire vais payer pour les boissons et ramener les voitures. ” lâcha-t-il en quittant la table, me gratifiant de ce regard noir dont seul lui avait le secret.

+++
“ Professeur Redleeds, nous allons avoir besoin de votre formule dans la semaine, la préparation des Jeux s'intensifie et nous ne pouvons rien faire sans vos prototypes de mutations. ” déclara le vieil homme à la barbe ridicule, taillée dans tous les sens. Le Haut Juge des Hunger Games. Je ne me rappelais plus exactement pourquoi j'avais accepté ce job, surtout pour me faire sermonner par un vieillard si absurde. L'idée que mes créatures passent dans tout Panem n'était pas une chose non négligeable, non, surtout lors d'un événement aussi massif que les Jeux. Mais avais-je vraiment à supporter de telles scènes de réprimandes ? “ Je vous le répète Mr Whitakers, elles ne sont pas encore prêtes. Et elles ne le seront certainement pas dans la semaine. J'ai besoin d'encore quelques jours, je ne fais pas ça à la chaine comme la plupart de vos pitoyables scientifiques. Il faut du temps. ” lâchai-je rageusement. Lorcan, Juge lui aussi, souffla bruyamment sachant très bien que je ne céderais pas. “ Et bien si vous ne finissez pas avant jeudi prochain, je demanderais à mes "pitoyables scientifiques" de me créer les mutations des prochains Jeux alors. ” Je me levai d'un coup, envoyant voler ma chaise contre le sol. “Très bien. Faite donc comme ça. Je suis sûr que le public sera ravi d'admirer vos chiots dans l'Arène. Vos stagiaires pré-pubères sont à peine capables de recréer un banal geai moqueur, comment pourraient-ils vous sortir la pièce maitresse du final ? ” Le Juge Whitakers se leva à son tour, dégainant son regard le plus outragé. “ Comment osez-vous hausser le ton comme ça ? Je peux vous renvoyez sur le champ Redleeds, ne jouez pas à ça avec moi ! ” Je l'imitais comme un gamin, exagérant chacune de ses expressions. Mon frère enfouit son visage dans ses bras, tâchant sans doute d'ignorer mon comportement. Comme au bon vieux temps. “ C'est Professeur Redleeds pour vous ! Et allez-y, faite vous plaisir. Renvoyez-moi. Trouvez-vous un autre final. Je ne regarde pas les Jeux personnellement, ça ne me dérange pas que ce soit un véritable désastre. ” Whitakers frappa un grand coup son poing sur la table, alors que je lui tirais la langue, de la même manière que le ferais un enfant. “ Redleeds ! ” hurla le Haut Juge alors que je quittais la pièce, tentant de tomber sur ma chaise renversée. “ Professeur Redleeds ! ” corrigeai-je. Je passai la porte alors que mon frère commençait d'une voix lasse, comme s'il avait l'habitude de sortir cette même formule, chaque fois qu'il se tenait dans la même pièce que moi. “ Monsieur Whitakers, je suis horriblement désolée du comportement de mon frère, c'est impardonnable. ”

