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 aiden . ready to suffer ?

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aiden . ready to suffer ? Vide
MessageSujet: aiden . ready to suffer ?   aiden . ready to suffer ? Icon_minitimeLun 16 Avr - 6:39

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Il y a des jours comme ça où il ne vaut mieux pas se lever, des jours où vous savez que vous auriez du rester dans votre lit le plus longtemps possible –idéalement jusqu’au lendemain, des jours où votre seule envie est de voir la fin de la journée arriver le plus vite possible. Aujourd’hui, il était bon d’éviter de m’adresser la parole, et ça, les recrues qui étaient à ma charge l’avaient bien compris. Ils se contentaient de faire leurs exercices silencieusement, chacun dans son coin, tandis que je les regardais faire d’un œil distrait. Je n’avais aucune envie de m’impliquer plus que cela dans ce qu’ils faisaient, et encore moins de leur donner des consignes. Jusqu’ici, ma journée avait été des plus horribles. Dès les premières lueurs de l’aube, j’avais été sorti du lit brutalement par un soldat en plein délire qui jurait avoir vu des énormes loups –« plus de deux mètres, sergent, DEUX METRES ! » ne cessait-il de me répéter- dévorer sa petite amie. Je lui aurais volontiers collé une balle dans le entre les deux yeux pour cet affront s’il ne s’agissait pas d’un jeune homme aux antécédents psychiatriques chargés. Ainsi, afin de calmer son délire et surtout de faire en sorte qu’il me fiche la paix une fois pour toute, je lui avais offert deux cachets de ma petite collection personnelle et l’avais accompagné jusqu’à la lisière de la forêt évidemment déserte. Cette petite escapade (trop) matinale m’avait valu de me faire passer un savon par le médecin en charge du soldat Adams –j’avais retenu son nom parce que je comptais bien lui faire payer très chier son délire, mon supérieur et la présidente Coin en personne. Pendant près de deux heures et demie, alors que j’étais censé me trouver tranquillement dans mon lit et rêver à je ne sais quelle façon de faire souffrir les nouvelles recrues, j’ai eu droit au sermon du grand manitou sur la nécessité de ne pas compromettre la sécurité de tous les habitants du district treize en agissant tel un sombre idiot et d’obéir aux ordres sans jamais franchir les limites qui nous sont visibles. Et bien sur, pour ne pas gâcher une journée si belle et magnifique, je devais surveiller les barges dans l’aile psychiatrique de l’infirmerie, au cas où ils leur prendraient encore l’idée de quitter les souterrains pour aller faire un petit tour dehors et dévoiler notre position à l’ennemi. « Et pour que tout soit parfait, il faut me punir pour montrer l’exemple, c’est ça ?! C’est moi qu’on envoie faire le sale boulot des infirmiers et des soldats ! On m’envoie surveiller des garnements qui ne savent pas s’ils chient ou s’ils pissent quand ils se mouchent ! J’ai du boulot moi, vous savez, j’passe pas ma journée à me tourner les pouces en faisant croire à tout le monde que j’organise la rébellion !» Évidemment, je ne pensais rien de tout ce que je disais, mais la colère et la frustration me faisait dire des choses horribles. Tel était le nouveau Reed. C’était donc à l’infirmerie que j’avais passé le reste de la matinée, à surveiller des enfants complètement léthargiques et à faire des mots-croisés. La plupart de ces gosses étaient d’anciens tributs, tous morts dans l’arène, qui ne réussissaient pas à se remettre de cette expérience traumatisante. La plupart d’entre eux étaient là depuis longtemps, et j’en avais même reconnu un qui était présent du temps où l’infirmerie était encore ma maison. Soudain, je fus pris de chagrin pour toutes ces âmes en peine. Tant de vies sacrifiées inutilement, tant d’innocence volée, toute cette naïveté brisée, cela me révoltait. Il n’y a pas si longtemps, c’était moi qui me trouvais ici. Et je m’en voulu d’avoir prononcé les paroles que j’avais prononcé quelques heures plus tôt. Décidément, c’était une vraie journée de merde.

