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 ❝ you think you'll fly away. i think you'll crash on your bedroom's floor. ❞ ⧩ GOLDIRON.

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❝ you think you'll fly away. i think you'll crash on your bedroom's floor. ❞ ⧩ GOLDIRON. Vide
MessageSujet: ❝ you think you'll fly away. i think you'll crash on your bedroom's floor. ❞ ⧩ GOLDIRON.   ❝ you think you'll fly away. i think you'll crash on your bedroom's floor. ❞ ⧩ GOLDIRON. Icon_minitimeLun 12 Nov - 1:08


❝ tell me who we are. ❞

With the lights out it's a little less dangerous, even with a stranger never gets painless, don't be afraid. Every time I think I'm gonna change it, it's driving me insane. Do you live, do you die, do you bleed, for the fantasy. In your mind, through your eyes, do you see, it's the fantasy.


Iron poussa un soupir las, passant une main dans ses cheveux noirs ébouriffés, comme à leur habitude. Depuis qu’il était rentré du District neuf en compagnie de sa petite Goldy, il avait le sentiment qu’elle avait la tête ailleurs. Quoi de plus normal ? Elle s’était faite de toute évidence enlever, même si elle n’avait pas eu le cœur de l’avouer à son frère. Ou tout du moins pas encore. Et à côté de ça, lorsqu’il l’avait retrouvée, elle gambadait à côté de son kidnappeur, totalement libre, et demandant à ce qu’on le protège. Si c’était une blague, elle n’était pas drôle. Sur le coup, Iron n’avait rien dit. Il avait avalé les faits, ayant pour unique objectif de la ramener au Capitole en un seul morceau. Mais ça lui était resté en travers de la gorge. Et même s’il ne pouvait pas prétendre ça devant tout le monde, et qu’ils avaient inventé à deux le beau bobard de se perdre dans les bras — ce qui franchement relevait de la connerie, le fait qu’ils aient tous gobé prouvait à quel point ils ne voulaient pas réellement savoir ce qui s’était passé —, il n’était pas question qu’il ignore la vérité jusqu’à sa mort. Merde, quoi. Elle lui devait au moins ça. Pour qu’il soit venu la chercher, au beau milieu des bois, alors qu’elle suivait docilement ce type, sans en avoir rien à foutre de ce qui aurait pu advenir à sa famille pendant ce temps. Ils auraient pu tous crever qu’elle aurait continué à gambader comme un petit poney derrière ce type, sans même prendre la peine de s’inquiéter de leur sort. Putain, mais à quoi elle pensait ?! Iron était fou de sa sœur. Là n’était pas le problème. Mais elle ne pensait pas à ce qu’elle faisait. Elle agissait de manière totalement irréfléchie, ne se préoccupant de ce qu’elle pouvait ressentir. Ce qui au final lui faisait peur à dire, mais était bien vrai ; Gold était égoïste dans sa manière d’agir. Elle ne pensait pas aux conséquences de ses actes. Ni même à ses actes. Elle était comme lui, dans un sens ; elle faisait ce dont elle avait envie. Sauf que ses envies avaient été contrôlées par la vie qu’elle menait au Capitole. Il n’y avait rien de dangereux, là-bas. Rien qui puisse lui faire risquer sa vie. Elle n’avait aucune conscience du danger, et l’avait totalement prouvé par son comportement. Il n’y avait eu qu’elle pour voir son kidnappeur comme un enfant de chœur, et son frère comme un héros. Et dans tous les cas, elle était encore sur cette planète d’innocence et de merveilles. Et il lui en voulait. Elle n’avait même pas encore eu l’honnêteté de lui raconter ce qui s’était réellement passé. Il l’aimait. Là n’était pas le soucis. Mais il lui en voulait.

D’un pas déterminé, Iron entra dans l’appartement de sa cadette, poussant la porte sans ménagement, la refermant derrière lui sans réellement éprouver la moindre satisfaction à la claquer. Il essuya ses pieds sur le paillasson, enlevant pour terminer ses chaussures. « C’est moi. » lâcha-t-il d’un ton trahissant légèrement son énervement et son impatience. Il se foutait pas mal de savoir s’il avait surpris sa sœur ou non. Tout ce qu’il savait, c’était qu’il était venu pour savoir la vérité. Si elle refusait de la lui donner, très bien. Qu’elle ne vienne pas pleurer de se faire réprimander par celui qu’elle disait être l’homme de sa vie. Son grand frère chéri qu’elle aimait tant, pour qui elle aurait tout donné. Bah voyons. Et l’honnêteté, c’était en option avec les gens qu’on aimait ? Très bien. Dans ce cas, mettez également la confiance en option, puisque ça va avec. Et avec la confiance, vous pouvez rajouter l’amour, l’un n’allant pas sans l’autre. … Oh bah tiens ! Plus d’amour ! Que c’est étrange.