II.and if you're still bleeding, you're the lucky ones, cause most of our feelings, they are dead and they are gone.
“ Je ne vais pas l'épouser. C'est hors de question. ” répondis-je à mon père, qui se tenait devant moi avec cet air grave. Je savais très bien que c'était non discutable, mais j'essayais tout de même de sauver ma peau. Me marier. Bonne blague que je n'étais pas sûr d'apprécier. Aussi bien car je n'avais que vingt et un ans que parce que je n'avais aucun bénéfice à retirer de ce mariage. “ Ce n'étais pas une question Mycroft. Je ne te demande pas si tu veux l'épouser, je t'informe que le mariage est prévue pour le mois de juin, c'est tout. ” Si je voyais mon père une fois à peine par mois, c'était une bonne chose ; je ne m'étais jamais entendu avec lui, et les rares fois où il rentrait à la maison tournaient généralement au désastre. Mais l'idée d'un mariage arrangé, malgré la faible estime que j'avais pour lui, était une chose encore plus basse que ce que j'avais pu imaginer. C'était pratique courante au Capitole, dans les familles affluentes, et certes les Redleeds était un nom que beaucoup de gens connaissaient. Mais je ne l'avais jamais cru capable de me faire une telle chose. A Lorcan, à son fils prodige, peut-être, mais pas à moi. Il savait depuis longtemps que j'étais une peine perdue. Que c'était sur les épaules de mon frère que le nom de la famille Redleeds reposait. Alors pourquoi me marier à Pandora Harkness ? La mine boudeuse, je croisais les bras contre ma poitrine. “ Je n'aime pas ta mère non plus, tu sais Mycroft. Ça ne m'a pas empêché de vivre à ses côtés pendant toutes ces années. ” Je riais doucement. Toutes ces années ... Peut-être, mais trois cent jours par an il était cloîtré dans son bureau ou en voyage. Le reste du temps il allait s'amuser avec telle ou telle gagnante proposé par Snow. Ça ne laissait plus beaucoup de temps accordé à ma pauvre mère. Je tâchais d'ignorer son regard noir. “ Pourtant je suis encore là. Je prends sur moi. Tu tâcheras d'en faire pareil. Je compte sur toi. ” Mon sourire s'effaça vite. C'était sans espoir apparemment. Un engagement était un engagement, et la devise favorite de mon père impliquait ne jamais faillir à ses engagements. Malheureusement pour moi.