« Sergent O’Connell, vous êtes libre. Je crois bien que vous êtes attendu ailleurs. » Enfin. Ils avaient enfin compris que du vrai boulot m’attendait ailleurs. Je pris mes affaires et je quittai l’infirmerie en grommelant quelques injures au passage au médecin en chef qui semblait outrée par tant de manque de respect. Cela m’importait peu. Il pouvait s’indigner autant qu’il voulait, j’avais d’autres chats à fouetter. Ou plutôt des recrues à former. Je m’étais donc aussitôt rendu à la salle d’entrainement où m’attendais sagement les recrues. Certains avaient commencé à s’échauffer sous l’œil avisé de mon second, d’autres m’attendaient en discutant entre eux. A mon arrivée, tous se turent et se mirent au garde à vous. « Repos soldats ! » Ils s’exécutèrent aussitôt. Je les observais les uns après les autres, les toisant du regard. Aucun nouveau à l’horizon, inutile de réexpliquer les règles. Je leur assignai chacun une tâche puis pris place dans un coin de la pièce où je ne pouvais être dérangé. Mon second les avait pris en charge, et je supervisais l’entrainement du coin de l’œil, plongé profondément dans mes pensées. J’étais complètement léthargique. Je repensais à tous les évènements qui avaient eu lieu récemment, cette fameuse nuit avec Delilah ici-même, l’attaque chimique, Finnick Mason, mes parents, Alexiane… Je ne savais vraiment plus où j’en étais. Trop de choses me traversaient l’esprit et j’étais bien trop fatigué pour gérer ce surplus d’informations. Mon cerveau fonctionnait au ralenti. J’avais besoin de sommeil, je devais piquer un petit somme. J’étais enfin tranquille…

Pas pour longtemps. Alors que je pensais que le sort ne pourrait plus s’acharner contre moi pour le restant de la journée, que j’avais eu ma dose de merde pour le restant de mes jours, la porte à double-battant s’ouvrit, laissant apparaitre un jeune homme brun à l’allure de surfeur. Je ne l’avais encore jamais vu dans les parages, et je me demandais bien ce qu’il pouvait faire ici. S’était-il trompé d’endroit ? « Doug, qui c’est lui ? » Je n’avais pas été là de la journée, peut-être que mon assistant aurait des réponses à me donner sur l'identité mystérieuse de cet homme. Malheureusement, il n'en savait pas plus que moi. « J’sais pas. D’après le dossier, il s’agirait d’Aiden Bregstone, un rebelle notoire du district neuf. Il vient d’arriver dans le coin. Je pense qu’il est sûrement est là pour s’entrainer avec les autres, ou alors on te l'envoie pour que tu le rafistoles ou quelque chose dans le genre. » Douglas me tendit le dossier qu'il tenait à la main en souriant puis retourna à l’entrainement des soldats alors que je le remerciai distraitement. J'étais déjà en train de feuilleté le dossier qu'il m'avait donné, cherchant minutieusement la moindre information sur le bonhomme. Apparemment, il s’agissait du fils du maire du district neuf. Encore un gosse de riche qui s'était lassé de sa vie trop confortable de connard péteux et qui voulait mettre un peu d’action dans son existence morne. Encore un qui n’avait rien à faire ici et que j’allais prendre un malin plaisir à remettre sur les bons rails. Le district treize formait des vrais soldats, ce n'était pas une garderie pour adolescents en manque de repère. « Bregstone ! Oui, toi là-bas tête de nœud… Viens voir par ici, j’aimerais avoir une discussion avec toi. » Les hostilités étaient lancées.


Dernière édition par A. Reed O'Connell le Lun 16 Avr - 15:03, édité 2 fois
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Aiden S. Bregstone
DISTRICT 9
Aiden S. Bregstone
△ correspondances : 1696
△ points : 2
△ multicomptes : - j. baÿs-galor
△ à Panem depuis le : 09/10/2011
△ humeur : - découragé, désemparé et plein d'autres rimes tarées.
△ âge du personnage : - vingt-quatre ans.
△ occupation : - (ancien?) chef rebelle du district neuf, pilier d'infirmerie


can you save me?
statut:
relationships:


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MessageSujet: Re: aiden . ready to suffer ?   aiden . ready to suffer ? Icon_minitimeLun 16 Avr - 14:31

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“ Ready to suffer ? ”