Ôtant sa veste pour la poser sur le dossier d’une chaise, le Flickerman retroussa les manches de sa chemise ample à carreaux. Okay. Où pouvait-elle bien être encore passée ? Tant qu’elle n’était pas repartie courir dans les champs en compagnie d’un rebelle, il allait tout tolérer. Il n’était pas mauvais. Il l’aimait. Il avait envie qu’elle soit heureuse. Simplement, il voulait aussi qu’elle lui rende la pareille. Et même si à chaque fois qu’il allait lui demander la vérité il se dégonflait devant ses grands yeux de Goldy pottée, cette fois, il était en colère. Et lorsqu’Iron Flickerman était en colère, il ne faisait pas semblant. Très peu le savaient, très peu étaient au courant, très peu l’avaient testé. Mais il ne prenait plus par des pincettes. Il était franc, direct, allait droit au but. Et même s’il allait tenter de faire un effort avec Gold, il ne garantissait absolument pas sa retenue. Il aimait sa sœur. Il se le répétait à chaque seconde qui passait, et c’était quelque chose qui resterait inchangé jusqu’à son dernier souffle. Mais là, c’était trop. Ça faisait deux trois mois qu’il gardait tout cela pour lui. Qu’il attendait qu’elle lui en parle. Sauf qu’elle n’avait pas l’air bien décidé à lui toucher un mot sur ce qui s’était passé. Elle gardait ça pour elle ? Très bien. Qu’elle ne vienne pas se plaindre ensuite de se faire engueuler. Aujourd’hui, c’était bien parti pour lui tomber sur le coin du museau. Il voulait la vérité. Et il comptait bien l’avoir.

Passant son nez dans le bureau de Gold, il s’adossa à l’encadrement de la porte. Et croisa les bras sur sa poitrine. Elle était en train de bidouiller, comme d’habitude. Mais il se fichait bien de voir ce qu’elle dessinait, aujourd’hui. Il n’avait même pas le cœur à lui demander comment elle allait. Bien, comme toujours, très certainement. Il attrapa un dessin chiffonné posé non loin de la porte, et lui lança sur la tête. Presque joueur. Mais bien déterminé à lui dire ce qu’elle avait sur le cœur. Et à lui tirer les vers du nez. Il reprit sa position, calé contre le bord de la porte. Son visage ne trahissait pas grande sympathie. Son habituel sourire se faisait fantomatique, voir quasiment inexistant. Il dardait sur elle son regard bleuté. Il n’était pas venu ici pour jouer les enfants de chœur. Et il n’allait certainement pas se mettre à chanter pour lui demander en poésie ce qu’il voulait savoir. Ça va bien deux secondes, tout ça. Mais Gold était parfaitement capable d’encaisser une question de la sorte. Après tout. Elle s’était faite kidnapper, oui ou non ? À l’entendre, elle n’en savait rien. Bah voyons. C’était elle qui y était, hein. Si elle avait été en vacances à la plage, elle aurait au moins pu lui dire, qu’il arrête de se prendre la tête avec ces conneries. Mais en l’occurrence, le minois sale et fatigué de son étrange compagnon lui revenait en mémoire. Le visage lui avait dit quelque chose. Il n’avait pas associé à un nom, mais quoiqu’il en soit, ce type-là n’avait pas du tout la tête d’un bisounours en vacances.

« Alors. » commença-t-il en la regardant, accoudé contre son encadrement de porte. Il se remit sur ses deux jambes, se décollant du battant pour s’approcher d’elle les bras toujours croisés, le regard droit et franc. Il ne put empêcher un petit sourire de s’installer sur ses lèvres, alors qu’il plongeait ses prunelles dans les siennes. « Quand est-ce que tu as l’intention de me dire ce qui s’est réellement passé ? »

Elle comprendrait. Il ne s’en faisait pas pour ça. Et si elle prétendait le contraire, c’était qu’elle allait lui mentir. Faire comme si de rien n’était pour s’en tirer par une pirouette. Iron regrettait réellement de ne pas s’être montré curieux jusqu’à lors. Il avait laissé le poison s’ancrer en lui, attendant comme un idiot qu’il parle. Et maintenant, il en venait à se montrer impoli, et à ne même pas poser un baiser sur son front pour la saluer. M’enfin. Elle n’avait pas le droit de se plaindre.

Maintenant, elle ne pouvait plus s’échapper. C’était entre eux deux que tout se jouait.



musique : thirty seconds to mars — the fantasy.
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❝ you think you'll fly away. i think you'll crash on your bedroom's floor. ❞ ⧩ GOLDIRON.

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