III.loneliness is over, dark days are through. let me be your everlasting light.
Je détestais sortir. Je maudissais chaque moment passé hors de mon immeuble, chaque seconde à arpenter les rues bondées de notre capitale. Je tâchai la plupart du temps de me déplacer en voiture, ou tout simplement de ne pas sortir. Mais quelque fois, peu souvent mais tout de même, il m'arrivait d'avoir la soudaine envie de me mêler à la foule. Cela m'aidait bizarrement à réfléchir lorsque je bloquais sur un problème. Aujourd'hui était un de ces jours-là. Incapable de terminer la nouvelle formule que je tentais de mettre au point, sans cesse dérangé par les invités de Pandora, qui semblait s'appliquer à choisir les spécimens les plus bruyants du quartier, j'avais décidé de quitter mon bureau pour déambuler parmi le Capitole. Grossière erreur certes, car, comme quasiment chaque fois que je choisissais ce genre de réflexion, je regrettais la décision à mi-chemin et me maudissait pendant tout le trajet du retour. Pourtant, cela ne m'empêchait pas de remettre ça à chaque nouveau problème. Alors que je m'appliquais soigneusement à mépriser chaque passant que je croisais, critiquant un coup leur cheveux ou une autre fois leur peau aux couleurs grotesques, je me retrouvai d'un coup plaqué contre le sol, une jeune femme étalée de tout son long sur moi. Les yeux écarquillé, je fixai l'inconnue qui ne semblait pas avoir l’intention de bouger. “ Eum ... Bonjour. ” lançai-je, figé sous le corps mince de la brunette, qui me regardait l'air aussi surpris que moi. “ Bonjour ! ” répondit la jeune femme d'une voix haut perchée. Sans bouger pour autant, elle continua. “ Je suis désolée, vraiment désolée, je courais sans regarder, et la seconde d'après, je me retrouvais comme cela ... ” dit-elle, l'air ahuri. “ Oui, oui je peux voir ça effectivement. ” Je marquais un pause, fixant toujours le visage enfantin au-dessus du mien. Je repris quelques secondes après. “ Vous avez prévue de vous relever peut être, non ? ” dis-je hésitant, impuissant devant cette situation qui m'échappait complétement. Voilà pourquoi je détestais sortir dans la rue ; les interactions sociales n'étaient vraiment pas mon fort. La jeune brune se décida enfin à bouger, se relevant maladroitement, s'excusant encore une fois, gênée. Des voix s'élevèrent au bout de la rue, des cris effarés et des murmures outrés se rapprochaient de nous alors que deux hommes -ou plutôt deux géants- fendaient la foule en cherchant apparemment quelque chose du regard. Derrière moi, la brunette poussa un petit cri aigu avant de se coller contre mon dos. “ Cachez moi, s'il vous plait il ne faut pas qu'ils me voient. ” Je me retournais, dévisageant la jeune femme qui attrapa les deux pans de mon manteau et m'attira vers elle, se blottissant contre ma poitrine. Je me figeai, n'ayant presque jamais été aussi proche d'une femme, Pandora et moi limitant nos contacts physique au strict minimum. J'hésitai à reculer d'un coup, mais les hommes n'étaient plus qu'à quelques mètres de nous. Je soufflai bruyamment, renonçant à m'enfuir, acceptant à contrecœur de protéger ce qui pourrait très bien être une fugitive ; mes bras l'encerclaient maladroitement, et elle enfuit son visage contre mon épaule, masquant ainsi son identité. Les deux colosses nous dépassèrent sans même un regard pour le couple auquel nous devions ressembler. Après quelques secondes, elle leva la tête et vérifia que les deux hommes étaient bel et bien parti avant de souffler bruyamment et de se reculer. “ Merci. ” dit-elle en souriant de toutes ses dents. Je la fixai sans un mot, cherchant quoi dire, en vain. Comme si la scène avait semblé si absurde et inhabituelle que mon cerveau refusait de l'assimiler. Devant mon silence, la jeune femme trouva bon de préciser “ Je vous dois peut être une explication, non ? ” J’acquiesçai vivement de la tête, ne refusant pas un éclaircissement sur ce qui venait de se passer. Nous nous installâmes dans le premier café, alors que la jeune femme commença son récit. “ J'oublie souvent de me présenter ! Elyon Pevensie. ” “ Professeur Mycroft Redleeds. Êtes-vous une criminelle Elyon ? ” lâchai-je, réellement préoccupé par sa réponse. Elle éclata de rire tout en attrapant sa tasse café. “ Non, pas une criminelle. Je suis une grande fan professeur, on étudie souvent votre travail à l'université ! ” Je me détendis quelque peu, flatté d'être étudié par des universitaire. “ Oh, une scientifique ! J'adore ça ! ” dis-je ravi que la jeune femme ne se soit pas révélée être une rebelle ou pire, une simple potiche comme il en grouillait partout dans les rues du Capitole, dénué de toute forme d'intelligence. “ Pourquoi une scientifique volerait-elle quelque chose dans les grands rues du Capitole ? Qu'est-ce qui est si important qu'il vaut de risquer sa propre liberté ? ” “ Bonne déduction Professeur ! ” lâcha-t-elle, l'air malin, en sortant un paquet de feuille blanche à dessin de son sac à dos, apparemment l'objet du délit. “ Vous ne connaissez donc pas les Pevensie ? ” Je secouai la tête négativement. “ Cinquième fortune de Panem, j'aurais pu me payer l'usine de papier avec mes propres économies. Mais à quoi bon ? Je voulais juste savoir ce que ça faisait. Vous comprenez ? De vivre vraiment. ” lâcha-t-elle, un sourire sincère au visage. J'étais impressionné par un tel esprit, chose bien trop rare dans la grande cité de Panem. “ Vous m'impressionnez miss Pevensie. ” dis-je en souriant. “ Attendez de me voir dans mes bons jours ! ” Nous discutâmes pendant longtemps, bien plus longtemps que je supportais la compagnie habituellement. Mais Elyon était simplement brillante. Et discuter avec des personnes aussi intelligentes était un luxe au Capitole. Et alors que je l'écoutais parler, et alors que je me laissais charmer par la finesse de son esprit, je craquais. Je m'étais promis pourtant. Mais celle-ci était différente, différente de celles que j'avais pu avoir. Je décidais d'abandonner mes bonnes résolutions. Sortant de mes réflexions, je la coupais dans sa phrase, trop excité à l'idée de céder une nouvelle fois. “ Elyon, souhaitez-vous devenir mon assistante ? ”