Il y avait très peu de lumière autours de moi, l'obscurité semblait avoir élue demeure dans cet endroit froid et clos dont aucuns sons ne sortaient ou n'entraient. Je me tenais au milieu de cette pièce, le yeux bandés par un tissu et les mains attachés dans le dos. Tout était si sombre, si effrayant, et pourtant je ne poussais aucuns cris, je ne suppliait personne de m'achever. J'étais mort, du moins j'allais bientôt l'être, ça n'était qu'une question de seconde avant que quelqu'un n'entre pour m'achever. Ma respiration, haletante pendant plusieurs minutes, se calma d'elle-même à mesure que mon cerveau analysais à la situation. Mes mains étaient liées et je ne pouvais décemment les bouger, mes yeux bandés m'empêchaient de discerner les choses qui auraient pût m'être utiles pour sortir de là. Tout était finit et je commençais à le réaliser. Un bruit sourd se fit entendre, ainsi que le grincement d'une porte mal huilée. Mon bourreau se tenait sûrement dans l'encadrement de la porte, prêt à se saisir de l'arme qui mettrais fin à ma vie, à mon supplice. J'avais imaginé ma mort de mille façon mais jamais comme celle-ci, enfermé comme un animal, ne pouvant même pas me défendre face à mon agresseur. On entendrait plus jamais parlé de moi, tout le monde allait m'oublier comme on le fait avec tous les morts et les disparus, parce que ça ne sert à rien de les chercher, tout le monde sait le destin qui attends les rebelles qui osent défier l'autorité et l'ordre du grand gouvernement. Le bruit métallique se fit entendre et je serrais les dents pour ne pas avoir à cirer ou à me débattre, il fallait que je fasse un dernier acte de rébellion pour sauver ce qu'il me restait d'honneur, de mérite, de dignité. Alors je serrais les dents, attendant un coup fatal porté à ma tête ou à ma poitrine, il fallait qu'il vise dans le cœur pour une mort sur le coup, à moins que son désir soit, au contraire, de me faire souffrir encore un peu plus longtemps, pour que je comprenne que ma mort allait être longue et pleine de peine. Je fermais les yeux sous mon bandage à mesure que le rire s'éleva dans l'air, mais ça n'était pas un rire d'homme, c'était celui d'une jeune femme qui riait à gorge déployée. Mes muscles furent pris de sursauts et j'essayais de parler, de dire quelque chose. Une seconde plus tard je sentis sa présence à mes côtés et le sang qui coulait de ma poitrine.

J'ouvris les yeux dans une extrême rapidité, cherchant à tâtons une lumière afin de mettre un terme à ce cauchemar. L'infirmerie était d'un calme céleste, rien n'avait perturbé les autres malades qui dormaient à mes côtés. J'étais le seul à être sujet à ce genre de cauchemar, depuis mon arrivée ici je n'avais pas dormi plus de trois heures à chaque nuits, et c'était ce même rêve qui prenait part de mon sommeil et qui me réveillait à chaque fois le corps trempé de sueur. Cinq heures trente trois du matin, je fermais les yeux tout en plongeant mon corps en travers du lit que l'on m'avait donné à mon arrivée. Je commençais à en avoir plus que marre d'être encore et toujours à l'infirmerie, je voulais sortir, voir, apprendre, ne pas finir comme un simple légume qu'on se contentant de nourrir et de soigner. Le cloisonnement que j'éprouvais dans cette pièce avait affecté mes capacités mentales, si bien que j'avais de plus en plus de mal à réfléchir ou bien à avoir des pensées raisonnées et rationnelles. Je voyais son visage partout, Avalon, je la voyais partout. Quelques fois j'avais l'esprit tellement embrumé par les médicaments que je pouvais entendre sa voix ou apercevoir sa silhouette à chaque détours de couloirs. Ça me faisait mal, c'était terrifiant et je ne voulais pas avoir à vivre ça. Mon cerveau supportait mal les illusions qui se dressaient devant lui, si mal qu'il m'arrivait de m'évanouir sans aucune raisons, simplement parce que je n'avais plus la force de faire quoi que se soit. Je voyais tout ceux secourus par les médecins du district treize, les quelques survivants des jeux, Kathleen... Je les voyais tisser des liens entre le monde réel et l'imaginaire, eux qui essayaient simplement de s'en sortir. J'avais tellement de questions, tellement de peurs, de doutes. Pitoyable, je n'étais qu'un garçon de vingt ans qui avait dû tuer pour s'en sortir alors que d'autres moins âgés que moi avait traversés plus d'épreuves. Je me sentais tellement mal, d'avoir privé cet homme de la vie alors que lui c'était fait une joie de brûler avec convictions chaque parties de mes bras et ma poitrine. Les médecins prétendent que je ne suis pas encore prêt pour faire face à mon ancienne vie, pour reprendre mes habitudes, mais je suis sur que de voir de nouveaux visage m’aiderait à me reconstruise. Sur les coups de six heures je sens mon esprit s'étendre vers le sommeil et je me laisse aller en fermant les yeux.