+++
“ Qu'est-ce qu'elle fait ici Mycroft ? ” lâcha Lorcan en désignant ma nouvelle assistante de la tête. Elyon, roulée en boule sur le fauteuil de mon bureau dans la pièce voisine, dessinait doucement, sans un mot. “ C'est mon assistante voyons, Lorcan. Tu sais que j'ai des assistantes. Elle s'appelle Elyon, elle m'aide dans mes recherches. ” Il souffla bruyamment comme il avait l'habitude de la faire en ma présence, comme s'il préférait ne plus relever mon comportement. Je n'avais rien fait de mal. Du moins presque rien. “ Qu'est-ce qu'on avait dit à propos des assistantes ? ” Plus d'assistante. Je baissai le regard, comme un gamin pris sur le fait. “ Tu ne vas pas continuer de prendre ces pauvres gamines sans cesse et les laisser disparaitre Mycroft. Si j'ai réussi à te sauver jusqu'à maintenant, je ne pourrais pas le faire pour toujours ! Combien ça en fait maintenant ? ” “ C'est la cinquième, si on oublie celle qui a démissionné ” dis-je penaud. J'avais eu, au long de ma carrière, cinq assistantes. Quatre avaient disparu dans la nature, sans un mot. Du moins c'est ce que disais les médias. La vérité était tout autre, et certainement pas chose à mettre dans les journaux. “Mais celle-là est différente Lorcan. Vraiment ! ” Je renâclai. “ C'est pas ce que tu m'avais dit pour la première rousse ? ” La mine boudeuse, je lui tirai la langue. “ Elle a l'air bizarre non ? ” Je souris malgré moi en posant le regard sur ma protégée. Elle l’était, c'était certain, et c'est ce que je préférais chez elle. Enfantine, douce et fragile certains moment, toujours la tête dans les nuages, elle pouvait se changer en quelques instant en un véritable ouragan de pur génie, courant de long en large dans le laboratoire. “Pourquoi tu dis ça comme si c'était une mauvaise chose ? C'est la meilleure qu'il soit ! ” Mon frère leva les yeux au ciel, n'ayant jamais compris mon attirance malsaine pour les personnes dérangés. “ Tu m'avais pourtant promis d'arrêter, non ? De jeter ce projet-là ? ” C'était le seul à qui j'avais dit la vérité, m'ayant convaincue que sans elle, il ne pourrait pas me défendre. Vérité que je gardai jalousement pour moi, m'appliquant à ne jamais ô grand jamais en parler. Mes anciennes assistantes n'avaient en rien disparu, au contraire je savais trop bien où elles se trouvaient. C'était juste ce que Lorcan m'avait conseillé d'expliquer aux journalistes qui enquêtaient sur elles. Non, ils auraient beau chercher, ils ne les trouveraient plus là où elles sont. Enterrées six pieds sous terre au fond d'un district. J'avais merdé. Joliment merdé, chacune des quatre assistantes qui avaient périe en beauté sous mes mains, macabre massacre dont je me serais bien passé mais qui se révélait inévitable. Que pouvais-je y faire ? Tout bon scientifique avait besoin de cobaye, et chacune des gamines que j'avais engagées s'était volontiers porté volontaire pour mes recherches. Elles m'avaient toute autorisé à faire ça. Voilà maintenant une quinzaine d'année que je travaillais sur une nouvelle formule, semblable ai-je découvert plus tard à celle qu'utilisait le Treize. Un sérum capable de réanimer les morts, de les ramener à la vie juste après l'arrêt du cœur. Fantaisiste, certes, mais c'était mon objectif ultime depuis ma sortie de l'école. Mais chaque fois que je pensais avoir réussi à stabiliser le sérum, et qu'une de mes assistantes se proposait pour l'essayer, cela tournait mal. Et je me retrouvai avec un autre cadavre sur les bras. Ce n'était pas ma faute, après tout, c'est elle qui l'avait voulu. Mais personne, à mon grand damne, ne comprendrait mon point de vue, point de vue strictement scientifique. J'avais continué mes recherches, en vain. Alors au bout de mon quatrième échec, Lorcan m'avait interdit d'engager une nouvelle assistante et d'abandonner mes recherches. Mais quand avais-je, dans ma vie, écouté Lorcan ? Si j'avais sagement mis de côté l'élaboration de mon sérum, rien ne m'empêchais d'avoir un peu de compagnie pour développer mes mutations, ses capacités artistique ne pouvant qu'améliorer mon travail. Ainsi Elyon s'était installé deux jours auparavant dans les appartements que je réservais à mes stagiaires. Devant mon silence, Lorcan décida de capituler. “ Fout pas tout en l'air avec celle-ci, d'accord ? ” “ Elle est différente. ” dis-je sérieusement en couvant du regard la brunette sur mon canapé, qui griffonnait avec toujours autant de vivacité. Elle me fascinait. Lorcan souffla encore une fois avant de renfoncer. “ Fait attention Mycroft, je ne pourrais pas toujours être là pour sauver ta peau. ” dit-il en quittant mon immense bureau. “ Tu me connais, voyons. ” “ Justement. ” lâcha-t-il avec un rire moqueur. A quelques pas de la porte, il se stoppa net, faisant volte-face le visage inquiet. “ Quand tu disais Elyon ... Elyon Pevensie ? ” J’acquiesçai doucement. “ Mon dieu, Mycroft ... Cette fois je ne pourrais vraiment pas être là pour toi, ça dépasse mes fonctions ! ” lâcha-t-il, réellement concerné, en claquant la porte derrière.

IV.Grief does not change you. It reveals you.
Le silence. Lourd, pesant, ce silence que j'avais si longtemps adulé et recherché mais qui pourtant était insoutenable sur le moment. Ancré dans l'imposant fauteuil au milieu de mon bureau, je ne pouvais me résigner à quitter la pièce. Je devais partir pourtant, tous les invités devaient être en train d'attendre à l'heure qu'il était, larmoyant, s’apitoyant sur le sort de cette pauvre enfant, qu'ils ne connaissaient qu'à peine avant ce jour si funeste. Je détestais les enterrements en général, écœuré par cet élan soudain de sympathie pour le défunt, mais je maudissais celui-ci particulièrement. Celui de Pandora, ma douce et fragile Pandora. Ma femme sur le papier, qui, même si je ne l'avais jamais considéré comme telle, était une des personnes à qui je tenais le plus. Ma tendre Panda. Je l'avais longtemps méprisé, déversant toute la colère et la frustration de ce mariage arrangé sur ma pauvre épouse, une stupide Capitolienne, superficielle et fragile. J'ai pendant bien trop de temps évité tout contact avec elle, cloitré dans mon bureau, ne nous croisant presque que lors de nos sorties officielles. Je la fuyais, elle et ses amis écervelés, qui envahissaient notre salon en permanence. Je refusais catégoriquement d'en savoir plus, aveuglé par la colère, borné à creuser le fossé qui nous séparait. Mais petit à petit, au fil des mois, des années, une fois toute la haine pour ce mariage envolé, j'ai enfin pu découvrir la vraie Pandora. Loin de l'image Capitolienne que je m'appliquais à lui coller, c'était une femme incroyablement douce, ridiculement adorable. Une femme que je ne pouvais m'empêcher d'aimer, attendris devant tant d'innocence. Je tentais petit à petit de rattraper le temps perdu, et au fils des années, je m'accrochais de plus en plus en à elle. Si jamais je n'allais être le mari dont elle avait toujours rêvé, j'étais devenu son protecteur, son meilleur ami. Celui sur qui elle pouvait se reposer. Elle, elle était devenue l'une de mes rares amies, dont le nombre était si réduit que je pouvais les compter sur les doigts d'une seule main. Je l'aimais, sincèrement, profondément. Et elle était partie. Un muet frappa à la large porte de mon bureau, brisant le silence, surement pour me rappeler qu'il était temps de partir pour les funérailles. Je ne répondis pas. Je n'irais pas, c'était décidé. Elle était morte, à quoi bon se réunir autour de son cadavre ? Je lui avais déjà dit au revoir, sur son lit de mort, je lui avais rappelé à quel point elle comptait pour moi. Je n'avais pas besoin d'aller le répéter à son corps sans vie. Pas besoin de supporter la pitié de tout Panem. On frappa encore, mais cette fois la porte s'ouvrit doucement. Je m'apprêtais à contester, mais découvris la silhouette d'Elyon se faufiler dans le bureau, habillée pour l’enterrement. “ Professeur Redleeds, on vous attend pour commencer. ” dit-elle doucement en s'approchant du fauteuil. Je la couvais du regard. Cela faisait un an maintenant qu'Elyon était mon assistante. Un an, et à aucun moment je n'aurais pu imaginer meilleure élève. Si je réfléchissais à cette possibilité depuis quelques temps déjà, la disparition de Pandora n'avait fait qu'accélérer les choses. Aussi, je ne voulais plus repousser les choses ; j'avais besoin d'air maintenant, j'avais besoin de quitter l'atmosphère pesant du Capitole. “ Rentre chez toi Elyon. ” Je relevais le regard vers le visage affolé de mon assistante. “ Rentre chez toi, fais tes valises et prépares toi à partir. Nous prendrons le premier train à l'aube pour le district Sept. ”