Ils s'affairent autours de moi, pénétrant de nouvelles aiguilles dans ma peau, m'infligeant la prise de nouveaux médicament miracles censés me tenir en éveil et faire réagir mon cerveau. Je me sens comme une coquille vide, tout ce qui est à l'intérieur de moi s'en est allé. « Je crois que je suis prêt. » L'un des médecins se penche vers moi et pose sa main froide sur mon front, cherchant le moindre signe d'une hausse de ma température qui pourrait me conduire à dire de telles choses. Je repousse sa main d'un geste agacé en refusant le médicament qu'on me tends dans une coupelle en argent. « Je veux sortir d'ici. Mettez moi avec n'importe qui, faites moi faire n'importe quoi, des colliers de pâtes ou des collages avec des enfants, je m'en fous. Laissez moi faire quelque chose. » Je commence à reprendre mes habitudes de rebelle, c'est difficile pour nous de rester de longues journées sans rien faire, sans se sentir utile pour quelque chose ou pour quelqu'un. Les médecins s'éloignent pour discuter entre eux, me laissant seule avec une infirmière qui griffonne quelque chose sur mon dossiers. J'aimerais tellement qu'ils me laisse partir, qu'ils m'attribue une tâche quelconque, tout pour sortir de l'enfer qui à pris place entre ces murs blancs et immaculés. Ils reviennent vers moi avec des têtes perplexes, l'un des médecins tousse dans sa main avant de s'adresser à moi. « Prouvez nous que vous en êtes capable Aiden. » Je ferme les yeux et soupire lourdement, je vais peut-être sortir d'ici aujourd'hui et il n'en faut pas plus pour qu'une ébauche de sourire se dresse sur mon visage. « On vous assigne à l'entraînement avec le sergent instructeur O'Connell. Si lui n'arrive à rien avec vous alors j'ai bien peur que.... » Il ne termine pas sa phrase mais je m'en fiche pas mal, tout ce que je veux c'est pouvoir sortir d'ici et faire quelque chose qui ne ressemble pas à dormir ou à faire des cauchemars.

D'un geste nonchalant je pousse la porte battante qui mène à l'espace d'entraînement, l'un des coins du district treize que je n'ai pas encore vu depuis mon arrivée ici. On m'a fournit l'uniforme réglementaire des soldats et je ne suis soulagé de ne plus avoir à porter la tenue blanche de l'infirmerie qui m'avait stigmatisé depuis que j'avais mis les pieds dans le district. Je n'avais aucune idée de ce qui pouvait bien m'attendre une fois la porte poussée, tout ce que les médecins avaient réussis à me dire c'était que le sergent instructeur n'était pas des plus tendres avec les recrues et qu'il allait sûrement me remettre sur pieds à grand coups de claques dans la gueule, mais je m'en fichais pas mal du moment que je pouvais sortir de cet environnement trop blanc qui m'étouffait. « Bregstone ! Oui, toi là-bas tête de nœud… Viens voir par ici, j’aimerais avoir une discussion avec toi. » La voix qui s'adressait à moi me sortie de mes pensées et alors que j'avançais vers l'homme je pouvais distinguer les traits de son visage. Il ne devait pas être plus âgé de que moi, pour tout dire il semblait ne pas être âgé de plus de vingt-cinq ans, ce qui me rassura quelque peu, après tout il ne pouvait pas être aussi horrible que ce qu'on disait sur lui. Je m'avançais aussi rapidement que possible, ma nouvelle prothèse ne faisant que ralentir et alourdir mes pas. Tête de nœud, j'avais mis du temps pour analyser sa phrase, sortant à peine de plusieurs jours plongé dans un semi-coma à cause des médicament qu'on me donnait, il m'avait insulté et j'étais censé le prendre de la plus agréable des façons ? La journée s'annonçait haute en couleur mais j'étais heureux d'être enfin sortie d'entre les griffes des médecins. « Monsieur. » Ma voix se brisa quelque peu dans un son sarcastique que je ne pouvais cacher, si il voulait jouer au plus con alors il avait trouvé un partenaire à sa taille, mais je n'étais pas là pour me faire des ennemis, surtout pas l'homme qui était censé me remettre sur pieds. « Je m'appelle Aiden Bregstone, je viens du district neuf mais j'ai été …. enfin j'ai passé pas mal de temps à l'infirmerie depuis que je suis arrivé ici. » À quoi bon lui parler de tout ça alors qu'il devait sûrement être au courant de mon identité. Je chassais ces pensées de ma tête en lui tendant la main, dans un signe de politesse que je croyais requis. « Vous devez êtes le sergent O'Connell.» Certes, j'étais passablement heureux de voir d'autre gens et de prendre un peu l'air mais je sentais que la situation n'avait pas finie d'évoluer, surtout avec un type du genre de O'Connell. C'était une longue journée qui nous faisait face.
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