Dernière édition par Mycroft E. Redleeds le Sam 9 Fév - 22:05, édité 8 fois
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Swain Hawkins
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Swain Hawkins
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△ humeur : I'm a fucking monster.
△ âge du personnage : 38 y.o.


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MessageSujet: Re: let me be your everlasting light ⊹ (mycroft)   let me be your everlasting light ⊹ (mycroft) Icon_minitimeJeu 24 Jan - 20:05

Atala let me be your everlasting light ⊹ (mycroft) 3686848491
Rebienvenue que MJ What a Face
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http://www.mockingjay-rpg.net/t6374-this-is-survival-of-the-fittest-this-is-do-or-die http://www.mockingjay-rpg.net/t3544-a-man-chooses-a-slave-obeys http://www.mockingjay-rpg.net/t3545-nature-nurture http://six-ways-to-misbehave.tumblr.com/
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MessageSujet: Re: let me be your everlasting light ⊹ (mycroft)   let me be your everlasting light ⊹ (mycroft) Icon_minitimeJeu 24 Jan - 20:13

Re-bienvenue. let me be your everlasting light ⊹ (mycroft) 1147778360
Bon courage avec ce Microsoft fou What a Face Arrow
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Silk Preston
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statut: N'a alors mais alors absolument pas besoin de Swain Hawkins. Mothafucker.
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MessageSujet: Re: let me be your everlasting light ⊹ (mycroft)   let me be your everlasting light ⊹ (mycroft) Icon_minitimeJeu 24 Jan - 20:24

Re-bienvenue I love you
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MessageSujet: Re: let me be your everlasting light ⊹ (mycroft)   let me be your everlasting light ⊹ (mycroft) Icon_minitimeJeu 24 Jan - 20:43

Merci à tous les trois I love you crac crac
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Thybalt M. Homens
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MessageSujet: Re: let me be your everlasting light ⊹ (mycroft)   let me be your everlasting light ⊹ (mycroft) Icon_minitimeJeu 24 Jan - 22:44

S. Astaroth Blackward a écrit:
Bon courage avec ce Microsoft fou What a Face Arrow
Ca me rassure de voir que je suis pas la seule à avoir lu Microsoft au début What a Face Arrow

Rebienvenue anyway let me be your everlasting light ⊹ (mycroft) 1147778360
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Avalon R. Sweenage
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Avalon R. Sweenage
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△ humeur : mélancolique
△ âge du personnage : vingt-deux ans
△ occupation : garde d'enfants


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MessageSujet: Re: let me be your everlasting light ⊹ (mycroft)   let me be your everlasting light ⊹ (mycroft) Icon_minitimeVen 25 Jan - 13:10

rebienvenue E.T. let me be your everlasting light ⊹ (mycroft) 3686848491
je te réserve Matt Smith let me be your everlasting light ⊹ (mycroft) 3523041270
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Reed Emerson
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Reed Emerson
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△ humeur : Se sent vide et abandonné, désespéré par la chute de Coin et l'échec de la rébellion.
△ âge du personnage : Vingt-six ans
△ occupation : Sniper dans l'armée du Treize


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MessageSujet: Re: let me be your everlasting light ⊹ (mycroft)   let me be your everlasting light ⊹ (mycroft) Icon_minitimeVen 25 Jan - 15:03

Rebienvenue ici ! Smile
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MessageSujet: Re: let me be your everlasting light ⊹ (mycroft)   let me be your everlasting light ⊹ (mycroft) Icon_minitimeVen 25 Jan - 15:54

E.T., Microsoft let me be your everlasting light ⊹ (mycroft) 4083136502 What a Face
Merci à vous trois I love you chou
Ava, je voulais te demander si trente-six ans ça pouvait passer pour Matt Smith, sachant qu'avec la règle il ne devrait pas en avoir plus de trente-quatre ? let me be your everlasting light ⊹ (mycroft) 3997798681 Mais comme tout bon Capitolien, je voulais mettre ça sur le compte de la chirurgie What a Face


Dernière édition par L. Mycroft Redleeds le Dim 27 Jan - 13:10, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: let me be your everlasting light ⊹ (mycroft)   let me be your everlasting light ⊹ (mycroft) Icon_minitimeVen 25 Jan - 17:50

Rebienvenue microsoft ! let me be your everlasting light ⊹ (mycroft) 3523041270 Arrow
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MessageSujet: Re: let me be your everlasting light ⊹ (mycroft)   let me be your everlasting light ⊹ (mycroft) Icon_minitimeVen 25 Jan - 18:19

crac crac
enough said.
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MessageSujet: Re: let me be your everlasting light ⊹ (mycroft)   let me be your everlasting light ⊹ (mycroft) Icon_minitimeVen 25 Jan - 19:24

Merci I love you

VACHE MY LOVE, you don't need to say more crac crac let me be your everlasting light ⊹ (mycroft) 3686848491
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MessageSujet: Re: let me be your everlasting light ⊹ (mycroft)   let me be your everlasting light ⊹ (mycroft) Icon_minitimeVen 25 Jan - 19:43

Bienvenue parmi nous I love you
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MessageSujet: Re: let me be your everlasting light ⊹ (mycroft)   let me be your everlasting light ⊹ (mycroft) Icon_minitimeSam 26 Jan - 13:39

Je peux pas me voir Matt Smith (et je ne sais pas pourquoi What a Face) mais puisque c'est toi je ferai un effort pour ne pas boycotter ce personnage let me be your everlasting light ⊹ (mycroft) 3686848491 Arrow
Rebienvenue chou
(j'ai pas lu Microsoft, mais j'ai quand même eu un beug en voyant Mycroft let me be your everlasting light ⊹ (mycroft) 4083136502)
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MessageSujet: Re: let me be your everlasting light ⊹ (mycroft)   let me be your everlasting light ⊹ (mycroft) Icon_minitime

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